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Catégorie : Bien-être
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Faut-il cultiver l’indifférence ?
L’indifférence porte souvent en elle une connotation péjorative et surtout, douloureuse. Qui n’a jamais été ignoré par une personne estimée ? Oui, ça fait mal ; au cœur, à l’ego et aux sentiments qu’on avait pour ladite personne. Dans notre société, entre les obligations sociales et ses propres ressentis, il est parfois difficile d’y voir clair. Et si l’indifférence vous aidait, finalement ? Alors faut-il la cultiver ? Et si oui, comment s’y prendre ?
L’indifférence, c’est quoi ?
Selon Le Robert, l’indifférence se définit par « l’état de la personne qui n’éprouve ni douleur, ni plaisir, ni crainte, ni désir ». Cela peut se traduire par un état intérieur d’apathie. Mais l’indifférence peut également s’en référer à autre chose qu’à l’absence de sentiments d’un individu. Le Robert précise ainsi qu’il peut s’agir du « détachement à l’égard d’une chose, d’un événement ».
Ainsi, l’indifférence peut tout autant désigner une distance émotionnelle quant à soi-même et ses propres sentiments, ceux des autres, ou encore quant aux événements de la vie qui surviennent parfois. L’indifférence se dessine alors comme une notion plus nuancée qu’un simple égoïsme.
L’indifférence et sa connotation péjorative
Le sentiment d’indifférence est souvent vue comme une émotion difficile à encaisser pour celui qui la subit. La plupart du temps, l’indifférence porte une connotation très péjorative, dont peu de gens souhaitent finalement être responsables. D’où vient cette idée que l’indifférence est péjorative ?
Cela s’explique à travers deux notions qu’il est important de distinguer : l’indifférence envers la vérité et l’indifférence émotionnelle. La première désigne une prise de distance avec les événements qui se déroulent dans l’actualité, dans sa vie ou dans la vie d’autrui ; la seconde, plus délicate, s’explique par des tendances individualistes mises en scène par la société depuis des décennies. L’altruisme et la bienveillance ont longtemps été mis de côté au profit d’une illusion de réussite sociale.
De nos jours, ces deux notions d’indifférence tendent à se nuancer, tant par la complexité de notre société à deux mesures, que par la toile infinie que forment nos sentiments personnels. Enfin, l’indifférence demeure dans les consciences collectives comme une chose dérangeante, blessante, dangereuse et péjorative. Cela s’explique par la blessure de rejet/ d’abandon qu’elle peut réveiller chez certaines personnes.
Ainsi, l’indifférence a été diabolisée et a permis de justifier de certaines marginalisations qui paraissaient « cool » ou tendance. Mais l’indifférence, au même titre que le plaisir ou la tristesse est une émotion neutre. Et comme pour toutes les émotions, tout dépend de ce que vous en faîtes !
Les bienfaits de l’indifférence
Si cela paraît difficile à croire, l’indifférence présente pourtant des bienfaits ! Parmi eux, l’on peut noter :
Une forme de liberté :
Le fait de cultiver l’indifférence est une forme de liberté. Entendons-nous bien : il ne s’agit pas ici d’ignorer tout le monde quand ça nous chante. Il est plutôt question de cultiver l’indifférence et de savoir qu’il sera possible de l’appliquer à des choses qui nous entrave dans le quotidien. Le regard des autres ? Les injonctions sociales ? Les choses que vous penser « devoir » aux autres ? L’indifférence représente dans certains cas une forme de liberté, car alors vous n’êtes plus obligé de répondre à ce que l’on attend de vous. Cette pression s’envole ! Vous vivez pour vous et pour personne d’autre.
Vivre plus honnêtement :
De la même façon, cultiver l’indifférence quand vous en ressentez le besoin permet de vivre plus honnêtement. Sans être égoïste, cela permet de vous concentrer sur votre vie et vos projets –personnels, pros, familiaux…etc. Vous vivez selon vos valeurs, et vous ne devez rien à personne sinon à vous-mêmes.
Être en accord avec ses besoins :
Cultiver l’indifférence, c’est aussi savoir quand l’appliquer pour ne pas aller au-delà de ses limites. Si dans votre groupe d’amis, une personne vous met mal à l’aise et ne semble pas très encline à faire des efforts pour que tout se passe bien, alors peut-être est-il préférable de se parer d’indifférence à son égard afin de passer du bon temps quand même. Si, en revanche, un jour de fatigue physique ou émotionnelle, vous préférez ne pas y aller, le fait d’être indifférent non pas aux sentiments de vos amis mais bel et bien à l’opinion du « qu’en dira-t-on », vous aurez plus de facilité à vous écouter et respecter votre besoin d’être seul et de vous reposer.
Savoir s’écouter et se connaître toujours mieux :
L’indifférence, lorsqu’elle est utilisée sans excès, permet d’apprendre à mieux se connaître et surtout, savoir quand s’écouter. Comme pour l’exemple ci-dessus, l’indifférence permet de ne pas culpabiliser à tort en se choisissant. Car quoiqu’il arrive, vous restez votre compagnon de vie le plus fidèle.
Comment cultiver l’indifférence ?
Être responsable de soi-même :
La première chose à comprendre –et appliquer- dans sa vie c’est la responsabilité de soi. Car s’il est possible de compter sur ses amis ou sa famille, le plus souvent, on passe le temps en tête à tête avec soi. Vous êtes responsable de vos sentiments, de vos actions, de vos décisions. De votre tristesse comme de votre bonheur, et en cela, vous êtes une personne autonome et indépendante ! Alors n’ayez plus peur, et soyez votre propre étincelle pour lancer ce feu qu’est la vie ! Cela permet également de ne dépendre de personne d’autre, que ce soit dans le travail, dans les relations interpersonnelles ou encore dans vos besoins et envies.
Vivre le moment présent et accepte la réalité :
La vie, le corps humain, les événements, tout est cyclique. Autrement dit, si tout a un début, tout possède également une fin. Et le mieux, c’est encore de profiter pleinement du moment présent. Que celui-ci paraisse pénible ou se drape d’une joie incommensurable, il est essentiel de savourer les nuances qu’offre le présent. Alors n’ayez plus peur de vous détacher d’un passé réconfortant ou de vous éloigner quelques heures d’un futur prometteur ! Le présent est là, lui, et la réalité est souvent plus belle que ce que l’on redoute.
Votre liberté importe ; celle des autres aussi :
La liberté passe par une forme importante d’indépendance. Ce qui n’empêche cependant pas de pouvoir tisser des liens plus ou moins étroits avec d’autres personnes. L’amour est un sentiment qui se pratique au moins à deux personnes. Toutefois, l’indifférence intervient lorsque ces relations vous aspirent et que vous avez ce sentiment de responsabilité concernant la vie des autres (on ne parle évidemment pas des enfants, des personnes fragiles ou en danger immédiat). Il est donc important de conserver cette indépendance dans le plus de domaines possibles afin de ne pas devenir tributaire de quelconques obligations imaginaires. Il est possible d’en apprendre plus via cet article : l’indépendance, une nécessité ?
Accepter qu’il y ait parfois des adieux:
La vie se compose de rencontres et d’adieux. Si certains sont plus déchirants que d’autres, il est néanmoins important de se faire à l’idée qu’il n’y a que peu de personnes qui passent toute leur vie à notre côté. Que ce soit au niveau des différents êtres vivants qui croiseront votre route, des biens matériels ou encore de votre propre évolution, les adieux durent toujours puisqu’ils sont amenés à se répéter. Et si, au lieu d’y voir une fin, vous y voyiez le début d’une nouveauté qui se révèlera bientôt ?
En quelques mots…
L’indifférence est bien souvent perçue comme une notion péjorative et un sentiment qui s’avère blessant pour ceux qui la subissent. Qu’on y ait déjà fait face ou non, il est important de noter qu’elle n’est pas fondamentalement mauvaise. En effet, comme pour beaucoup de choses de la vie, il est surtout question d’équilibre. Et quelques grammes d’indifférence ne font pas de mal, surtout si cela est nécessaire à la recette de votre bien-être !
Il est néanmoins essentiel de bien choisir ses « batailles ». Il ne s’agit en aucun cas de justifier un mauvais comportement envers autrui, mais bel et bien d’un choix que vous faîtes : vous-mêmes. Vos besoins, votre vie, vos envies. Et parfois, ça fait du bien !
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances à mon cabinet , qui se situe au 87Bis avenue de Wagram 75017 Paris.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib ou par téléphone 06 85 45 84 83.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
J’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin du quotidien et des tracas qui en naissent, venez vous ressourcer au plus proche de la nature.
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Psychanalyse ou médecine alternative : les pour et contre
Depuis plusieurs années, le bien-être personnel est une notion clé de notre société. Les start-up montrent souvent l’exemple en permettant des conditions de travail qui font attention à l’humain, et offrent un cadre optimal. En parallèle, ce sont les médecines alternatives qui éclosent et se démocratisent de plus en plus auprès du grand public. On y trouve une voix de guérison, une attention portée au corps, à l’esprit et à l’émotionnel, et bien souvent, l’hypnose thérapeutique à Paris a des bienfaits par sa capacité de stabiliser le quotidien tout en l’éclairant un peu. Avant cela, le bien-être personnel se résumait bien souvent à se rendre chez un professionnel de santé mental, comme le psychologue ou dans une branche plus controversée, chez un psychanalyste.
Ces deux méthodes sont-elles complémentaires ? Quels sont les pour et les contre de chacune d’elles ? Qui aller voir pour prendre soin de vous ?
Pour y voir un peu plus clair…
Si certaines médecines alternatives renferment des savoirs millénaires, la psychanalyse est la première à avoir fait son apparition dans notre société. Le mot en lui-même prend vie sous la plume de Freud, en 1896, et désigne dans un premier temps l’exploration de l’inconscient. Assez rapidement, elle attire l’œil de milliers de médecins et devient une méthode à part entière – bien qu’elle peine à être reconnue comme une science. La psychanalyse consiste en effet en une « investigation des processus psychiques profonds de l’inconscient » mais peut également désigner le « traitement de troubles psychiques et psychosomatiques » selon Le Robert.
Les médecines alternatives se composent quant à elles de diverses méthodes. Ce qui est qualifié de médecine alternative se résume à toute méthode thérapeutique qui ne relève pas de la médecine traditionnelle. Pour exemple il est possible de citer : l’ostéopathie, l’hypnose pour la confiance en soi, la réflexologie (plantaire), l’aromathérapie, la sophrologie, l’acupuncture… etc. En France, les médecines dites parallèles, alternatives ou douces apparaissent dès 1960 avec la venue de l’ostéopathie –légalisée comme exercice en 2002, seulement !
Ainsi, les deux types de méthodes ont chacune leur passé, leur parcours ainsi que leurs caractéristiques.
Les points communs entre les deux types de méthodes
Dans leur pratique tout autant que dans les bienfaits qu’elles procurent, ces deux méthodes de soin ont quelques points communs au-delà de leur évidentes différences. Parmi eux, l’on retrouve :
Aide à évoluer :
La psychanalyse au même titre que les médecines alternatives permettent d’évoluer dans sa vie personnelle. En effet, les deux sciences –qu’elles soient reconnues ou placées en « marge- offrent la perspective d’une évolution tant dans son rapport à soi que dans le rapport aux autres. La psychanalyse agit directement sur la partie inconsciente du cerveau, en la reliant notamment à la partie consciente. Ainsi, l’individu peut retrouver un contrôle sur sa personne et sur les différents plans de sa vie. En médecine douce, certaines formes d’hypnose pour la confiance de soi ou l’estime de soi interviennent également sur l’inconscient et permettent à la personne d’évoluer sur des points qui pouvaient la « bloquer ». La psychanalyse comme les médecines alternatives permettent à la personne de pouvoir se soigner de manière complète et entière, ouvrant ainsi la porte à une évolution dans l’avenir proche.
Permet de délier des blocages (inconscients) :
Plus précisément, les deux méthodes permettent de soigner également des « blocages », que ceux-ci soient psychologiques ou physiques. La psychanalyse se concentrera davantage sur ce qui se loge dans la partie inconsciente du cerveau. Les médecines alternatives, quant à elles, pourront se compléter afin de débloquer un trouble physique (ostéopathie, réflexologie, danse thérapeutique …) tout autant qu’émotionnel (sophrologie, hypnose d’estime de soi pour battre le syndrome de l’imposteur …) ou psychique (thérapie nutritionnelle, hypnose, méditation…). Mais les deux méthodes permettent sans aucun doute de se libérer de blocages conscients ou inconscients, ce qui permet également à la personne d’évoluer de façon plus sereine et apaisée.
Apporte une forme de paix :
Que votre choix et vos besoins se portent sur une thérapie alternative ou une psychanalyse perçue comme étant plus traditionnelle elles sont toutes les deux efficaces. Les deux méthodes apportent une forme de paix à la personne qui en fait l’expérience. Cette paix intérieure résulte de la sensation de bien-être qui se manifeste lorsqu’on se fait soigner. Que ce soit à travers un petit geste au quotidien d’hypnose contre le stress, d’une douleur, ou encore le fait de prendre soin de son mental ou de son corps, les médecines alternatives tout autant que la psychanalyse portent en elles de nombreux bienfaits.
Souffle de la vitalité :
La psychanalyse rend à l’individu une forme de conscience plus aiguisée et alerte. Ainsi, la personne sera plus apte à aborder différentes situations dans sa vie, sans pour autant que cela n’ait d’impact « négatif » ou contraignant dans sa vie. Les médecines alternatives vont souvent de pair avec une énergie (reiki, énergie du souffle en sophrologie, méditation…). Il est alors possible de ressentir comme un nouveau souffle de vitalité courir sous sa peau.
Les « pour » de la psychanalyse
- Entrevoir ses désirs et ses pensées inconscients ;
- Vaincre ses blocages pour vivre mieux ;
- Évoluer ;
- Se connaître en profondeur :
- Rééquilibrer le conscient et l’inconscient pour une meilleure gestion au quotidien ;
- Soigner de possibles troubles (névrose, psychose… etc.).
Les « pour » des médecines alternatives
- Soulager les symptômes qui dérangent ou sont douloureux ;
- Rééquilibrer les fonctions vitales ;
- Entretenir la vitalité ;
- Apporter des méthodes de gestion du stress ou de l’angoisse à reproduire seul (méditation, sophrologie… etc.) ;
- Apaiser le système nerveux de manière naturelle.
Les « contre » de la psychanalyse
Malgré les nombreux « pour » en vertu de la psychanalyse, beaucoup de personnes peuvent être réticentes, car il y a également des « contre ». Selon les individus, ils peuvent être rédhibitoires.
- Non reconnue comme science car aléatoire selon le sujet ;
- Se base sur le vécu d’un sujet, ce qui peut être critiqué par d’autres professionnels de la médecine mentale ;
- Sa place dans les sciences psychiatriques est remise en cause car elle reste une technique libre et subjective.
Les « contre » des médecines alternatives
Tout comme la psychanalyse, les médecines alternatives sont elles aussi critiquées. Voici les « contre » qu’elles présentent le plus souvent :
- Non reconnues comme sciences mais comme « pseudosciences » ;
- Présence d’arnaques et de charlatans (« sorciers », magnétiseurs… etc.) ;
- L’absence de prescription médicamenteuse renvoie à un manque de « sérieux », de « crédibilité » ;
- Possibilité de pratiques sectaires dans les consciences collectives.
En quelques mots…
La psychanalyse tout comme les médecines alternatives présentent à la fois de nombreux bienfaits, tout en étant aussi source de quelques réserves. Si certains sont convaincus de l’efficacité de ces méthodes, d’autres préfèrent n’y avoir recours qu’en complément d’une médecine plus « traditionnelle ».
Pourtant la psychanalyse tout autant que les médecines douces peuvent se révéler être de réels outils pour le bien-être et un « mieux-vivre ». Proposant moi-même des séances d’hypnothérapie à Paris pour combattre l’échec, gagner confiance en soi ou faire face à une phobie, je prends grand soin de faire attention à la personne venue pour se faire aider. Et ces deux méthodes ont justement une approche souvent plus bienveillante et entière que la médecine traditionnelle, car elles prennent en compte la totalité de la personne et de son être, de son passé, de son état, de ses sentiments… etc.
Mais le meilleur moyen, c’est encore d’expérimenter soi-même… Je vous propose d’ailleurs des séances d’hypnose à mon cabinet, situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris.
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.
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J’organise également des retraites bien-être. Expérimentez un court séjour qui permet de se (re)découvrir pleinement, loin des tracas du quotidien.
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La réflexologie plantaire : explications et bienfaits
Existant depuis de nombreux siècles, la réflexologie plantaire permet de guérir et de prévenir différents troubles du corps humain. C’est une médecine alternative qui se base, comme son nom l’indique, sur les réflexes que le corps peut émettre lorsqu’il est sollicité. Cette médecine douce est depuis quelques années sous les feux des projecteurs, au même titre que la méditation ou la sophrologie. Mais alors qu’est-ce que la réflexologie plantaire exactement ? Quels bienfaits présente-t-elle ?
Origines de la réflexologie plantaire
Les premières origines de la réflexologie plantaire remonteraient à l’Antiquité. Cette technique manuelle de soins appartient aux médecines naturelles, dites aussi parallèles ou alternatives. Comme son nom l’indique, la réflexologie plantaire se concentre davantage sur les différents points des pieds, afin d’agir sur l’ensemble de l’organisme. À l’aide de points d’acupression et de massages, la réflexologie plantaire prend sa source directement dans l’art de la réflexologie.
La réflexologie plantaire, comment ça fonctionne ?
Bien plus qu’un massage des pieds, il y a, en réalité, différents points dans les pieds qui sont directement reliés aux organes ou à des fonctions du corps humain. Un toucher précis sur une des zones d’acupression permet de déterminer et percevoir un dysfonctionnement ou un trouble au niveau de l’un des organes ou encore des fonctions du corps humain.
Le travail du réflexologue permet de rétablir un équilibre dans le corps entier. En réflexologie, cet état est appelé homéostasie.
La réflexologie est un soin à part entière, qui permet de prévenir tout autant que de guérir certains déséquilibres liés au stress, à des problèmes familiaux ou encore à l’environnement dans lequel évolue le patient. C’est pourquoi il est important de bien communiquer sur sa situation pour que la réflexologie plantaire puisse être la plus efficace possible.
Les points importants en réflexologie plantaire
Parmi les points les plus importants de la réflexologie plantaire, l’on retrouve notamment :
- Sous le gros orteil : cet endroit correspond directement au cœur ;
- Sous les petits orteils : cette zone est directement en lien avec les poumons ;
- Sur l’extérieur du pied : c’est le point d’acupression en lien avec la rate ;
- Tout en bas, à la limite du talon : c’est le lien avec la vessie ;
- Sous le plat du pied : les réflexes plantaires relient cette zone avec l’estomac ;
- Au-dessous de l’estomac : le point d’acupression du pancréas prend place.
Ces zones sont présentes sur les deux pieds, en totale symétrie. Il y a également des points d’acupression qui ne se présentent que sur l’un des deux pieds. De même, le pied gauche et le pied droit sont chacun reliés aux conséquences des événements passés qui se sont déroulés en lien avec des figures féminines ou masculines.
Les bienfaits de la réflexologie plantaire
La pratique régulière –ou occasionnelle- de la réflexologie plantaire présente de nombreux bienfaits, aussi bien physiques que psychiques. Il est cependant important de noter que la réflexologie plantaire ne représente en aucun cas une manière de se soigner totalement. Elle peut, en revanche, venir s’ajouter à un traitement médical déjà engagé.
- Aide en cas d’inflammation : tendinite, dorsalgie, torticolis, sciatique, arthrose mineure…etc. ;
- Régule le système hormonal : puberté, ménopause, diabète non insulinodépendant, tout ce qui est lié à la thyroïde…etc. ;
- Apaise le système cardiovasculaire : en cas de tachycardie, d’œdème de stase, ou d’hypertension artérielle mineure ;
- Agit sur le système ORL : otite, sinusite, bronchite, asthme… ;
- Réduit les perturbations des organes des sens : vertiges, acouphènes, trouble oculomoteur ;
- Apaise les troubles récurrents : migraines, céphalées de tensions, stress, anxiété ;
- Diminue les irrégularités de la peau : eczéma, acné, psoriasis.
Il est aussi à noter que la réflexologie plantaire nécessite parfois plusieurs séances consécutives mais espacées afin de venir à bout d’un trouble dans le corps.
De manière plus générale, la réflexologie plantaire permet de :
- Apaiser les tensions présentes dans le corps ;
- Délier les tensions nerveuses ;
- Soulager les tensions du dos ;
- Améliorer la circulation sanguine de manière générale ;
- Entraîner un état de détente et de sérénité ;
- Activer le système lymphatique dans le corps ;
- Décontracter les muscles et soulager les courbatures.
Et les bienfaits peuvent également être psychiques :
- Libérer du stress ;
- Soulager les tensions qui peuvent être présentes ;
- Apporter une décontraction mentale grâce à un moment de bien-être ;
- Permettre d’évacuer les émotions négatives en « nettoyant » le corps des émotions négatives et destructives.
Y a-t-il des contre indications ?
Bien qu’il s’agisse d’une médecine douce, la réflexologie plantaire peut toutefois présenter quelques contre indications. Le massage réflexologique s’effectuant sur les pieds, en cas de blessure au pied, il vaut mieux éviter d’avoir recours à cette alternative. Pour les personnes ayant une entorse, une thrombose, des soucis de circulation tels que la phlébite, il est recommandé d’éviter les séances de réflexologie.
Dans le cas où votre réflexologue vous suit depuis longtemps, et que vous souhaitez tout de même y aller, il est d’autant plus important de tout lui dire avant le début de la séance. Et pour cause, les séances peuvent s’avérer plus ou moins intenses selon les sensibilités des personnes.
Enfin, les femmes enceintes ne peuvent pas avoir recours à la réflexologie. Tout au moins, cela est très déconseillé, car la pratique réflexologique pourrait déclencher une fausse couche.
En quelques mots…
La réflexologie plantaire est une pratique douce et alternative à la médecine traditionnelle. Existant depuis l’Antiquité, elle permet de réguler les troubles que le corps subit parfois pour x ou y raisons. Les pieds recèlent de secrets, et les réflexologues vous les révèlent avec douceur et bienveillance. En permettant de ne pas contaminer le corps entier en déliant les fonctions du corps humain via les pieds.
S’il y a quelques contre indications, la réflexologie plantaire couvre cependant un grand nombre de maux, qu’ils soient psychiques ou physiques. Elle porte dans sa pratique de nombreux bienfaits pour les personnes qui ont recours à elle.
Prendre soin de soi est essentiel. Personne ne le fera à votre place, aussi il est important de pouvoir identifier ses besoins afin de les combler. Avoir recours à des médecines douces est souvent une première étape vers le bien-être total. Vous pensez à vous, et vous acceptez de prendre du temps pour vous. Et c’est plus que conseillé !
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose ainsi que des soins thérapeutiques du corps et du visage (comme le drainage lymphatique). Je serais ravie de contribuer à votre bien-être et de vous apporter mon aide dans la libération de certaines habitudes nocives.
Si vous souhaitez prendre rendez-vous, vous pouvez le faire sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Et pour aller plus loin dans le bien-être, j’organise également des retraites bien-être qui offrent la possibilité de se (re)découvrir. Loin des soucis du quotidien et du tracas qu’il peut causer, prenez le temps de souffler et de vous apprendre en étant au plus proche de la nature.
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Techniques pour reposer son système nerveux
Le système nerveux est sûrement l’un des plus complexes du corps humain. À la façon d’une autoroute électrique, il se déploie et s’étend dans le corps. Il coordonne les gestes, régit les fonctions du corps et se subdivise en plusieurs catégories différentes. Directement en lien avec le cerveau, il subit le moindre changement d’humeur, le moindre souci de santé de plein fouet. Le stress est l’une de ses grandes conséquences, tout comme l’anxiété qui entraine des crises angoisses gérées par de l’hypnose contre le stress, par exemple. Il est donc important de prendre soin de son système nerveux, et comme pour beaucoup de soins, ça passe aussi –et surtout !- à travers le repos. Alors comment reposer son système nerveux, et pourquoi ?
Le système nerveux en détails
Le système nerveux du corps est l’un des plus complexes et délicats. Et pour cause, il se situe dans tout le corps humain. Afin de mieux le comprendre et de percevoir ses fonctions, il a été divisé en plusieurs parties.
- Le cerveau et la moelle épinière forment le système nerveux central.
- Les nerfs et les organes sensoriels forment le système nerveux périphérique.
Ces deux formes sont complémentaires mais parviennent à être mieux étudiées séparément tant le système nerveux est complexe et important. De plus, à la manière d’un rouage, le corps est entièrement relié. Un système nerveux en mauvaise santé induit bien souvent de plus graves problèmes…
Tout est d’ailleurs détaillé dans l’article traitant de l’explication du système nerveux et de ce qui lui fait du bien !
Pourquoi reposer le système nerveux ?
Il est important de noter que malgré la distinction de ces systèmes, ils sont toutefois complémentaires. Prendre soin du système nerveux est essentiel car il est relié à toutes les fonctions du corps humain. Autrement dit, si le système nerveux n’est pas en bonne santé ou suffisamment reposé, comme pour toute autre fonction du corps, il va pâtir de cette fatigue et commencer à « dérailler ».
Et cela est susceptible de se répercuter sur n’importe quelle autre fonction du corps humain. C’est pourquoi il est essentiel de reposer son système nerveux et d’en prendre soin.
Ce qui peut impacter le système nerveux
Eh bien, en réalité, tout peut impacter le cerveau ! C’est un organe fragile et surtout très, très sensible. Autrement dit, certains jeux vidéo pourront entraîner des dommages sur le cerveau (épilepsie par exemple) tout aussi bien que des bruits beaucoup trop sonores en ville. Et par extension, ce qui agit sur le cerveau se répercute également sur le système nerveux.
Ainsi, parmi les éléments qui peuvent impacter le cerveau et donc le système nerveux, l’on retrouve notamment :
- La fatigue ;
- Sous alimentation (entraînant une baisse de tension) ;
- L’effet de l’alcool ou des drogues sur le cerveau;
- Un mauvais sommeil, qui peut être vaincu avec une séance d’hypnose pour dormir qui réduit les AVC;
- Les écrans ;
- Le stress et l’anxiété ;
- Troubles neurologiques héréditaires.
Il est important de veiller à avoir un quotidien le plus équilibré possible afin que le système nerveux ne pâtisse pas trop de tous ces effets. De même, écouter son corps et les besoins qu’il communique est primordial pour être en bonne santé et bien dans sa tête !
Tips pour reposer le système nerveux
Une alimentation équilibrée :
Comme pour beaucoup de choses, le repos du système nerveux peut également se faire à travers une alimentation équilibrée. Et pour cause, celle-ci permet au corps et au cerveau d’avoir les ressources nécessaires pour fonctionner de manière optimale. Plus précisément, il est important de privilégier les aliments naturels et de saison, car un aliment qui a été traité apportera moins de nutriments et d’énergie.
Compléments naturels pour le système nerveux :
Les compléments naturels permettent de mettre en exergue une petite carence et de la rectifier relativement rapidement. Le corps et l’esprit retrouvent alors leur équilibre. Pour le système nerveux, il est possible de privilégier les germes de blé, le magnésium ou encore la levure de bière.
