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Catégorie : Bien-être
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Comment garder le moral durant une PMA ?
Le 29 septembre dernier était adoptée la loi annonçant que la PMA serait désormais ouverte à toutes les femmes, que celles-ci soient hétérosexuelles, homosexuelles ou monoparentales. Une grande avancée pour la société qui demeure majoritairement patriarcale, et de nouvelles opportunités pour les femmes. Mais se lancer dans une PMA, c’est avant tout une aventure intense en émotions, qui peut parfois durer dans le temps, et pour laquelle il est important d’être prêt.e. Comment alors garder le moral durant une PMA ?
Qu’est-ce que la PMA ?
La PMA est la signification de Procréation Médicalement Assistée, aussi appelée en France AMP, qui veut dire Assistance Médicale à la Procréation ; il s’agit de deux termes qui signifient la même chose.
Cette pratique consiste à avoir recours à la médecine afin que l’ovocyte soit fécondé par un spermatozoïde. S’il y a encore quelques années, les couples hétérosexuels se tournaient vers la PMA en cas de souci d’infertilité, il est désormais possible aux femmes célibataires ainsi qu’aux femmes homosexuelles de ce tourner vers cette méthode pour pouvoir avoir des enfants.
Il existe deux méthodes distinctes comprises dans la PMA. D’une part, la Fécondation In Vitro (FIV), et d’autre part, l’insémination artificielle. Dans la loi, il n’y a pas de limite d’âge pour avoir recours à la PMA, mais l’assurance maladie ne couvre plus la PMA à partir de 43 ans.
Une méthode qui peut être lourde psychologiquement…
Avant d’être accessible à toutes les femmes, la PMA était surtout un traitement de l’infertilité. Les couples qui venaient alors étaient présents avec déjà certaines fragilités psychologiques, dû à « l’échec » qui peut être perçu. Pour autant, l’infertilité a de nombreuses causes et ce n’est la faute de personne. Néanmoins, le fait d’apprendre qu’il sera impossible de procréer sans avoir une aide de la science et de professionnels de la santé reproductive est une étape importante dans la PMA.
Et malgré les avancées de la science, il arrive bien souvent face à plusieurs échecs avant de pouvoir tomber enceintes. Qu’il s’agisse de l’insémination ou de la FIV, les deux méthodes demeurent des pratiques lourdes tant pour le corps que pour le mental. Injections, stress, espoir, déception… pour certaines femmes, c’est comme être à vif en continu. La vie quotidienne ne tourne plus autour que de ça, les journées, le travail, les soirées ne s’organisent que selon les rendez-vous à la clinique. De l’hypnose contre le stress avec un petit geste du quotidien aide les femmes à évacuer toute cette pression.
Ainsi, la PMA devient le centre de votre quotidien, rythmant de nombreux aspects de la vie, parfois contre votre gré. Le moral s’épuise face aux tentatives, et le corps se fatigue de tout ce qu’il subit pour tenter de procréer.
… Et qui s’étend dans le temps
Quelle que soit la méthode choisie pour la PMA, il arrive parfois que les échecs succèdent à l’espoir et continuent d’user le moral des personnes y ayant recours. Un autre facteur qui s’avère être lourd à porter psychologiquement, c’est le temps qu’une PMA dure. Et pour cause, il faut attendre entre un et deux ans avant de pouvoir envisager le recours à la PMA, afin de s’assurer qu’une grossesse ne se produise pas de manière traditionnelle (sans le recours à la science). Une fois passé ce délai, les démarches pour entamer une PMA sont elles aussi relativement lourdes à porter.
Commencent alors les premiers tests, les premiers entretiens, le choix de la méthode et la mise en pratique… Jusqu’au premier échec. Il est important de noter qu’entre chaque FIV, le délai moyen est environ de 6 mois, soit deux par an ; le délai minimum est de 2 à 3 mois dans certains cas.
Il y a donc tout un éventail de petites procédures durant la PMA qui semble faire s’étirer le temps et érode, par conséquent, le moral des personnes ayant recours à la procréation médicalement assistée. C’est un processus long et surtout pesant.
Alors comment garder le moral durant une PMA ?
Charge mentale, épuisement, espoir, désillusion… les raisons qui peuvent mener les personnes ayant recours à une PMA jusqu’à ne plus avoir le moral sont nombreuses. Alors comment parvenir à trouver l’équilibre pour surmonter cette épreuve de la vie ?
Cultiver la patience :
Avant même de vous lancer dans la PMA, il est important de s’armer de patience (et d’une bonne dose !). Le processus sera long et éreintant, mais le fait d’être patient permettra de réduire le stress qui peut naître à chaque étape de la procréation médicalement assistée. Cultiver la patience, c’est donc prendre des moments pour vous malgré le tourbillon centré sur la PMA, et conserver l’espoir malgré les déceptions qu’il est possible de rencontrer.
Etre suivie.s par un professionnel :
L’importance de voir un psychologue ou de suivre des séances d’hypnose thérapeutique à Paris est capitale. Dans tous les processus de PMA, le suivi psychologique relève d’une importance primordiale pour les personnes qui se lancent dans ces méthodes lourdes tant corporellement que psychologiquement. En effet, certains professionnels de la santé mentale sont spécialisés dans la PMA, et permettent de pouvoir parler, échanger, discuter en toute bienveillance à propos de votre expérience et de vos émotions. Ne les négligez pas, car si vous n’allez pas bien, cela peut aussi avoir un impact sur la réussite des méthodes de PMA ; ne dit-on pas que le corps et l’esprit sont reliés ?
Gérer ses émotions quand il le faut, les laisser sortir quand il est nécessaire :
La gestion des émotions est essentielle pendant une PMA. Loin de ressembler à un robot sans cœur, il s’agit davantage de ne pas se réprimander pour ce que l’on ressent. Etre bienveillante avec soi-même permet de mieux cohabiter avec soi-même. Ici, le fait de gérer ses émotions permettra d’équilibrer entre les moments où cela ne va vraiment pas bien, et ceux, plus doux, qui arriveront également sans aucun doute.
Attention toutefois, car gérer ses émotions ne signifie en aucun cas de ne pas les laisser s’exprimer ; simplement qu’il y a un temps pour le faire, et que parfois, le mieux, est de le faire avec un professionnel comme un psychologue ou une infirmière spécialisée, qui offrent un soutien sans failles et qui permettent de libérer sa propre parole à propos de son expérience.
Se garder du temps pour soi :
Cela peut paraître dérisoire lorsqu’on s’engage dans un processus qui dure parfois plusieurs années et que les rapports sexuels peuvent même être rythmés par l’une des méthodes de la PMA (FIV), mais il est essentiel de garder du temps pour soi. Et pour cause, l’objectif de la PMA, c’est tout de même de tomber enceinte ! Il est important de se réserver des instants, même si ce n’est l’affaire que d’un bain par semaine, pour pouvoir se retrouver face à soi, son corps et son esprit et pouvoir respirer, anticiper, se chérir. Apprendre à s’aimer avec de l’hypnose pour la confiance en soi est également une alternative, le principal est de sentir bien. Quoi de mieux pour héberger un enfant dans son corps que de s’y sentir en totale osmose ?
Ainsi, la PMA est un long processus peuplé de désillusions et de déceptions qui peut s’avérer très pénible sur le long terme. Malgré l’intérêt et la motivation de certaines personnes, il arrive que les échecs s’abattent un par un et qu’à terme, ils ne fassent que s’envoler l’espoir d’un jour fonder une famille.
Il existe plein d’astuces, de « tips », et de façons de gérer une PMA. Et si certains conseils peuvent s’appliquer à toutes les femmes ayant recours à une PMA, le meilleur et le plus important reste encore de s’écouter lorsque le corps ou l’esprit le réclament. Parce qu’au final, qui peut savoir mieux que vous ce qui vous fait du bien, vous apaise, vous calme et vous rend heureux ?
De mon côté je suis Charlotte Vallet, Hypnothérapeute et experte en neurosciences sur Paris.
Je propose également des soins thérapeutiques du corps (massage lymphatique Renata Franca et drainage visage).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Enfin, je propose désormais des retraites bien-être au plus proche de la nature, qui permettent de rompre avec le quotidien et ce qui le parasite.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
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Que faire en cas de crise d’angoisse ?
Le stress et l’anxiété font partie intégrante du quotidien de nombreuses personnes. Et parfois, lorsque l’anxiété est à son paroxysme, c’est une crise d’angoisse qui se déclenche alors. Malheureusement, il est rare que la crise d’angoisse attende que vous soyez confortablement installé chez vous, dans la sécurité des murs de votre cocon pour se déclencher. Alors quand elle surgit en pleine réunion, au milieu de la rue ou pendant vos emplettes hebdomadaires, comment faire ? Est-il possible de la gérer, et si oui, comment ?
Qu’est-ce que l’angoisse et comment la reconnaître ?
La crise d’angoisse, contrairement à l’anxiété, est un pic éphémère qui produit sur le corps divers effets. Car si l’anxiété s’établit dans le corps de façon insidieuse, l’angoisse, elle, est plutôt comme une colocataire qui débarquerait à l’improviste en ouvrant la porte d’un coup de pied : imprévisible et intense.
L’angoisse est un terme directement dérivé du latin « angustia », qui signifie resserrement. Et l’étymologie du mot fait tristement écho aux effets qu’elle peut produire sur le corps quand elle se manifeste. En effet, lorsque l’angoisse se déclenche, c’est l’esprit qui est alerté d’un danger imminent. Le corps subit alors cette information, se tendant et étant à l’affût. Pourtant, il n’y a pas forcément de danger immédiat, et les causes de l’angoisse peuvent prendre leur source dans différents faits :
- Un choc émotionnel, mental, physique qui se réanime ;
- Un traumatisme qui est rappelé à la mémoire ;
- Une angoisse suite à trop de stress dans la vie quotidienne, qui est souvent le cas lorsqu’on monte sa propre boîte. Heureusement, il y existe de l’hypnose anti stress pour aider à se mettre à son compte tranquillement.