Une activité physique régulière :
Là encore, si cet argument est souvent avancé, c’est qu’il est important. L’activité physique (même une petite marche !) est privilégiée pour l’équilibre et la bonne santé du corps et de l’esprit. Concernant le système nerveux, l’exercice va permettre d’alléger l’esprit, de libérer des endorphines et de se sentir bien physiquement. Aussi, l’hypnose à Paris pour faire un sport qui vous plait, peut endiguer les problèmes d’insomnie en apaisant le système nerveux dans son ensemble.
Avoir un contact avec la nature :
Souvent relaxante, cette activité est de plus en plus mise en avant pour le bien-être des êtres humains. En effet, comme de l’hypnose contre le stress la force de la nature agit sur le bien-être, elle permet de se concentrer sur le moment présent, d’apaiser les tensions issues des tracas quotidiens… En bref, elle offre un nouveau souffle au corps et à l’esprit !
Éviter le stress en trop grande quantité :
Il est également important d’éviter le stress au maximum afin de ne pas faire jouer le système nerveux. En effet, il est directement impacté par les hormones et donc celles de stress qui peuvent rapidement dérégler certains aspects du système nerveux ou du corps humain. Plus facile à dire qu’à faire me direz-vous… Et si au lieu d’éviter le stress, vous appreniez à vous en défaire ? Il existe de nombreux gestes au quotidien d’hypnose contre le stress.
Prendre du temps pour soi :
Eh oui, parfois il faut savoir se montrer égoïste ! C’est choisir d’écouter son corps lorsque cela s’impose, et de ne pas outrepasser les limites de ce que vous êtes capable de faire. Le système nerveux ressent tout ce que vous ressentez. Aussi, le protéger, le soigner et en prendre soin, c’est donc faire la même chose avec vous !
En quelques mots…
Le système nerveux est l’un des plus complexes et des plus délicats du corps humain. Souvent, dans le bien-être, on oublie d’en prendre soin. Pourtant, il est primordial de se souvenir de sa présence tant il permet au corps son bon fonctionnement. Étant relié avec toutes les fonctions du corps humain, tant qu’il va bien tout va bien !
Pour le soigner, pas besoin de tours de magie ou d’un investissement hors normes. Tout repose, en réalité, sur un rythme de vie sain et des habitudes équilibrées. Le corps a besoin de ses cycles, de ses petites habitudes, et surtout, d’être chouchouté parfois !
Vous avez maintenant toutes les clefs en main pour prendre soin de votre système nerveux et le reposer. De même, n’hésitez pas à prendre du temps pour vous, pour votre corps et votre esprit. Ils sont les compagnons fidèles de votre vie !
Et si vous souhaitez expérimenter de nouvelles choses, je propose des séances de soins thérapeutiques du visage et du corps (drainage lymphatique). De même, étant hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences, je propose aussi des séances d’hypnose.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir loin du quotidien et des nuages gris qui planent parfois au-dessus.
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Secrets de personnes centenaires : quelle hygiène de vie ont-elles adopté ?
Depuis des décennies, l’espérance de vie n’a de cesse de croître. Plus encore, les gens vivent non seulement plus longtemps, mais leur santé s’améliore également. En France ou autour du globe terrestre, les études de centenaires en bonne santé se multiplient pour tenter de percer leur secret. Après tout, qui ne veut pas vivre longtemps en étant en bonne santé ? Voici les secrets de vie des personnes centenaires.
Les personnes centenaires
Les personnes centenaires sont de plus en plus nombreuses partout dans le monde. Avec les progrès de la médecine et un style de vie dit sain, il est alors envisageable de vivre de plus en plus longtemps. Une personne centenaire est un individu ayant cent ans ou plus. Si cela peut paraître beaucoup, pour certains, c’est un réel désir de vivre si longtemps.
C’est au Japon que l’on compte le plus de personnes centenaires (0,062% des personnes ont cent ans ou plus). En Uruguay aussi, la population de cent ans ou plus est également importante puisqu’elle s’élève à 0,061% en 2020 (selon Statista).
En France, 0,030% de la population a cent ans ou plus, ce qui est déjà un chiffre important. Toutefois, ces chiffres ne parlent en aucun cas de la santé physique ou mentale des personnes de cet âge-là. Ces chiffres sont donc à prendre avec ces pincettes !
Alors y a-t-il une formule secrète pour vivre plus longtemps ? Et si oui, quelle est-elle ?
L’importance de l’hygiène de vie
On le voit partout, on le répète tout le temps… un mode de vie sain est essentiel pour préserver sa santé. Alors comment se traduit une « bonne » hygiène de vie ? L’hygiène de vie passe à travers différents éléments du quotidien. Une bonne hygiène de vie suppose un quotidien équilibré, une vie sociale entretenue, et plus simplement, une existence plaisante sans excès.
L’alimentation :
Il y a cent ans ou plus, les personnes ne mangeaient pas toujours bio ou local… tout simplement parce que parfois, elles n’en avaient pas le choix ! Alors certes, les agriculteurs pouvaient bénéficier de quelques produits qu’ils avaient directement, mais tout n’était pas évident. De plus, les centenaires affirment qu’avec un régime alimentaire proche de celui méditerranéen, il est possible de vivre plus longtemps. En effet, celui-ci est composé d’acides gras mono-saturés, d’oméga 3, de vitamines C et E, ainsi que de beaucoup d’antioxydants.
L’activité physique :
Comme les publicités le préconisent, l’activité physique pratiquée régulièrement est importante. Et c’est le cas ! Il y a cent ans, les transports en commun étaient beaucoup plus rares ou ne couvraient pas toutes les zones, surtout dans les campagnes. Ainsi, les populations se sont habituées à se déplacer à pieds ou à vélo. De même, les travaux physiques étaient plus importants en l’absence de certaines machines créés depuis. Pour rappel, une activité physique régulière permet d’entretenir le cœur tout en stimulant le système immunitaire. Et il est toujours plus facile d’aimer le sport en faisant un sport qui nous plaît grâce à l’hypnose à Paris !
Un bon sommeil :
Comment bien dormir ? C’est une question que l’on se pose tous au lendemain d’une terrible insomnie. Et pour cause, un bon cycle de sommeil permet au cœur et au cerveau de se reposer suffisamment pour pouvoir être en forme. Mais c’est surtout dans le cerveau que ses effets se ressentent. En effet, un bon sommeil permet notamment une meilleure concentration, la réflexion…etc. Le sommeil a également un impact important et direct sur l’état de santé d’un individu. Par exemple, pour les maladies cardiovasculaires : des séances d’hypnose pour dormir mieux peut réduire le risque d’AVC.
Exercer le cerveau :
Il est également important de bien exercer son cerveau tout au long de sa vie, que ce soit à travers des jeux de sociétés, des mots croisés, de la lecture ou un scrabble, activités qui entretiennent toutes les capacités cognitives de l’individu. Longtemps négligées, ces activités reviennent peu à peu dans nos quotidiens ! Il est également important de souligner qu’avec la présence des appareils numériques, il est parfois plus délicat de se concentrer ou de s’amuser. N’hésitez pas à aller voir quels sont alors les bienfaits d’une digital detox !
Le facteur socio-économique
Un autre facteur qui intervient directement dans la longévité de la vie, c’est aussi l’accès aux soins. En France, nous bénéficions d’un système de santé relativement avantageux. Cela permet de pouvoir mieux se faire soigner qu’il y a un siècle. De plus, les progrès de la médecine sont assez rapides et de plus en plus précis.
De nos jours, il est rare qu’une blessure traine dans le temps et que tout le corps se dérègle ensuite parce que cette blessure n’a jamais été réparée. Désormais, l’on sait que tout le corps est lié, telle une carte routière. Et cela permet également de pouvoir vivre plus longtemps, et surtout, en meilleure santé !
… Sans oublier le poids de la génétique !
Un dernier facteur est à prendre en compte dans la longévité de l’espérance de vie… la génétique. Et pour cause, des personnes ayant des antécédents médicaux importants tels que des cancers, des maladies cardiovasculaires ou encore des maladies mentales, risquent davantage de souffrir eux aussi de ces maladies.
Si la génétique ne détermine cependant pas la vie de tout à chacun, dans le cas de l’espérance de vie, elle intervient à hauteur de 25% dans la longévité de vie d’un individu.
La santé mentale à ne pas négliger
Depuis de nombreuses années maintenant, la santé mentale est mise en avant et son importance, de plus en plus reconnue. Parce qu’une santé mentale qui tangue, ça peut, à terme, avoir des répercussions importantes sur le corps. Le stress en est sûrement l’une des preuves les plus parlantes ! Heureusement, il est possible de faire de l’hypnose contre le stress par de petits gestes au quotidien.
Enfin, les liens sociaux ont également une importance capitale sur la santé. Il est important d’entretenir de bonnes relations avec son entourage –quel qu’il soit, famille, amis, collègues…-, afin de favoriser le bien-être mental. Créer des liens, c’est aussi une belle façon d’exister, d’apprendre, de grandir et de s’épanouir.
En quelques mots…
Ainsi, il existe de nombreux « secrets » pour vivre une existence plus longue et saine. Mais en réalité, ces secrets n’en sont pas vraiment. Parfois, il suffit de vivre plus simplement, de se détacher des petits tracas qui nous aspirent malgré nous. Le plus important reste de trouver son propre équilibre, et de vivre paisiblement. Et ce, peu importe que cela passe à travers les bienfaits du rire, le polyamour, le travail agricole, le vélo du dimanche, les soirées sur la plage ou dans un verre de thé matcha… Après tout, on n’a qu’une vie !
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute à Paris, et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnose et de soins thérapeutiques du corps et du visage. Et parce que parfois, on a besoin d’un coup de pouce pour retrouver l’équilibre de sa vie ou tout simplement se faire plaisir, n’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise aussi des retraites bien-être qui permettent de s’éloigner du quotidien pour se concentrer sur soi et le présent. Soi dans le présent.
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Comment et pourquoi cultiver le « flow » ?
La psychologie dite « positive » se démocratise de plus en plus. Mais c’est avant les années 2000 que la plupart des concepts de développement personnel et de psychologie positive ont émergés. Nous nous intéresserons ici au « flow », et à son importance dans la vie d’un individu. En effet, depuis la naissance de ce concept, il a été découvert qu’il pouvait s’appliquer tout aussi bien au quotidien d’une personne que dans la psychologie générale ou encore dans le domaine sportif. Alors qu’est-ce que le flow ? Comment le cultiver ? Et surtout, pourquoi s’y intéresser ?
Qu’est-ce que le flow ?
Ici, il ne s’agit pas d’étudier les nuances des musiques hip-hop. Car si le « flow » est davantage connu comme étant le rythme des paroles ou de la mélodie d’une chanson, c’est vers un autre flow que se porte l’attention aujourd’hui. Depuis quelques années, le bien-être prend une place importante, tant dans les sphères privées que sociales ou au travail. L’humain reprend sa place avant la productivité et tout ce que la société impose.
Le flow, ici, renvoie directement à un concept inventé par un psychologue hongrois, Mihaly Csikszentmihalyi. Tel qu’il l’entend, le flow se caractérise alors par un « état d’immersion totale qu’une personne peut ressentir quand elle est concentrée sur une activité particulière pour laquelle elle a beaucoup d’intérêt ou de motivation » (selon Edutechwiki). Le flow peut également être traduit par « être dans sa zone ».
Autrement dit, le flow, c’est ce qui désigne un état dans lequel se trouve une personne emportée dans une tâche quelconque pour laquelle elle a développé de la curiosité, de l’intérêt ou une passion. Cet état fait fi des distractions.
Mais quelle différence y a-t-il alors entre le flow et la concentration ?
La distinction entre le flow et la concentration
Selon Le Robert, la concentration se définit par le fait de « réunir dans un même lieu ». Mais lorsque l’on parle de concentration mentale, il s’agit alors d’allier des efforts et une forme d’attention sur un sujet, une tâche, une personne…etc.
La différence avec le flow est alors délicate. Car les deux concepts requièrent tous deux de l’attention et des efforts. La distinction est fine et réside principalement dans la motivation. En effet, la concentration d’une personne à propos d’un concept ou d’une tâche à accomplir n’entraîne pas forcément de la motivation envers le sujet de la concentration. Le flow, quant à lui, s’il réunit également des efforts mentaux et de l’attention, possède cette particularité de créer une forme de motivation chez la personne qui l’expérimente.
Pourquoi cultiver le flow ?
Si certaines personnes voient directement dans la pratique du flow une forme de méditation et une source de bonheur, pour d’autres, le concept peut rester flou… Alors tentons d’expliquer ! Pourquoi vouloir cultiver le flow ?
Expérimenter le flow, c’est se retrouver dans un état de bonheur et de dévotion envers la tâche que l’on accomplit. Parfois, cet état est si intense que l’on en oublie la faim, la soif, les tracas du quotidien et surtout ce qui se passe tout autour de nous. Le flow, c’est atteindre un niveau de plénitude à travers l’accomplissement d’une tâche, en s’isolant peu à peu du monde qui nous entoure.
Si pour certains, cela se traduit à travers l’expérience d’un sport, de la musique, de la peinture ou en présence d’un ami cher, pour d’autres ce sera au moment de marcher seul ou de passer l’aspirateur. Il n’y a pas de tâche prédéfinie dans laquelle s’épanouir : ça dépend de chaque personne.
À terme, cultiver le flow permet notamment de :
Augmenter sa productivité et son attention :
Le fait de ne se concentrer que sur une tâche sans souffrir de « pensées parasites » permet d’augmenter sa productivité et son attention en apprenant à se concentrer sur une chose à la fois.
Améliorer sa créativité :
Le flow permet d’améliorer sa créativité. De la même façon qu’il n’y a pas de pensées extérieures qui viennent interrompre la réflexion, le cerveau consacre alors toutes ses ressources à la tâche en cours.
Booster sa motivation :
Puisque la productivité augmente en ne faisant qu’une tâche à la fois, il est alors plus motivant de se lancer dans de nouveaux projets : vous savez à l’avance que vous serez capable de vous investir dans ce projet ou cette tâche et pourrez user du flow : c’est un cercle vertueux !
Se comprendre :
Le fait de ne se consacrer qu’à une seule et unique tâche en y investissant toutes ces capacités, ça permet aussi de se comprendre. Vous employez désormais les ressources nécessaires pour pouvoir vous concentrer sur vous, vos réactions, vos réflexions et votre personne entière dans l’accomplissement d’une tâche. Il est alors plus aisé de s’appréhender, de se comprendre dans ces situations.
Les conditions de Mihaly Csikszentmihalyi
Le créateur du flow a réuni sept conditions selon lesquelles une personne peut être sûre et certaine d’avoir atteint le flow.
- Être totalement concentré et engagé dans la tâche à accomplir ;
- Ressentir le sentiment d’être coupé de la réalité, avoir l’impression d’être dans une bulle ;
- Avoir l’esprit clair et conscience de ce que l’on fait et de la manière dont on le fait ;
- Prendre conscience que la tâche est réalisable, même si elle est difficile ;
- Ressentir la sérénité et être libéré de ses inquiétudes ;
- Être dans le moment présent ;
- Ressentir une motivation intense, avoir le sentiment que la tâche qu’on accomplit a du sens.
Si vous ressentez toutes ces choses, vous pouvez alors profiter pleinement du moment de vie qui va suivre : cela signifiera que vous avez atteint un état de flow total. Il ne vous reste alors plus qu’à vous laisser aller à ses bienfaits !
Comment cultiver le flow ?
Ressentir le flow ne se fait pas du premier coup. En effet, comme pour tout, il faut de l’entraînement, de la motivation et une bonne dose de courage ! Mais voici quelques petites astuces qui peuvent permettre d’atteindre le flow :
Se concentrer sur une tâche à la fois :
Il faut en premier lieu établir quelle tâche vous souhaitez accomplir. L’apprentissage d’une nouvelle méthode de tricot ? La rédaction d’un rapport pour le travail ? La répétition d’un morceau de musique de votre enfance ? Quoique ce soit, il est essentiel de le déterminer avant de se lancer. Vous conditionnez ainsi votre cerveau à rester entièrement concentré sur votre objectif. On n’hésite d’ailleurs pas à couper son téléphone et mettre les appareils en silencieux ! Cela aura les mêmes effets qu’une digital detox.
Choisir son moment :
Pour tout le monde, il y a des moments de la journée où vous êtes plus ou moins productif, réveillé, en forme et motivé. Il est important d’identifier le moment de la journée durant lequel vous êtes le plus à même de vous investir pleinement dans une tâche.
Faire le vide de ses émotions :
Autre détail important avant de commencer, c’est de permettre aux émotions qui vous assaillent d’être libérées. Si vous commencez une tâche en étant en colère ou bien triste, par exemple, il y a peu de chances que vous parveniez au flow. Prenez de grandes inspirations, et libérez-vous de vos émotions avant de vous lancer !
Agir avec modération et raison :
Le flow peut rapidement devenir un moment que l’on veut reproduire à tout prix. Toutefois, il est important de conserver ces instants de façon régulière ou ponctuelle. Le bien-être ressenti durant le flow peut déclencher une véritable envie de se dépasser ou d’en faire toujours plus, parfois au détriment des autres aspects de la vie (amoureux, social, travail…etc.). Agissez avec modération, ça n’en sera que meilleur !
En quelques mots…
Le flow est ainsi une méthode qui permet de se focaliser sur une seule et unique tâche, mais de façon entière et pleine. Porteur de nombreux bienfaits, le flow permet de se comprendre et de se sentir complètement immergé dans la tâche que l’on accomplit. Le flow tient une importance capitale dans la psychologie générale autant que dans le développement personnel. Car qui parvient à trouver le flow et la manière de s’y investir parvient aussi à occulter tout le reste.
Et pour vous aider à vous débarrasser de certaines émotions qui peuvent vous empêcher de vous consacrer au flow, vous pouvez notamment faire appel à diverses méthodes de médecine douce, comme la méditation, la sophrologie ou encore l’hypnose.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose d’ailleurs des séances d’hypnose, ainsi que des soins thérapeutiques du corps et du visage (drainage lymphatique).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin des tracas quotidiens, embarquez pour un séjour au plus proche de la nature et de vous-même.
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Ce qu’il se passe dans le cerveau quand on est sous drogues
Le message de prévention est pourtant clair : la drogue détruit la personne qui la consomme. Pourtant, de nombreuses personnes se retrouvent sous son joug, subissant les ravages qu’elle peut causer. Car la drogue peut avoir de graves effets sur la santé physique et mentale. Les effets qu’ont les drogues sur le cerveau en particulier peuvent devenir très inquiétants. Mais que se passe-t-il alors dans le cerveau lorsqu’il est sous drogue, tant sur le long que sur le court terme ? Comment reconnaître l’addiction ?
Qu’est-ce qu’une drogue exactement ?
Lorsque l’on parle de drogue, certains pensent à quelques lignes droites sur un miroir, à une cuillère et une aiguille, ou encore des champignons à l’aspect douteux… Mais il existe tant et tant de drogues différentes qu’il est parfois difficile de s’y retrouver.
Mais la drogue, qu’est-ce que c’est exactement ?
Selon le site officiel du gouvernement, la drogue est une « substance psychotrope ou psychoactive qui perturbe le fonctionnement du système nerveux central ou qui modifie les états de conscience ». Les drogues sont multiples et variées, il en existe tant. Cependant, il faut toutefois noter que toutes n’ont pas les mêmes effets.
En effet, on distingue les drogues en diverses catégories :
- Les drogues qui produisent un sentiment d’apaisement (opiacés, cannabis…) ;
- Les drogues qui stimulent (cocaïne, ecstasy ou amphétamines…) ;
- Les drogues qui provoquent des hallucinations (LSD, champignons…).
Ainsi, les drogues produisent chacune des effets sur le cerveau et le corps du consommateur. Mais il faut noter une dernière chose importante. Si la plupart des drogues sont illicites et vendues dans le secret des rues, d’autres drogues sont toutefois très licites, et il est possible de s’en procurer simplement dans le commerce, comme c’est le cas pour l’alcool ou la nicotine.
Enfin, la drogue créé bien souvent une relation de dépendance entre le consommateur et le produit qu’il consomme. Selon les drogues cette notion peut varier et mettre plus ou moins de temps à se manifester. Mais à terme, la drogue rend dépendant n’importe qui voulant y toucher un jour et recommençant.
Les effets de la drogue sur le cerveau
Les effets de la drogue sur le cerveau sont nombreux et, selon la drogue consommée, plus ou moins destructeurs. Parce que les produits contenus dans certaines drogues peuvent avoir de graves effets sur le cerveau au fil du temps. Les facultés et fonctions cérébrales s’en retrouvent parfois très atteintes, et il n’est pas toujours possible de les recouvrer une fois sevré. Parmi ces effets, l’on trouve :
Altération de la mémoire :
Parmi les premiers effets qu’il est possible de constater lorsque l’on consomme de la drogue, il y a une altération de la mémoire et de la concentration. Et pour cause, certaines drogues accélèrent le fonctionnement du corps humain, poussant le cerveau à « carburer » très rapidement. Mais très vite, c’est la mémoire qui s’en retrouve altérée, et de plus en plus de trous de mémoires viennent parasiter la vie quotidienne. De même pour la concentration qui devient de plus en plus difficile. Il y a une drogue en particulier qui est réputée pour les problèmes de mémoires qu’elle entraîne. Il s’agit du cannabis, qui s’il est consommé trop souvent et en trop grande quantité, peut causer des dommages sur les capacités mnésiques et cognitives d’un individu.
Mémoire à court terme :
Plus exactement, c’est la mémoire à court terme qui risque de se retrouver altérée. En effet, les symptômes deviennent courants, comme les trous de mémoire et les difficultés à apprendre de nouvelles choses. Pourtant, le cannabis n’est pas la seule drogue néfaste pour la mémoire. L’ecstasy peut également causer de graves séquelles, jusqu’à réduire de 10% l’hippocampe, qui est le centre de la mémoire dans le cerveau. Enfin, de manière plus générale et concernant toutes les drogues confondues, les troubles de la mémoire peuvent survenir dans les jours qui suivent la consommation de n’importe quelle drogue.
L’influence de la dopamine :
L’un des principaux effets de la drogue est la production de la dopamine. La dopamine est considérée comme l’hormone du plaisir et est assez instantanée dans les effets qu’elle permet de ressentir (apaisement, joie, plaisir). Sauf que la drogue ne libère pas vraiment de la dopamine : elle en produit de manière artificielle. C’est notamment ce qui est responsable de la dépendance qui se créé entre le produit et le consommateur. Ce dernier va chercher à créer toujours plus de dopamine, sans avoir pour autant conscience que tout cela est totalement artificiel. Autrement dit, l’individu qui prend de la drogue se sent immédiatement bien et apaisé, et il va chercher à reproduire ce sentiment de bien-être en consommant toujours plus. À noter toutefois que le sentiment de dépendance que créé la dopamine ne s’applique pas seulement aux drogues, mais à toutes les formes d’addiction (jeux, alcool, nourriture, sexe…etc.).
Risques cardiovasculaires :
Dans les pires des cas, la drogue peut également avoir des conséquences corporelles beaucoup plus importantes. C’est le cas lorsque les drogues permettent la production d’hormones (qui ne sont alors, comme la dopamine, pas naturelles), et entraîner des maladies comme de l’hypertension ou une vasoconstriction des vaisseaux sanguins, soit un empêchement qu’ils soient oxygénés de manière correcte.
Maladies mentales :
Enfin, à toutes doses et consommées dans toutes les périodes de temps, les drogues peuvent également être à l’origine de maladies mentales. Parmi elles, des cas de schizophrénie, de paranoïa et de psychose ont déjà été observés.
Changements émotionnels :
Que ce soit à cause de la production d’hormones dans le corps ou bien l’absence de la dopamine (sensation de manque), les drogues ont également des conséquences sur les émotions des individus qui en consomment. L’agressivité, l’irritabilité, la colère peuvent alors se manifester de façon aléatoire et irrégulière.
Ainsi, en plus de détruire les neurones présents dans le cerveau, les drogues présentent plein de conséquences qui peuvent être très grave. À terme, la plus grave des conséquences est une overdose causant la mort du consommateur. Il est important de rester vigilant et surtout, de se faire aider au plus vite.
Se débarrasser de l’addiction
Les drogues causent de nombreux dommages au fil du temps. Plus la consommation s’étend dans le temps, et plus le consommateur risque de perdre le contrôle de son cerveau mais aussi de lui-même. En cause, les produits chimiques de certaines drogues ou les effets d’autres drogues (dites naturelles car non modifiées) sur le cerveau. Pour se débarrasser de l’addiction, il ne faut pas hésiter à se tourner vers des professionnels, comme des médecins qui peuvent vous guider. L’hypnose peut par ailleurs vous venir en aide, notamment en vous aidant à vous débarrasser de mauvaises habitudes (cigarette ou alcool). Pour la consommation de drogues plus dures, il existe également des établissements qui permettent de se sevrer en étant entouré et accompagné. Il n’y a aussi de nombreux bienfaits à suivre une thérapie.
La consommation de drogues ayant des effets directs sur tout le système nerveux, il est important de savoir comment en prendre soin. N’hésitez pas à aller lire l’explication du système nerveux et de ce qui lui fait du bien.
En quelques mots…
Les drogues ont donc de nombreuses conséquences, tant sur la santé physique que mentale. Si ces paradis artificiels peuvent sembler attractifs, il est important de toujours garder la conscience de ce que l’on consomme et dans quelle quantité. L’addiction est souvent déjà présente avant que l’on ne le comprenne.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnose à Paris, ainsi que des soins thérapeutiques du corps et du visage.
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De plus, j’organise des retraites bien-être, qui permettent de se (re)découvrir. Au plus proche de la nature mais surtout loin des tracas du quotidien, vous pouvez venir vous ressourcer et en apprendre davantage sur vous-mêmes.
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Différences entre estime et confiance
La confiance en soi et l’estime de soi sont toutes les deux des atouts dans le développement personnel. Mais plus encore, c’est dans la connaissance de soi qu’elles interviennent particulièrement. La plupart des gens font l’amalgame l’une de l’autre. Étant toutes deux des moteurs importants dans l’épanouissement personnel et les divers accomplissements de la vie, elles peuvent souvent être confondues. Pourtant, elles renferment chacune de petites nuances qui les distinguent bel et bien. Zoom sur les différences entre l’estime (de soi) et la confiance (en soi).
Définir l’estime et la confiance
L’estime de soi, tout d’abord, se définit par la perception de sa valeur et de ses limites. Le plus souvent, l’estime de soi est synonyme de l’image que l’on possède de sa personne. En psychologie, l’estime de soi se caractérise par « l’attitude plus ou moins favorable envers soi-même, la manière dont on se considère, le respect que l’on se porte, et l’appréciation de sa propre valeur dans tel ou tel domaine ». L’estime de soi se fabrique durant l’enfance, selon si nos comportements et actions sont valorisés ou non.
Autrement dit, l’estime de soi est une notion qui s’acquiert et évolue tout au long de la vie selon si nos actions sont en accord avec nos valeurs ou non. Y compris dans l’échec, l’estime de soi peut rester positive si elle s’accorde à nos valeurs (ex : refuser de tricher à un examen alors qu’on n’a pas eu le temps de réviser suffisamment).