En bref, tout autant de causes que d’angoisses. Heureusement, il est possible de reconnaître rapidement l’angoisse, notamment en raison de l’intensité de certains des symptômes qu’elle déclenche. Parmi eux l’on retrouve :
- Des bouffées de chaleur, de la sueur ;
- Tremblements musculaires ou des spasmes ;
- Tachycardie, ou sensation que le cœur bat trop vite, trop fort ;
- Sensations d’étouffer, de suffoquer ;
- Vertiges ;
- Frissons.
Les symptômes sont aussi variés et aléatoires que les manifestations des crises d’angoisse. Toutefois, il est possible de les reconnaître aisément, et plus ils sont repérés tôt, plus il sera facile de surmonter la crise d’angoisse.
Gérer l’angoisse sur le court terme
Lorsqu’on parle de gérer l’angoisse sur le court terme, il s’agit surtout de gérer la crise d’angoisse, celle qui se déclenche à un instant T et, dès lors qu’elle se manifeste, possède une fin qui s’approche. Le fait d’apprendre à gérer la crise d’angoisse lorsqu’elle commence à se déclencher peut être un réel atout au quotidien, et évite, sur le moyen terme, de déclencher plus de crises d’angoisse (car il est possible d’angoisser à l’idée d’angoisser !). Par exemple, la force de la nature agit sur le bien-être comme de l’hypnose contre le stress.
Parmi ces astuces pour gérer la crise d’angoisse, l’on retrouve :
Se raccrocher à la réalité à travers la stimulation des sens :
C’est encore le conseil le plus courant que les professionnels de la santé peuvent donner. Et pour cause, la manifestation de l’angoisse est liée à toutes sortes de symptômes qui rappellent un danger, une peur, un sentiment d’impuissance…etc. mais en aucun cas un danger réel et immédiat. Le fait de se raccrocher à la réalité permet alors de couper l’angoisse, en privilégiant le moment présent et les sensations immédiates à la place de l’angoisse et du souvenir de douleurs. La meilleure astuce est alors de concentrer ses sens (ouïe, vue, goût, toucher, odorat) directement sur l’environnement qui vous entoure afin de ne pas vous sentir dépassé.
La rationalité des chiffres et sa connotation concrète :
Le fait de compter peut aider le cerveau à se concentrer sur une autre tâche, et il délaissera ainsi petit à petit l’emprise de l’angoisse sous laquelle il se retrouvait. Il peut s’agir d’opérations toutes simples à faire de tête, ou d’un exercice d’algèbre plus élaboré pour les matheux, l’essentiel étant que compter permet de se recentrer sur des données réelles, scientifiques et rationnelles. Les chiffres servent alors d’ancrage face à l’angoisse qui se profile.
L’exercice de la cohérence cardiaque :
Cette technique consiste à, dès lors que les premiers symptômes de la crise d’angoisse se déclenchent, ralentir sa respiration en se concentrant dessus. En adoptant un rythme plus lent de respiration, vous apaisez dans le même temps le rythme cardiaque qui peut lui aussi souffrir de certains effets en cas de crise d’angoisse. En général, cette méthode fonctionne en quelques minutes à peine.
Les huiles essentielles pour endiguer la crise toute proche :
Certaines odeurs ou certains goûts parviennent à apaiser le corps et le mental par leurs effluves. C’est notamment le cas pour les huiles essentielles, dont certaines permettent de se délivrer des effets de la crise d’angoisse. Les huiles essentielles d’ylang-ylang ou de petitgrain peuvent en particulier aider à stopper certains symptômes, puisque ces huiles essentielles ont comme effet de réduire la pression artérielle et de faire ralentir le rythme cardiaque.
Ainsi, il existe de nombreux moyens pour stopper la crise d’angoisse lorsqu’elle se manifeste. L’on peut également compter parmi ces astuces des exercices de méditation ou de sophrologie, exercices qui, sur le court terme, parviendront à faire reculer l’angoisse.
Gérer la crise d’angoisse sur le long terme
Si la crise d’angoisse est directement liée à un choc bien précis, alors il est possible de traiter l’anxiété sous-jacente d’une certaine façon pour en venir à bout. Malheureusement, le plus souvent, il arrive de faire des crises d’angoisse sans même en connaître la raison exacte.
Les bienfaits de l’hypnose thérapeutique à Paris sont nombreux. En effet, elle permet un suivi régulier dans le temps au niveau du passé de la personne, afin de découvrir d’où viennent les crises d’angoisse. Car même si vous parvenez à gérer la crise d’angoisse quand elle se présente grâce à une technique à la fois ingénieuse et efficace, il y a toujours la possibilité qu’un phénomène d’échappement apparaisse (plus l’on fait quelque chose et moins cette chose a d’effet sur le corps).
Il est alors important, essentiel et primordial pour votre propre bien-être votre santé de parvenir à vous débarrasser non seulement de l’angoisse, mais également de l’anxiété qui peut y être liée sans même que vous n’en ayez conscience.
Ainsi, il existe différents moyens de gérer la crise d’angoisse. Bougies, lecture, fuite « en avant » à travers une implication démesurée dans un projet « réel »… etc. A chaque crise d’angoisse, il existe une méthode qui permette de la contrer.
Pour ce qui est de soigner l’anxiété plus en profondeur, il existe beaucoup de médecines alternatives qui permettent de se délester du lourd fardeau de l’angoisse. C’est notamment le cas de séance d’hypnose à Paris, par exemple. Je propose également des soins du visage et du corps comme le drainage du visage ou le drainage lymphatique, qui permettent de se reconnecter avec son corps et son esprit.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, je propose plusieurs fois par an des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi et de s’éloigner de ce qui ne va pas et provoque les tracas. Loin du quotidien et de ses tourments, il est alors temps de penser à vous et de privilégier votre bien être. Si vous souhaitez plus de renseignements, c’est par ici : https://www.charlottevallet.fr/categorie-produit/evenements/les-ebooks/
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Les bienfaits à suivre une thérapie
La vie est faite de différentes épreuves à traverser. Parfois, ces épreuves sont légères et douces comme une brise printanière, et d’autres fois, elles se font plus véhémentes, comme l’orage qui éclate au milieu de l’été. Ce qui est sûr, c’est que chaque épreuve, chaque événement de la vie laisse certaines marques dans le corps et au creux de l’esprit. Et de temps en temps, il arrive que le seul moyen de les surmonter soit de suivre une thérapie. Je propose des séances d’hypnose à Paris avec un massage Kobido, pour reconnecter le corps et l’esprit.
Mais contrairement aux idées reçues, la thérapie peut avoir de nombreux bienfaits, et chaque personne est libre d’en suivre une ou non. La thérapie est une question de choix vis-à-vis de ses besoins, de ses envies et des objectifs qu’il a pour son futur.
Une thérapie, c’est quoi ?
Lorsqu’on parle de thérapie, le plus souvent, il est en fait question de psychothérapie. Il s’agit donc, selon la définition officielle, d’apporter un soin « thérapeutique concernant des troubles psychiques ou somatiques par des procédés psychiques ». Cependant, la thérapie a beaucoup évolué depuis des années, et aujourd’hui, le plus souvent, lorsqu’on évoque la psychothérapie, il s’agit d’entrer en relation avec le thérapeute plutôt que d’aborder la thérapie comme un lien de patient/ soignant.
Le fait que l’accent soit mis sur les prises de consciences et le travail que le client peut amorcer sur lui et sur son quotidien a permis de grandement démocratiser le processus de la psychothérapie. Les personnes qui en ressentent alors le besoin s’y dirigent beaucoup plus facilement, et sont à mêmes de prendre en main leur vie avec de nouveaux moyens à sa disposition et en se connaissant mieux.
Les différentes thérapies qui existent
Les psychothérapies sont celles auxquelles l’on fait référence lorsqu’on évoque une thérapie. Toutefois, depuis quelques années déjà, les médecines parallèles ne cessent de se déployer en Occident, et sont de plus en plus appréciées. Ainsi, il est désormais possible de compter parmi les thérapies « parallèles », les thérapies par :
- L’art ;
- La danse ;
- L’écriture ;
- La méditation;
- Le sport qui vous plait qui comme l’hypnose, fait gagner de la confiance en soi.
Elles s’ajoutent aux différentes thérapies qui ont été reconnues de manière scientifique au cours des décennies, comme les thérapies :
- Cognitive et comportementale ;
- Systémique ;
- La psychanalyse ;
- Psychothérapies existentielles/ humanistes.
Il en existe tout autant qu’il existe de thérapeutes, puisque chacun peut avoir une spécialité à apporter aux patients qu’il rencontre.
Les bienfaits d’une thérapie
Qu’il s’agisse d’une psychothérapie ou d’une thérapie par l’art par exemple (il est important de noter que tous les psychologues ne sont pas psychothérapeutes), il existe de nombreux bienfaits à aller consulter pour se faire aider. De nombreuses études ces dernières décennies ont d’ailleurs contribuées à rechercher et appuyer les bienfaits que possédaient les thérapies et en particulier les psychothérapies (méta-analyse de M. Lambert en 2004 à partir des études menées en amont).
Parmi les bienfaits d’une psychothérapie, l’on retrouve :
La fin d’une ou de plusieurs souffrances :
Si c’est pour beaucoup la raison principale qui les encourage à démarrer un processus de thérapie, c’est aussi l’un des effets qui est le moins négligeable. Et pour cause, grâce à l’emploi de différentes méthodes comme l’hypnose pour retrouver l’estime de soi, la PNL ou la sophrologie, la psychothérapie peut aider à endiguer la souffrance voire à s’en débarrasser sur le long terme, que la souffrance soit physique, mentale ou émotionnelle.
Amélioration des relations :
En effet, la psychothérapie, en vous aidant à mieux vous comprendre, permet également d’améliorer les relations que vous pouvez avoir avec un entourage extérieur. Qu’il s’agisse à la source de certains soucis de communication, de timidité, d’obsessions ou suite à quelques échecs amoureux, un bon thérapeute, avec la méthode adaptée, pourra parvenir à vous faire surmonter les tracas liés aux relations interpersonnelles.
Apprendre à mieux se connaitre :
A travers le voyage de l’apprentissage de soi, il y a la destination d’un meilleur épanouissement général. Que ce soit dans la vie professionnelle, personnelle ou sociale, se connaître est un atout du quotidien pour tout ce qui est ou va être entrepris dans un futur plus ou moins proche. Découvrir la façon dont votre esprit fonctionne en apprenant les blessures du passé, c’est aussi comprendre pourquoi certains comportements sont rapidement acquis dans le présent. La psychothérapie, c’est donc aussi laisser tomber l’armure que l’on présente au monde pour soi-même connaitre ce qui se cache au-dessous.
Une aide pour la réalisation de soi :
Plus généralement, les thérapies livrent une grande aide quant à la réalisation de soi. En effet, il est possible d’entamer un travail profond sur l’estime de soi, la confiance en soi et de s’aimer soi-même avec de l’hypnose en supplément de la thérapie. Cela peut également se révéler être un immense soutien notamment pour toutes les personnes qui entament un grand changement dans leur vie, ou sont justement au cœur de ce changement.
Evoluer :
Il arrive parfois que la sensation d’être bloqué dans un passage de sa vie surgisse subitement. La psychothérapie permet de surmonter autant que prévenir cette sensation désagréable, notamment en faisant la lumière sur le lien entre les expériences du passé et les problèmes, les difficultés rencontrés dans le présent. Comprendre le passé et en accepter les conséquences, c’est aussi s’offrir une chance de pouvoir continuer dans la vie de manière plus sereine et plus éclairée. C’est prendre en compte la totalité de ce qui vous compose pour être sûr d’éviter les mêmes erreurs, et les mêmes schémas qui peuvent parfois être destructeurs.
Ainsi, les thérapies peuvent avoir beaucoup de bienfaits et surtout, de nombreux effets sur les personnes qui franchissent le pas de faire appel à un professionnel. À terme, ce sont des forces supplémentaires que vous possédez en ayant pris le temps de vous connaitre davantage, mais aussi le courage sublime de ceux qui peuvent regarder le passé sans souffrir ou le regretter. Accepter sa vie, la personne que l’on est et découvrir celle que l’on aspire à être, tels sont les atouts que la psychothérapie permet de posséder dans sa manche.
Il est également important de noter que les thérapies doivent être amorcées de manière volontaire. Si vous le faites à contrecœur, les effets seront moindres et ce sera surtout une perte de temps pour vous ainsi que pour le professionnel. La démarche doit être personnelle et motivée par vos besoins et envies, et nullement forcée selon un quelconque avis extérieur (sauf si c’est l’avis de votre médecin suite à un traumatisme vécu). Il est toutefois normal, malgré une motivation franche, d’avoir quelques appréhensions lors des premières séances.
Enfin, le choix du thérapeute est également très important. Chacun ayant sa spécialité, son domaine de prédilection et surtout, ses méthodes, il est important de bien se renseigner afin d’éviter l’épuisement dans la recherche et la multiplication des « premières séances » qui ne mèneront nulle part.
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris. Je propose ainsi des séances d’hypnose, qui peuvent permettre dans un premier temps ou en complément d’une psychothérapie, de venir en aide afin de surmonter certaines addictions, des insomnies…etc.
Par ailleurs, je propose aussi des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique Renata Franca ou encore des soins du visage, comme le drainage pour le visage.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de couper avec le quotidien parfois étouffant, et de se recentrer sur soi et la nature.
Pour les séances d’hypnose, il est possible de prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
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2022, année de la reconversion professionnelle ?
Et pourquoi pas ! Avec la nouvelle année, vient aussi le temps du renouveau et de la réalisation. Envie de changer de profession ? C’est peut-être le moment ou jamais de se lancer à cœur perdu dans cette nouvelle aventure qu’est la reconversion professionnelle. Même si cela peut paraître intimidant, effrayant, exaltant ou terriblement impossible, il suffit parfois de simplement se lancer pour découvrir toute l’étendue des possibles de la vie !
Pourquoi se reconvertir ?
Il existe de nombreuses raisons de vouloir se reconvertir professionnellement. Mais pourquoi se lancer cette année ? Comment amorcer ce bouleversement dans sa vie ? Parmi les raisons de se reconvertir les plus courantes, il est possible de se reconvertir :
Pour suivre ses rêves :
Cela fait peut-être des années que vous rêvez de vous lancer vraiment dans un projet professionnel qui vous tient à cœur, s’accorde avec vos valeurs ou vous passionne tout simplement. Suivre ses rêves est un acte de courage indéniable. Dans le domaine professionnel, il arrive souvent que ceux-ci soient pourtant réfrénés dans une certaine mesure, que ce soit par sécurité financière ou par habitude. Chambouler la routine, prendre le risque de se lancer, et simplement suivre une nouvelle voie peuvent pourtant s’avérer beaucoup plus épanouissants que ce que la peur pouvait laisser présager. N’hésitez plus, 2022 est peut-être l’année où votre rêve va prendre forme !
Explorer de nouveaux horizons :
Si la curiosité est parfois un vilain défaut, elle peut aussi s’avérer être un très bon moteur pour avancer dans la vie et se lancer dans de nouveaux projets professionnels… et pourquoi pas, aborder une reconversion professionnelle complète ? Que ce soit par passion, parce que vos envies changent et évoluent ou encore pour découvrir une nouvelle voie qui vous intrigue, la reconversion professionnelle peut être envisagée à n’importe quel moment de votre vie, pourvu que vous en ayez la volonté ou l’idée.
Exprimer ses qualités et être en accord avec soi-même :
Quel que soit le métier dans lequel vous souhaitez et/ou pensez vous reconvertir, il y a de grandes chances que celui-ci soit davantage en accord avec vos valeurs et vos besoins. Car les premiers jobs sont souvent alimentaires, par dépit, ou faute de mieux, la reconversion professionnelle offre l’occasion de laisser s’exprimer ses qualités les plus profondes, celles qui ne sont pas toujours utiles dans une profession qui bride l’individu. De plus, exprimer ses qualités, c’est aussi s’offrir le choix de pouvoir les reconnaître, les faire évoluer, et les apprécier à leur juste valeur. La reconversion professionnelle peut donc s’avérer être aussi un choix éclairé dans un processus de développement personnel.
Pour penser à son bonheur :
Plus simplement, il arrive qu’une profession ne soit plus ou pas du tout épanouissante pour soi, auquel cas il est intéressant d’en changer. Se diriger, entreprendre, commencer un projet qui peut vous apporter de la joie et un équilibre, c’est choisir son bien-être et son propre bonheur au détriment d’un travail qui vous use et vous épuise possiblement. C’est se choisir, soi-même.
Si à l’époque, il y a encore une vingtaine d’années, il était encore envisageable de choisir un métier et de l’exercer tout au long de sa vie, désormais, il est courant de retrouver des gens qui embrassent au cours de leur vie deux choix ou plus de carrière. La reconversion professionnelle s’est donc démocratisée, ce qui a permis ainsi d’alléger certaines démarches, en plus de créer des aides pour quiconque souhaiterait se lancer dans cette aventure !
Y a-t-il un bon moment pour se reconvertir ?
Une reconversion professionnelle demeure un choix souvent salvateur, mais tout aussi souvent risqué. Car sans imaginer le pire, tous les paramètres pour la réussite de cette reconversion ne sont pas dans les limites de votre contrôle. Il est alors possible que le moment de la reconversion soit sans cesse repoussé dans vos plans.
« Ce n’est pas la bonne période… », « Il est plus sage d’attendre encore un peu pour être certain de mon choix… », « Peut-être que je fais une terrible erreur… », tels sont les doutes qui peuvent vous envahir et venir ronger l’enthousiasme et la motivation que vous aviez pourtant développés naturellement à propos de votre reconversion professionnelle.
Eh bien sachez qu’il n’y a jamais de bon moment, sinon celui que l’on choisit !
Parce que si tous les événements qui se déroulaient sur Terre devaient être pris en compte, étudiés, et ensuite réfléchis avant votre reconversion, vous ne la feriez jamais. Les doutes sont tout à fait naturels ; ils permettent de vous faire avancer pas à pas, selon votre rythme. Les peurs le sont tout autant ; leur présence prouve que ce projet vous tient à cœur. Mais il faut parfois savoir se déshabiller de ces idées limitantes pour vous lancer, tout simplement. Après tout, n’est-ce pas le seul moyen de voir si vous allez y arriver ?
Ainsi, il n’y aura jamais de meilleur moment pour vous reconvertir que celui que vous choisirez. Car cela concerne votre vie, vous avez toujours le premier, et le dernier mot. La décision vous appartient totalement. Mais il faut savoir que les débuts d’années sont souvent propices à amorcer des changements, de telle sorte que si certaines appréhensions demeurent, ce début d’année pourrait bien vous aider à vous en débarrasser !
2022, une année qui change les règles ?
Sans s’étaler sur le sujet qui a tourné –et tourne toujours !- sur toutes les chaînes de média, dans tous les journaux, sur les réseaux sociaux… la crise sanitaire que le monde a connu a permis de bouleverser quelques règles établies jusqu’alors. Au bout de deux ans, les règles de société ont changé, mais celles du travail aussi. Les outils technologiques se sont placés à de nombreuses reprises au centre de beaucoup de professions, et les confinements consécutifs ont également permis à beaucoup de personnes de se reconnecter avec des passions, des passe-temps…etc
La crise sanitaire a donc permis de se positionner, au-delà du point de vue sanitaire, face à soi-même et de mieux découvrir quelles vies nous voudrions pour l’avenir. Dans le cadre d’une reconversion professionnelle, cela est nécessairement pris en compte, surtout à l’aube d’un futur qui aspire à être meilleur.