La confiance en soi, quant à elle, se définit par la capacité que l’on a d’accomplir une action malgré la présence de doutes. Autrement dit, c’est ce qui permet de croire suffisamment en soi et de connaître ses capacités pour accomplir une chose ou une autre. Ainsi, ce sentiment peut être renforcé avec de l’hypnose pour la confiance en soi pour prendre la parole en public, ou tout autre action qui semble insurmontable.
En psychologie, et selon le psychologue Jean Garneau, la confiance en soi se caractérise par « une prédiction réaliste et ponctuelle qu’on a les ressources nécessaires pour faire face à un genre particulier de situation ».
Ainsi, la confiance en soi se distingue légèrement de l’estime de soi par les nuances de leurs définitions. Mais plus encore, la façon dont elles agissent dans nos quotidiens permet également de les différencier.
Les différences entre l’estime et la confiance
La première différence notable entre l’estime et la confiance réside dans la perception des deux notions. En effet, l’estime de soi peut aisément être comparée à un sentiment, soit quelque chose de fluctuant et fluide sans empêcher à ce sentiment d’être réel et concret. Mais l’estime de soi se base sur les valeurs que l’on a reçues dès l’enfance. A contrario, la confiance en soi, si elle peut être ressentie, est un peu plus qu’un sentiment. En effet, le ressenti de la confiance en soi se situe davantage dans l’action.
Autre différence importante, le sentiment que procure l’estime de soi peut être permanent malgré quelques variations selon si on respecte les valeurs acquises ou non. En revanche, l’hypnose de confiance en soi pour se faire plaisir est beaucoup plus ponctuelle. Si le sentiment est également rassurant, la confiance en soi se ressent dans un instant T, la plupart du temps au moment de prendre une décision ou lors d’une situation précise et éphémère.
Enfin, une autre différence importante entre ces deux notions réside dans la façon qu’elles ont de se manifester. L’estime de soi peut augmenter ou diminuer selon si nos actions s’accordent à nos valeurs. La confiance en soi, quant à elle, est susceptible de varier selon les actions que l’on réalise, les succès que l’on rencontre ou les accomplissements que l’on vit.
Autrement dit, la confiance en soi peut être directement impactée par une situation ou un sentiment d’échec, là ou l’estime de soi n’en est pas forcément dépendante.
Les caractéristiques de l’une et l’autre
Si par de nombreux aspects, la confiance en soi et l’estime de soi se distinguent, il y a également des nuances dans ce qui caractérise chacune d’entre elles.
La confiance en soi se caractérise par :
- Capacité de dire NON ;
- Ne pas avoir peur de la solitude ;
- Bonne conscience de vos atouts et des domaines que vous ne maîtrisez pas ;
- Pas de difficulté à vous lancer dans l’action ;
- Vous parvenez à rapidement prendre des décisions ;
- Savoir profiter de vos succès ;
- Se sentir à l’aise dans les cercles sociaux (famille, amis…) ;
- Etre sincère n’effraie pas.
L’estime de soi se caractérise par :
- Connaître les valeurs qui ont de l’importance à vox yeux ;
- Savoir reconnaître ses limites et les accepter ;
- Parvenir à régler des problèmes rapidement ;
- Se sentir égal aux autres ;
- Pratiquer l’indifférence n’est pas une mauvaise chose et vous en avez conscience ;
- Accepter les compliments avec facilité ;
- Vous ne devez rien à personne, n’avez rien à prouver.
Telles sont les caractéristiques qui complètent chacune des notions. Si certains points peuvent se rejoindre parfois, il ne faut pas perdre de vue que l’estime de soi et la confiance en soi sont différentes malgré tout.
Tips pour améliorer la confiance en soi et l’estime de soi !
Afin de retravailler votre confiance en vous, il existe de nombreuses petites astuces. Parmi elles :
- Combattre l’échec avec de l’hypnothérapie à Paris ;
- Travailler sur vos points forts ;
- Etendre la zone de confort ;
- Ecouter son intuition ;
- Ne pas viser le perfectionnisme ;
- Accepter de ne pas pouvoir tout réussir ;
- Se lancer pour essayer et progresser.
Pour améliorer son estime de soi, il existe aussi quelques petits exercices et tips. Parmi eux :
- Se féliciter lors d’un petit succès comme d’un grand succès ;
- Cultiver les pensées positives ;
- Accepter les compliments, peu importe de qui ils viennent ;
- Eviter l’autocritique trop sévère ;
- Avoir des objectifs réalistes ;
- Eviter d’avoir trop d’attentes, les choses se font et se défont souvent ;
- Ne pas avoir peur de se lancer ;
- Se faire confiance.
Il est également possible de retrouver de l’estime de soi avec de l’hypnose après avoir subi une humiliation. Après tout, ni la confiance en soi, ni l’estime de soi ne sont éternelles et intouchables !
En quelques mots…
L’estime de soi et la confiance en soi possèdent ainsi de nombreuses différences. Outre la distinction fondamentale entre ces deux notions, il est possible de constater au moins un point commun entre elles. En effet, toutes les deux se cultivent en étant bienveillant avec soi-même. Sans bienveillance, il est beaucoup plus délicat de travailler sur soi et d’évoluer. De plus, ces deux notions consistent à finalement, se connaître à travers son propre regard.
La bienveillance peut d’ailleurs passer à travers de nombreux points, comme le fait de ne pas se dénigrer ou de prendre soin de soi. La méditation, l’hypnose ou le yoga sont également des outils adéquats qui permettent de se concentrer sur soi, de se libérer de ce qui bloque et d’évoluer.
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnose à Paris, et des soins thérapeutiques pour le corps et l’esprit (drainage lymphatique par exemple).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise aussi des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin des soucis du quotidien et du stress qu’ils peuvent causer, il est possible de se ressourcer pleinement.
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Comprendre son corps pour apprécier sa sexualité
La sexualité est un sujet complexe. Complètement subjective, la sexualité varie tout au long de la vie et peut porter dans son sillage quelques périodes plus complexes. En effet, outre la libido, la sexualité est bien souvent, pour les femmes davantage que pour les hommes, sujet à de nombreux complexes voire des blocages. Alors comment vivre une sexualité épanouie ? Il se pourrait bien que l’acceptation de soi et la célébration de son propre être puisse être la clé qui permettra de vivre et apprécier sa sexualité pleinement.
Comment fonctionne le désir dans le corps ?
Le désir, tout comme la sexualité dans sa globalité, est un concept très complexe. Pour certains, elle est semblable à une pulsion, pour d’autres, c’est un tourbillon d’émotions et de sensations qui se diffuse dans le corps.
Mais concrètement, c’est quoi le désir ? Et comment il se manifeste dans le corps ?
Le désir est la somme des sensations perçues par les sens. Cette somme n’est cependant pas sans conséquences, puisqu’elle déclenche à son tour une réaction chimique dans le cerveau. Le scientifique Bernard Sablonnière décrit les réactions des neurones au désir comme des « clés chimiques ». Autrement dit, ce sont différentes hormones qui sont libérées à tour de rôle dans l’esprit lorsque le désir naît.
Dopamine : activateur du désir.
Ocytocine : hormone de l’attachement.
Testostérone / œstrogène : associées de la libido.
Ce schéma se reproduit chaque fois que le désir se ressent par le corps. Mais les sens, qui ont perçu les premiers indices, ne s’arrêtent pas à cette simple tache ! Les yeux, l’ouïe, l’odorat ou le goût sont des parties intégrantes de la naissance du désir, mais également de sa continuité dans l’instant.
Le corps, outil important dans la sexualité
Enfin, le désir se traduit également par les ce que l’on appelle couramment les zones érogènes. Ce sont tous les endroits du corps qui sont susceptibles de faire durer le désir dans le corps et de l’accroître. Les zones érogènes peuvent varier d’une personne à l’autre (sexe, oreille, mains, nuque, cuisses…etc.). Ainsi, tout le corps est non seulement concerné par le désir, mais il en est également un outil principal.
Le corps étant l’un des outils principaux du plaisir sexuel, si on ne s’y sent pas à l’aise, l’accès à sa propre sexualité peut en être compromis. Il est alors important de trouver un équilibre entre acceptation de soi et sexualité épanouie. Plus vous vous sentirez à l’aise avec vous-mêmes, plus il vous sera aisée de vous dévoiler devant votre propre regard ou celui d’un.e partenaire.
Célébrer son corps au quotidien
Lorsqu’on évoque le fait de célébrer son corps, cela ne consiste pas à lui préparer une petite fête tous les matins avant de se remettre à la détester le reste de la journée. Célébrer son corps est un processus qui peut s’avérer long et sinueux, mais qui en vaut la peine. Parce qu’à bien y réfléchir, votre corps et votre esprit ne sont-ils pas les seuls qui vous accompagneront fidèlement tout au long de votre vie ? Alors il est temps de célébrer son corps !
Le corps est un miroir :
Eh oui ! Aussi étonnant que cela paraisse, le corps est bel et bien un miroir. Reflet de ce que l’on pense de soi ou de ce que l’on se fait subir, le corps nous rend au centuple ce qu’on lui accorde. Alors pourquoi ne pas se mettre à le cajoler plutôt que de l’abreuver de termes péjoratifs ? (pssst ! Les termes… il les comprend !) Peut-être est-il simplement temps de le célébrer, de le remercier, de le complimenter pour son accompagnement fidèle et constant.
Remercier son corps :
Lorsqu’on y pense, le corps est capable de tant et tant de choses, qu’il faudrait souvent le remercier ! Que ce soit après une journée d’escalade ou à la suite d’un accouchement, le corps nous soutient, nous accompagne, nous permet de nous dépasser et de repousser nos limites. Alors pourquoi attendre ? Merci de me supporter… littéralement !
Le corps change et grandit :
Même si la croissance du corps s’arrête plus tôt chez les filles que chez les garçons, le corps grandit quand même tout au long de la vie. Et parce qu’il garde profondément ancré en lui les blessures du passé mais aussi les victoires du présent, il ne faut pas lui en vouloir ! Le corps humain est le catalogue de nos expériences, un magnifique album vivant relatant notre parcours plus ou moins explicitement.
Nos corps sont différents :
Tous les corps sont uniques, et donc différents des autres. Et pourtant, ils restent tous des corps humains, beaux dans leur façon de vivre. Alors plus de raisons de se dénigrer, de se dévaloriser… le corps est un magnifique cadeau et la vie la plus belle des fêtes !
La sexualité, seul ou à plusieurs
Seul ou à plusieurs, les rapports sexuels peuvent parfois être intimidants. Et ce, d’autant plus lorsqu’on se dévalorise sans cesse ou que l’on ne se sent pas bien dans son corps. Si parfois, la sexualité peut permettre de s’apprécier davantage via le plaisir ressenti, le plus souvent, c’est l’inverse qui se produit : il faut se sentir bien pour mieux apprécier sa sexualité. Pour certaines personnes, il peut alors être plus simple de se familiariser avec ses propres désirs et son plaisir en étant d’abord seul.e. Tâtonnez, explorez, ressentez… Vous êtes le capitaine qui vogue sur l’océan, mais aussi le bateau qui ressent les vagues du plaisir et la mer qui caresse. Ce sont des moments précieux qui vous aideront à vous comprendre et vous percevoir dans le domaine du plaisir.
Comprendre son corps pour mieux vivre sa sexualité
En célébrant votre corps au quotidien, vous apprendrez jour après jour à vous aimer telle que vous êtes. Et cela s’en ressentira sur de nombreux aspects de votre vie, y compris votre vie sexuelle. Et avoir des complexes à la pelle, des idées peu valorisantes à son encontre, ça n’aide pas vraiment sur les chemins du plaisir.
Mais en vous valorisant à travers votre propre regard, vous prenez conscience de vos nombreux atouts et de votre potentiel en tant que femme. Au niveau de votre sexuelle, vous pourrez dire adieu aux complexes qui peuvent être sources de blocages. De même, vous vous sentirez beaucoup plus libérée avec un partenaire, ou même toute seule, dans l’intimité de votre propre amour de vous !
En quelques mots…
Autrement dit, aimez-vous et vous vivrez une sexualité beaucoup plus épanouie ! Inutile de faire semblant dans l’intimité d’une chambre, votre regard vous suit partout. Alors le mieux, c’est encore qu’il soit bienveillant et doux. Parce que toutes les femmes sont belles et que vous êtes la seule à pouvoir changer votre avis sur votre corps et votre personne.
Pour apprendre à célébrer son corps et l’apprécier davantage, il est également possible de faire appel aux médecines alternatives comme la réflexologie, le yoga –qui renforce le corps- ou encore le drainage lymphatique qui le soulage.
Je propose, en tant qu’hypnothérapeute et experte en neurosciences, de soins thérapeutiques en plus de séances d’hypnose. Les soins thérapeutiques en question concernent le visage et le corps.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Par ailleurs, je propose également des retraites bien-être, pour se (re)découvrir. Au plus proche de la nature et loin des tracas du quotidien, accordez-vous du temps et du repos pour vous comprendre toujours plus en profondeur.
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Avoir un enfant après 40 ans, c’est possible
La grossesse est un phénomène naturel. À travers les différentes époques, l’âge moyen pour avoir un enfant n’a fait que changer. Et si il y a deux ou trois générations de nous, les femmes avaient souvent leur premier enfant aux alentours de vingt ans, c’est plus rarement le cas de nos jours. On privilégie un temps de vie, on « profite » avant de se poser plus sérieusement et de penser à fonder une famille. Pour autant, y a-t-il une limite d’âge pour avoir un enfant ? Est-il possible d’avoir un enfant après quarante ans ? Et si oui, y a-t-il plus de risques pour la mère et l’enfant ?
Y a-t-il un âge pour faire des enfants ?
Il y a encore cinquante ans, nos grands-mères commençaient à procréer à l’âge de vingt ans, voire plus tôt. Au fil des époques, de manière plus générale, l’âge auquel les femmes avaient un enfant n’a cessé de se modifier. Et pour cause, tout cela dépend en réalité de nombreux paramètres sociétaux. En effet, on vivait moins longtemps ; absence de contraceptif comme le préservatif ; on avortait moins facilement, c’était plus douloureux… Tant et tant de paramètres sociaux qui agissaient de manière plus ou moins directe sur les femmes et le couple.
Ainsi, il n’y a pas à proprement parler « d’âge pour avoir un enfant ». Aucun âge ne fera d’une personne un meilleur parent. Toutes les époques ont dépendu d’un style de vie, d’une classe sociale, d’injonctions implicites et/ou de l’envie de devenir mère.
Des grossesses de plus en plus tardives
Avec l’avancée de la science et le rallongement de l’espérance de vie, de nos jours, les femmes se consacrent à la grossesse de plus en plus tard. En France, selon l’INSEE (Institut National de la Statistique et des Études Économiques), en 1994, l’âge moyen des femmes à l’accouchement est de 28 ans et 8 mois. En 2021, ce chiffre est de 31,2. Autrement dit, l’âge moyen des femmes à l’accouchement n’a cessé de croître lors des 27 dernières années.
À quoi est due cette évolution ?
Outre les paramètres sociaux et médicaux qui permettent de vivre plus longtemps et de mieux se soigner, il s’agit surtout de comprendre ce subtil mélange entre besoin et envie de vivre sa vie avant de la donner. Autrement dit, les femmes préfèrent se consacrer à leur carrière, à des voyages, à leurs proches, avant de fonder leur propre famille.
Pour certaines femmes, ce besoin de maternité peut également ne jamais avoir lieu. C’est ce que l’on nomme les « childfree ». Elles décident de ne pas répondre de leur non-envie d’avoir un enfant, qu’importe les injonctions sociétales qui rappellent souvent que la femme est aussi une mère (alors que pas tout le temps !)
L’évolution de l’âge des femmes à l’accouchement se traduit donc par une confiance des femmes dans leur avenir, et surtout une volonté implacable de profiter de leur vie avant de se lancer dans la maternité.
Les différentes façons d’avoir un enfant après 40 ans
Si l’âge des grossesses recule, avoir un enfant après 40 ans devient également de moins en moins rare. Toutefois, cela comporte quelques contraintes, notamment si la fécondation ne peut pas se passer de façon traditionnelle.
En effet, les femmes de 40 ans et plus peuvent elles aussi se tourner vers des méthodes de PMA comme la FIV. Ce sont des méthodes souvent éprouvantes, tant physiquement que psychologiquement. N’hésitez pas à aller voir comment garder le moral pendant une PMA ! Néanmoins, les risques sont plus élevés, de même que le taux d’échec. Ce n’est pas impossible pour autant, et certaines femmes parviendront à tomber enceintes après 40 ans ! Mais il ne faut tout de même pas ignorer certains risques.
Les risques d’une grossesse après 40 ans
Ce que l’on appelle plus communément les « grossesses tardives » ne sont toutefois pas sans risques, tant pour le bébé que pour la mère. Et pour cause, au contraire des hommes, la période de fertilité chez les femmes s’arrête à la ménopause. Selon les chercheurs, la qualité ovarienne est optimale jusqu’à l’âge de 35 ans ; après, les chances de tomber enceinte se réduisent malgré la possibilité de pouvoir encore tomber enceinte puisque la ménopause n’est pas encore présente.
Mais pour les grossesses tardives, les risques semblent se multiplier au niveau de la santé. C’est notamment le cas concernant les fausses couches. Elles seraient en effet plus élevées après 30 ans. Le risque s’élève même, selon les médecins, à un pourcentage de 30% pour les personnes qui tomberaient enceintes entre 40 et 44 ans. Ce taux grimperait à 40% de chances de fausse couche pour les personnes qui tomberaient enceinte entre 45 et 49 ans.
Parmi les autres risques existants pour la maman, l’on trouve :
- Diabète gestationnel ;
- Hématome rétro placentaire ;
- Hémorragie de la délivrance ;
- Hypertension artérielle ;
- Mortalité maternelle ;
- Placenta praevia (implantation du placenta à proximité de l’orifice interne du col).
Pour le bébé aussi, les risques existent :
- Anomalie chromosomique (concernant en particulier la trisomie 21) ;
- Macrosme (bébé de + de 4kg) ;
- Malformations congénitales ;
- Prématurité ;
- Retard de croissance in utero (RCIU).
Les avantages d’une grossesse tardive !
Malgré les risques d’une grossesse tardive, il y a également de nombreux avantages dans le fait d’attendre un bébé après 40 ans. Parmi eux, l’on retrouve notamment :
Des mamans épanouies : une fois passée la trentaine, les femmes ont eu le temps de se trouver. Le plus souvent, elles ont une carrière, un équilibre de vie qui les rend heureuse et sont donc mentalement prêtes à accueillir un nouvel être vivant au sein de leur foyer. La stabilité émotionnelle et financière que leur procure leur âge et leur expérience de vie leur permet d’être plus sereines.
Une stabilité générale : outre cela, la stabilité générale dans la vie de la mère lui permet de mûrir sa décision d’avoir un enfant. Ainsi, lorsqu’elle décide de tomber enceinte, peu importe la méthode choisie, elle est sûre d’elle. Les doutes n’existent pas, ou très peu.
Une expérience plus large de la vie : à 40 ans, on n’a pas la même expérience qu’à 28 ans. Et c’est bien vrai ! La mère de 40 ans ou plus possède en effet une certaine expérience de la vie qui lui permet d’avoir souvent plus de patience avec l’enfant. Outre la décision bien réfléchie, c’est l’expérience de la vie elle-même qui l’aidera dans l’éducation et le soin de son enfant.
Plus de chances d’avoir une grossesse multiple : après 35 ans, le système hormonal change, ce qui permet de connaître une grossesse multiple. Si cela ne se produit pas à tous les coups, les chances sont tout de même plus élevées à 40 ans et plus qu’à 20 ans.
En quelques mots…
Ainsi, une grossesse après 40 ans est tout à fait possible. Si cela peut de prime abord paraître très dangereux au vu des risques, c’est aussi une immense source de bonheur, tant pour l’enfant que pour la mère. Mais ces risques, il ne faut pas les ignorer pour autant ! Au contraire, parlez-en avec des spécialistes, votre gynécologue, votre médecin, mûrissez votre décision ! Soyez prête et sûre de vous pour vous lancer dans une telle aventure !
Que vous ayez 25, 34 ou 42 ans, durant la grossesse, n’oubliez pas de prendre soin de vous…
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose, mais également des soins pour le corps et le visage, comme le drainage lymphatique.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise depuis peu des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Au plus proche de la nature, renouez avec vous-même.
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Le rire et ses bienfaits
Rire d’une blague ou de nervosité… Bien souvent, le rire est incontrôlable. Pourtant, depuis quelques années, le rire occupe une nouvelle place au sein des soins mentaux et physiques. Il devient notamment un outil curatif ou préventif de certaines thérapies. Le rire, qu’il soit à gorge déployée ou plus discret derrière des yeux rieurs, possède beaucoup de bienfaits sur la santé physique et morale. Zoom sur le rire et ses bienfaits !
Qu’est-ce que le rire ?
Le Larousse définit le rire comme étant la manifestation d’une « gaieté soudaine par l’expression du visage et par certains mouvements de la bouche et des muscles faciaux ». Ceux-ci sont « accompagnés d’expirations plus ou moins saccadées et bruyantes ».
En philosophie, la définition varie légèrement. Spinoza, par exemple, le définit volontiers comme « une joie pure et simple », à laquelle il appose la condition selon laquelle « sans excès, il est bon pour soi ».
Il y a donc déjà une notion de bien-être dans la définition philosophique du rire. Plus encore, la définition traditionnelle du dictionnaire le décrit dans toute sa complexité. Les rires peuvent varier d’une personne à l’autre, et cela est bien mis en avant. Mais s’il agit sur le bien-être, quels effets possède vraiment le rire dans le corps ?
Ce qui se passe dans le corps quand on rit
Si l’on sait tous ce qu’est le rire, il est parfois plus délicat de se figurer les effets directs qu’il a sur le corps. Car lorsque l’on rit, on active en réalité un réflexe mécanique (tout comme lors la respiration). Ce n’est pas une action que le cerveau contrôle consciemment comme pour manger ou boire. Le rire est la conséquence d’une situation plaisante ou amusante. Cette situation peut se jouer dans le cerveau –lorsque quelqu’un nous raconte une blague- ou physiquement –lorsque quelqu’un nous chatouille.
Mais comment réagit le corps face au rire ?
Lorsque l’on rit, c’est le diaphragme qui se contracte en premier lieu. Et en se contractant, il va « masser » les organes internes situés dans le ventre. C’est aussi la raison pour laquelle rire longtemps peut finir par faire mal ! Plus le rire est long, et plus les muscles sont sollicités ; ceux du visage tout d’abord, mais aussi ceux du torse et même des jambes. Au total, plus de 600 muscles peuvent être utilisés par le corps lors d’un rire !
Le rire détend ainsi la totalité du corps, comme pourrait le faire une séance de yoga ou de gym. Et bien entendu, la détente qu’il offre n’est pas sans conséquences pour le corps ni pour l’esprit : les bienfaits sont nombreux !
Les bienfaits du rire sur le mental
Le rire a de nombreux bienfaits sur le mental. Parmi eux, l’on peut citer que le rire :
Éloigne les émotions négatives :
Parmi les émotions qui peuvent s’avérer « négatives » si l’on ne sait pas les accueillir, l’on peut citer la tristesse, la colère ou encore les tensions qui en résultent. Plus que l’émotion en elle-même, ce sont les conséquences de ces émotions que le rire annihile. Vous avez déjà été énervé contre une personne qui vous faisait rire ? Impossible de rester en rogne, tout s’évapore ! Le rire permet de lutter également contre la dépression et l’anxiété.
Si vous souffrez d’anxiété et que vous enchaînez les crises d’angoisse, n’hésitez pas à faire de l’hypnose contre le stress pour gérer une crise d’angoisse.
Diminue le stress :
Le rire est, tout comme le sport, à l’origine de la sécrétion d’endorphines. Ces hormones permettent de réduire considérablement le stress. Le cerveau s’oxygène et la détente du corps et de l’esprit est tout entière.
Évapore la peur :
Le rire permet d’éloigner le sentiment de peur. Et pour cause, il est impossible de rire et d’avoir peur en même temps. Dans des situations inconfortables ou stressantes, le rire permet de se détendre et de se recentrer. À ne pas oublier avant un entretien d’embauche ou une journée importante !
Améliore la confiance en soi :
Rire permet d’améliorer sa confiance en soi. Étonnant ? Pas tant que ça. Le rire peut se cacher dans une blague mais aussi dans l’autodérision. Et le fait de savoir rire des petites galères ou de certaines situations qui nous tombent dessus sans prévenir, ça permet de mieux les gérer ensuite. Rappelez-vous : impossible d’être agacé ou apeuré et rire en même temps ! Grâce au rire, vous saurez améliorer votre estime de vous et serez plus serein.e ensuite pour réagir à la situation.
Renforce les liens interpersonnels :
Rire ensemble permet de renforcer les liens. Il partage le ressenti éprouvé par toutes les personnes concernés et créé ainsi un lien puissant entre elles. Rire offre alors de meilleures relations, quelles qu’elles soient. De même, il livre une sensation de connexion et de fédération dans un groupe social.
Les bienfaits du rire sur le physique :
Mais le rire possède également de nombreux bienfaits pour le corps. Parmi eux, le rire permet de :
Diminue la tension artérielle :
Rire permet d’améliorer la tension artérielle. En effet, il favorise la circulation du sang et l’oxygénation du cœur. Le plus incroyable est que le rire opère ses bienfaits en seulement quelques secondes. Autrement dit, le rire est une prescription 100% naturelle et très efficace lorsqu’on souffre d’hypertension ou de maladie cardiaque.
Amenuise la douleur :
Le rire libère des endorphines. Ces hormones, une fois libérées, permettent la « mise en pause » des canaux neuronaux qui communiquent la douleur. Autrement dit, les canaux sont comme anesthésiés. Le rire a le pouvoir et la force de réduire la douleur, ce qui est souvent mis en pratique dans le milieu hospitalier.
Booste le système immunitaire en général :
Le rire améliore grandement la production de globules blancs, essentiels au bon fonctionnement du système immunitaire. Plus les cellules de ce système sont nombreuses, plus le système immunitaire est efficace.
Bienfaits sur la respiration :
Le rire permet de prendre quelques grandes inspirations une fois qu’il se calme. Ces inspirations favorisent les échanges gazeux du corps. Il a également été observé que le rire régulait l’activité des bronches. Dans le cas de personnes souffrant d’asthme, le rire est un traitement naturel des symptômes !
Détente des muscles :
Le rire est donc, physiologiquement, une contraction du diaphragme. Lorsque l’on rit, les muscles sont également actifs. C’est le cas pour les abdominaux et les muscles respiratoires. Suite à ces contractions musculaires, un sentiment de détente est souvent ressenti. Il peut être comparable au sentiment suivant une bonne séance de sport. Les muscles sont détendus, l’esprit est plus léger et les endorphines sont légion. Cela peut être une bonne alternative à ceux qui regardent de travers le sport… bien qu’il soit possible d’aimer le sport en faisant un sport qui vous plaît !
Le rire : une drôle de thérapie !
Avec tous les bienfaits que porte en lui le rire, certains en ont fait une thérapie à part entière. La rigologie est ainsi un moyen efficace de réduire de nombreux symptômes, tant physiques qu’émotionnels ou mentaux. Si le nom de cette thérapie fait doucement rire, il est avéré que le rire maintient en bonne santé et permet de se sentir bien !