Ainsi, une reconversion professionnelle, si elle est intimidante, impressionnante ou encore effrayante, est sûrement l’une des formes de liberté les plus totales. Choisir sa voie, c’est se choisir soi chaque jour, et décider d’être en accord avec soi-même, être motivé à se donner les moyens de réussir.
Toutefois, lors d’une reconversion professionnelle, l’on peut parfois être amené à se sentir dépassé. Les doutes resurgissent souvent, et garder une jauge de motivation remplie en continu est tout bonnement impossible. Certaines activités comme la méditation ou la sophrologie peuvent alors aider à se recentrer sur soi et ses objectifs.
Tout comme l’hypnose, dont je propose des séances à Paris. De même, lorsqu’on s’investit dans un nouveau projet, on a parfois tendance à s’oublier. Je m’appelle Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques tels que des drainages lymphatiques ou des drainages du visage, qui permettent d’aider les personnes qui en ont besoin.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, je propose également des retraites au plus proche de la nature plusieurs fois par an, afin de se reconnecter à soi-même. Dans le cadre d’un projet de reconversion professionnelle, cela pourrait permettre de dissiper les derniers doutes et appréhensions tout en se ressourçant suffisamment pour se lancer dans ce nouveau chapitre de votre vie ! Pour les détails, c’est par ici : https://www.charlottevallet.fr/categorie-produit/evenements/les-ebooks/
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Quels sont les bienfaits d’une digital detox ?
Le 3 avril 1983, le premier téléphone mobile était créé. Presque quarante ans plus tard, les smartphones sont devenus indispensables à nos vies. Qu’ils soient outils de travail ou de divertissement, ils représentent une grande partie de nos quotidiens.
Qui n’a jamais attendu à un message avec impatience ? Qui n’a jamais cru voir une notification s’afficher, alors qu’il n’en était rien ? Ne pas être capable de se concentrer ou de se trouver loin de son téléphone, tels sont les effets que nos générations –et les futures- pourront connaître face à l’usage des outils technologiques. Parce que les progrès de ces outils à devenir toujours plus instinctifs, faciles d’accès, d’usage, et surtout indispensables dans nos quotidiens contribuent à nous y rendre accroc plus que de raison. Quels peuvent être alors les bienfaits d’une digital detox ?
Une digital detox, qu’est-ce que c’est ?
L’expression « digital detox » est un terme anglo-saxon renvoyant directement à la désintoxication des outils digitaux que l’on utilise au quotidien. Ordinateurs, tablettes numériques, mais surtout les smartphones, qui deviennent au fil du temps une extension que l’on pense indispensable à nous-mêmes.
La digital detox consiste alors à « rompre » le lien avec son smartphone, à parvenir à se détacher de cette addiction qu’ils peuvent faire naître sans que l’on s’en rende bien compte pour se recentrer sur soi et une dimension de la vie qui soit plus « concrète ». Sur une durée de dix jours au moins, il s’agira de ne pas utiliser, ou regarder son téléphone, afin de bien marquer le « sevrage ».
Ainsi, une digital detox consiste à se sevrer des habitudes néfastes qui envahissent rapidement les quotidiens dans le but de retrouver un équilibre pour soi, et avec soi. Le téléphone reste un outil, et ne devient en aucun cas une partie de soi-même.
Les bienfaits d’une digital detox
Les bienfaits d’une digital detox figurent aussi parmi les raisons qui peuvent vous pousser à vouloir en faire une. Parmi ces bienfaits, l’on retrouve notamment :
Un rééquilibrage de la santé mentale :
Parmi les détracteurs de la technologie et de plus en plus de scientifiques, la technologie et les smartphones plus particulièrement auraient une influence directe sur la santé mentale. Et pour cause, à chaque notification qui sonne, à chaque message qui s’affiche, c’est un élément de déconcentration qui s’ajoute dans notre environnement, et que le cerveau doit ensuite gérer. D’où l’importance de se dégager des moments sans smartphones, afin de pouvoir pleinement se concentrer sur une tâche précise, et laisser le temps au cerveau de faire le point.
Une meilleure concentration :
Comme évoqué plus haut, les smartphones ont la terrible tendance de déconcentrer leurs utilisateurs. L’attente d’un message important, les notifications de réseaux sociaux, de mails, ou d’une discussion de groupe sont tout autant de raisons qui déconcentrent et ne permettent plus au cerveau de se concentrer sur sa tâche initiale.
De meilleures relations humaines :
Cela peut rapidement être oublié tant la technologie pose de nombreux avantages dans le maintien des relations humaines sur une longue distance, et pourtant, les communications via la technologie et en face-à-face sont bien différentes. Pouvoir se séparer de son smartphone de temps à autres offre alors l’opportunité de pouvoir se reconnecter à son entourage proche, ses amis, et d’entretenir des relations plus concrètes et dans une dimension réelle dont on a tous un minimum besoin.
Diminution des problèmes de dos :
Au fil des années, les docteurs et spécialistes de santé ont prouvé que l’usage de plus en plus tôt d’un smartphone avait tendance à augmenter les risques de scoliose et de problèmes de dos. Pour cause, la posture que l’on adopte, se tournant toujours plus vers l’objet technologique au lieu de s’ouvrir vers le monde. On se replie, on se recroqueville (au sens propre comme au figuré), et ce n’est pas sans conséquence pour le corps !
Reconnexion au réel :
Parce que si les outils technologiques nous offrent des possibilités indénombrables concernant les liens à distance, qu’ils nous confèrent une certaine visibilité selon les choix de carrière, ou permettent de s’informer et d’apprendre rapidement, rien ne vaut vraiment la vie réelle. Les amis, la famille, les rires, les émotions, la nature… tant et tant de choses qui ne peuvent pas être remplacées ni même reproduites de la même façon à travers un écran.
Comment commencer une digital detox ?
Pour débuter une digital detox, il est important de comprendre et d’identifier dans un premier temps quels sont les besoins et envies qui vous animent. En d’autres termes, pourquoi la digital detox vous semble nécessaire ? Pourquoi voulez-vous amorcer cette digital detox ? Avez-vous besoin de plus de temps pour vous ? De vous reconnecter au réel ? De vous recentrer sur vous, ou bien de simplement décrocher un peu des réseaux sociaux ?
Quelle que soit la raison qui vous motive ou les besoins et envies que vous aurez identifiez, la digital detox est globalement simple à aborder. Dans un premier temps, il s’agit simplement de délimiter des horaires avec votre téléphone. Par exemple, après 18 heures, le téléphone est posé jusqu’au lendemain. Ou alors, il ne rentre pas dans la chambre, pour épargner votre sanctuaire des mauvaises ondes. C’est à vous de définir au mieux les limites qui vous semblent nécessaires afin d’amorcer cette digital detox, et surtout, de la respecter dans le temps.
Que cela dure une semaine, dix jours ou un mois complet, c’est selon votre besoin. L’essentiel étant de parvenir à couper les liens parfois étroits et dépendants que l’on entretient à divers degrés avec nos smartphones !
Savoir si j’ai besoin d’une digital detox
Parfois, il est un peu fastidieux de se rendre compte que le lien entretenu avec son smartphone est beaucoup trop présent et nous détourne du réel. Alors comment savoir si vous avez besoin d’une digital detox ? Il y a certains détails qui peuvent mettre la puce (mais pas celle du téléphone…) à l’oreille !
- Vous vous sentez perdu si vous n’avez pas votre smartphone sur vous ;
- Vous passez plus de deux heures par jour sur les réseaux sociaux ;
- Vous attendez parfois longtemps une notification qui ne vient pas, au risque de ralentir vos tâches et occupations ;
- Vous pensez parfois l’entendre sonner, alors qu’il ne sonne pas ;
- Vous avez du mal à vous endormir ;
- Il vous est impossible de vous concentrer une heure entière sur une conversation ou une activité.
Il existe également plein d’autres nuances, mais ces « habitudes », ces réflexes que l’on développe inconsciemment sont en grande partie responsables d’un quotidien qui tourne autour d’un smartphone. Peut-être est-il alors temps d’entamer une digital detox… ?
Ainsi, la digital detox est comparable à un grand ménage de printemps ! Il s’agira de nettoyer votre corps et votre esprit durant une durée indéterminée, afin de vous reconnecter pleinement au réel et à ce qui vous entoure. Un jour par mois, une semaine par trimestre… peu importe ! Chaque personne peut décider des limites qu’elle met en place afin de pouvoir rompre de temps en temps avec cet outil technologique qui devient bien trop souvent, le cœur de nos soucis au lieu d’une aide pour les résoudre.
Sachez aussi qu’en parallèle de la digital detox, il est tout à fait possible de se tourner vers des médecines parallèles et thérapeutiques afin de travailler davantage ce détachement au smartphone. L’hypnose est d’ailleurs un bon moyen de le faire.
Hypnothérapeute et experte en neurosciences, je propose d’ailleurs des séances sur Paris. Certains soins thérapeutiques permettent quant à eux de se reconnecter à soi, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage, que je propose également à Paris.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, je propose plusieurs fois par an des retraites bien-être, qui permettent de se reconnecter pleinement à soi, en étant au plus proche de la nature.
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Comment bien dormir ?
Le sommeil est sûrement l’un des aspects de notre vie les plus délicats à contrôler. Entre les insomnies, les effets du stress, une idée persistante, et les tentations qui font partie de quotidien (« encore un épisode », « encore un chapitre »…), il est parfois difficile de le toucher du bout des doigts. Pourtant, le sommeil a une importance capitale sur la santé physique, mentale et émotionnelle de chaque individu.