Pas de grandes séances de rire, néanmoins, mais plutôt des adaptations de médecines alternatives via l’utilisation du rire. On y retrouve le yoga du rire, de la sophrologie ludique, des exercices d’Amérique du Sud…etc. On y développe la créativité, la confiance en soi et à terme, les clefs pour avoir une vie épanouie.
Et vous, avez-vous déjà essayé la thérapie par le rire ?
Quelques mots sur moi
De mon côté, je suis Charlotte Vallet. Experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris, je propose des séances d’hypnose qui permettent de vous libérer des addictions, d’un mauvais sommeil, prendre confiance en vous et vous allégez de vos blocages.
Je propose également des soins du corps et du visage, comme le drainage lymphatique.
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Enfin, j’organise également des retraites bien-être. Pour se (re)découvrir, pour se connaître mieux, ou tout simplement pour respirer un air différent, loin des soucis du quotidien ! Au plus proche de la nature, venez découvrir les retraites bien-être et recentrez-vous sur vous-mêmes.
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L’endométriose et ce qui peut la soulager
L’endométriose est une maladie encore très méconnue. Depuis quelques années, elle semble être sur le devant de la scène et que le voile du tabou se lève la concernant. Les personnes qui sont touchées par l’endométriose ne savent pas toujours ce qu’elles ont. Alors qu’est-ce que l’endométriose et quels sont ses symptômes ? Il n’y a encore aucun traitement pour guérir définitivement de l’endométriose… Mais il existe quelques tips pour soulager la douleur lorsqu’elle se fait sentir. Quels sont-ils ? Zoom sur ce trouble reconnu depuis 2021 comme une affection longue durée.
Qu’est-ce que l’endométriose ?
L’endométriose définit une maladie de nature gynécologique. Fréquente, elle toucherait entre 10% et 15% des femmes ayant eu leurs premières règles. Plus précisément, l’endométriose « se caractérise par la présence, hors de la cavité utérine, de tissu semblable à celui de la muqueuse de l’utérus », que l’on nomme aussi endomètre. (Selon Ameli.fr).
Autrement dit, c’est à cause du développement de l’endomètre en dehors de l’utérus que les cycles menstruels sont parfois si douloureux chez certaines personnes. Et pour cause, l’endomètre colonise les organes alentours, créant des douleurs plus ou moins intenses. Parfois, il arrive que l’endomètre s’écoule en même temps que le sang menstruel, ce qui cause également des douleurs fulgurantes.
L’endométriose, une maladie « multifactorielle »
Pour entrer davantage dans le détail de cette affection longue durée, voyons les différentes causes de l’endométriose. Et si elle peut effectivement souffrir de plusieurs causes, il existe également des facteurs qui frôlent la génétique. Parmi les différentes causes de l’endométriose, l’on peut citer :
- Facteurs hormonaux (une trop grande présence d’œstrogènes favoriserait l’endométriose) ;
- Causes environnementales (certaines études ont révélé un lien entre des perturbateurs endocriniens comme le BPA ou les PCB et la maladie de l’endométriose) ;
- Facteurs génétiques.
Pour cette dernière catégorie (génétique), les études sont en cours. Mais il semblerait que l’on ait déjà l’assurance qu’une femme ayant une mère ou une sœur touchée par l’endométriose le soit aussi. On estime le risque cinq à six fois plus élevé.
Qui est touché par l’endométriose ?
Toutes les personnes ayant un vagin sont susceptibles d’avoir de l’endométriose. Cependant, avant d’avoir eu ses premières règles, il n’est pas possible de déceler l’endométriose. Plus il y aura eu de cycles, et plus les chances de diagnostiquer la présence de l’endométriose seront élevées. D’ailleurs, la plupart des femmes diagnostiquées le sont entre 30 et 40 ans, après des années de douleurs anormales.
De même, les personnes ayant des antécédents d’endométriose dans leur famille (sœur ou mère) sont plus susceptibles de souffrir du même trouble une fois menstruées. Les études sont toujours en train d’être menées afin de déterminer de quel gène il pourrait s’agir. Car, pour rappel, si la maladie existe depuis très longtemps, cela ne fait que quelques années que les langues se délient –tout comme ce fût le cas à propos des menstruations : le tabou disparaît lentement !
Les symptômes de l’endométriose
La maladie étant encore très peu connue et étudiée, l’endométriose ne dispose pas de symptômes systématiques comme le pourrait une maladie cardiovasculaire. De plus, le souci des cycles se pose, puisque chaque femme a un rapport différent à son cycle mais aussi un rapport unique à la douleur en elle-même.
Toutefois, parmi les symptômes récurrents de l’endométriose (et selon l’Institut de Recherche Médicale), l’on retrouve :
- Des douleurs au niveau du pelvis (qui peuvent se manifester en dehors des règles et durer tout le long du cycle menstruel) ;
- Douleurs anormales lors des rapports sexuels (aussi appelées dyspareunie) ;
- Douleurs anormales durant la défécation ou la miction (majoritairement en période de règles) ;
- La présence de sang dans l’urine ou les selles ;
- Dysfonctionnement ou blocage des ovaires menant parfois à l’infertilité.
La plupart des formes d’endométriose ne sont pas symptomatiques et donc découvertes lors d’un bilan d’infertilité. En France, 1,5 millions de personnes seraient concernées par l’endométriose (chiffre de l’Institut de Recherche Médicale).
Aucun traitement pour le moment…
L’endométriose n’admet aucun traitement qui pourrait la guérir complètement. Toutefois, l’on sait que lors de la ménopause, les différents symptômes ont tendance à régresser. Mais il manque des données scientifiques. L’endométriose reste trop méconnue et peu (ou pas) diagnostiquée.
Enfin, le caractère sexiste qui entoure encore la maladie de l’endométriose n’est plus à prouver. La maladie touche les personnes qui possèdent un vagin, aussi beaucoup de gynécologues ont du mal à admettre l’endométriose comme autre chose qu’une « gêne féminine ». En 2021, l’espoir renaît quand l’endométriose est reconnue comme affection longue durée. Elle sera prise au sérieux et les recherches pourront dans le futur améliorer la santé de celles qui en souffrent.
Ce qui soulage l’endométriose
Ostéopathie : l’endométriose a tendance à accentuer les inflammations dans les zones comme le bassin. L’ostéopathie permet alors de soulager ces inflammations en rendant au corps une amplitude au niveau du bassin, ce qui soulagera tant le périnée, la vessie que le pelvis et les organes gynécologiques. En effet, l’ostéopathe ne se charge pas seulement de faire craquer les os. Il peut également débloquer des nerfs et en période de règles, le nerf sciatique tout comme les nerfs s’établissant le long de la colonne vertébrale sont susceptibles de se « bloquer ».
Homéopathie : parfois sous-estimée, l’homéopathie peut cependant être d’une grande aide durant la période de règles lorsqu’on souffre d’endométriose. Il est important d’aller voir un spécialiste, qui établira lui-même selon les douleurs dont vous souffrez, les remèdes. Chaque personne souffrant d’endométriose peut souffrir différemment, aussi il est délicat de trouver un remède universel. La plupart du temps, l’homéopathe étudiera votre situation avant de vous proposer la solution la plus adaptée pour réduire la douleur.
Phytothérapie : sous forme d’infusion ou de décoctions, les plantes sont parfois bien utiles quand il s’agit de traiter la douleur. C’est le cas des feuilles de framboisier, d’alchémille ou d’achillée millefeuille, notamment. L’endométriose créée une inflammation de toute la zone du bassin, et ces plantes peuvent permettre d’en réduire la douleur.
Le yoga hormonal : cette forme alternative de yoga permet de réguler tout le système hormonal à travers des poses et des exercices spécifiques. Si vous souffrez d’endométriose, cette forme de yoga pourrait soulager la douleur ressentie !
L’activité physique : nul besoin de vous lancer des défis incroyables : une simple marche régulière peut déjà libérer suffisamment d’endorphines pour vous alléger du stress et des douleurs liés à l’endométriose.
En quelques mots…
L’endométriose est encore une maladie méconnue. Les symptômes sont aléatoires et dépendent surtout des personnes qui souffrent d’endométriose. De même, il n’existe aucun traitement à ce jour permettent de soigner l’endométriose. Il faut en moyenne 7 ans avant d’être diagnostiquée. Et en 2021 l’endométriose est reconnue comme affection longue durée. L’espoir que les prochaines générations bénéficient d’un traitement est alors existant.
Se tourner vers les médecines alternatives pour réduire les douleurs liées à l’endométriose reste une option.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnothérapie et des soins pour le corps et le visage (drainage lymphatique).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être pour se (re)découvrir loin du mouvement du quotidien. Au plus proche de la nature, recentrez-vous sur vous-même et tout ce qui compose votre être.
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Vaincre le syndrome de l’imposteur
Le syndrome de l’imposteur devient de plus en plus cité de nos jours. Et pour cause, dans une société où tout le monde tourne à cent à l’heure, il est parfois délicat de reconnaître la valeur de son travail et de la façon dont on peut se congratuler. Mais au-delà d’une appellation récente, qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur ? De quand date-t-il ? Est-il un réel trouble ? Et surtout, comment finir par le vaincre ?
Qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur ?
Apparu en 1978 après que Pauline Clance et Susanne Imes, deux psychologues, aient étudié le phénomène, le syndrome de l’imposteur est une sensation bien étrange à éprouver. A cette époque, leur étude portait sur une totalité de 150 femmes ayant été diplômées et exerçant un métier prestigieux. Toutefois, il s’est avéré que ces femmes ne pensaient pas « avoir réussi » comme cela peut être admis de manière sociétale (un bon emploi, un bon salaire…).
Et le syndrome de l’imposteur, c’est justement cela.
Plus « cliniquement », il pourrait être qualifié par un mélange d’anxiété et de manque d’estime et de confiance en soi et ce que l’on peut accomplir. Autrement dit, cette recette est celle qui créé le terrible sentiment d’imposture et par-là même, l’effrayant réflexe de nier sa réussite ou ses succès.
Quelles en sont les sources ?
De nombreuses études ont été menées et certaines tendent à révéler que les sources de ce syndrome et de ce sentiment de non-mérite seraient directement liées à l’ego. Un ego malmené durant un moment de vie serait la première source de ce syndrome. De la même façon, la comparaison aux autres peut également grandement jouer dans l’apparition de ce sentiment d’imposture. Parmi les sources de ce syndrome, il est également possible de compter la pression (parentale, scolaire) qui peut parfois advenir lorsque l’on est encore jeune et en pleine construction.
Qui est touché par le syndrome de l’imposteur ?
À vrai dire, tout le monde peut un jour être confronté au syndrome de l’imposteur ! Néanmoins, il y a quelques tendances qui se distinguent. Les femmes et les personnes autodidactes auraient en effet tendance a davantage porter le fardeau de ce syndrome. Absence de reconnaissance, sentiment de ne pas être à la hauteur, les symptômes sont multiples et variés.
De même, les inégalités sociétales actuelles ne permettent pas encore d’obtenir reconnaissance pour tout le travail accompli par les femmes et autres minorités. Cela contribue à engraisser le monstre de l’imposture qui se répand alors chez de plus en plus de personnes.
Comment savoir si on ressent le syndrome de l’imposteur ?
Le syndrome de l’imposteur n’étant pas une maladie ni un trouble reconnu affectif, nous ne pouvons pas à proprement parler évoquer des « symptômes ». Toutefois, de nombreux indices peuvent mener sur la piste que vous souffrez peut-être du syndrome de l’imposteur. C’est notamment le cas si vous ressentez :
- Un empressement à se distinguer de la réussite (ex : « ce n’était pas très compliqué ») ;
- « Rejeter » les événements positifs qui surviennent dans la vie ;
- Ne pas se sentir légitime face aux compliments ou aux félicitations ;
- Être gêné/ embarrassé/ mal-à-l’aise devant des félicitations ;
- L’impression d’être surestimé ;
- Peur ou malaise vis-à-vis de l’attention que l’on peut vous porter ;
- Manque de confiance en soi dans la majorité des domaines de la vie.
Tels sont les premiers signes que vous êtes sûrement concerné par le syndrome de l’imposteur. Mais ce n’est rien de grave ! Le syndrome de l’imposteur peut tout à fait disparaître avec le temps et du travail sur soi.
Comment vaincre le syndrome de l’imposteur ?
Vaincre le syndrome de l’imposteur ne se fait pas par la seule force de la volonté. C’est une lutte parfois quotidienne, qui a pour but de vous légitimer dans différents aspects de la vie. Parce que le syndrome de l’imposteur peut également se manifester dans une sphère sociale, amicale, familiale ou encore intime. Elle n’est plus seulement reliée au monde du travail.
Finalement, peu importe la sphère dans laquelle le syndrome s’immisce, l’important est que vous pouvez totalement vous libérer de ce syndrome qui empoisonne votre vie et ébranle vos certitudes ! Et ceci peut se faire, il faut retrouver de l’estime de soi avec l’hypnose.
Exercices pour vaincre le syndrome de l’imposteur
Briser le silence :
Comme pour beaucoup de sujets, la première étape et non la moindre, c’est souvent d’en parler. Avec vos amis ou votre famille, parlez-en à des personnes proches qui vous connaissent ; bien souvent, elles auront un avis objectif et le recul nécessaire pour vous parler en toute honnêteté. En brisant le silence autour de ce syndrome, vous brisez aussi sa carapace !
Faire des listes :
Les listes ne sont pas au goût de tout le monde, et pourtant, parfois, elles sont nécessaires. En listant l’étendue de vos facultés et de vos compétences (à la façon d’une lettre de motivation), vous prendrez un peu de recul face au syndrome de l’imposteur. Petit à petit, vous parviendrez à avoir le recul et la lucidité nécessaires pour comprendre que le syndrome vous ment et que vous êtes bel et bien capable d’accomplir les choses au seul mérite de votre travail.
Anticiper la réussite plutôt que l’échec :
Bien souvent, le syndrome de l’imposteur vous convainc que vous ne serez pas à la hauteur. Et si vous décidiez d’aller à contre-courant ? Inspirez profondément, et au prochain projet que l’on vous propose, misez sur votre réussite. Cela peut paraître prétentieux, mais il n’en est rien. Vous seul.e êtes conscient.e de ce que vous êtes capable de faire, de vos talents et de vos compétences. Vous allez y arriver !
Démystifier le syndrome de l’imposteur :
Cela peut arriver en brisant le silence autour de ce trouble. En parler, le dédramatiser voire même en plaisanter un peu, ça peut totalement vous aider à le voir sous un nouveau jour. Dans le même temps, cela permet de vous en éloigner un peu plus, et surtout, de vous libérer de l’emprise qu’il impose sur votre vie et dans au moins un domaine particulier.
Travailler l’estime et la confiance de soi :
Plus facile à dire qu’à faire… mais pas impossible ! Il est important de comprendre comment l’estime de soi et la confiance en soi influent directement sur le syndrome de l’imposteur. En travaillant sur vous-même et vous aidant d’hypnose pour la confiance en soi, vous vous offrez ainsi la possibilité de vaincre le syndrome de l’imposteur !
Pour conclure…
Le syndrome de l’imposteur est parfois compliqué à définir précisément. Il se manifeste par une petite voix sournoise qui vous fait penser que vous n’êtes pas à la hauteur des choses accomplies par vos soins, et il est si facile de la croire. Pourtant, il n’en est rien ! Vous êtes amplement capables de réussir et en droit de vous en attribuer le mérite, peu importe combien il peut être difficile de l’accepter ensuite.
Et si vous ne parvenez pas à le vaincre seul.e, il n’y a aucune honte. Certaines blessures et marques sont souvent présentes depuis longtemps et l’aide d’un professionnel est alors recommandée. Psychologue, méditation, l’hypnose thérapeutique à Paris et ses bienfaits… il est possible de trouver la source de ce syndrome et de travailler dessus afin de la surmonter.
Je suis moi-même hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose, mais également des soins thérapeutiques du corps et du visage (drainage lymphatique) – qui peuvent d’ailleurs vous aider à vous concentrer sur vous et retrouver votre confiance en vous !
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites sous le signe du bien-être, pour se (re)découvrir. Loin du quotidien et des soucis qu’il porte dans son sillage, prenez du temps pour vous ouvrir à vous-même.
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Se concentrer sur ce qui connecte et non sur ce qui sépare
Il n’est plus un secret pour personne que l’Homme est un animal social. Et dans un monde prônant l’individualisme, les échanges et les connexions sont d’autant plus essentielles. Alors comment se concentrer sur ce qui connecte avec le monde qui nous entoure ? Avec les gens qui nous épaulent ? Cette connexion peut porter avec elle de nombreux bienfaits insoupçonnés ; il ne tient qu’à vous de venir les découvrir et les expérimenter ensuite !
Ce qui sépare : l’individualisme est différent de l’individu
Dans un premier temps, il m’a semblé nécessaire de faire la distinction entre l’individu et l’individualisme. Car s’ils sont étymologiquement liés, les deux sont pourtant bel et bien différents. L’individualisme représente un concept qui se traduit par un comportement égoïste, tourné vers soi. Il s’agit d’un « moi, je » qui est alors appliqué à une majorité d’aspects de la vie. Pour autant, l’individu en soi n’est pas une mauvaise chose.
L’individu, c’est la somme totale de tous les traits, toutes les caractéristiques de ce qui compose un être humain. Autrement dit, c’est la personne en elle-même. Et ça, nul ne peut l’effacer ! Le fait que nous soyons tous des individus à part entière contribue à nous rendre uniques. Mais il ne s’agit toutefois pas de prôner cet aspect unique comme meilleur qu’un autre. Le monde est suffisamment rempli d’inégalités pour que l’on s’en rajoute une couche par nos soins !
Ainsi, l’individu se distingue aisément de l’individualisme – qu’il créé pourtant parfois. L’individualisme aura tendance à creuser un fossé entre soi et les autres, là où l’individu peut au contraire représenter la clé pour pouvoir se connecter avec autrui.
Pourquoi vouloir « se connecter » ?
Dans un monde profondément basé sur des concepts comme la productivité, la compétition ou encore l’individualisme, il est important de pouvoir se sentir ancré dans quelque chose. Même si être indépendante avec de l’hypnothérapie à Paris est important, avoir une connexion sociale est primordiale. Que ce soit un groupe social ou un endroit en particulier, c’est primordial de pouvoir se sentir bien le plus souvent possible.
Se connecter, c’est quoi ?
Il n’y a pas de définition précise pour ce concept. Néanmoins, la connexion se caractérise par « le fait d’être lié plus ou moins étroitement à quelque chose ou quelqu’un » (selon le Larousse). Il y a donc, dans la connexion, une volonté de se lier, d’être en lien avec une personne ou un objet. Vouloir se connecter pourrait alors être défini par la volonté ou le besoin d’être en phase avec une personne ou un objet.
Se connecter avec le présent
Mais avant toute chose, la connexion, c’est aussi et surtout le besoin de certaines personnes de s’ancrer dans le moment présent. Lorsque l’on est à l’aise avec un groupe d’amis ou sa famille proche, il est alors plus facile de profiter du moment présent. Car si le passé a tendance à être porteur de troubles comme la dépression et que le futur est surtout une immense source d’angoisse, le présent, lui, représente une forme de quiétude.
Vouloir se connecter peut alors être synonyme de la prise de conscience du moment présent.
Comment se connecter ?
La connexion peut passer à travers différents outils, exercices ou encore divers aspects du quotidien.
Rester ouvert quand on sort de chez soi : Beaucoup de personnes s’échappent sous une capuche et une pair d’écouteurs. Parfois, il est tout aussi bien de rester attentif/ ve au monde qui nous entoure. Peut-être une personne aura-t-elle besoin de la place assise que vous occupez dans le bus ? Peut-être une dame aura-t-elle besoin d’aide pour rapporter ses courses chez elle ? C’est alors l’occasion de rester ouvert aux différentes situations qui peuvent se présenter.
Se connecter avec les gens : il arrive à tout le monde de passer une mauvaise journée. Mais parfois, laisser passer une personne sur un passage piéton ou encore dire « bonjour » avec un grand sourire peut changer la donne. Se connecter avec les gens qui nous entourent, c’est aussi être attentif à eux. Et surtout, ne pas se retenir de leur partager un bout de votre présent !
Se connecter avec la nature : dans des villes qui ne font que s’agrandir et des campagnes qui renferment le calme, de plus en plus de personnes ont besoin de se retrouver au plus proche de la nature. Si ce besoin –ou cette envie- se fait ressentir, n’hésitez plus ! Courrez dans le parc le plus proche pour profiter au mieux de la beauté que la nature offre. C’est très bon pour le moral, ça libère de l’endorphine et ça permet de se reconnecter à soi et au monde qui vous entoure. En effet, la nature est une force sur le bien-être comme de l’hypnose contre le stress.
Se connecter à soi : c’est sûrement la partie la plus délicate de l’exercice de connexion –surtout pour les esprits rêveurs qui ont tendance à s’échapper ! Mais les esprits plus pragmatiques, s’ils sont bien ancrés dans le présent, ont également parfois du mal à en jouir. Se connecter à soi peut passer à travers des inspirations, ou bien les cinq sens (vue, toucher, goût, odorat et ouïe). Il s’agira alors de bien s’ancrer dans le présent, que ce soit en dégustant un muffin au chocolat ou en sentant les premières odeurs de terre humide que l’automne apporte !
Tips en plus !
Il est également possible de se connecter à –et avec- d’autres choses !
Les cinq sens : là encore, les cinq sens seront vos meilleurs alliés pour vous figurer le présent tel qu’il est, et être capable de l’apprécier dans toute sa valeur. Chaque sens porte en lui la délicatesse du détail. De quoi nourrir les souvenirs pendant encore de longues années ! Mais plus encore, c’est la connexion au monde qui vous entoure qui se solidifie, s’ancre davantage et devient à son tour inoubliable.
La curiosité : c’est sûrement votre plus grande alliée dans la vie. Grâce à elle, vous pouvez vous intéresser à tout, vous tourner vers tout le monde, et ne jamais cesser de vous émerveiller devant la beauté du monde.
La parole : cela peut sembler bien évident, mais nous sommes les seuls animaux sur la planète à pouvoir parler –et pourtant on a parfois du mal à communiquer ! Alors profitez-en ! Osez prendre la parole en public en vous aidant de l’hypnose pour la confiance en soi! Parlez, chantez, chuchotez, riez ! Et surtout, n’arrêtez jamais de partager. C’est aussi comme ça qu’il est possible de créer des connexions et de les entretenir tant dans le présent que dans l’avenir !
En quelques mots…
Les connexions sont multiples et variées. Il en existe autant qu’il existe de personnes sur Terre et de liens qui les unissent. Les connexions sont importantes pour s’ancrer dans le réel et trouver une place dans les groupes sociaux que l’on est amené à côtoyer au cours de sa vie. et si les connexions avec les autres et le monde sont d’une importance indéniable, il va sans dire que la plus capitale reste encore la connexion que l’on tisse… avec soi-même. Apprendre à s’aimer avec de l’hypnose de confiance en soi reste un élément essentiel sur le bien-être.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose et des soins thérapeutiques du corps et du visage (drainage lymphatique par exemple).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, je propose également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir et de tisser, le temps de quelques jours, des liens étroits avec soi-même et ce qui nous entoure. Au plus proche de la nature, venez découvrir loin du quotidien tous les trésors qui se cachent en vous.
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Les astuces pour avoir de l’énergie au printemps !
Alors que l’hiver fait doucement place à la saison qui lui succède, le printemps n’est pas toujours signe de bonheur pour tout le monde. Pour être heureux, il est important de trouver sa place au printemps avec l’aide d’un hypnothérapeute à Paris. Cependant, entre fatigue, allergies, changements de températures… cela n’est pas chose aisée et impact le corps et l’esprit. Alors comment garder la forme pendant la saison du printemps ? Explication et astuces sont toutes ici !
Pourquoi le printemps est-il souvent synonyme de fatigue ?
L’hiver est toujours une longue et sombre période. Le passage à l’heure d’hiver pèse souvent sur le mental des êtres humains et à l’arrivée du printemps, difficile d’ignorer la fatigue qui nous accable. Mais cette fatigue n’est pas seulement le résultat d’un long hiver ou d’une baisse de motivation. Il existe une « fatigue de printemps » dont on ne parle pas souvent…
Qu’est-ce que la fatigue de printemps ?
Après que le corps se soit « protégé » de l’obscurité et du froid durant tout l’hiver, il se réveille à l’arrivée du printemps –un peu comme la nature ! Mais le printemps n’est pas seulement l’arrivée des beaux jours. Les températures augmentent petit à petit, ce qui peut entraîner une dilatation des vaisseaux sanguins et donc, une diminution de la tension artérielle. Cela produit généralement des baisses d’énergie assez conséquentes. Le sommeil est fondamental pour la santé. Ainsi, il est possible de réduire les AVC avec des séances d’hypnose à Paris pour aider à dormir.
Avec les rayons du soleil arrivent les jours plus longs. Ce bouleversement des jours courts et des longues nuits peut également se traduire dans notre organisme par un déséquilibre hormonal. En effet, en hiver, c’est la mélatonine (hormone du sommeil) qui domine. Au printemps, c’est la sérotonine (hormone de la bonne humeur), directement liée à la lumière du jour.
Ainsi, les premiers jours et semaines du printemps, ces deux hormones cherchent un nouvel équilibre, et peuvent facilement être source d’une fatigue avancée.
Avoir de l’énergie au printemps à travers une bonne alimentation !
Avec tous les changements qui se produisent au niveau du corps à l’arrivée du printemps, il est donc primordial d’avoir une bonne alimentation. Et comme pour tout, certains aliments se démarquent facilement des autres. Ravissant vos papilles, ils sauront également vous apporter toutes les vitamines et les nutriments dont vous aurez besoin !
- Carottes : source de bétacarotène ;
- Les radis : remplis d’eau et de fibres, ils nourrissent rapidement en plus d’être plaisants à croquer !
- Les oignons blancs : qui favorisent le bon fonctionnement cardiovasculaire ;
- Les petits pois : sources de vitamine B, C, de minéraux (dont le fer) et d’oligo-éléments ;
- Les épinards : pour faire le plein d’antioxydants ;
- L’artichaut : pour la régulation du transit et favoriser l’élimination urinaire ;
- L’asperge : riche source de vitamines !
- La laitue : pleine d’acide folique, elle permet de protéger le cœur et les vaisseaux, et prévient les effets de la dépression. Elle est également recommandée pour améliorer les capacités mémorielles et apporte son aide pour le sommeil.
- La banane : riche en potassium, elle lutte contre l’hypertension et les maladies cardio-vasculaires. De même, sa composante en magnésium fait d’elle un excellent « antistress » naturel.
Les nouvelles habitudes qu’il est possible de mettre en place !
Les réveils lumineux :
Dîtes adieu aux réveils dans l’obscurité et aux petits-déjeuners éclairés à la lumière artificielle. Le printemps laisse volontiers la place aux matinées ensoleillées et aux levers de soleil magnifiques ! C’est le moment de profiter des journées pleines et lumineuses. Et quoi de mieux que ces idées pour se réveiller de bonne humeur ?
Des week-ends qui laissent place à l’aventure :
Mais le printemps, c’est aussi l’idéal pour les week-ends à la campagne ou loin de la ville. Décompresser en s’éloignant du quotidien et des tracas qu’il porte dans son sillage peut être bienfaiteur, alors profitez des beaux jours et partez à l’aventure !
La nature sur son 31 :
Le printemps, ne l’oublions pas, c’est aussi le moment pour la nature de briller. Les arbres se vêtent de nombreux atours feuillus, et les fleurs sauvages n’hésitent pas à envahir les parcelles de pelouse les plus récalcitrantes comme les plus accueillantes. Alors pourquoi ne pas se mettre au jardinage ? Travailler la terre durant quelques après-midis par mois peut être très salvateur. Ça permet de prendre l’air. Vous pouvez aussi faire le plein de vitamines D sous les rayons chaleureux du soleil. Et c’est sans oublier le bien émotionnel et mental que le jardinage procure ! Alors à vos gants… prêts ? Jardinez !
Le plein air et ses nombreux bienfaits :
Le printemps est ainsi propice à bien des activités. Mais par-dessus tout, le printemps est une belle époque pour reprendre des activités en plein air. Qu’il s’agisse de sport ou plus simplement de promenades, le printemps est toujours bien accueilli par les amoureux des activités extérieures. Alors n’hésitez plus ! Ressortez vos plus beaux équipements, et partez en randonnée, en promenade, ou accomplir le nouveau record de vos footings hebdomadaires ! Et pour ceux qui ne le savent pas encore… il est plus facile de faire du sport lorsque l’on pratique un sport que l’on aime.
Les tips en plus pour être en forme au printemps !
Privilégier le vélo, la trottinette ou la marche pour se déplacer : lorsque cela est possible, évitez d’utiliser votre voiture ! Préférez plutôt les moyens de transports qui vous permettent de profiter du soleil et des températures qui s’adoucissent. En plus de faire un petit geste pour l’environnement, vous vous aérez l’esprit, faîtes une activité physique et la sérotonine est toujours bienvenue !
Le printemps est de retour ! Retournez au marché : le printemps est également une saison très agréable pour se rendre sur les marchés. En plus de consommer des produits locaux et de saison, c’est une activité qui permet de rencontrer des gens et d’échanger avec eux.
Les activités inévitables au printemps : cette saison apporte les beaux jours dans son sillage. Les activités ne sont alors plus les mêmes qu’en hiver ! Cette fois, on délaisse les plaids au profit des terrasses avec les amis ou des barbecues le week-end ! Mais c’est surtout le bon moment pour se reconnecter à la nature une force sur le bien-être comme l’hypnose contre le stress : bain de boue, balade en forêt, faire du yoga en extérieur… tout est possible !
En quelques mots…
Ainsi, le printemps est une saison de renouveau et d’activités ! On se reconnecte à ce qui nous entoure, et les beaux jours nous encouragent à reprendre vie, tout comme la nature. Finie l’hibernation mentale ou émotionnelle, il est temps de faire le plein d’énergie au printemps afin de profiter au maximum de la saison fleurie !
De même, il est tout à fait possible de prendre du temps pour soi et de se chouchouter. C’est notamment ce que permettent beaucoup d’activités comme le yoga ou la méditation. Et il est également possible de se soigner plus « profondément », notamment grâce à l’hypnose ou la sophrologie.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnose à Paris, mais également des soins thérapeutiques du visage et du corps (comme le drainage lymphatique).
Pour prendre un rendez-vous, vous pouvez directement vous rendre sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être tout au long de l’année. Afin de s’éloigner des quotidiens étouffants et de se (re)connecter à son moi profond.
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Le printemps ou la saison de l’amour… de soi !
Le printemps est depuis toujours vu comme la saison de l’amour. La littérature le voit comme la saison la plus romantique de l’année, la philosophie en fait la muse de la découverte de soi et la culture populaire, une prémisse de l’été. Et si finalement, le printemps n’était rien d’autre que la saison de l’amour… de soi !
Saison universelle de l’amour
Depuis toujours, le printemps est perçu comme la saison de l’amour. Et pour cause, la nature se réveille doucement et les animaux du monde entier se reproduisent. Mais le printemps est également la saison de la colère et de la mise en place. L’énergie autour de nous semble bouillonnante et l’on se sent facilement motivé pour entamer de nouveaux projets.
Outre cela, chez beaucoup de personnes, le désir de se mettre en couple se ressent rapidement avec la venue du printemps. Les balades, les cafés en terrasse, les visites de musées ou celles de vieux monuments sont toujours plus agréables lorsqu’on les partage avec une personne aimée. Et l’amour peut prendre une multitude de formes différentes.
Mais, et si cette année, les choses changeaient ? Si vous décidiez de reporter vos désirs d’amour… sur vous-même ?
Et si on cultivait l’amour de soi ?
Les amours d’une vie sont toutes différentes. Pourtant, il y en a un qui peut aisément s’oublier sans pourtant jamais disparaître : l’amour de soi. Et c’est aussi ce pour quoi il est important de le cultiver. À tout âge et à toute époque de sa vie, l’amour de soi est le seul qu’il est possible de ne jamais perdre de vue pour peu qu’on le chérisse.
Mais alors qu’est-ce que l’amour de soi ?
L’amour de soi se définit par le « fait d’accepter et d’apprécier la personne que l’on est » selon l’Internaute. Autrement dit, c’est le fait de s’accepter entièrement et cela s’acquiert en général à terme d’un travail sur soi important, en apprenant à se connaitre grâce à une hypnothérapeute à Paris. Par ailleurs, l’amour de soi est essentiel dans l’équilibre personnel, puisqu’il suppose une indépendance affective et une autonomie émotionnelle. C’est grâce à l’amour de soi que l’on peut agir de manière efficace pour son propre bien-être.
S’aimer au printemps
S’aimer au printemps n’est finalement pas si différent que s’aimer durant les autres périodes de l’année. Et pour cause, s’aimer au printemps, c’est finalement accepter qu’avec cette nouvelle saison, une nouvelle partie de notre vie débute.
Si le printemps est la saison de la colère dans la médecine chinoise, elle peut également être l’amorce d’un nouveau chapitre dans le livre de la vie. Et pour cause, le printemps est avant tout la saison du renouveau ! C’est donc l’occasion de faire le bilan des saisons dernières et d’entamer une nouvelle danse sur un sol de fleurs tout juste écloses !
Comment cultiver l’amour de soi ?
L’amour de soi passe par différentes formes et divers exercices. Il est d’ailleurs possible de les appliquer au quotidien. Parmi eux, l’on retrouve notamment :
Être bienveillant envers soi-même : la première étape pour cultiver l’amour de soi, c’est d’apprendre à être bienveillant envers soi en toutes circonstances. Que cela soit dans une situation de succès ou d’échec, il est important de ne pas se juger. On ne se condamne pas pour ses faiblesses, on ne se dénigre pas devant une erreur ; vous êtes un être humain et vous méritez le respect et la compréhension.
Prendre soin de sa santé (mentale, physique, émotionnelle) : cela se traduit à travers le fait de ne pas hésiter à se faire passer en priorité lorsque vous en ressentez le besoin. Refuser une sortie au bar parce que vous avez besoin de vous retrouver seul.e pour vous détendre et vous ressourcer, c’est tout à fait légitime. En effet, se reposer est primordial, dormir grâce à une séance d’hypnose réduit les AVC.
Prendre soin de sa santé mentale et physique, finalement, c’est écouter vos besoins et prendre soin de votre corps et de votre esprit.
Accepter qui l’on est : cela peut parfois paraître difficile voire insurmontable. Pourtant, s’accepter tel que nous sommes est encore le meilleur moyen de vivre sereinement. Car s’accepter, c’est ne plus donner –autant- de crédit à ce que peuvent penser les gens. C’est suivre de l’hypnose pour la confiance en soi à Paris pour croire en soi après l’acné, par exemple. S’accepter, c’est ne dépendre que de l’avis que l’on construit sur soi-même, et surtout, être en paix avec soi-même !
Entretenir son estime et soigner son ego : l’estime de soi, c’est la valeur que vous vous accordez. L’entretenir est alors le meilleur moyen de trouver une certaine indépendance en plus d’une totale liberté dans votre vie. Vous vous savez capable de tout faire puisque vous vous connaissez ! De même, soigner son ego permet de ne pas se sentir au-dessus de quelconque autre personne et donc, de trouver simplement votre place. Que celle-ci soit au cœur de différents cercles sociaux mais surtout avec vous-même.
Savoir se pardonner : savoir se pardonner est peut-être l’une des étapes les plus longues pour cultiver l’amour de soi. Et pour cause, si on accorde plus ou moins facilement son pardon aux autres, il est beaucoup plus délicat de se l’octroyer à soi-même. Une fois pardonné, vous vous sentirez néanmoins beaucoup plus léger/ légère et apte à vivre plus sereinement.
S’aimer soi-même, est-ce aimer les autres ?
Cultiver l’amour de soi, c’est parfois également cultiver l’amour des autres et celui pour son entourage. En effet, l’amour de soi est une des formes de l’amour qui permet d’en englober plusieurs autres. On nous a souvent répété qu’il faut s’aimer soi-même avant d’aimer les autres, c’est pour cette raison que beaucoup de femmes décident de rester célibataire à vie sans jugement grâce à l’hypnose comme thérapie à Paris. Mais est-ce que l’un empêche vraiment l’autre de se produire ? Et s’il était possible qu’aimer les autres puisse nous aider à nous aimer nous-mêmes ?
Sous les couches froides et dures de l’hiver, l’amour des autres peut être un véritable réconfort. Faut-il alors stopper ces amours au profit d’un printemps éclairé sur votre personne ? Peut-être tout est-il finalement question d’équilibre. Aimer les autres, leur apporter du réconfort, de la distraction, du soutien ou des fleurs –après tout c’est le printemps !- tout cela peut encourager l’amour de soi aussi.
« Un mot aimable est comme le printemps »
Proverbe russe
Finalement, l’amour, sous toutes ses formes délicates et précieuses, n’est-il pas le meilleur des moteurs pour se dépasser ? Pour se découvrir ? Et pour tenter, jour après jour, de trouver l’équilibre parfois fragile qui nous rendra heureux ?
En quelques mots…
Cultiver l’amour de soi est délicatement fastidieux. Certains jours seront d’ailleurs plus simples que d’autres. Et si le printemps est souvent perçu comme étant la saison de la colère, il est également propice à de nombreux changements. Alors pourquoi ne pas commencer à croire en vous et à vous aimer ?
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. J’y propose d’ailleurs des séances d’hypnose tout comme des soins du corps, comme le drainage lymphatique Renata Franca ou le drainage du visage.
Il est possible de prendre rendez-vous directement via Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, je propose également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir loin des routines et tracas du quotidien.
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Diminuer le stress par de petits gestes au quotidien, c’est possible !
Se ronger les ongles en public, avoir la jambe qui frétille sous le coup de la nervosité, replacer une mèche de cheveux frénétiquement… tels sont les gestes qui trahissent l’expression du stress au quotidien. Car n’importe quelle situation peut être source de stress chaque jour, il est important de rapidement endiguer cette gêne avant qu’elle n’apporte avec elle des angoisses intenses voire un état d’anxiété. Et diminuer le stress au quotidien, c’est possible !
D’où vient le stress ?
Que vous soyez étudiant.e, jeune parent ou encore à l’aube d’une situation particulièrement importante (mariage, divorce, accouchement, promotion au travail…), le stress peut se manifester. Mais concrètement, qu’est-ce que le stress ? Il est assez complexe de définir le stress, bien que certains éléments soient intangibles. Le stress serait alors la perception d’une situation ébranlant l’équilibre et/ ou le bien-être d’une personne. Il se manifeste dans diverses situations qui sont propres à chacun. En effet, nous ne sommes pas tous sensibles au même stress.
Physiquement et psychologiquement, il se manifeste de diverses façons : apparition de TIC (mouvement répété de façon obsédante, comme se ronger les ongles), de TOC (troubles obsessionnels du comportement), ou encore de désagréments au niveau du système digestif, du sommeil, de l’appétit ou de la vessie. Et également par des crises d’angoisse gérées avec de l’hypnose contre le stress.
En général, les situations de stress sont des cas isolés. Mais le stress peut également être un stress dit pathologique auquel cas il faut alors consulter pour éviter des complications.
Qu’est-ce que le « bon stress » ?
Certaines personnes parlent cependant de l’existence d’un « bon stress ». Toutefois, quand on y regarde de plus près, il n’existe pas vraiment de bon stress. Le stress est en effet ce qu’il est : du stress. Tout dépend finalement de la façon dont nous réagissons à ce stress. Après tout, qui n’a jamais attendu le dernier moment pour faire un devoir, utilisant alors le stress de la punition ou de l’heure de colle comme la plus forte des motivations ?
En le transformant en une énergie nouvelle et bienfaitrice c’est déjà une façon de se débarrasser d’un stress que l’on vivrait mal. De la motivation peut naître d’un stress ressenti. Parfois, il permet également de s’adapter à un nouveau contexte, une nouvelle situation plus rapidement. Néanmoins, le stress reste en grande majorité perçu comme un élément malvenu et désagréable des quotidiens.
Ainsi, le « bon stress », serait un stress d’une certaine intensité qui permettrait à la personne qui le ressent de ne pas se sentir dépassée par la situation, mais au contraire d’en rester maîtresse pleinement.
Est-il possible de s’en débarrasser ?
Le stress peut rapidement se montrer… Il s’immisce dans les failles invisibles de nos quotidiens pour ensuite prendre le pas sur la raison. Mais il peut aussi faire croire à notre corps que nous sommes en situation de danger. Le stress pousse également le corps à être dans une situation d’alerte quasiment continue et ne finit par s’en aller que lorsque le facteur de stress disparait.
Si les avis divergent volontiers sur l’existence d’un « bon stress », il est à noter que le stress est un phénomène naturel voire inhérent à l’être humain. Avec les changements que la société a connus, le stress est davantage synonyme de négativité, de combat intérieur voire de mal-être que d’énergie et de motivation…
Bon ou mauvais, le stress devient rapidement un nuisible coriace au quotidien. Heureusement, il est tout à faire possible de s’en débarrasser !
Les gestes à adopter au quotidien !
Malgré tous ses mauvais côtés et les symptômes parfois tenaces qu’il présente et fait endure, il y a une bonne nouvelle ! Le stress peut être endigué via des gestes simples à adopter au quotidien. Une fois ceux-ci présents dans vos habitudes, le stress ne sera qu’un lointain souvenir désagréable. Et puisqu’il provient le plus souvent d’éléments extérieurs que le corps ou l’esprit ne parviennent pas à gérer, il est possible de : nature
Ecouter un podcast : cela peut vous permettre de vous concentrer sur autre chose et ainsi éliminer les premiers signaux de stress.
Masser son visage : l’automassage facial est réputé pour permettre de se détendre rapidement. Certains points du visage –utilisés notamment en acupuncture- offrent ces bienfaits. Sont alors à privilégier les zones entourant les sourcils, le front, le menton ou les tempes. Cela peut également fonctionner avec le massage des paumes de mains ; de l’intérieur vers l’extérieur, les paumes de mains recèlent de nombreux nerfs qui permettent de ressentir une sensation de détente rapidement.
Faire une pause : surtout au travail, le stress peut rapidement devenir prépondérant. Faire une pause permet de se changer les idées, de s’aérer l’esprit et de repartir sur de meilleures bases, allégées de tout stress possible.
Améliorer son environnement de travail : des « jouets » antistress, une boule en mousse à serrer, des plantes sur le bureau… améliorer son environnement de travail, ça passe aussi par des petits détails qui permettront de vous sentir mieux au quotidien.
Le rire fait fuir le stress : regarder une vidéo drôle, rire avec des collègues ou lire les derniers messages drôles de ses amis, telles sont des choses qui peuvent permettre de faire fuir le stress. Parce que le rire libère des endorphines, il réduit ainsi l’anxiété, les angoisses et le stress.
Parler, dialoguer : le fait de parler avec d’autres personnes permet également de réduire le stress. Cela peut fonctionner pour les personnes qui ont besoin de se raccrocher à des choses plus « concrètes » en situation de stress. Alors n’hésitez pas, ouvrez-vous aux autres, comme un thérapeute avec de l’hypnose thérapeutique à Paris et le stress s’enfuira ! (attention toutefois, pour d’autres personnes, le fait de parler avec d’autres individus peut être une source supplémentaire de stress.)
Les méthodes sur le long terme
Pour se débarrasser du stress, il existe aussi des méthodes sur le long terme. Cela fait davantage référence à des ateliers sur le bien-être ou appel aux médecines parallèles. Et pour cause, ils parviennent à proposer des solutions qui durent dans le temps. C’est notamment le cas concernant :
Le yoga : étant une activité qui joue sur l’équilibre du rythme cardiaque, l’accélérant ou le réduisant selon les mouvements, le yoga permet de réduire la pression artérielle. En situation de stress, il vous donne la force et le pouvoir de contrôler ainsi votre respiration et de réduire le stress.
L’activité physique : en pratiquant une activité physique régulière (même marcher dix minutes par jour), le corps et l’esprit s’aèrent, se changent les idées. De manière générale, le sport permet de délivrer des endorphines dans le corps, ce qui réduit le stress de manière significative. Et pour ceux qui n’aiment pas le sport, il est possible d’apprécier le sport en pratiquant un sport qui vous plait !
La méditation : de récentes études accordent à la méditation de plus en plus de crédit et de bienfaits au quotidien. Et pour cause, la méditation –surtout celle de pleine conscience- permet de réduire le stress et les états d’anxiété. Prenez du temps pour vous et votre corps !
La sophrologie : médecine parallèle de la respiration et de tout ce qui s’y relie, la sophrologie permet de réduire le stress également. Le stress étant directement relié au système respiratoire, la pratique régulière de la sophrologie permettrait de pouvoir gérer le stress au quotidien grâce aux exercices qu’elle propose.
L’hypnose : enfin, l’hypnose contre le stress pour monter sa boite par exemple, s’attaque directement à la source de stress et/ou d’anxiété, et permet d’évacuer celle-ci afin d’éviter le burn-out, conséquence directe d’une trop grande accumulation de stress.
En quelques mots…
Le stress est ainsi inhérent à l’être humain. Pour autant, cela ne signifie pas qu’il doit être sans cesse subit sans réplique. Les gestes du quotidien permettent de le faire fuir rapidement, et d’autres pratiques sur le long terme peuvent également offrir de nouveaux moyens de s’en débarrasser. Cela va évidemment de pair avec une bonne hygiène de vie, des repas équilibrés et des nuits reposantes au maximum.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose dans la capitale, mais également des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique.
Vous pouvez prendre rendez-vous via Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être pour se (re)découvrir. Loin des tracas et du stress quotidien, celles-ci offrent la possibilité de s’écouter, se découvrir et se comprendre plus profondément.
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Nettoyer son foie au printemps
Saison du renouveau et de la mise en place, le printemps est également propice aux détox en tous genres. Mais plus que la détox, il semble particulièrement important de faire attention au foie. Cet organe n’échappe pas à la règle : il est important de le nettoyer de temps en temps ! Et pour cause, le petit organe du foie représente surtout une source de colère, puisqu’il est directement relié à cette émotion. De même, le bon fonctionnement du foie permet le bon fonctionnement de nombreux autres points du corps humain (les tendons, les ongles, les yeux et le sang). Alors comment prendre soin de son foie au printemps, et surtout le nettoyer de la bonne façon ?
L’importance d’un foie en bonne santé
Le foie est un organe qui, tout comme les autres, a une importance dans le bon fonctionnement du corps humain. Tout étant relié entre le corps et l’esprit, il suffit d’un déséquilibre pour que d’autres douleurs naissent alors dans le corps. Selon le centre hépatobiliaire, le foie gère :
- La sécrétion de la bile ;
- La détoxication ;
- Les sécrétions du corps ;
- L’équilibre de la circulation ;
- L’immunité du corps ;
- Métabolisme des micro et macro nutriments.
Et pour aller encore plus loin…
Pourquoi nettoyer son foie au printemps ?
Afin de bien comprendre toute la valeur du foie pour le corps, les émotions et l’esprit, il faut se pencher sur la médecine traditionnelle chinoise. Elle relie effectivement le foie avec :
- Les tendons ;
- Les ongles et les yeux ;
- Le drainage du sang ;
- La colère ;
- L’impatience,
- Le ressentiment
- L’impulsivité.
Dans la médecine traditionnelle chinoise, le printemps est directement lié à l’organe du foie ! C’est aussi ce pour quoi le printemps est la saison de la colère et de la mise en place. Il est donc important de nettoyer son foie au printemps. D’une part, cela permet de détoxifier le foie et par extension beaucoup de micro systèmes du corps humain. D’autre part, nettoyer le foie permet également de se libérer des émotions auxquelles il est directement relié et qui dépendent de son bon fonctionnement.
Comment savoir quand il est temps de nettoyer son foie ?
Si le printemps semble propice au nettoyage du foie, c’est surtout en médecine traditionnelle chinoise que cela s’explique. Le printemps est une saison directement en lien avec cet organe vital, et il est possible de le faire à cette période pour bien recommencer l’année. Toutefois, certaines gênes et douleurs peuvent également vous mettre la puce à l’oreille ; est-il temps de nettoyer votre foie ? Probablement !
Parmi ces gênes et douleurs, on retrouve notamment :
- Des douleurs dans les côtes ou la cage thoracique ;
- Inflammation des yeux (larmes, grattages, vision trouble) ;
- Migraines et vertiges ;
- Boule dans la gorge ;
- Tensions physiques et émotionnelles.
Si ces signaux apparaissent, il est alors peut-être temps de nettoyer votre foie. Néanmoins, si ces gênes n’apparaissent qu’une seule à la fois, cela peut aussi être lié à d’autres déséquilibres dans le corps, qui n’ont peut-être rien à voir avec le foie. En cas de doute, il est important de consulter.
Comment nettoyer son foie ?
Le nettoyage du foie passe principalement par l’alimentation. Le processus peut toutefois être accompagné de tisanes. Le nettoyage du foie permet à cet organe de se « reposer » en faisant moins travailler le système digestif, en évitant les graisses et les huiles, mais aussi en éliminant les aliments qui ont un important effet pro-inflammatoire.
Cela permet également d’équilibrer les hormones dans le corps, d’améliorer les fonctions immunitaires, le transit intestinal ou la digestion. Et plus généralement, le nettoyage du foie permet de fournir des nutriments pour revitaliser l’entièreté du système cellulaire et soutenir les autres organes.
Quels aliments pour nettoyer son foie ?
Privilégiez les légumes : en particulier les légumes verts qui se révèlent très bons pour le foie. Les légumes amers comme l’endive également. De même, les crucifères (choux, brocoli, choux de Bruxelles…etc.) sont également de bons alliés lors d’un nettoyage du le foie. De même, les jus, bouillons et autres soupes sont également à préférer lors du processus de nettoyage du foie. Ils permettent en effet de reminéraliser le corps, ce qui encourage les tissus à se débarrasser des toxines et des déchets.
Outre les légumes, c’est surtout une alimentation biologique ou très naturelle que l’on va mettre en lumière sur les assiettes. Parmi les aliments à privilégier, on retrouve :
- L’avocat (qui aide à filtrer le foie) ;
- Le curcuma (améliore la production de bile et maintient le foie en bonne santé) ;
- L’ail et l’oignon (parfaits pour protéger et nettoyer le foie) ;
- Les légumes crucifères ;
- Les céréales complètes (elles auraient des vertus pour le foie et le système cardiaque) ;
- Les fruits (il est possible de manger des fruits, mais pas tous à la fois. De même, il est préférable d’éviter les jus trop concentrés et de privilégier des jus naturels).
Enfin, les tisanes sont également un outil important pour le nettoyage du foie. Elles permettent d’hydrater et de purifier le corps dans son ensemble, mais en adaptant certaines plantes, la tisane permet également de détoxifier le foie. Certaines herbes sont d’ailleurs plus efficaces que d’autres. C’est le cas pour :
- La chlorelle : elle aide à éliminer les métaux lourds de l’organisme ;
- Le pissenlit : aide le foie dans la digestion et l’élimination des toxines ;
- Le chardon-marie : cette plante possède à la fois des vertus protectrices pour le foie et stimulatrices pour le fonctionnement de celui-ci ;
- Le boldo ou le radis noir : encouragent la sécrétion de bile ;
- Le desmodium : cette plante apporte une aide importante puisqu’elle permet de drainer le foie et aide aussi à régénérer les cellules de celui-ci. Enfin, il stimule le foie sans prendre le risque de l’irriter ;
- Le curcuma : c’est l’épice attitrée du foie. En effet, le curcuma permet d’assister le foie dans ses fonctions naturelles, tout en améliorant son nettoyage naturellement.
En quelques mots…
Ainsi, le nettoyage du foie est parfois un rituel important. Lorsque la nouvelle saison arrive, c’est souvent la meilleure période pour pouvoir se lancer dans un nettoyage du foie complet – parce qu’un foie en bonne santé, c’est un corps en bonne santé ! Grâce à une alimentation adaptée et des herbes accompagnatrices, il sera alors possible de trouver l’équilibre entre se faire plaisir et nettoyer son foie.
De plus, pour un nettoyage encore plus total, il est possible de faire appel à différents professionnels de la santé.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences. Je vous accueille à Paris pour des soins du corps ou du visage (drainage lymphatique), ou des séances d’hypnose.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De plus, j’organise également des retraites bien-être pour se (re)découvrir. Au plus porche de la nature, les retraites sont un lieu de bien-être et de découverte de soi, loin des soucis quotidiens.
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Se connaître pour se faire plaisir
Dans la vie, se faire plaisir, c’est important ! Et le plaisir passe à travers de nombreux petits détails qui s’établissent dans la vie quotidienne. Il peut s’agir d’une grasse matinée ou d’un coucher de soleil avec une bonne tisane, tout comme le plaisir passe à travers une soirée entre amis ou rendre visite à sa famille ou encore une balade dans la nature qui agit sur le bien-être et est une hypnose contre le stress. Chaque personne trouve son propre plaisir dans différents endroits, diverses actions ou même différentes contemplations. La chose essentielle étant de se connaître suffisamment pour savoir quels sont les détails de la vie qui vous procureront du plaisir !
Se connaître psychologiquement
Se connaître psychologiquement, cela comprend le savoir qu’une personne possède à propos de sa psychologie. Il est à noté que tout ce qui touche à la spiritualité d’un individu est également comprise dans la connaissance psychologique. Autrement dit, c’est le fait de savoir quelles sont ses limites et ses forces. Mais se connaître va également au-delà de ces simples informations, puisque d’un point de vue psychologique, il s’agira de découvrir, d’apprendre, d’accepter tous les mécanismes, les blessures, les forces et les faiblesses que vous possédez. D’où l’importance de se connaître à travers son propre regard !
Parmi ce qui compose la connaissance psychologique d’une personne, l’on peut notamment citer : les croyances limitantes, la valeur de l’individu dans son propre regard, l’estime que l’on se porte mais aussi la confiance que chacun place en soi. C’est avoir conscience de ses limites comme de ses atouts, de ses compétences, de ses facultés, mais aussi des blessures qui laissent des traces.