Les bienfaits d’un bon sommeil
Ce n’est plus à cacher, les bienfaits d’un bon sommeil sont indéniables. Et pour cause, le sommeil réparateur possède autant de bienfaits sur le corps, l’esprit, que tout le système émotionnel. Bien dormir est donc l’une des clés d’un équilibre général, et une voie importante dans le bien-être. Ainsi, les bienfaits d’un bon sommeil sont :
- Diminution du stress ;
- Baisse de l’angoisse et de l’anxiété ;
- Meilleure mémoire ;
- Des émotions équilibrées ;
- Elasticité de la peau ;
- Régénération des cellules ;
- Diminution du risque de dépression ;
- Plus d’énergie dans la journée ;
- Baisse de maladies cardiovasculaires.
Le sommeil réparateur a donc de nombreuses vertus. A contrario, les impacts d’un mauvais sommeil sont parfois beaucoup plus lourds que ce que l’on pourrait penser de prime abord. Alors comment favoriser au maximum votre sommeil ?
L’importance d’une bonne literie
Si ça peut paraître logique pour certains, il arrive parfois d’oublier à quel point une bonne literie fait toute la différence durant une nuit de sommeil !
Le matelas : que ce soit pour soulager des maux de dos déjà existants ou bien pour les prévenir, le matelas adapté peut changer vos nuits. Comment choisir au mieux son matelas ? Il est important de prendre en compte sa propre morphologie. Que le matelas soit en latex, avec des ressorts ou encore à mémoire de forme, cela importe peu. Mais gardez à l’esprit que la colonne vertébrale est censée être la plus horizontale possible !
L’oreiller : si on a souvent tendance à rêver d’un lit moelleux et d’une couverture chaude lorsque la fatigue nous emporte, il ne faut pourtant pas négliger l’importance d’un bon oreiller ! Et pour cause, c’est lui qui influe directement sur le bien-être des cervicales. Tout comme pour le dos, qu’il s’agisse de prévenir certaines douleurs ou de soulager des maux, un oreiller adapté pourra complètement faire la différence. Si vous dormez sur le dos, privilégiez un oreiller ferme, et si vous préférez dormir sur le ventre, un oreiller plus mou sera alors à recommander afin de pas tirer sur les cervicales.
La literie : dans son ensemble, une bonne literie ne conserve pas seulement la santé physique du dormeur. En cas de risques d’allergies comme celle aux acariens, une literie adaptée pourra calmer les symptômes. De même, une bonne literie peut agir directement sur des troubles tels que ceux de l’humour, de la digestion, la prise de poids, les maladies cardiovasculaires ou encore les migraines.
Vous l’aurez compris, une bonne literie est décisive pour la qualité du sommeil !
La température : plus qu’un détail !
Qui n’a jamais rêvé de son lit douillet, de sa chambre rassurante pour pouvoir se livrer à la tendre rêverie que font naître les journées difficiles ou la fatigue intense ? Et qui n’a jamais connu, durant ces nuits estivales, la frustration de ne pas trouver de position adéquate car la température semble toujours trop chaude ? Ou bien les nuits froides d’hiver, après une coupure de courant ?
La température de la chambre a une importance et une conséquence sur la qualité du sommeil, et surtout, permet d’éviter les impacts d’un mauvais sommeil sur le corps et l’esprit.
En effet, l’Institut national du Sommeil et de la Vigilance recommande vivement de maintenir une température entre 16°C et 18°C durant les nuits. Et pour cause, durant la nuit, les différentes phases de sommeil à travers lesquelles nous passons tous, modifient parfois la température corporelle de quelques degrés. Si la température de l’environnement n’est pas adaptée, c’est alors tout un décalage qui se produit, peut venir perturber le sommeil, et priver de ses effets.
Regarder dans la direction du sommeil
La croyance populaire voudrait que l’on dorme mieux en orientant le lit en direction du Nord. Est-ce que les points cardinaux ont vraiment une importance dans la qualité du sommeil ? En effet, ils en ont une. Car selon le sens dans lequel vous orientez votre lit, les effets sur la santé physique, mentale et émotionnelle seront différents.
Vers le sud : selon les pratiques et connaissances ayurvédiques, le pôle Sud insufflerait une grande attraction sur le corps, pendant le sommeil. Il est alors possible d’orienter le lit en direction du Sud, d’autant que cela permet d’apporter une grande énergie durant le sommeil.
Vers le Nord : cette position est déconseillée par l’Ayurveda, mais davantage recommandée par le Feng Shui. En effet, pour la médecine ayurvédique, cette position (tête au Nord et pieds au Sud) induirait beaucoup de cauchemars et des perturbations du sommeil. Frustration, irritabilité et sentiment de fatigue dominent alors au réveil, selon les avis ayurvédiques.
Pourtant, le Feng Shui recommande grandement cette position car elle permettrait de recevoir les bonnes ondes venant de la Terre et de son champ magnétique.
Ainsi, selon les habitudes, préférences et volontés de chacun, vous pouvez orienter votre lit du côté de n’importe quel pôle ! Tentez, essayez, et trouvez la position du lit qui vous convient et favorise votre sommeil.
Les odeurs et leur pouvoir… soporifique !
Saviez-vous qu’il était possible de mieux dormir grâce à certaines odeurs ? En effet, ce phénomène est tout à fait réel. Beaucoup de personnes dont l’odorat est sensible préfèrent volontiers que leur chambre respire la lavande, par exemple, plutôt qu’une autre odeur qui pourrait les exciter, réveiller le corps ou l’esprit et retarder le sommeil, voire… en déplorer sa qualité. Parmi les odeurs qui peuvent favoriser une meilleure qualité de sommeil, l’on retrouve :
- La lavande: elle apaise les nerfs, réduit le stress et favorise le calme mental et physique.
- Les agrumes: les agrumes en général et les huiles essentielles plus particulièrement possèdent des vertus apaisantes et purifiantes. Elles permettent alors d’apaiser le corps et de purifier l’environnement afin de mieux dormir.
- La verveine : en infusion ou en huile essentielle, la verveine a fait ses preuves depuis longtemps. Sa réputation d’aide digestive la précède, et elle favorise aussi grandement la phase d’endormissement, privilégiant ainsi un sommeil profond et réparateur.
Ainsi, il existe de nombreuses façons de bien dormir. Qu’il s’agisse d’exercices d’étirement avant de dormir, d’avaler son dernier repas au maximum trois heures avant d’aller se coucher, ou encore de mettre en place des rituels spécifiques comme la lecture ou une activité calme, les possibilités sont multiples.
Néanmoins, si malgré vos efforts le sommeil continue d’être difficile, il est important d’aller consulter pour traiter le problème qui est enfoui au-dessous de ce symptôme. L’hypnose peut par exemple être une bonne façon de lever le voile sur les causes et soucis liés à l’insomnie. Hypnothérapeute à Paris et experte en neurosciences, je propose d’ailleurs des séances d’hypnose, ainsi que de soins thérapeutiques pour le corps ou le visage (drainage lymphatique ou du visage).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, si la vie vous empêche de prendre du temps pour vous, il est alors possible et tout à fait légitime de se pencher sur d’autres solutions. Avez-vous essayé les retraites bien-être ?
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Pourquoi voyager seul est-il nécessaire pour son bien-être personnel ?
Si ça peut effrayer au premier abord, voyager seul a pourtant de nombreux avantages. Nos modes de vies actuels permettent de surcroît de laisser plus de chance aux voyages. Fonder une famille plus tard et pouvoir travailler à distance sont désormais envisageable pour tous les amoureux de la nature et du monde. Alors voyager seul, pour ou contre ? Tant pour soit que pour son bien-être, partir seul, c’est revenir plus riche intérieurement.
La solitude, forme primaire de liberté
Si le fait de voyager seul peut être source de nombreuses angoisses et appréhensions –ce qui est totalement naturel-, c’est également car tout peut potentiellement devenir possible. Et pour cause, dans le cadre d’un voyage organisé pour tout un groupe (amis, famille…), les choses se compliquent dès lors que les avis divergent. Et ça arrive souvent très vite !
Il est alors possible de concevoir le voyage seul comme une forme de liberté. Vous décidez de partir dans un endroit, et le programme ne dépend que d’une chose : vos propres envies ! Vous êtes alors la personne qui choisit les lieux à visiter, les activités à faire…etc. Car après tout, c’est votre voyage ! Vous ne subirez pas des activités ennuyeuses ou qui ne vous intéressent pas, n’aurez pas à vous plier aux exigences d’autrui, et surtout, cela permettra de mieux gérer le budget des vacances ou du voyage.
Outre cela, la solitude durant le voyage peut également ouvrir la porte à de nombreux rebondissements ! Cela peut être le cas pour de nouvelles rencontres, notamment. Les gens ont tendance à ne pas trop s’approcher d’un groupe, mais une personne seule permet de se sentir en confiance aux premiers abords.
Ainsi, la solitude que procure le fait de voyager seul est une notion précieuse. Source d’un sentiment de liberté insoupçonnable tant qu’il n’a pas été expérimenté, il permet également d’en apprendre plus sur soi, et sur les ressources qui vous composent et que vous ne connaissez peut-être pas.
Étendre sa zone de confort
Voyager seul, c’est aussi étendre sa zone de confort. Parce que découvrir un pays, une autre culture, une langue étrangère et tout ce qui compose un voyage, c’est aussi se laisser une chance de se découvrir soi-même. Qui peut savoir qui il est sans avoir eu à voyager seul ? On ne peut jamais soupçonner la force de ses ressources, ni l’étendue de ses capacités tant qu’on n’a pas eu à les utiliser en situation réelle.
Louer une voiture pour une nuit dans les montagnes et voir le pneu crever au matin ? Ce n’est pas un souci, mais une nouvelle aventure ! Parce que les « petites galères » font aussi partie du voyage, et qu’elles créent des souvenirs plus précieux encore. Et ce sont justement ces petites galères qui vous permettent de vous connaitre davantage et de vous découvrir des ressources illimitées et une capacité d’adaptation surprise !
De plus, voyager, c’est aussi changer ses habitudes. Les heures de lever et de coucher ne sont plus les mêmes, et les journées sont rythmées selon votre propre rythme, vos choix d’activités ou encore vos besoins. Les expériences se multiplient alors, et l’apprentissage de la vie se poursuit en vous offrant la possibilité d’en découvrir toujours plus à votre propos.
Voyager seul… à la découverte de soi !
Même si elles peuvent être minimes, voyager avec d’autres personnes, c’est toujours synonyme de concessions. En voyageant seul, vous vous octroyez la place que vous méritez : celle au premier rang de votre vie. Et votre bien-être, votre estime de vous en ressentiront les conséquences sans aucun doute !
Dans la même optique, si vous avez une décision importante à prendre, voyager seul peut permettre de prendre du recul et de la distance par rapport aux préoccupations du quotidien. De quoi avoir tout le temps nécessaire pour penser à propos de votre situation, de vos envies, d’une décision…etc. Prendre du temps pour soi, c’est également possible en voyageant et en se faisant plaisir ! Et cela ne pourra que servir le futur qui vous attend patiemment.
Il y a donc matière à se découvrir, et surtout, mieux se comprendre. Comment appréhender l’avenir si le présent est incertain et qu’il tangue ? Le voyage seul permet de retrouver, à votre retour, un calme nécessaire pour la suite de la vie et ses nombreuses surprises.
De nouvelles rencontres… c’est aussi se rencontrer soi !
Qu’elles soient locales ou touristiques, les rencontres accompagneront votre voyage durant toute sa durée ! Et le fait d’être seul permet de paraître plus ouvert, puisque l’on ne reste pas collé à ses proches. Bien que ce soit un comportement naturel de l’être humain dans un environnement inconnu, voyager, c’est aussi et surtout s’ouvrir aux autres !
Rencontrer les personnes vivant localement permet également de mieux comprendre et découvrir la culture du pays. D’une région à l’autre, elle peut changer, comme partout ! Les traditions d’un pays sont toutes uniques, et échanger avec des locaux permet de s’en rapprocher au maximum. Par ailleurs, le fait d’échanger avec d’autres touristes permet également de s’ouvrir à l’autre dans une optique d’échange, de travailler les langues internationales, et surtout, de partager un bout de chemin avec d’autres aventuriers !
Et puis… parler avec d’autres touristes peut aussi être une bonne solution pour partager les bons plans comme les mauvais. Car même si les petites galères font de bonnes anecdotes, en éviter certaines peut être tout aussi arrangeant !
Et au niveau du bien-être ?
Le fait de voyager en solitaire peut avoir de nombreux avantages. Mais avant tout, c’est pour votre bien-être personnel que cette solution peut être intéressante. Et pour cause, au-delà des craintes et appréhensions que peut représenter le fait de voyager seul, c’est aussi une grande satisfaction qui peut en être retirée. En effet, voyager seul, c’est :
Vivre son voyage à 300%
Ne dépendre de personne sinon de ses envies et besoins ;
Découvrir à son rythme les cultures et traditions ;
S’ouvrir au monde et aux nouvelles rencontres ;
Prendre du temps pour soi ;
Découvrir ses ressources insoupçonnées ;
Prendre confiance en soi !
Ainsi, le voyage en solitaire présente de nombreux avantages. Il permet de découvrir tout autant que de se découvrir soi-même, et surtout, d’expérimenter des choses uniques, des activités incroyables et de trouver douceur et aventure au creux même de sa propre personne.
Moi-même, il y a quelques années, j’ai voyagé seule. Ça m’a complètement changée. J’ai retrouvé confiance en moi, et c’est cette assurance qui m’a permis de changer de vie, de faire ce qui me plaisait vraiment : aider les autres !
Aujourd’hui, je suis hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Outre les séances d’hypnose, je propose aussi des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou encore le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous directement via Doctolib.
Et pour en apprendre davantage sur moi, je vous invite à écouter le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou mon podcast Combattantes.
Enfin, quel plus merveilleux voyage existe-t-il que celui qui mène à soi ? J’organise d’ailleurs des retraites menant à l’équilibre de soi.
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Y a-t-il un cycle dans l’amitié ? Pourquoi vouloir ‘rompre’ avec certaines personnes ?
Il y a quelques années, Frédéric Beigbeder écrivait que l’amour dure trois ans. Et si l’amitié avait aussi une date de fin ? L’amitié est souvent mieux vue que l’amour, mais elle reste rationnellement un lien entre deux personnes qui peut subir des écueils. Toutes les amitiés sont-elles saines ? L’amitié suit-elle un cycle, tout comme la vie ? Et si c’est le cas, a-t-elle systématiquement une date de fin ?
Le sentiment d’amitié : un feu d’artifice qui apporte de la joie
L’amitié est un sentiment bien vaste qu’il est difficile de définir. Source de joie incommensurable, de rires, de tristesse parfois, synonyme d’évolution… les amitiés sont tout aussi uniques que les personnes qui la composent. Car pour être amis, il faut être au moins deux.
Woah ! J’ai vu que tu écoutais aussi Queen, je suis fan ! Je te prêterais le DVD du live, si tu veux…
D’un instant à l’autre, c’est un point commun, un détail, un partage, un acte de bonté… et tant d’autres choses encore qui peuvent lier deux personnes. Pour savoir combien de temps cela va durer, il va dépendre de tant et tant d’éléments. Quelques semaines, une année entière ou des décennies ? L’amitié demeure surtout un lien social qui s’entretient malgré les conditions (lieux de vie différents, écoles différentes…etc.).
Car contrairement à l’amour, l’amitié n’a aucune contrainte. Elle ne demande pas de contrepartie, elle est plus libre et se révèle surtout un support sans failles. Si elle peut subir les aléas de la vie et des événements qui y surviennent, l’amitié semble pourtant avoir, dans les consciences collectives, un socle bien plus fort. Alors trouver les bons amis, est-ce vivre une existence moins pénible ? Et comme le chantait Freddy Mercury lui-même…
You make me live, whatever this world can give to me…
Les cycles de la vie
Mais malheureusement, comme dans tout ce qui fait partie de la vie, certaines choses finissent par passer. Et les amis ne font pas exception. Si vous aviez l’habitude de vous voir tous les jours en cours ou au travail, il est possible que changer de voie vous éloigne alors de l’ami en question.
On s’enverra des lettres ? Et on s’appellera le week-end, oui… Promis ?
Mais n’est-ce pas ça, la vie ? Une succession de relations amicales qui varie, change, évolue… comme, nous finalement. Et puis, nos besoins d’amitiés ne sont pas les mêmes au fils des ans. C’est aussi ce pourquoi il est parfois plus simple de se faire des amis quand on est enfant plutôt qu’à l’âge adulte. Il est donc tout à fait naturel que certaines relations s’éteignent, par choix ou par les fatalités que la vie fait parfois peser sur nous.
Combien de temps dure l’amitié ?
allait alors émettre une date de durée, il s’agirait des fameux trois ans. Non pas que ce soit un rallye et que la finalité des trois premières années en soit la ligne d’arrivée, mais bel et bien que trois ans d’amitié, c’est un « cap » à passer. Et pour cause, en trois ans, il peut se passer de nombreuses choses. Dans un monde sans cesse changeant et dans lequel le mouvement n’a de cesse de se prolonger, s’éteindre, ressusciter… les trois ans permettent de couvrir quelques aléas de la vie. De quoi avoir le temps de comprendre sur quelles personnes vous pouvez vraiment compter, notamment.
Par ailleurs, les amitiés, tout comme toutes les autres relations sont susceptibles d’évoluer et de changer. Et c’est tout aussi naturel ! Parfois elles s’éteignent, et parfois, leur flamme reste allumée pendant encore des années. En réalité, tout dépend de la façon dont vous êtes avec l’autre, et la façon dont l’autre est avec vous. Chaque relation est unique, y compris en amitié !
Certains de mes amis sont des amis de longue date que je ne vois pas tous les jours. D’autres, au contraire, je les rencontre plusieurs fois par semaines. Sommes-nous moins amis avec les premiers qu’avec les seconds ? Absolument pas ! Car chaque personne a des besoins amicaux différents, et surtout, différentes façons de vivre et d’expérimenter l’amitié !
Tu as vu Léa récemment ? Marie m’a dit qu’elle allait bientôt déménager. On ira l’aider !
La fin (involontaire) d’une amitié
Et puis parfois, les amitiés se terminent. Parce qu’elles n’ont plus rien à offrir ou parce qu’aucun des deux partis ne veut plus investir de temps et de tendresse dedans. Ce sont des choses qui arrivent, et qu’il faut parfois laisser aller pour qu’une prochaine rencontre ait lieu. Car c’est souvent lorsqu’on s’y attend le moins… que surviennent les plus beaux événements !
Un déménagement à l’autre bout du pays, un changement de voie au travail, une dispute qui ne se résout pas… Nombreuses sont les raisons qui peuvent mener une amitié à son terme. Et la rupture amicale peut parfois être bien plus douloureuse qu’une rupture amoureuse…
A qui vais-je confier mes secrets ? Avec qui je vais pouvoir aller flâner au parc les dimanches matins ?
Et à d’autres moments de nos vies, il y a ces amis qui réapparaissent et disparaissent. Parce qu’ils ou vous deux êtes très occupés, vous ne vous voyez pas beaucoup. Mais de petites attentions comme des appels durant l’année vous font comprendre que l’amitié n’est pourtant pas partie. Au contraire, elle demeure au péril même du quotidien.