Afin de se connaître psychologiquement, il est possible de :
- S’auto-observer ;
- S’accepter dans la totalité de ce que l’on est ;
- Etre bienveillant envers soi-même quand on fait une erreur ;
- Etre bienveillant envers soi-même lorsqu’on réussit quelque chose ;
- Ecouter son instinct et les envies de son cœur ;
- Ne pas se fermer au changement que la vie provoque et qui nous atteignent.
En se connaissant psychologiquement, il est alors possible de se faire pleinement plaisir. Et pour cause, si vous vous connaissez, vous saurez quelles sont les situations qui vous font du bien, les besoins qu’il vous est nécessaire de combler. Mais plus encore, vous saurez de quelle façon les combler !
Se connaître physiquement
Se connaître physiquement va bien au-delà du fait de savoir quelle taille de pantalon ou de chaussures il vous faut. Tout comme pour se connaître psychologiquement, il va s’agir de plonger en soi-même pour en déceler tous les méandres, en découvrir chaque recoin. À la façon dont on découvre un nouveau lieu, se connaître soi-même passe à travers différentes étapes qui permettent de sonder qui l’on est au plus profond de soi.
Parmi ce qui compose la connaissance physiologique et physique de soi, l’on peut notamment citer : la connaissance de ses limites physiques, les liens entre le corps et certaines émotions –lesquelles sont le plus difficile à gérer pour vous ?-, mais également le sport qui vous plait qui agit comme de l’hypnose, les aliments qui vous ravissent…, en bref, tout ce qui permet à votre corps de se faire plaisir ou du bien !
Pour se connaître physiquement, il est possible de :
- Ecouter les signaux de son cœur et de son corps ;
- Ecouter ses émotions et les accepter (elles sont présentes pour une bonne raison) ;
- Faire confiance aux réactions de son corps (il sait parfois des choses avant le cerveau) ;
- Découvrir les limites de votre corps dans la bienveillance (elles sont parfois plus loin que ce qu’on pense !) ;
- Se faire plaisir !
Enfin, se connaître physiquement implique également de pouvoir se faire plaisir de façon saine et bienveillante. Respecter son corps, ce n’est pas forcément aller à la salle de sport tous les jours ; c’est l’écouter, le chérir, l’accepter tel qu’il est en dépit des changements auxquels il fait face… Il est essentiel de faire passer le bien-être mental et physique avant les injonctions que la société ou les autres peuvent faire peser sur nous parfois.
Se connaître sexuellement
Enfin, se connaître sexuellement est la dernière touche finale du tableau que votre être compose. Et pour cause, la sexualité, bien qu’encore souvent taboue, est l’un des piliers du bien-être. Afin d’avoir une sexualité épanouie et pouvoir se faire plaisir, il est important de d’abord explorer cette partie-là de soi par ses propres moyens. En effet, si vous ne savez pas ce que vous aimez, comment un partenaire pourrait le savoir ? Bien qu’il soit tout à fait possible de découvrir de nouvelles choses tout au long de sa vie.
Parmi ce qui compose la connaissance sexuelle de son propre corps, on peut notamment citer : les zones érogènes, le plaisir, la sensualité, les préférences personnelles, l’intensité du désir, la variabilité de la libido… etc.
Pour se connaître intimement, il est important de :
- Prendre son temps, trouver son propre rythme ;
- Expérimenter seulement si on en a l’envie ;
- Ecouter ses désirs, ses envies ou ses doutes ;
- Favoriser la communication avec vos partenaires ;
- Découvrir où naît son propre plaisir.
Ainsi, en se connaissant sexuellement, vous vous offrez la possibilité de mieux profiter des moments intimes. Il n’y a en effet aucun mal à guider l’autre personne si elle veut vous faire plaisir. La communication est la clé. Qu’elle s’établisse entre soi et ses désirs, ou les désirs de la personne en face, il est important que les notions de respect et de bienveillance soient respectées.
En quelques mots, pour se faire plaisir…
Le plaisir passe par tous les aspects de notre vie. Se faire plaisir, c’est s’accorder du temps et décider de se faire un petit cadeau. Parce qu’on en a l’envie ou le besoin, se faire plaisir est primordial, surtout durant les périodes ou les nuages de tracas s’accumulent. Alors que cela passe à travers la lecture d’un bon bouquin, un carré de chocolat ou un orgasme avec un partenaire, foncez ! Se faire plaisir n’a jamais été aussi simple qu’en se connaissant !
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnothérapie, mais aussi des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique – aussi un moyen de se faire plaisir… !
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être tout au long de l’année qui permettent de se trouver au plus proche de la nature et de soi-même. Afin de se (re)découvrir, embarquez dans un voyage intérieur riche en émotions et en apprentissage.
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Dormir mieux pour réduire les risques d’AVC
Qui ne s’est jamais senti fatigué à peine quelques minutes après le réveil ? La fatigue est parfois joueuse, et échappe aux nuits difficiles. Mais si les médecins recommandent des nuits d’environ huit heures pour une personne adulte, il se pourrait bien que certaines études établissent un lien entre le temps de sommeil et le risque d’AVC. De même, l’heure du coucher aurait également une influence sur la qualité du sommeil.
Ce qui favorise les risques d’AVC
La fatigue serait l’un des risques principaux d’AVC. Et plus exactement, c’est car la fatigue influencerait directement les taux de « régulateurs physiologiques essentiels » selon le professeur Christopher De Souza. Plus particulièrement, ce sont les micro-ARN, capables d’affecter de nombreux gènes, qui en seraient à l’origine.
Outre la fatigue, de nombreux autres paramètres peuvent augmenter les risques d’AVC, comme l’hypertension, la sédentarité, le taux de cholestérol, une mauvaise alimentation ou le tabagisme. Le diabète, la consommation d’alcool ainsi que le stress sont également des facteurs non-négligeables.
Les risques d’AVC sont ainsi augmentés selon divers modes de vie ou maladies existantes. Le sommeil, s’il est bon et réparateur, peut diminuer ces risques de manière significative. Alors comment cela fonctionne ? Et de quelle manière est-il possible d’optimiser son sommeil au quotidien ?
Un bon sommeil pour réduire ces risques
Les études se multiplient à propos des bienfaits du sommeil. Mais encore faut-il avoir un « bon sommeil ». Si pour certaines personnes, cela se traduit à travers un certain nombre d’heures de sommeil, pour d’autres, il s’agira de ne pas être interrompu par des réveils incongrus ou des rêves effrayants. Les scientifiques estiment quant à eux qu’un sommeil est bon « lorsqu’au moins 85% du temps total passé dans le lit est consacré au sommeil », selon un article de santé magazine.
Pour autant, la grande majorité des gens ne peut pas dire qu’elle dort bien. Entre le stress, les excès de café, l’environnement ou les soucis qui s’agitent sous le crâne quand on n’aspire qu’à du calme, difficile de s’y retrouver et de dormir comme on le voudrait ! Aller voir un hypnothérapeute à Paris peut vous aider à vaincre vos soucis.
Malgré ces études, donc, et les nombreux conseils qui circulent pour améliorer le sommeil, il demeure souvent un point que l’on oublie de mentionner : si ne pas assez dormir favoriserait les risques de maladies cardiovasculaires, le fait de trop dormir aurait les mêmes effets. Selon les professionnels, il faudrait entre 7 et 8 heures de sommeil par nuit. Au-dessous, le corps n’aurait pas le temps d’accomplir son travail régénérateur ; au-delà de ce nombre d’heures, le sommeil peut alors être révélateur d’une inefficacité sur la santé et donc, qu’il est important de se faire soigner.
Toutefois, ces observations sont à nuancer. Et pour cause, si le sommeil peut directement influer sur l’état de santé général d’un individu, il est impossible de savoir à quel point. De même, certaines personnes ont naturellement besoin de plus de huit heures de sommeil, tout comme six heures suffisent à d’autres. Cela rajoute une complexité indéniable quant à l’importance exacte du sommeil, bien que ladite importance –voire nécessité- ne soit nullement remise en cause.
Enfin, le fait que certaines personnes voient leur sommeil être perturbé par des insomnies, de l’apnée, ou encore des rêves qui reflètent un traumatisme ne permettent pas encore aux données enregistrées d’être suffisamment représentatives.
Ce qu’il faut retenir, néanmoins, c’est le besoin implacable de dormir que possède l’être humain. Au-delà d’une bonne hygiène de vie, le sommeil est également l’un des besoins primaires que l’on possède tous. Alors comment le favoriser au maximum afin qu’il éloigne au plus possible les risques de maladies cardiovasculaires et en particulier les AVC ?
Des heures de coucher qui ont aussi leur importance
En se basant sur le rythme circadien de l’être humain, de nombreuses études ont suivi un éventail de personnes pour surveiller leur sommeil. C’est notamment le cas de l’étude réalisée par la Société Européenne de Cardiologie, qui a révélé un lien entre l’heure d’endormissement et le risque de maladies cardiovasculaires. Parmi les résultats obtenus, les personnes ayant l’habitude de s’endormir après minuit ont davantage eu de maladies cardiaques (AVC, crise cardiaque, autres cardiopathies…etc.) que celles ayant l’habitude de s’endormir entre 22 heures et 23 heures.
Alors comment expliquer ce phénomène ?
Cela aurait certainement un lien avec la qualité du sommeil qui se manifeste. Après minuit, le sommeil vient plus lentement, décalant ainsi les phases de sommeil et leurs vertus pour le corps humain. En effet, se coucher à des heures avant minuit favoriserait un sommeil récupérateur et une meilleure santé, comme l’explique mon article pourquoi les heures récupératrices de sommeil sont celles avant minuit ?
De même, des heures de sommeil trop irrégulières ou totalement décalées par rapport au cycle circadien du corps humain seraient à l’origine de nombreux effets sur celui-ci. Au niveau des maladies cardiovasculaires, rien n’a été pleinement prouvé, pourtant, beaucoup de personnes travaillant de nuit, par exemple, souffrent de certains maux plus facilement. Il est possible d’en apprendre davantage dans l’un de mes autres articles : L’impact d’un mauvais sommeil sur le corps et l’esprit.
Ainsi, il est possible d’établir une corrélation entre le manque de sommeil –ou les effets d’un mauvais sommeil sur la santé- et les maladies cardiovasculaires. Néanmoins, à ce jour, aucune étude précise ne relate la nature du lien entre ces deux faits mis à part le taux de micro-ARN dans le corps. Ce qui est certain, c’est que le sommeil est l’un des besoins les plus importants de l’être humain, et cela n’est pas sans raison. Reposant, il permet aux fonctions du cerveau de se réguler et aux cellules du corps humain de se régénérer, permettant entre autre au système immunitaire de fonctionner correctement.
Le sommeil est donc très important. Il est d’ailleurs possible de mettre en place des habitudes, des « rituels » avant de dormir afin de favoriser un sommeil le plus optimal et réparateur possible. Mon article « Comment bien dormir ? » vous en dira plus !
Toutefois, si certaines raisons conscientes ou inconscientes empêchent votre sommeil de se manifester correctement, il est important de ne pas attendre trop longtemps. En effet, sur le long terme, le manque de sommeil peut avoir des répercussions plus importantes que de petites pertes de mémoires. Consulter un spécialiste du sommeil peut se révéler être d’une grande aide. De même, il y a également des médecines parallèles qui peuvent s’avérer être des aides au quotidien, comme des séances d’hypnose du sommeil, qui peut lever le voile sur les causes qui tourmentent vos nuits.
Hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences, je propose d’ailleurs des séances d’hypnose, ainsi que des soins thérapeutiques pour le corps ou le visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être tout au long de l’année. Offrant la possibilité de s’éloigner du quotidien et des soucis parfois trop présents, se retrouver au plus proche de la nature pour se (re)découvrir intérieurement peut parfois être la solution.
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L’acné ne dure pas… elle est passagère, croyez-en vous !
L’acné touche beaucoup de personnes, et ce, dès l’adolescence. Se répartissant sur le visage, le cou et parfois le dos, l’acné est souvent perçue comme une tare dont on peine à se débarrasser… jusqu’à penser que cela n’en finira jamais ! Alors pourquoi l’acné dure parfois des années ? Finit-elle toujours pas disparaître ? Et quelles « blessures » peut-elle laisser après être partie ? Zoom sur cette inflammation des glandes sébacées qui peut causer parfois plus de dommages que ce qu’elle laisse paraître à la surface de l’épiderme.
Qu’est-ce que l’acné ?
Dans un premier temps, il est important de distinguer l’acné adolescente, dite juvénile, et l’acné chez l’adulte, appelée acné tardive. Si la première touche plus de la moitié de la population de plus de 15 ans, la seconde elle, est plus rare et touche de plus en plus les adultes de plus de 25 ans. Par ailleurs, les femmes adultes sont davantage touchées par l’acné que les hommes.
Mais qu’est-ce que l’acné ? Elle se définit comme étant une maladie de la peau due à l’inflammation des glandes sébacées. Ces glandes sont situées à la base des poils, sous la surface de la peau. Elles jouent plusieurs rôles, notamment pour l’hydratation de la peau en plus de lutter « contre les bactéries par la sécrétion d’un liquide gras qu’on appelle sébum ». Il existe différentes sortes d’acnés :
- Acné juvénile polymorphe (acné chez l’adolescent) ;
- Acné inflammatoire chez l’adulte ;
- Acné kystique ;
- Acné hormonale.
Depuis de nombreuses années, les dermatologues constatent par ailleurs une recrudescence des cas d’acné, tant chez l’adolescent que chez l’adulte ; chez les premiers, ils viennent de plus en plus tôt pour se faire traiter ; chez les seconds, la moyenne d’âge augmente de manière significative.
Un désagrément passager…
Malgré la durée de la présence de l’acné chez une personne, rassurez-vous, est passagère. Comme beaucoup de choses, elle dépend aussi des causes qui la provoquent et peuvent l’accentuer. Dans le cas de l’acné, que celle-ci soit juvénile ou tardive, il y a des éléments qui peuvent l’exacerber. C’est notamment le cas de :
- Problèmes hormonaux ;
- De stress ;
- De la pollution ;
- Du tabac ;
- De certains cosmétiques utilisés ;
- De l’alimentation, surtout si elle est trop sucrée ;
- D’une contraception mal adaptée chez les femmes.
De même, certains facteurs favorisent l’acné chez l’adulte, comme :
- Des antécédents familiaux ;
- Des déséquilibres hormonaux ;
- La consommation excessive de tabac, qui décuple l’acné ;
- Un changement de contraception ;
- Ou encore une alimentation déséquilibrée, ou déficitaire de fruits et légumes ou d’Oméga 3.
De même, il est important de noter que contrairement aux idées reçues, le soleil ne soigne pas l’acné naturellement. Et pour cause, même s’il permet de faire sécher les boutons, la peau apparait plus lisse au début. Mais ensuite, lorsque la peau sera moins asséchée –et elle le sera-, les glandes sébacées vont produire davantage de sébum encore. Autrement dit, le soleil, s’il est agréable dans un premier temps, finira par aggraver la situation de la peau et surtout l’acné.
Aujourd’hui, il existe de nombreux traitements qui permettent de prendre en charge l’acné très tôt, et de le faire s’arrêter tôt également. Il faut tout de même compter quelques années pour faire disparaître totalement l’acné juvénile, bien que cela n’écarte pas le risque que l’acné se manifeste de nouveau plus tard.
… Qui peut causer des blessures dans le temps
L’acné, même une fois que vous en êtes débarrassés, peut laisser des séquelles. Bien entendu, il y a parfois des cicatrices plus ou moins visibles sur les zones ayant été infectées dans le passé (visage, cou et dos notamment). Mais plus encore, c’est le rapport à soi-même qui peut en être déséquilibré ou totalement voler en éclat. Et pour cause, si l’acné est prise en charge de plus en plus tôt notamment chez les adolescents, c’est aussi parce qu’il règne dans notre société un certain rapport à la beauté et aux normes de beauté qui évolue. Une peau lisse et sans défaut côtoie les discours de « au naturel », ce qui peut tronquer le rapport à soi lorsqu’on est encore en pleine recherche de soi, et surtout, en pleine construction de soi.
Chez l’adulte, cela peut également faire naître un sentiment de honte, car ces cicatrices sont dues à une période difficile de l’adolescence ou de la vie –pour l’acné tardive. Psychologiquement, le fait que l’acné soit davantage éprouvée par des personnes adolescentes peut également causer quelques troubles quant au rapport à soi, allant jusqu’à la crainte de ne pas être pris au sérieux en tant qu’adulte.
Ainsi, si l’acné laisse parfois des traces visibles sur le corps, ce sont surtout les traces psychologiques qui sont difficiles à surmonter. Il est possible de gagner en estime de soi grâce à l’hypnose.
Reprendre confiance après l’acné !
Mais il ne faut pas désespérer ! L’acné s’en va, et les cicatrices se traitent aussi. Ce qui est important, ce ne sont pas les marques que votre peau vous montre tous les jours dans le reflet du miroir ; c’est surtout le regard que vous portez sur elles. Et si au lieu de les voir comme un renvoi incessant à une période difficile, vous les considériez comme une victoire contre l’acné, une nouvelle ère qui commence ?
Se connaître à travers son propre regard avec une hypnothérapeute à Paris devrait être l’importance première de tous, celle qui devrait supplanter les « on-dit ». Même si cela paraît difficile, il est possible, au terme d’un travail sur soi important, de passer au-dessus, pour simplement profiter de ce nouveau temps qui s’ouvre devant vous : l’acné est derrière, et même si des précautions sont de mises notamment par rapport au soleil, vous ne souffrez plus de l’acné !
Ainsi, l’acné peut se déclencher tant chez les adultes que chez les adolescents. Pour autant, elle n’est pas infinie dans sa durée. Il existe de nombreux traitements et de soins qu’il est possible de faire, tant pour venir à bout de l’acné que pour atténuer les cicatrices que sa disparition laisse à la surface de l’épiderme. De même, l’acné n’est pas une malédiction ; elle passe un jour, disparaît dans les souvenirs, et finit par laisser place à de plus beaux jours devant vous !
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences. En plus de l’hypnothérapie, je propose également des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise également des retraites bien-être au plus proche de la nature, qui permettent de se (re)connecter à soi et de s’éloigner des soucis de quotidien.
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Se connaître à travers son propre regard et pas celui du groupe
« Connais-toi toi-même », devise personnelle de Socrate, formule inscrite sur le fronton d’un temple de Delphes est peut-être l’un des préceptes philosophiques les plus importants. De tout temps, se connaître a été le travail d’une vie, et pour beaucoup, un sacré défi. Mais finalement, qui est le mieux placé pour pouvoir connaître quelqu’un si ce n’est lui-même ? Au-delà de la dimension philosophique, c’est surtout l’importance de son propre regard sur soi qui est à reconquérir. Parce que personne, excepté soi, ne pourra jamais connaître toute l’étendue de ce qui compose un être unique.
Se connaître, qu’est-ce que ça signifie ?
Le terme de connaissance de soi peut se définir comme étant le savoir qu’une personne tente de posséder sur elle-même. Autrement dit, ce qu’un individu sait de lui-même. Mais comment apparaît ce savoir ? Il n’y a évidemment aucun livre qui raconte qui nous sommes –ce serait bien trop facile ! En revanche, les expériences que chacun vit au cours de sa vie le mènent à des constats. Ces constats concernent de nombreuses parties qui le composent, comme la prise de décision, la notion de volonté, de gentillesse, de compassion, mais aussi les limites, la gestion du stress ou l’anxiété.
Se connaître soi-même, c’est faire la somme de ces expériences pour appréhender la substance qui nous compose. C’est être attentif à ce que l’on fait, et les raisons pour lesquelles l’acte est effectué. Ainsi, se connaître, c’est porter sur soi un regard unique, subjectif bien sûr, mais surtout qu’il vous importe de modifier et de faire évoluer tout au long de votre vie.
L’impact du regard des autres au quotidien
Alors comment procéder pour se voir à travers son propre regard ? La première étape semble bien évidente, lorsque pour certains, le regard des autres pèse si lourd. Il faut pourtant pouvoir s’en libérer afin de privilégier votre propre regard sur vous-même. C’est un processus qui prend du temps et demande de la force, c’est un choix quotidien, c’est la volonté de se choisir soi-même, choisir son avis, décider que vous comptez plus que ce que les autres pensent de vous.
En effet, au quotidien, le regard des autres peut se montrer tranchant. Et petit à petit, il élime minutieusement votre soi profond, votre estime, vos valeurs et renforce par la même occasion vos croyances limitantes. Se libérer du regard des autres, c’est ne plus faire vos choix en fonction de ce qu’ils pourraient penser ; mais ne les faire que pour vous, votre avenir et votre bien-être.
Au-delà du regard des autres, il est important de se connaître pour ce que vous êtes vraiment. Par exemple, si l’une de vos amies n’a de cesse de vous répéter à quel point vous êtes drôle, ne le prenez pas pour acquis. Toutes les qualités ne s’expriment pas de la même façon selon l’interlocuteur, selon le cercle social dans lequel vous vous trouvez. Aussi il est important de comprendre par vos propres moyens dans quelle mesure cette qualité se montre ou non, et surtout, pour quelle(s) raison(s).
Ainsi, en vous libérant du poids du regard des autres, vous apprenez à faire confiance à votre propre regard. Vous vous connaissez –ou vous apprendrez à vous connaître- par ce biais-là également. Petit à petit, la peur du jugement d’autrui s’estompe au profit de votre seul jugement, qui est mis en avant et importe à vous-même. Ainsi, l’hypnose d’estime de soi vous aide à renforcer ce sentiment.
L’importance de son propre regard
Se connaître soi-même, c’est essentiel pour pouvoir vivre en harmonie avec soi. Que ce soit dans son propre corps ou son esprit, chacun tient une place importante. En partant de ce postulat, il est alors parfois plus aisé de s’appréhender.
Mais l’importance de son propre regard, c’est aussi une forme de liberté. Et pour cause, en vous libérant de celui des autres afin de privilégier le vôtre, vous vous offrez la possibilité de mieux vous connaître. Et mieux se connaître, c’est aussi pouvoir prendre des décisions qui vous seront bénéfiques, seront en votre faveur ou celle de votre avenir.
Comment se connaître ?
« Qui mieux que vous sait vos besoins ? Apprendre à se connaître est le premier des soins. »
Jean de La Fontaine
Passer du temps avec soi :
C’est primordial ! Tout comme l’on passe du temps avec une personne que l’on a envie de découvrir, il est important de pouvoir s’en dégager pour passer du temps avec soi-même. Qu’est-ce qu’il est apprécié de faire, voir, manger ? Comment réagissez-vous dans telle ou telle situation ? Petit à petit, votre armure se fissure pour laisser place à la merveilleuse personne que vous êtes et avec qui vous vous apprêtez à faire connaissance. Et quel plus beau spectacle !
Se connaître aussi à travers les autres :
Attention toutefois ; si passer du temps avec soi-même est nécessaire pour apprendre à se connaître, il est également important de ne pas laisser de côté ses relations sociales. En effet, si s’accorder quelques temps de solitude permet de mieux se connaître, entretenir des relations avec autrui le permet aussi !
Etre bienveillant envers soi-même :
Quelle que soit la nature de ce que vous découvrez sur vous-mêmes, il est important de toujours conserver un regard bienveillant sur soi. Plus facile à dire qu’à faire, certes ! Mais ce n’est pas impossible, en plus d’offrir une dimension « safe », une ambiance de confiance envers vous-même. Et dans la connaissance de soi, la bienveillance dont chacun est capable est primordiale.
Accepter le temps que cela peut prendre :
Apprendre à se connaître peut prendre du temps. Cela ne signifie pas que vous n’avez rien à apprendre sur vous –il y a toujours à découvrir, et certains y passent leur vie entière ! Mais simplement, parfois, il arrive que ce soit plus long. Selon ce que vous avez à déconstruire, selon les croyances limitantes dont il faut se déparer ou encore de la trace du jugement des autres ou de la peur qui se sont gravées en vous, s’accorder du temps pour le faire est essentiel afin de mener vers une connaissance de soi plus profonde et toujours nécessaire.
Ainsi, se connaître à travers son propre regard est une chance de tendre un peu plus vers le bien-être. Savoir qui l’on est, non pas dans un cercle social prédéterminé, non au travail, non plus durant un temps imparti mais plutôt dans sa totalité, dans une globalité parfois déconcertante est important. Se voir à travers son propre regard, c’est commencer à vivre pour soi, et non plus pour autrui. C’est s’aimer soi-même, pour vous y aider, il existe des séances d’hypnose pour avoir confiance en soi.
« Quel plus beau chemin que celui qui mène à votre propre écoute, à votre propre rencontre ? »
Alexandra Julien
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences. Je propose des soins thérapeutiques comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage – qui peuvent être une merveilleuse façon de passer du temps avec vous-même !
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites de bien-être, plusieurs fois par an. Au plus proche de la nature, c’est tout un programme durant quelques jours qui vous permettent de vous (re)découvrir loin des tracas du quotidien.
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Une vie de célibataire (à vie), c’est OK !
Le célibat a toujours été teinté d’une connotation péjorative lorsqu’il s’agissait du célibat d’une femme. Pourtant, un nombre croissant d’entre elles font le choix de le rester. Alors où en est-on face au célibat ? Pourquoi est-il parfois si mal vécu et d’autres fois, pleinement apprécié ?
Etre célibataire, qu’est-ce que ça veut dire ?
Il y encore quelques années, le mot « célibat » faisait irrémédiablement penser à la plus célèbre des célibataires de la pop culture : Bridget Jones. Désespérée, courant après l’amour et les hommes, et pleurant en mangeant des pots de glace, l’image de la femme célibataire était explicitement péjorative. Au-delà de la culture, c’est surtout le reflet d’une société patriarcale et sexiste qui s’exprime en résumant la situation de la femme célibataire au marasme et à la tristesse.
Depuis quelques années, les normes semblent bouger, et la représentation des femmes célibataires aussi. Séries, films, il est désormais possible de voir de plus en plus de femmes célibataires qui sont heureuses de l’être, et le célèbrent ! Celles-ci ne courent plus après les hommes mais vivent leur vie en totale indépendance.
Mais alors, être célibataire, qu’est-ce que ça veut dire exactement ?
Si à une certaine époque, être célibataire n’était que le contraire de « être marié », aujourd’hui, les choses sont légèrement plus complexes. Et pour cause, la société est régie par des cases dans lesquelles il faut s’établir.
Par ailleurs, il est admis d’avoir ce que l’on nomme un « statut marital ». Autrement dit, il s’agit de définir selon des cases prédéfinies (célibataire, marié.e, divorcé.e ou veuf.ve) dans quelle situation conjugale l’on se trouve. Mais les choses se compliquent drastiquement lorsqu’il s’agit de la situation d’une femme célibataire, puisqu’alors le mot ne désigne plus seulement un statut marital, mais également une situation personnelle et émotionnelle qui, le plus souvent, paraît transitoire aux yeux des proches.
« Alors, les amours ? »
« N’as-tu trouvé personne ? »
Aujourd’hui encore, il est difficilement admissible pour une femme de se dire célibataire par choix. La pression sociale et les injonctions familiales font peser sur les épaules des femmes de nombreuses exigences telles que se marier avant trente ans et fonder une famille.
Alors pour quelles raisons rester célibataire ?
Y a-t-il des raisons de rester célibataire ?