La fin volontaire d’une amitié
A contrario, il peut y avoir des amitiés qui, lorsqu’elles se finissent, ôtent d’un poids. Parce que si la toxicité est souvent évoquée dans les relations amoureuses, elle peut tout aussi bien s’établir dans une amitié. Et pour parvenir à se défaire d’une telle emprise… c’est parfois bien rude (mais pas impossible !).
Courage et force sont nécessaires pour parvenir à faire prédominer les comportements toxiques qui vous font du mal au-dessus des souvenirs partagés. Parce qu’un ami toxique est un ami, il est souvent compliqué de lui faire comprendre que votre relation ne vous convient plus. Pire encore, qu’elle vous fait du mal. Et se débarrasser d’une personne toxique, peu importe le lien qui existait avant, est toujours une bonne solution !
Après tout, les amis doivent être présents dans les bons et les mauvais moments… et ne pas créer les pires. Et comme le disait Freddy Mercury…
The show must go on !
Ainsi, l’amitié est compliquée à vraiment définir. Pour certains, cela passe à travers une présence physique, des sorties au ciné hebdomadaires, ou encore une écoute sans failles. Chacun a sa propre définition car chacun la vit différemment. Et c’est aussi ce qui fait partie de la joie des liens humains ! L’on retrouve néanmoins l’idée du cycle dans l’amitié. Un début, un milieu et une fin. Et ce, que l’amitié ou non soit toxique, elle peut, à tout moment, prendre fin. Ce qui n’est ni une règle immuable, ni une fin en soi ; quand une porte se ferme…
En revanche, après avoir mis fin à une relation avec une personne toxique, il est parfois important de prendre du temps pour soi. Se reconstruire, se poser, réfléchir… et se libérer des traumatismes qui auront pu être causés. Au besoin, il est possible de se tourner vers des soins comme l’hypnose ou les soins du corps pour prendre soin de soi.
Hypnothérapeute et experte en neuroscience à Paris, je propose des séances et des soins thérapeutiques du corps tels que le drainage lymphatique et le drainage du visage.
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Délier vos relations toxiques, ça peut aussi passer à travers une reconnexion à soi. Dans ce cadre-là, j’organise des retraites qui permettent de ses découvrir, se reconnecter, se comprendre, s’aimer et surtout, tendre au bien-être à travers le partage et la bienveillance. N’hésitez pas à aller voir, et peut-être nous retrouverons-nous proches du bonheur (et du Mont Saint-Michel !).
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À quel profil ayurvédique appartiens-tu ?
Inhérents à la médecine ayurvédique et toutes les pratiques qu’elle comporte, le profil ayurvédique permet d’en apprendre plus sur soi. L’Ayurveda comporte trois grands profils, qui se nomment doshas. Zoom sur les différents doshas, leurs particularités pour le corps et l’esprit, et sur ce qui résulte de ces profils ayurvédiques.
Qu’est-ce que les doshas ?
Les doshas sont des particularités propres à chacun dans la médecine ayurvédique. Ils symbolisent les trois types d’énergies vitales qui animent l’être humain. Chaque personne possède un dosha prédominant, lequel comporte deux des cinq éléments de la médecine ayurvédique. Dans la pratique de l’Ayurveda, chaque dosha a son importance ; ils sont tous responsables des mécanismes physiologiques et psychologiques de nos êtres.
Dans la pratique de la médecine ayurvédique, il est important de noter que les doshas ne sont pas tous les trois des concepts entiers et distinguables ; en effet, ils demeurent simplement les trois parties d’une grande et même énergie présente dans tout le corps. Ainsi, ils se complètent, s’harmonisent et se jouxtent en tentant de conserver l’équilibre à la façon de funambules de la santé. Si l’un est déséquilibré, cela entraîne alors des troubles qui peuvent être soit de nature psychique, soit de nature physiologique.
Ainsi, les doshas principaux composent le corps humain et permettent aux professionnels de l’Ayurveda de déterminer quels maux sont présents dans le corps ou l’esprit.
Les trois doshas principaux
Il y a donc en tout, six doshas. Les trois principaux, appelés Vata, Pitta et Kapha sont les doshas majeurs dans la médecine ayurvédique. Pour savoir lequel des trois doshas est prédominant, il y a plusieurs caractéristiques corporelles, mentales et émotionnelles qu’il est possible de prendre en compte et remarquer chez chaque personne. Ainsi, chaque dosha a ses propres caractéristiques, que celles-ci soient directement liées aux cinq éléments ou bien aux nuances de l’être humain.
Le dosha Vata :
Ce dosha se rapporte à l’élément Air et à l’Ether. Il se caractérise surtout par le mouvement fluide, la nature mobile de l’énergie du vent. Ce dosha est qualifié de froid, rugueux, sec, piquant, flottant, clair, parfois erratique. Il symbolise la force du vent, le mouvement dans le corps et l’esprit, et lorsqu’il est harmonieux, rend les mouvements fluides et gracieux.
Son site principal dans le corps est le colon, mais il est également présent dans les os, le pelvis, les cuisses, les oreilles, la tête et les cheveux. Ces caractéristiques se traduisent par des particularités spécifiques dans le corps humain. Parmi elles, l’on retrouve notamment :
Léger : les os du corps sont étroits.
Froid : des tendances à la frilosité.
Sec : la peau et les yeux s’assèchent rapidement.
Clair : les yeux sont clairs.
Fin : l’esprit est curieux et ouvert aux nouvelles idées.
Si ce dosha est déséquilibré, les conséquences se constatent rapidement car chacune des particularités ci-dessus est alors exacerbée.
Au niveau psychique, les personnes de nature Vata se caractérisent par une forte tendance à se montrer bavardes, enthousiastes et créatives. Avec une grande propension à s’adapter et une flexibilité à toute épreuve, elle peuvent, en cas du déséquilibre du dosha, se montrer confuses et se sentir rapidement dépassées. Elles sont également très sensibles aux émotions froides comme l’anxiété, la peur et le doute. Mais les personnes de nature Vata sont surtout aventurières, créatives et aiment commencer de nouveaux projets – en oubliant parfois de les terminer !
Le dosha Pitta :
Ce dosha tire son énergie de l’élément Feu combiné à l’Eau. Ce dosha Pitta se rapporte surtout à la transformation. En sanskrit, le mot Pitta signifie littéralement la « bile ». Il se qualifie le plus souvent par des adjectifs tels que chaud, huileux, tranchant, mobile, léger ou même liquide. Au niveau du corps, ce dosha est surtout présent dans la digestion, directement lié à l’assimilation de la nourriture. Il est également en lien avec la régulation de la température du corps, l’éclat des yeux et celui de la peau.
Son site principal dans le corps est l’intestin grêle, mais il est également très présent au niveau de l’estomac ou encore dans le sang. Ce dosha a la particularité de puiser dans la matière de son élément, là ou le dosha Vata se ressource grâce au sien. Sur le corps humain, les particularités du dosha Pitta se traduisent ainsi :
Huileux : la peau est souvent grasse et peut même provoquer de l’acné.
Liquide : Les personnes de nature Pitta transpirent facilement dès qu’il fait un peu chaud.
Chaud : les mains sont souvent moites et chaudes.
Mobile : leur teint plutôt clair peut rapidement rougir.
En cas de déséquilibre, ces particularités peuvent se trouver exacerbées. Il est donc essentiel de ne pas abuser de son élément principal (Feu), et d’éviter le soleil et la chaleur en trop grandes quantités.
Au niveau de la psyché, les personnes qui sont Pitta trouvent un équilibre entre les actions (Feu) et la sensibilité (Eau). Leurs émotions sont souvent intenses, et peuvent s’apparenter à de l’irritabilité. Une excellente libido se reflète dans le feu duquel ils puisent leur énergie. De même, la volonté, la détermination et le leadership caractérisent ce dosha. Loyaux et fidèles en amitié, leur exigence peut parfois paraître intimidante. Pourtant, leur bienveillance envers ceux qu’ils estiment est sans limites.
Le dosha Kapha :
Le dosha Kapha puise directement dans l’énergie de l’Eau, à laquelle se mêle la Terre. Plus exactement, ce dosha se rapporte à l’adhésion. Littéralement, Kapha signifie « ce qui lie » en sanskrit. Le dosha Kapha se qualifie par des adjectifs tels que lourd, dense, froid, statique, lent ou encore mou. Son organe sensoriel est la langue, et il se situe aussi dans la partie supérieure du corps, soit la tête, le torse, l’estomac ou encore le pancréas. C’est le dosha du goût.
Au niveau du corps humain, ses caractéristiques se reflètent ainsi :
Lourd : souvent, le squelette est de bonne constitution.
Froid : ils ont le teint pâle et la peau claire.
Dense : s’ils ne s’entretiennent pas, les Kapha ont tendance à rapidement stagner.
Lent : la digestion est généralement assez lente ce qui amène un sentiment de satiété rapidement.
En cas de déséquilibre de ce dosha, les particularités physiques qu’il présente s’en trouvent exacerbées. Il est donc essentiel de ne pas rester enraciné dans son élément (Terre), et de bouger, de se mouvoir comme l’Eau.
Au niveau de la psyché, les personnes dont le dosha principal est Kapha sont des personnes qui aiment aimer et être aimées. Fidèles, tempérantes, et généreuses, ce sont des personnes équilibrées. Ils ont le goût du lien social, aiment partager avec autrui, et découvrir tout ce qu’il est possible via les interactions sociales. La philosophie est une discipline à laquelle ils apprécient s’adonner.
Leur sédentarité est probablement la critique la plus récurrente qu’ils reçoivent. Souvent réservés, ils ont des difficultés à s’affirmer, et leur timidité peut parfois leur causer du tort lorsqu’ils ne parviennent pas à s’exprimer. C’est la sécurité qui prime pour les personnes de nature Kapha, car c’est elle qui créé son équilibre.