Comme pour beaucoup de domaines, les raisons qui motivent une personne à faire un choix peuvent être multiples et variées. Et le célibat est bel et bien un choix ! Même s’il existe de nombreuses personnes qui sont prêtes à s’investir dans une relation, pour beaucoup d’autres (plus invisibilisées), être célibataire relève du choix et non d’une tare à arborer honteusement. Cette image de célibataire désespérée commençant doucement à se briser permet également de mieux vivre son célibat.
Car dans les consciences collectives, le célibat est une période transitoire, plaçant le couple comme fin en soi de la vie sentimentale. Or, pour les femmes davantage que pour les hommes, le célibat est parfois un choix, et c’est tout à fait valide !
Pour autant, de nombreuses raisons peuvent motiver une femme à rester célibataire. Et s’il en existe autant que de femmes et de situations différentes, il est possible de compter parmi les raisons les plus populaires un besoin de liberté et d’indépendance, ainsi qu’une préférence personnelle que l’on retrouve chez beaucoup. Autre raison, l’envie de retrouver l’estime de soi avec de l’hypnose après une rupture.
Rester célibataire, c’est être en opposition au couple ?
Si en d’autres temps, les célibataires étaient un peu perçus comme les « bêtes noires » des groupes sociaux, de nos jours, le célibat est globalement plus accepté dans la société. Ainsi, les femmes célibataires n’apparaissent plus comme des femmes désespérées en mal d’amour, mais comme des personnes qui ont fait le choix de rester seule pour une période indéterminée.
Et c’est peut-être ici que réside la première « opposition ». Si les romantiques veulent que le couple dure toujours, le célibat, lui, est encore vu comme une période transitoire, une situation temporaire. Pourtant, nombreuses sont les femmes qui ont fait le choix de rester seules toute leur vie (plus récemment Jennifer Anniston, la célibataire la plus célèbre du monde !). Et cela ne les a ni empêché d’avoir une vie intime, ni une carrière, ni même d’être épanouies au quotidien !
Le couple impose certaines exigences, certaines situations que le célibat permet d’éviter. Loin d’être une fuite pour autant, la société évolue de telle sorte que la vision du couple se transforme petit à petit (l’émergence des couples dans le polyamour, par exemple) ; alors pourquoi pas le célibat ?
Car après tout, être célibataire, ce n’est plus être un mouton noir ou une paria ! C’est faire le choix d’être seule dans certaines tranches du quotidien, ce qui n’empêche nullement d’avoir de nombreux amis, de la famille, en bref, un entourage qui vous aime et tient à vous ! Si le célibat est parfois choisi comme rejet du couple, il n’en est pas pour autant l’ennemi numéro 1.
Pourquoi rester célibataire ?
La plupart des femmes célibataires s’accordent à dire que le célibat leur permet une plus grande liberté. Et pour cause, si le couple veut que l’on partage les moments à deux, selon les relations et les déséquilibres qui existent dans le couple, cela peut rapidement devenir oppressant. L’impression de rendre des comptes à quelqu’un disparaît et un sentiment de liberté un peu plus important se fait ressentir.
Beaucoup d’autres femmes préfèrent rester célibataire, notamment après qu’une relation se soit mal passée. Il ne s’agit pas d’une rupture difficile, mais bel et bien d’une relation abusive. Ainsi, elles préfèrent rester seules qu’être mal accompagnées, ce qui leur permet aussi de se découvrir et de se reconstruire. Elles sont leur propre priorité.
Il existe également des personnes qui, lorsqu’elles sont en couple, ont cette impression délicate de jouer un rôle. De ne pas être elles-mêmes. Elles étouffent, se perdent, et cela peut prendre des années pour se retrouver ensuite. La vie en étant seule apparaît alors comme une solution viable pour être épanouie.
Quelques soient les raisons qui font que certaines femmes décident de rester célibataires, le fait est que le couple est souvent une charge pour la femme. Charge mentale, émotionnelle, sexuelle… les injonctions sociétales à être « la parfaite épouse » sont encore bien ancrée chez certaines personnes, et le célibat peut alors être une voie alternative au sexisme ordinaire… en plus d’être un choix éclairé !
Ainsi, rester célibataire tout au long de sa vie est un choix qui est de moins en moins considéré comme subversif. Même si certaines personnes ont encore du mal à le voir comme quelque chose de complètement positif lorsqu’il est décidé et choisi volontairement, le célibat, lui, reste cool ! Que ce soit pour une période d’un mois, d’un an ou toute la vie, être célibataire ne veut plus dire être seule et désespérée, mais plutôt être seule et aussi heureuse qu’en couple !
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris.
Que vous soyez célibataire ou en couple, je propose des soins thérapeutiques pour le corps mais aussi pour le visage, comme des séances de drainage lymphatique à Paris.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
De même, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Par ailleurs, j’organise également des retraites bien-être au plus proche de la nature qui permettent de se (re)découvrir. Que vous soyez heureuses ou sortiez d’une rupture, prendre quelques jours loin du quotidien étouffant peut s’avérer bénéfique.
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La force de la nature sur le bien-être
Qui n’a jamais ressenti un bien-être immédiat en se promenant en forêt, en campagne ou simplement en se trouvant proche de la nature ? Depuis quelques années, les psychologues et les scientifiques étudient les réels bienfaits de la nature sur la santé physique et mentale des êtres humains. Et si finalement, elle avait un impact bien plus fort que ce que l’on pourrait penser ?
La nature et sa force parfois insoupçonnée
Il y a des millions d’années, la nature était la maison des premiers êtres vivants. Pas d’immeubles, mais des arbres ; pas de magasins de proximité, mais une étendue de flore incroyable ; pas de routes en béton, mais des chemins qu’il fallait voir au travers des formes de Dame Nature.
De nos jours, l’on apprécie d’autant plus la nature qu’elle se raréfie, surtout dans les grandes villes. S’il y a bien de nombreux parcs, rien ne vaut la nature plus sauvage et moins disciplinée par l’Homme ! Qu’il s’agisse d’un week-end à la campagne, d’une marche en forêt ou simplement de l’arrivée des premiers rayons de soleil printaniers, ces petites choses qui paraissent anodines font parfois toute la différence, à commencer par leur impact sur le mental des personnes.
Et pour cause, la présence de la nature aurait de nombreux bienfaits sur le corps et l’esprit des individus qui prennent le temps d’aller à sa rencontre. Depuis quelques années, de nombreux professionnels de santé se sont arrêtés sur le cas de la nature et les bienfaits qu’elle comporte afin de favoriser une vie équilibrée.
Alors quels sont les bienfaits de la nature ? Et qu’est-ce qui explique les bienfaits que la nature possède sur nos êtres ?
Les bienfaits de la nature
De nos jours, la nature est d’autant plus appréciée qu’elle permet de se « ressourcer ». Que l’on vive au cœur d’une grande métropole ou d’un bourg dans les campagnes, la nature possède de nombreux bienfaits qu’il est plaisant de ressentir.
La nature diminue le stress :
Pour rappel, le stress qu’une personne ressent est inhérent au taux de cortisol, une petite hormone présente dans le corps humain. Au contact de la nature, cette hormone se calme, et influe alors directement sur le stress qui est parfois étouffant. Inconsciemment, le corps s’harmonise avec l’environnement dans lequel il se trouve, et loin de la circulation, de la ville et des tracas du quotidien, alors le corps et l’esprit se reposent, les muscles se détendent et l’esprit « respire » autant que les poumons loin la pollution !
Au sein des grandes villes, éloignées de verdure, il est également possible de réaliser de l’hypnose contre le stress à Paris.
Un corps en bonne santé :
Autre bienfait non négligeable, la nature est composée de nombreuses plantes, arbres et fleurs qui rejettent de l’oxygène. Autrement dit, la nature permet de filtrer l’air que nous respirons au quotidien. Lorsque l’on vit en ville, l’on peut parfois se rendre compte plus facilement de la pollution qui y existe. Dans la nature, l’air est plus pur, et cela, que l’on sente ou non la différence. Ainsi, au contact de la nature, le corps est plus susceptible de se détendre dans sa totalité, réduisant ainsi le stress et permettant d’apaiser certains maux comme les migraines, la douleur physique, et de diminuer aussi la pression artérielle, par exemple.
Les émotions entrent en symbiose :
Autre vertu qu’apporte la nature, c’est l’équilibre mental qu’elle provoque. Et pour cause, au contact de la nature, l’esprit s’apaise et les émotions avec lui. Outre le fait qu’elle soit une échappatoire magnifique et agréable à la vie urbaine, la nature et le contact avec elle provoquent tous deux un bien –être général, et ce, peu importe l’émotion qui prédominait lorsque vous êtes arrivé à la rencontre de la nature.
Sentiment de bonheur :
Dans la continuité des choses, si l’esprit et le corps parviennent à s’apaiser, le contact de la nature peut encore aller plus loin et provoquer chez certains un sentiment de bonheur pur. Et il y a de quoi ! La nature est souvent synonyme de liberté, d’indépendance, de joie, de possibilités… etc. En bref, tout ce qui peut rendre heureux ceux qui cherchent à rompre avec un quotidien terne et emprisonnant !
Ainsi, les contacts avec la nature, l’immersion dans ses feuillages ou les promenades dans ce qu’elle offre sont vivement recommandées. Et pour cause, elle porte en elle –au-delà des fleurs au bout des branches- de nombreuses vertus qui permettent d’apaiser tout aussi bien le corps, que l’esprit ou les émotions.
Explication des bienfaits de la nature sur l’être humain
Afin de creuser encore un peu, il faut comprendre que la nature, dans sa forme la plus brute et sauvage, possède de nombreux bienfaits. Elle trouve son équilibre, s’adapte aux climats, naît et se repose au fil des saisons… en bref, elle est un système indépendant. Un peu comme le corps humain, finalement !
Et si les deux sont comparables, le lien entre la nature et la santé de l’être humain n’a pas toujours été évident. En effet, le débat reliant les deux n’a émergé qu’il y a quelques années, et il semble désormais de plus en plus acquis que la nature possède un impact bénéfique sur la santé physique, mentale et émotionnelle de l’être humain.
Ce lien serait tout simplement dû à un besoin de côtoyer un écosystème dont nous dépendons. En effet, bien que la nature soit un bien commun (elle n’appartient à personne en particulier), c’est elle qui est à l’origine de notre condition vivante. Et pour cause, elle est responsable, dans son sens le plus large, de la flore et de la faune qui servent à nous nourrir, par exemple. Inconsciemment, l’être humain peut alors ressentir un lien particulier avec elle, plus ou moins prononcé d’ailleurs, qui l’encouragera à s’y rendre plus ou moins souvent.
Ainsi, certaines personnes ne peuvent pas vivre en ville car celles-ci ne présentent pas assez de nature. D’autres, au contraire, ne ressentent que très rarement le besoin de se rendre dans la nature. C’est dans ce que représente la nature pour l’Homme qui le pousse à le côtoyer.
Enfin, les bienfaits provoqués par la nature sur la santé de l’être humain peuvent également être expliqués par la source de vie qu’elle représente. On se sent à sa place, protégé, et tout le corps se détend.
De quoi voir la vie en vert !
La nature a donc de nombreux bienfaits sur l’être humain. Forte et indomptable, ses paysages, ses plages, ses secrets sous les feuillages… elle représente une échappatoire au quotidien. Mais plus profondément encore, elle symbolise la vie, puisque la majorité des aliments et des matériaux que l’on utilise provient d’elle. Abondante et insaisissable, elle est, à divers degrés, essentielle à chaque personne pour trouver une certaine forme d’équilibre.
De nos jours, de nombreuses thérapies en lien avec la nature émergent. Plus généralement, l’éco-thérapie est de plus en plus populaire, devant les résultats obtenus. De mon côté, j’organise des retraites bien-être, au plus proche de la nature, et loin des rythmes effrénés du quotidien. De quoi respirer et refaire le plein de belle énergie !
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences proposant de l’hypnothérapie à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques du corps et du visage, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage.
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Aimer le sport en faisant un sport qui vous plaît
Les gouttes de sueur qui longent le bout du nez avant de s’écraser au sol, le souffle court, les muscles gonflés à bloc… le sport est pour beaucoup synonyme d’une véritable peur ou simplement d’un désintérêt courtois. Et pourtant, le sport peut apporter un équilibre certain dans la vie. Entre travail, habitudes, métro et Netflix, parfois le sport représente l’un des seuls exutoires importants du quotidien. Alors comment s’y mettre quand on a toujours détesté ça ? Qu’on n’y a jamais vraiment vu d’intérêt ? Est-ce possible, et si oui, comment procéder ?
Déconstruire les mythes liés au sport
Comme pour tous les domaines, avant de se lancer, il faut déconstruire ce que l’on sait déjà. Ne pas s’engager avec l’esprit rempli d’idées reçues est primordial pour commencer une activité physique. Et pour cause, de nombreuses idées circulent à propos du sport, et ne sont pas vraiment encourageantes pour oser commencer une activité qui pourrait plaire.
Faire du sport pour maigrir :
C’est un grand NON ! Pour beaucoup de personnes, faire du sport, c’est ouvrir la porte d’un corps plus affiné, plus beau…etc. Pourtant, perdre du poids n’est pas la tache première du sport. Faire du sport, c’est avant tout faire le choix de muscler son corps ! Et s’il arrive que des gens perdent du poids grâce au sport, cela ne demeure qu’un outil, et ne doit pas être une motivation première, au risque de voir ses attentes être ébranlées au fil du temps ; le muscle pèse parfois plus que la masse graisseuse… !
Si vous souhaitez vous amincir, il existe des soins détente comme le massage Renata franca, qui, grâce à ses mouvements permet d’atténuer la cellulite en procurant une sensation de légèreté.
Devenir accro au sport :
Le sport est une activité physique qui permet de libérer de l’endorphine. Cette petite hormone permet de se sentir beaucoup mieux. S’il est possible de vouloir reproduire ce sentiment de bien-être le plus souvent possible, ce n’est pas pour autant que l’on finit accro au sport !
Le sport en ville ne sert à rien et est mauvais :
Cette idée reçue est parfois bien décourageante pour les citadins qui voudraient se mettre au sport. Et pour cause, si la ville enregistre un taux de pollution plus élevé qu’à la campagne, ce n’est en aucun cas un frein pour faire du sport ! Si vous souhaitez vous lancer dans un sport en extérieur (marche, jogging…etc.), privilégiez simplement les parcs ou les lieux qui présentent un peu de verdure, et le tour est joué ! Ce sera d’autant plus agréable de se trouver proche d’un peu de nature.
Une séance de sport doit durer au moins 45 minutes :
Là encore, c’est une idée fausse ! Le sport n’est pas bénéfique à partir d’une certaine durée à le pratiquer. Une séance de sport peut durer 20 minutes comme 1h05, c’est la régularité qui importe ! Autrement dit, le temps que vous laissez entre deux séances, et nullement le temps que dure une séance.
Ainsi, le sport, comme d’autres domaines traîne dans son sillage quelques idées reçues dont il est important de se libérer avant d’entamer un processus de séances de sport régulières.
Les bienfaits du sport
Par ailleurs, et outre l’endorphine que cela libère dans le corps, le sport présente beaucoup d’autres bienfaits, tant pour le corps que pour l’esprit. Parmi eux, l’on peut noter :
Retrouver sa confiance en soi :
La confiance en soi passe par les actions que l’on est capables d’accomplir. Faire un sport de manière régulière et se voir progresser dans la discipline choisie, c’est un bon booster de confiance en soi ! Plus généralement, au quotidien, la confiance en soi pousse ensuite à se lancer dans de nouveaux projets et s’épanouir plus facilement en trouvant un nouvel équilibre en accord avec la personne que vous êtes et les objectifs que vous vous êtes fixés.
Se sentir bien et détendu:
Grâce à l’endorphine, cette petite hormone libérée, une sensation de bien-être est ressentie après le sport. L’esprit est donc plus clair, en plus de relayer au second plan les possibles problèmes ou tracas quotidien. C’est donc un sentiment de bien-être qui vous enveloppe entièrement, en plus de permettre de se sentir plus détendu, de se libérer du stress, des soucis, voire même de la sensation de crouler sous le travail ou le quotidien.
Faire de nouvelles rencontres :
Dans le cas d’un sport collectif, il est également possible de faire de nouvelles rencontres. Cela permet de s’ouvrir aux autres, voire même de tisser de superbes amitiés !
Une meilleure condition physique :
Comme les autres bienfaits, une meilleure condition physique est l’une des vertus du sport – mais pas une motivation première sous l’injonction à la beauté ! Quoiqu’il en soit, il est indéniable que le sport offre une meilleure condition physique, notamment en réduisant les problèmes de cœur et liés au système cardio-vasculaire, il renforce de surcroît les articulations, permet de se muscler…etc.
Trouver le sport qui vous convient
Que vous préféreriez nager dans l’eau chlorée ou courir au petit matin, il existe forcément un sport qui est fait pour vous ! Parce que faire un sport qui vous plaise, c’est tout de même mieux que de vous forcer à faire une activité qui ne vous conviendra pas ou ne sera pas faite pour vous… Et afin de cerner au mieux possible celui qui est fait pour vous et saura vous apporter suffisamment de plaisir, il faut vous interroger ! Et parmi les questions que vous pouvez vous poser, en voici quelques-unes :
- Pourquoi je veux commencer le sport ? (pour me muscler, pour décompresser…etc.)
- Quel est mon objectif ? (me faire plaisir, me dépasser, rencontrer de nouvelles personnes…)
- Est-ce que je vais pouvoir y aller de manière régulière ? (selon le lieu et les horaires…)
- Aimerais-je un sport collectif ou plus solitaire ?
- Est-ce que je le fais pour moi, ou est-ce pour me plier aux injonctions sociétales ? (cela changera votre motivation au fil du temps).
Ainsi, trouver un sport qui plaise n’est pas chose aisée. Entre les idées reçues que transporte chaque sport, celles liés à la pratique d’une activité physique en général et les injonctions à la maigreur et à la beauté, il y a de quoi s’y perdre !
L’important, avant de commencer une activité physique de manière régulière et assidue, c’est aussi de vous assoir et de faire le point sur ce que vous attendez de ces moments. Car ce sont des moments qui vous appartiennent pleinement et qu’il est important de conserver de la régularité. Posez-vous la question de vos motivations, de vos attentes, et le sport qui convient le mot se révèlera quasiment seul à vous ! Et si aucun sport ne semble vous convenir… créez votre programme personnalisé !
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris. Je propose des soins thérapeutiques, non pas avec des animaux, mais pour le corps et le visage !
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Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui offrent la possibilité de s’éloigner du quotidien pour se reconnecter à soi et la nature.
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La puissance des animaux sur le bien-être
Qui n’a jamais ressenti de la joie à la vue d’un petit chat ou d’un chien qui s’amusait avec un bâton dans le vent ? Ces sentiments positifs qui nous enveloppent tendrement à la vue d’un animal (domestique ou non, d’ailleurs) est un phénomène scientifique qui s’explique. Plus que cela, les animaux pourraient bien avoir un impact sous-estimé sur le bien-être humain. Comment ? Pourquoi ? L’expérience du contact des animaux nous procure de la joie et nous aide à nous sentir mieux, et en voici l’explication !
Que se passe-t-il scientifiquement au contact des animaux ?
Afin d’expliquer scientifiquement ce qui se produit chez l’être humain lorsqu’il est au contact des animaux, il faut poser un contexte. Savez-vous ce qu’est la « biophilie » ? Ce terme se compose de la racine « bio » et du suffixe « phile » qui caractérise le fait d’aimer le vivant dans son entièreté. Son premier théoricien, c’est Edward O. Wilson, un biologiste et entomologiste (étude des insectes). Il est le premier à théoriser l’affinité pour le monde vivant et les systèmes naturels qui serait innée à l’être humain.
Outre cette théorie, il y a eu des études qui ont prouvé, à maintes reprises, les effets bénéfiques des animaux sur différentes parties de la population, comme les personnes âgées, les personnes incarcérées, ou encore les enfants atteints de troubles autistiques.
Afin de mieux concevoir les bienfaits concrets de la présence d’un animal, prenons l’exemple d’un chien. En côtoyant un chien, en tissant un lien affectif avec celui-ci, c’est aussi une augmentation du taux d’endorphines qui est constatée, ainsi que la présence de l’ocytocine (hormone du plaisir) directement libérée dans le cerveau. Par extension, le taux de cortisol diminue, ce qui réduit le stress.
Enfin, le rythme cardiaque diminue lui aussi, ainsi que la pression artérielle.
Ainsi, la présence d’un animal dans la vie d’un individu possède beaucoup d’avantages sur la santé de ce dernier, tant sur le plan mental que physique.
Les ateliers et médecines parallèles liés au bien-être qui ont émergés suite à ce constat
De ce postulat, de nombreuses pratiques liées aux animaux et au bien-être ont émergées. Parmi elles, l’on peut noter l’importance de la zoothérapie qui se démocratise de plus en plus. Du grec « zoo » qui se rapporte à l’animal, et « therapeia » qui veut dire « cure » ou « soin ». Le terme zoothérapie regroupe un ensemble de méthodes thérapeutiques qui inclue la proximité d’un animal, que celui-ci soit domestique ou non. Ces pratiques permettent de réduire le stress ainsi que les conséquences de certains traitements ou problèmes.
La pratique la plus répandue reste la méditation animale, à travers laquelle un animal est mis en relation avec une personne bénéficiaire de cette pratique de zoothérapie. Il s’agira alors de les aider à créer un lien, une relation d’aide mutuelle qui servira aux deux partis.
De même, ces pratiques zoothérapeutiques s’étendent à tous les animaux. On ne parle plus seulement d’emmener des chiens dans les maisons de retraite, mais bel et bien de cours d’équitation adaptés à des enfants atteints de troubles mentaux, par exemple.
Ainsi, les soins apportés par les thérapies animales ont déjà fait leur preuve, et continuent de se populariser. Si beaucoup de personnes, pour combattre leur solitude, se sont tournées vers l’adoption d’un animal de compagnie, il est désormais plus simple pour beaucoup de se tourner vers des soins de zoothérapie, puisque ceux-ci n’impliquent pas de devoir directement veiller au bien-être animal.
Il est toutefois important de rappeler la nécessité de comprendre que l’adoption d’un animal représente un engagement moral, financier et émotionnel jusqu’à la fin de la vie de celui-ci.
Les nombreux bienfaits des animaux sur la santé mentale et physique
Se connecter aux animaux présente donc de nombreux avantages. Parmi eux, l’on peut noter :
Une baisse de mortalité :
Et pour cause, vivre avec un chien, par exemple, nécessite de le promener plusieurs fois par jour. À terme, c’est de l’exercice physique qui est fait sans vraiment s’en rendre compte, ce qui réduirait le taux de mortalité de manière significative en diminuant le taux de cholestérol ainsi que la pression artérielle.
Augmentation du bonheur (et de son hormone) :
Plus récemment, une étude japonaise a révélé qu’un simple contact avec son animal de compagnie permettait de libérer un taux d’ocytocine important dans le cerveau. Cette hormone du bonheur est synthétisée par l’hypothalamus. Cette hormone est également source de nombreux bienfaits, puisqu’à terme, elle permet de favoriser l’empathie, la générosité ainsi que la confiance. Et lorsque l’ocytocine se fixe, cela libère par extension de la sérotonine, elle-même source de bonne humeur et d’une sensation de relaxation.
La relaxation :
Le sentiment de relaxation peut également venir des bruits que fait votre animal. Aussi étonnant que cela paraisse, il y a par exemple chez le chat qui ronronne, certains sons qui sont formés par le félin. Parfois très graves (de 20 à 50 hertz), ces sons deviennent thérapeutiques pour le corps. Physiquement, cela accélère le processus de cicatrisation, notamment en permettant à la peau de se décontracter, mais aussi un bienfait au niveau musculaire puisque ces sons sont également utiles pour détendre l’arthrose. Enfin, le ronronnement d’un chat mène souvent au sommeil, en libérant de la sérotonine dans le cerveau ce qui entraîne un état de sérénité général.
Renforcement du système immunitaire :
Plus scientifiquement, la présence d’un animal permettrait d’enrichir le microbiote d’un individu. Autrement dit, l’environnement bactérien avec lequel l’Homme vit en symbiose. Cet environnement est d’ailleurs souvent déséquilibré chez les être humains, notamment à cause du stress, d’une mauvaise alimentation ou encore de surmenage. La présence d’un animal permettrait d’une première part de rééquilibrer ce microbiote, mais également de l’enrichir.
Une étude américaine a d’ailleurs mis en exergue le fait que la présence quotidienne d’un animal diminuerait drastiquement le développement de l’asthme et des allergies qui surviennent chez les êtres humains. Sur le long terme, cela permet également de renforcer le système immunitaire de manière générale grâce au renforcement du microbiote.
Ainsi, la présence d’animaux dans nos vies a de multiples avantages. Tant d’un point de vue mental que physique ou émotionnel. Ces petits êtres vivants plein de fougue et de vie permettent de nous apporter équilibre, stabilité, et joie au quotidien. De plus, les animaux ont un impact sur la façon dont nous nous comportons en société, ainsi que sur les échanges que l’on tient avec autrui. Ils sont source d’ouverture sur le monde, de curiosité, de découverte… une vraie bouffée d’air frais au quotidien, pour laquelle on pourrait décrocher la Lune !
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des soins thérapeutiques, non pas avec des animaux, mais pour le corps et le visage !
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui offrent la possibilité de s’éloigner du quotidien pour se reconnecter à soi et la nature.
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Retrouver de l’estime de soi après une forte humiliation
Subir une humiliation fait partie de la vie. Pourtant, l’humiliation fait partie des blessures dont il est le plus difficile de se remettre. Elle ébranle la confiance en soi, secoue l’estime que l’on se porte, et pousse parfois au doute excessif qui alimente les complexes et la honte. Alors comment se retrouver après une forte humiliation ?
Sur quoi repose l’estime de soi ?
Il est fastidieux de définir avec exactitude l’estime de soi. Et pour cause, les définitions englobent différentes notions selon le point de vue avec lequel on les aborde. Ainsi, en psychologie, par exemple, l’estime de soi est définie selon « le jugement ou l’évaluation qu’une personne a de sa propre valeur ».
Cette théorie aurait été développée par James Noley, pour qui l’estime de soi se traduisait par le rapport entre ce qu’est l’individu et ce qu’il souhaiterait être. De nos jours, la société est régie par des normes de beauté, avoir une peau lisse, être mince… Qui brise totalement la confiance en soi de nombreuses personnes. Néanmoins, des solutions existent pour combattre ce mal-être comme l’hypnose pour la confiance en soin à Paris permettant de croire en soi après l’acné, par exemple.
Il y a par ailleurs une différence essentielle entre l’estime de soi et la confiance en soi : bien que les deux notions soient liées, la première dépend surtout de la valeur que l’on possède, tandis que la seconde s’en réfère directement aux capacités qu’un individu possède.
L’estime de soi et l’humiliation : un lien tumultueux
Tout le monde peut un jour se sentir humilié. Et lorsque l’humiliation surgit, c’est directement l’estime de soi qui en prend un coup, si elle ne vole pas en éclats. Jour après jour, la valeur que l’on s’accorde diminue, jusqu’à parfois totalement disparaître. Et pour comprendre comment l’humiliation agit sur l’estime de soi, il faut en revenir à ses sources et surtout, sa définition.
L’humiliation est définie dans son sens premier par le Larousse comme étant « le sentiment de quelqu’un qui est humilié, atteint dans sa fierté, sa dignité ». L’humiliation se définit également comme le « sentiment de honte qui résulte de telle chose : par exemple, une défaite », et le terme peut également inclure « un acte, une situation qui humilie » et à cause de laquelle le sentiment de honte est éprouvé.
Le lien entre estime de soi et humiliation est donc très clair : lorsque l’humiliation survient, c’est l’estime de soi qui est directement remise en cause. En effet, le sentiment de honte qui résulte de l’humiliation encourage inconsciemment la personne à renier tout ce qui faisait d’elle ce qu’elle était.
L’humiliation érafle l’estime de soi en s’attaquant directement à ce qui la compose. Elle bouleverse la valeur que vous vous portez, elle brusque la confiance que vous avez placée en vous, elle diminue votre légitimité et encourage un doute constant sur votre personne et votre place dans votre quotidien.
L’humiliation est donc une blessure vive, instantanée, et qui, si elle n’est pas prise en compte par l’individu qui la ressent, peut se montrer très destructrice sur le long terme.
Quelles sont les conséquences d’une humiliation sur l’estime de soi ?
Lorsque l’humiliation survient, l’estime de soi est directement touchée. Et petit à petit, ce sont les conséquences de cette humiliation qui se montrent au grand jour. Elles apparaissent dans des gestes du quotidien, s’établissent volontiers dans des reflexes inconscients, et deviennent des habitudes férocement ancrées. Parmi elles :
- Oublier de prendre soin de soi, ne pas en avoir l’envie ;
- Se sentir rejeté, mis de côté par autrui ;
- Se mettre en retrait volontairement ;
- Ne pas oser/ aimer/ supporter de prendre la parole en public;
- Préférer donner, toujours, plutôt que recevoir quoique ce soit ;
- Avoir une mauvaise image de soi.
Surmonter l’humiliation
Malgré tout, l’humiliation reste surmontable. Selon sa nature, cela peut être plus difficile, prendre plus de temps ou tout simplement sembler impossible au début, mais surmonter l’humiliation est possible, et plus encore : à la portée de chacun !
Se souvenir de sa valeur :
Si l’exercice paraît difficile, il est néanmoins essentiel. Et pour cause, l’humiliation peut amener à croire que la valeur de l’individu s’envole au moment où elle apparaît. Et pourtant, jamais elle n’atteint vraiment la valeur de l’individu ; seul lui le peut. Ainsi, même si l’impression gênante d’avoir perdu votre valeur se manifeste, il est important de se rappeler que c’est une idée fausse, une illusion.
Booster sa confiance en soi :
Si elle se distingue de l’estime de soi, elle y est également indéniablement reliée. Booster sa confiance en soi par des séances d’hypnose accompagnée de massage du visage, c’est retrouver peu à peu confiance en la personne que vous êtes et surtout, dans ce que vous êtes capable d’accomplir. La confiance en soi est essentielle lors d’une humiliation, car tout comme l’estime de soi, plus elle sera affirmée et ancrée dans votre être, et moins les humiliations pourront vous affecter. Seul votre jugement sur vous-même compte !
Relativiser :
Souvent plus facile à dire qu’à faire ! Et pourtant… Relativiser l’humiliation vécue, c’est prendre suffisamment de recul pour pouvoir comprendre que la scène ne s’est pas forcément produite aussi violemment que ce que vous avez ressenti. Attention toutefois, il ne s’agit en aucun cas de diminuer votre ressenti, ni même de l’effacer. Ce que vous ressentez est bien réel, et il est important de le prendre en compte pour ne pas qu’il soit enfoui et se manifeste des années plus tard.
Parler :
Si cela peut sembler anodin de prime abord, parler est pourtant important. C’est à travers la parole que vous pouvez alors exprimer votre ressenti, et vous en libérer d’une certaine façon. Que ce soient à vos proches, vos amis ou votre famille, n’hésitez pas à en parler. Ils vous aideront d’une première part à comprendre que ce qui s’est passé n’est peut-être pas aussi grave que ce que le sentiment de honte essaie de vous faire croire, mais surtout, ils pourront vous soutenir et vous aider à voir quelle personne extraordinaire vous êtes. Il est également possible de suivre de l’hypnose thérapeutique à Paris, qui possède de nombreux bienfaits sur la confiance en soi.
Pardonner :
Si la personne qui vous a humilié vous cause encore du ressentiment, de la colère ou bien vous fait ruminer plus que de raison alors peut-être est-il temps de pardonner à cette personne. Parce que l’énergie que vous dépensez pourrait vous être utile pour vos propres projets, il est parfois plus judicieux, responsable et définitivement profitable de décider de conserver ce temps et cette énergie pour vous-mêmes. Pardonner autrui, c’est aussi se choisir d’une certaine façon.
Ainsi, retrouver de l’estime de soi après une forte humiliation n’est pas chose aisée. On se sent mis à nu, perdu, on est ébranlé ; pourtant, il est tout à fait possible, avec le temps, de s’en remettre. Mieux encore, les humiliations permettent également de vous améliorer, et ouvrent la voie à une introspection qui peut être bénéfique.
Toutefois, l’humiliation et le sentiment de honte qu’elle apporte dans son sillage restent des violences qu’il peut parfois être difficile de surmonter. Il est alors possible d’en parler avec des spécialistes qui vous apporteront une aide plus sereine et forte.
De même, pour retrouver de l’estime de soi, il est possible de se tourner vers les médecines parallèles. De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris proposant un blog bien-être. Je propose des soins thérapeutiques du corps et du visage, entre autres choses.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise plusieurs fois par an des retraites bien-être. Proche de la nature, ces retraites offrent l’occasion de couper avec le quotidien parfois étouffant, et de se découvrir ou de se retrouver pleinement. Lors d’une humiliation, le fait de s’éloigner de l’environnement et de son quotidien peut être très bénéfique.
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Déconstruire sa peur du manque d’argent
Depuis la crise des subprimes en 2008, le monde semble avoir du mal à retrouver son équilibre économique, ce qui sème volontiers de nombreux troubles quant au rapport de chacun à l’argent depuis plus d’une décennie. Plus récemment, c’est la crise sanitaire liée au Covid-19 qui a paralysé durant plusieurs mois toute l’économie. Et depuis, les ménages comme les commerces tentent d’y voir plus clair en poursuivant leurs activités.
La peur du manque d’argent est une phobie bien réelle qui se trouve ancrée chez beaucoup de personnes. Lorsque cette peur atteint le stade de phobie, elle est d’ailleurs nommée chrométophobie. Mais d’où vient-elle exactement ? Quelles en sont ses conséquences ? Et surtout, est-il possible de la déconstruire pour passer outre ?
Les sources de la peur du manque d’argent
Tout le monde peut être touché par cette peur, au même titre que le vertige ou encore l’arachnophobie. Parce que les peurs ne se contrôlent pas et que leur arrivée peut parfois être surprenante, le premier pas pour les déconstruire est d’identifier d’où elle peut provenir.
Dans le cas de la peur du manque d’argent, il y a souvent un lien direct avec l’enfance, et le comportement des parents avec l’argent. Comptaient-ils beaucoup ce qu’ils dépensaient ? Etaient-ils prudents ? Vous est-il arrivé de les entendre dire qu’il faudrait « se serrer la ceinture » ? Si tel est le cas, il est probable que l’enfance ait impacté votre rapport à l’argent. Un enfant qui vit, qui connaît ou qui comprend le manque d’argent, c’est bien souvent un adulte qui aura peur d’en manquer. De même, il est possible qu’un adulte même extérieur au cercle familial vous ait transmis cette peur du manque d’argent.
Mais ce n’est pas la seule source. Et pour cause, un adulte peut développer une peur de manquer d’argent après un traumatisme, et ce, même s’il a eu une enfance abondante et n’a jamais manqué de rien. Parce qu’il suffit parfois d’une relance, d’une facture ou d’un courrier officiel des huissiers pour que le manque d’argent devienne une préoccupation réellement plus importante ; c’est-à-dire, une phobie.
Enfin, la peur du manque d’argent peut simplement provenir du caractère de la personne en elle-même. Et pour cause, si certains individus sont davantage tentés par les dépenses que par l’épargne, d’autres, quant à eux, préféreront mettre de côté afin de pouvoir garder un petit pécule « au cas où ».
Il existe donc différentes sources possibles à la peur du manque d’argent. Aucune n’est meilleure qu’une autre, et il est surtout probable que la peur du manque d’argent soit également la source de cette peur, comme un monstre vorace qui s’autoalimenterait.
Les conséquences au quotidien
Comme toute peur, celle de manquer d’argent a des conséquences dans les quotidiens des personnes qui sont concernées par elle. Et la première conséquence, c’est bien souvent de ne pas oser acheter un objet ou un produit si le prix est élevé.
À terme, la chrométophobie peut avoir des conséquences bien plus importantes, comme celle de ne pas quitter son travail pour une meilleure offre, car la peur nouera les entrailles et empêchera la raison d’agir pour un meilleur avenir. Car comme pour beaucoup de peur, le cadre connu est rassurant, tandis que la nouveauté réveille les traumatismes ou les angoisses qui peuvent être gérés avec de l’hypnose contre le stress.
De même, à force de penser, d’agir et de vivre plus généralement, en fonction de la peur de manquer d’argent, il arrive que certaines personnes développent des angoisses puissantes ou entrent en dépression. Le fait de songer tout le temps au manque d’argent qui peut se produire, à tous les biens matériels qui peuvent être perdus à cause de la place omniprésente que l’argent tient dans nos sociétés peut-être une réelle source d’angoisse au quotidien.
Et c’est sans compter sur les TOC que cette phobie peut développer, les privations que la personne peut s’imposer pour ne pas « perdre » son argent dans des sorties futiles, ou encore les crédits qu’elle s’empêche de prendre par peur de ne pas pouvoir rembourser une telle dépense mensuelle.
Heureusement, il existe des techniques qui permettent d’atténuer et de déconstruire cette peur, pour un quotidien plus souple et une santé mentale plus équilibrée !
Déconstruire cette peur ? C’est possible !
Déconstruire la peur du manque d’argent n’est pas simple, car comme toute autre peur, elle est bien ancrée dans les habitudes de vie et au sein même de la personne qui a appris à vivre avec. Pourtant, il existe bel et bien des façons de la déconstruire pour en finir avec elle !
Prendre conscience des croyances liées à l’argent :
Et par croyance, il s’agit ici de croyances limitantes. En effet, selon la source exacte de cette peur, des croyances limitantes ont éclos avec elle. Pour ne plus qu’elles alimentent la peur au quotidien, il est important de les identifier !
Se questionner :
La profonde peur de manquer d’argent peut souvent sembler insurmontable. Mais se questionner sur le pourquoi du comment, apprendre qu’il est possible d’inverser la tendance, ça peut être rassurant pour les personnes qui souhaitent déconstruire cette peur parfois trop présente. Le questionnement est souvent la première marche d’un escalier qui mène à une voie différente de ce que l’on connaît.
Identifier au quotidien les effets de la peur :
En prenant conscience au quotidien des effets de la peur du manque d’argent, cela permet de prendre un recul supplémentaire que celui que les questions avaient permis. Et pour cause, à chaque fois que les croyances limitantes liées à la peur du manque d’argent vont agir, vous saurez reconnaître, et ce, de plus en plus facilement. Et petit à petit, cela permet de prendre pleinement conscience de toutes les limites que la peur dessine sur la vie.
Inverser ses croyances limitantes en croyances aidantes :
En inversant les croyances, vous récupérez le pouvoir de votre propre vie. C’est permettre à votre esprit de se libérer d’une première façon de la peur, et de pouvoir amorcer une déconstruction complète de cette peur étouffante au quotidien.
Trouver de nouvelles ressources en soi-même :
Pour vaincre cette peur, il ne suffit pas de se débarrasser des croyances limitantes, ni de les transformer en croyances aidantes. L’autre partie de la déconstruction consiste à chercher et découvrir de nouvelles façons de se dépasser et abolir ainsi les limites que la peur du manque d’argent a pu ériger. De même, il est possible de se tourner vers la meilleure façon de créer l’abondance financière, si cela peut aider à passer outre cette peur du manque d’argent.
Ainsi, la peur du manque d’argent est une peur qui est très répandue, peu importe la classe sociale ou l’âge des individus qui en sont victimes. Mais au quotidien, cette peur peut se révéler être une réelle enclave, tant pour la vie sociale que la santé mentale de l’individu. Il est important de pouvoir se détacher de cette peur, allant parfois jusqu’à la phobie, et la déconstruire entièrement afin qu’elle ne provoque plus aucune conséquences dans le quotidien ! Les bienfaits de l’hypnose thérapeutique à Paris sont importantes et de véritables aides pour vaincre cette phobie.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des soins thérapeutiques du corps et du visage, entre autres choses.
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Déconstruire les croyances limitantes familiales
Qu’est-ce qui est parasitaire et le résultat de notre expérience de la vie et des valeurs que l’on a intégrées ? Bingo, ce sont les croyances limitantes. Négatives, omniprésentes et parfois inconscientes, elles forment pourtant souvent les plus beaux obstacles que l’on rencontre dans la vie. Comme un joli petit (mais lourd) boulet enchaîné à la cheville, elles empêchent souvent d’avancer, de tenter de nouvelles expériences ou de se jeter à cœur perdu dans un projet auquel l’on tenait particulièrement.
Alors que sont les croyances limitantes ? Pourquoi certaines sont-elles dites « familiales » ? Et est-il possible de s’en défaire pour ensuite se jeter pleinement dans cette vie qui n’attend pas ?
Qui êtes-vous, croyances limitantes familiales ?
Le terme de « croyance » désigne quelque chose ou quelqu’un dans lequel on place une certaine importance et une valeur de reconnaissance ; si je crois en Dieu, je reconnais l’existence de Dieu. En théorie, la croyance n’est pas nocive ou mauvaise en elle-même.
Dans un processus de développement personnel, les croyances peuvent tout aussi être « aidantes » que « limitantes ». Et si les premières ont tendance à nous servir d’appui dans la construction de la vie désirée, les croyances limitantes, quant à elles, sont légèrement plus délicates. Et pour cause, ce sont souvent des idées reçues qui se forment inconsciemment, qui résultent parfois d’une éducation ou d’une remarque surgie durant l’enfance ou la construction de soi (adolescence), qui empêchent l’individu, une fois adulte, de pouvoir faire certaines choses.
Enfin, le terme « familiale » se rapporte directement au contexte dans lequel les croyances limitantes qui obscurcissent le quotidien ont pu naître. Et pour cause, souvent, si elles sont issues d’un melting-pot de contextes et de situations différentes, les croyances limitantes reflètent une partie de l’enfance et de l’adolescence de l’individu, parties éprouvantes pour l’être, qui sont restées ancrées en lui.
Elles peuvent cependant avoir différentes sources, comme l’expérience scolaire, l’entourage social, la famille –comme dans ce cas précis-, ou encore dans le travail, lors de la vie adulte. Parce que si les croyances limitantes qui vous empêchent d’avancer aujourd’hui ont pu naître hier comme il y a dix ans, il n’y pas non plus de date d’expiration pour l’apparition de ces croyances… et il est possible d’en développer toute sa vie si elles ne sont pas chassées avant !
Comment se répercutent les croyances limitantes familiales au quotidien ?
Bien évidemment, les croyances limitantes familiales ont un impact particulier. Venant directement du cercle social le plus « représentatif » pour l’enfant, à savoir la famille, ces croyances limitantes peuvent se révéler être particulièrement tenaces. Et si cela ne veut pas dire qu’il est impossible de les déconstruire, c’est surtout que le processus de déconstruction peut prendre jusqu’à beaucoup de temps, puisqu’il s’agira de creuser au fond de soi afin d’en enlever la pousse pourrie qui y germe depuis trop longtemps.
Au quotidien, les croyances limitantes peuvent s’avérer être gênantes, entravantes, voire complètement handicapantes dans certaines situations. Et pour cause, ces croyances sont totalement ancrées dans les esprits, et que cela ait été fait de manière consciente (comme pour les croyances populaires) ou inconsciente, le résultat en est inchangé : on adapte notre comportement selon ces croyances.
Exemples :
- Si dès l’enfance, il était acquis dans le noyau familial que vous étiez l’enfant « casse-cou » de la fratrie, alors toute votre enfance et votre adolescence ont été construites selon cette idée que rien ne vous arrêtait. A l’âge adulte, il se peut que cela ait des répercussions, comme faire des choix impulsifs ou foncer tête baissée sans prendre en compte certains paramètres.
- De la même manière, un enfant « timide », « réservé », aura quant à lui plus de difficulté durant son adolescence et sa vie adulte à faire des choses comme par exemple parler en public ou se sentir à l’aise lorsque l’attention est portée vers lui.
Ainsi, les croyances limitantes familiales sont particulièrement difficiles à déconstruire puisqu’elles se sont arrimées dans l’inconscient de la personne dès le plus jeune âge. Ce sont des croyances limitantes qui peuvent ne jamais disparaître, tout comme elles peuvent, si elles sont suffisamment déconstruites, ne plus entraver la vie dans ses grands événements comme dans ses petits actes anodins.
Déconstruire ses croyances limitantes familiales
Identifier la croyance :
Comme pour toute déconstruction, la première étape est souvent d’identifier ce qu’il y a à déconstruire. Ici, il s’agit de mettre le doigt sur la croyance limitante familiale qui vous empêche d’avancer et de vivre comme vous le souhaiteriez. Pour cela, prêtez attention aux phrases que vous vous répétez souvent, à celles qui vous découragent rapidement, où celles qui comportent beaucoup de « jamais », « toujours », « personne »… etc.
Trouver la source de cette croyance :
Comme pour enlever une mauvaise herbe du jardin de votre esprit, il est important de se saisir de toute la racine, pour qu’elle ne repousse pas. Cette étape peut prendre du temps, mais une fois la source de cette croyance limitante familiale trouvée, il sera beaucoup plus facile de lui dire adieu.
Prouver le contraire de la source de la croyance :
Si parfois, il peut être difficile de se regarder objectivement, il y a des faits, des paramètres extérieurs qu’il est difficile de nier (comme un diplôme, par exemple). Alors une fois que vous aurez trouvé la source de cette croyance limitante (venait-elle de votre père qui vous ignorait ? De votre sœur ainée qui vous rabaissait ?), il sera plus simple de la contredire, de vous prouver à vous-même qu’elle est fausse par votre expérience de la vie.
Reconnaître l’impact de la croyance dans votre vie :
Le fait de reconnaître et de comprendre de quelle façon cette croyance impacte votre vie au quotidien ou dans certains moments vous permettra de vous en débarrasser plus facilement. Et pour cause, en identifiant clairement toutes les fois où cette croyance vous a empêché de faire ce que vous vouliez faire, de parler, de rire, de vivre tout simplement, vous serez plus à même de vous lancer dans cette nouvelle aventure, mais sans elle !
Reformuler la croyance pour lui donner un pouvoir positif :
En reformulant la croyance limitante, vous avez le pouvoir de la changer en croyance aidante, et d’en faire ainsi non plus un petit boulet qui habille votre cheville au quotidien, mais un véritable accessoire de confiance qui vous accompagne dans les étapes de votre vie ! Voici quelques exemples de reformulation :
« Je ne suis pas capable de créer mon entreprise » qui devient « J’ai des atouts pour créer ma société ».
« Je n’arriverais jamais à prendre la parole en réunion » qui devient « Je suis capable de parler distinctement et j’ai suffisamment travaillé pour ».
Il s’agit donc de transformer ce dont vous vous pensez incapables ou pas en mesure de faire, en quelque chose d’atteignable, de sensé et de concret. Les mots ont un pouvoir qu’il ne faut pas négliger, et c’est peut-être ici la première étape qui vous permettra de reprendre le contrôle sur votre vie !
Ainsi, si ce peut être un processus long et fastidieux parfois, il est toutefois essentiel de déconstruire ces croyances limitantes, que celles-ci soient familiales ou qu’elles possèdent une autre source. Déconstruire ses croyances limitantes, c’est aussi leur permettre de devenir des forces au quotidien, et plus seulement des entraves qui vous freinent.
Je suis Charlotte Vallet et j’exerce en tant qu’hypnothérapeute à Paris. Egalement experte en neurosciences, je propose des soins thérapeutiques du corps et du visage, entre autres petites choses.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise plusieurs fois par an des retraites bien-être qui permettent de se retrouver. Proche de la nature et harmonieuse, cette retraite saura accompagner les personnes en plein bouleversement, en pleine construction, ou bien celles qui se cherchent encore.
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Les cinq personnes avec qui vous échangez le plus chaque jour vous élèvent
Qui a déjà ri bruyamment devant son téléphone en débriefant sa journée avec une amie au détriment du plat sur le feu ? Qui s’est déjà senti parfaitement à sa place lors d’une discussion banale avec la bonne personne ? Ils sont des amis, des collègues parfois, des amants, des amoureux, des soutiens, des références dans vos vies. Ce sont ces gens avec qui l’on échange facilement, que la vie n’arrête pas et qui semblent toujours prêts à vous soutenir. Et si parmi toutes les personnes que vous croisez, les cinq individus avec qui vous échangiez le plus vous élevaient ?
Des liens qui se renforcent au quotidien
Le charme de certains échanges se trouve bien évidemment dans leur rareté. Un ancien ami qui reprend des nouvelles de vous tous les dix-huit mois, ou cette amie qui est très occupée et que vous ne voyez finalement que trois fois par mois. Mais parfois, l’authenticité d’un échange prévaut sur son charme. Et privilégier des échanges avec les mêmes personnes, c’est s’offrir le choix de faire de cet échange un lien à part entière au fil du temps.
Et pour cause, les liens du quotidien, qu’ils se basent sur les conversations les plus banales ou les discussions les plus profondes, tard le soir, permettent de connaître toujours mieux l’autre. Si la personne en question est bienveillante envers vous, si elle vous soutient, vous encourage, crois en vous mais tout en restant honnête lorsque vous vous apprêtez à faire une erreur, ce lien que vous avez, il peut, sur le long terme, vous élever.
Et plus le lien est vécu, ressenti et entretenu, plus la personne et vous-mêmes êtes susceptibles de vous aider l’une l’autre. Prenons l’exemple d’une collègue de travail, lors de votre tout premier jour. Elle vous dit « bonjour » tous les matins, « au revoir » tous les soirs, et elle agrémente cela d’un sourire, en plus ! C’est agréable, et inconsciemment, cette collègue devient une sorte de point de repère le temps que vous preniez vos marques.
Puis un matin, elle vous demande comment vous allez. Et si le « bien et toi ? » de politesse vous apparaît être la meilleure solution sur le moment, très rapidement, vous répondez honnêtement à cette question. C’est un premier changement qui s’opère. De point de repère, cette collègue devient alors une connaissance amusante, à qui vous pouvez vous confier sur votre patron un peu trop ronchon, ou à propos de ce client bien trop exigeant.
Et un jour, vous vous voyez en dehors du travail. Les jours passent, et un matin, des années plus tard, ni elle ni vous ne travaillez encore dans cette entreprise ; pourtant, vous êtes devenues des amies proches et vous souvenez à peine du premier café échangé près de la machine.
S’entourer de bonnes personnes, une condition sine qua non dans le bien-être et la progression personnelle
Alors pourquoi cinq personnes ? Pour l’équilibre ? Au moins ça, oui ! Dans la vie, vous êtes amenés à rencontrer un nombre incalculable de personnes différentes. Parvenir à nouer des liens avec certains individus est parfois d’un naturel déconcertant, tandis qu’avec d’autres, les liens se défont plus rapidement qu’ils ne se forment. Ce n’est pas grave, c’est naturel – on ne peut jamais plaire à tout le monde !
Cinq personnes, c’est un équilibre. C’est connaître ses limites et savoir qu’on peut appeler un membre de sa famille ou une figure maternelle pour demander des conseils sur la construction d’une étagère ; c’est être certain que Nina, votre amie d’enfance, et vous, ne vous verrez jamais plus d’une fois par an à cause de la distance qui vous sépare et malgré cela réussir à conserver et entretenir ce lien précieux ; c’est être intimement persuadé que si vous passez une journée sans Arthur et sa bonne humeur, cette journée n’aura pas la même saveur… C’est être vous-même au quotidien, et savoir que quoiqu’il arrive, vous pourrez compter sur chacune des personnes qui sont au plus proche de votre cœur.
Parce que s’entourer des bonnes personnes est plus qu’une nécessité pour pouvoir avancer dans la vie, trouver du soutien et apprendre à en accorder lorsque le temps est venu, c’est une qualité primordiale de l’être humain. Et pour que cela puisse exister, il faut autant donner que recevoir.
Progresser grâce à l’autre : comment ça marche ?
L’Homme est un animal social, et beaucoup de philosophes se sont accordés à le dire au fil des ans. Par « animal social », Aristote entend notamment le fait que l’être humain ait besoin d’échanger avec d’autres personnes. Au niveau du développement personnel, ces échanges sont intrinsèquement liés au on équilibre de chacun. Car si certaines personnes n’ont pas besoin d’échanges tous les jours, d’autres possèdent, au contraire, un besoin de liens sociaux plus important.
Quoiqu’il en soit, l’individu a besoin des autres, d’échanger avec eux, de se confronter à d’autres opinions, de partager des valeurs communes, des notions avec l’autre qui pourront l’aider à mieux comprendre le monde qui l’entoure. Et à terme, ces échanges ainsi que les liens qu’il tisse avec autrui lui permettront de le faire progresser dans la vie quotidienne comme au niveau humain.
Parce que qu’on le veuille ou non, l’on passe notre vie à évoluer, et les liens que l’on tisse avec autrui peuvent parfois influencer la direction de cette évolution. C’est ce qui nous permet de nous élever, d’envisager de nouvelles choses, de voyager, ou d’accomplir des projets dont on ne se pensait pas capable des années plus tôt.
Pour vulgariser, l’on pourrait dire que chaque personne se « nourrit » de l’autre ; tant humainement que mentalement, au niveau des idées et des concepts, des actions et des choix que l’on fait. Il ne s’agit pas d’être influençable ici, mais bel et bien de se sentir suffisamment à l’aise avec soi-même pour être ouvert au changement que peut engendrer l’autre en faisant partie de notre vie.
Ainsi, les cinq personnes avec qui vous échangez le plus chaque jour représentent certainement les piliers les plus importants de votre vie et de votre quotidien. Ces piliers, vous les choisissez à chaque instant, lorsque vous les écoutez, les voyez, leur parler, partagez avec eux un café, un thé ou un sourire. L’on parle d’élévation comme d’une évolution, car autrui permet toujours d’ouvrir une nouvelle porte dans le champ des possibles, et s’en nourrir, vouloir découvrir, être ouvert au changement et à la nouveauté est une qualité qui permet de toujours mieux se comprendre et se découvrir soi-même.
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences sur Paris. Je propose également des soins du corps et du visage, comme le drainage lymphatique et le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise des retraites bien-être qui permettent, le temps de quelques jours, de s’éloigner du quotidien et de se retrouver également. Car si les échanges avec autrui sont toujours enrichissants, il est parfois important de s’accorder du temps tout seul.