Ainsi, les trois doshas principaux de la médecine ayurvédique sont les doshas Vata, Pitta et Kapha. Chacun ayant ses propres caractéristiques, il est néanmoins important de noter que personne ne peut se résumer à un seul des doshas.
Il y a d’ailleurs, dans l’Ayurveda, trois autres doshas, mineurs ceux-ci, qui permettent d’appréhender et affiner la compréhension d’une personne. Ainsi, il est totalement possible de retrouver des personnes possédant une nature Vata-Kapha, Pitta-Kapha ou Pitta-Vata. La médecine ayurvédique couvre une grande surface de différences, mais aussi de caractéristiques qui sont propres à chacun. Pour plus de précision sur la médecine ayurvédique, je vous invite à lire cet article sur l’Ayurveda.
Si les médecines et soins parallèles vous intéressent, je vous invite à visiter mon site. Vous y trouverez les séances d’hypnose que je propose, ou bien les soins corporels thérapeutiques que je réalise, tels que le drainage lymphatique, ou encore le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes
Afin de vous pencher davantage sur les facettes qui vous composent, il est aussi possible de procéder à une retraite bien-être. C’est en particulier ce que je propose afin de vous permettre de prendre du recul pour mieux se recentrer sur soi.
Et vous, quel est votre profil ayurvédique ?
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L’Ayurveda, c’est quoi ?
Présente dans de nombreux pays orientaux, l’Ayurveda représente l’une des médecines holistiques les plus utilisées. Ses bienfaits sont souvent vantés, et pour cause, elle ne traite pas un mal, mais rééquilibre tout le corps de la personne à laquelle elle apporte soin.
Origines et définition
L’apparition de la médecine ayurvédique remonterait à environ 5 000 ans, faisant de l’Ayurveda l’une des plus anciennes médecines holistiques encore pratiquée de nos jours. Certaines théories avancent d’ailleurs qu’elle serait à l’origine des médecines gréco-romaine, persique, chinoise et persienne. Le terme Ayurveda signifie « connaissance de la vie », « science de la vie ». Le mot « Veda » ferait d’ailleurs référence à des textes sacrés de l’Inde antique, s’intitulant de la même façon.
L’Ayurveda regroupe par ailleurs différentes pratiques, telles que la phytothérapie, l’aromathérapie, le yoga, la méditation ou encore l’apprentissage de sa respiration. Elle est en constante évolution, et a eu le temps de se parfaire au fil des siècles. C’est donc une pratique de la médecine globale, prenant en compte l’entièreté de l’être humain dans l’objectif de l’apaiser et de lui apporter les soins dont il a besoin.
Bien que l’OMS ait reconnu l’Ayurveda comme une médecine traditionnelle, en France, elle reste ignorée des facultés de médecine, et se cantonne donc au domaine de la relaxation et du bien-être.
Principe de l’Ayurveda
Ce qui constitue sûrement le plus grand principe de l’Ayurveda, c’est la façon dont elle est pratiquée, en accord avec la nature et le monde qui l’entoure. Et pour cause, L’Ayurveda considère en premier lieu que toutes les particules qui composent la vie sont régies selon les mêmes règles. Autrement dit, l’infiniment petit (être humain) fonctionne de la même façon que l’infiniment grand (galaxie).
Selon les sages indiens à l’origine de cette médecine holistique, il y aurait cinq éléments présents dans la nature (air, terre, eau, feu et éther). Alors il était possiblement envisageable que l’être humain, animal naturel, subisse également la présence de ces cinq éléments.
La médecine ayurvédique et ses subtilités
La médecine ayurvédique, dans son ensemble, se base donc sur cinq éléments. Dans le corps humain, cela se traduit par des « doshas », lesquels sont uniques selon chaque personne. Ils peuvent se traduire par les humeurs biologiques de chacun.
Les doshas sont au nombre de six, trois doshas majeurs, et trois mineurs. Il est alors considéré par les professionnels de la médecine ayurvédique, que si les doshas sont tous équilibrés, la personne est en bonne santé. En revanche, si la présence d’un déséquilibre dans les doshas est relevée, cela peut-être le signe que la santé est fébrile. Et si les déséquilibres s’accumulent, il est alors possible qu’une maladie soit présente dans le corps ou l’esprit de la personne.
Comment se pratique l’Ayurveda ?
L’une des caractéristiques les plus importantes de l’Ayurveda, c’est d’abord de soigner le malade avant la maladie. Autrement dit, le professionnel de médecine ayurvédique cherchera dans un premier temps à soulager les symptômes d’une maladie, plutôt qu’à l’enrayer complètement. C’est notamment ce qu’a déclaré Charaka, l’un des fondateurs principaux de l’Ayurveda.
En Inde, la médecine ayurvédique s’exerce d’une façon différente de celle que l’on connaît en Occident. Dans un premier temps, le professionnel ayurvédique (vaidya) va poser trois doigts sur l’artère radicale au niveau du poignet. C’est ainsi qu’il pourra avoir une première idée de la manière dont les doshas sont équilibrés – ou déséquilibrés.
Dans un deuxième temps, si le vaidya détecte un quelconque déséquilibre, il lui sera possible de poser des questions au patient afin de déterminer avec plus de précision la source du déséquilibre.
Par ailleurs, la médecine ayurvédique, comme mentionné plus haut, comprend en réalité tout un éventail de différents soins. Ainsi, dans la médecine ayurvédique, sont comprises les pratiques de :
- La phytothérapie/ aromathérapie indiennes: pratique dans laquelle les plantes sont classées selon les cinq éléments qui se retrouvent dans toute la nature et chez l’être humain.
- Les massages ayurvédiques: ils permettent souvent de rééquilibrer les doshas efficacement. La majorité du temps, ils sont pratiqués de manière individuelle.
- La diététique ayurvédique: dans la médecine ayurvédique, les aliments sont tous classés en fonction de leur goût, l’énergie qu’ils apporteront au corps et leur action digestive. Un corps en bonne santé passe donc, dans la médecine ayurvédique, par une bonne alimentation.
- La lithothérapie: l’usage de pierres sur le corps est également une pratique très répandue dans la médecine ayurvédique. Disposés à même la peau sur des zones énergétiques spécifiques, les pierres permettent alors de rééquilibrer les doshas.
Enfin, il y a encore de nombreuses pratiques qui viennent compléter la médecine ayurvédique, toujours dans une optique de bien-être et de bonne santé. C’est notamment le cas pour la thérapie par les sons, qui permettraient d’harmoniser les énergies autour et au-dedans de soi. La thérapie par le chant ou les couleurs, la pratique du yoga, les exercices de respiration, la méditation… sont aussi des pratiques qui font partie de l’Ayurveda.
L’Ayurveda, est-ce fait pour tout le monde ?
Si l’Ayurveda n’est en Occident reconnue « que » comme une voie parallèle pour atteindre le bien-être, en Inde, elle représente surtout une médecine fiable. Il y a d’ailleurs plus de professionnels ayurvédiques qu’il n’y a de docteurs comme on les connaît, en Inde. Alors si cette médecine, aussi ancienne et populaire soit-elle selon les endroits du globe, fait tant d’heureux, se peut-il qu’il y ait des contre-indications ?
Il y en a effectivement quelques-unes ! Par exemple, en cas de soin par la phytothérapie, il est important de veiller à ne pas avoir d’allergies particulières. Autrement, il est important d’en faire part au vaidya. De même, dans le cadre de l’aromathérapie, si jamais vous êtes allergique à une essence ou certaines huiles, il est primordial de le dire !
Enfin, la seule contre-indication qu’il pourrait y avoir à la médecine ayurvédique serait le cas d’une grossesse. Les personnes enceintes ne se verront ainsi pas encouragées à bénéficier d’un massage ayurvédique, ni à consommer certaines plantes et huiles essentielles.
Pour en savoir plus…
Pour pouvoir approfondir le sujet de l’Ayurveda avec calme et à votre rythme, voici quelques livres que je vous recommande :
- « L’Ayurveda » de Sylvie Verbois, pour les personnes qui veulent découvrir avec douceur la médecine ayurvédique ;
- « Ayurveda Pratique », par le Centre de yoga Sivan, édition Courrier du Livre, 2019 ;
- « Ayurveda : le Guide de Référence », par Deepak Chopra et Sahara rose Ketabi, éditions Trédaniel, 2018 ;
- « Le Grand Livre de l’Ayurveda Adapté à l’Occident », par Christine Blin-Chandrika, édition EccE, 2016.
- « Ayurveda, Science de l’Autoguérison », éditions Trédaniel, 1997.
Ainsi, l’Ayurveda regroupe différents soins pour le corps grâce auxquels il est possible de se soigner. Bien qu’en France, la médecine ayurvédique soit relayée au plan du bien-être, elle reste dans beaucoup de pays la principale voie de guérison.
Si vous souhaitez vous orienter vers des médecines parallèles ou des soins bien-être, je propose des séances d’hypnose et de soins thérapeutiques pour le corps. Drainage lymphatique ou du visage, n’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
Experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Plus récemment, j’ai également mis en place une retraite bien-être, afin de s’épanouir dans le partage et la bienveillance. Cette retraite se basera notamment sur quelques notions de médecine ayurvédique.
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Le jeûne intermittent : est-ce fait pour moi ?
Depuis de nombreuses années, les régimes n’ont cessé de se succéder, être promus puis testés, avant de sombrer dans l’oubli. Notre époque ne fait pas exception à la règle, et aujourd’hui, nous allons nous pencher sur le jeûne intermittent. Nouvelle manière de s’alimenter, le jeûne intermittent est-il vraiment efficace ? Y a-t-il des effets indésirables ? Et surtout, est-ce que tout le monde peut se lancer dans le jeûne intermittent ? Zoom sur une pratique qui se popularise mais dont on ne connaît pas toujours tous les détails.
Origines et définition du jeûne intermittent
Comme son nom l’indique, le jeûne intermittent consiste à déterminer des périodes durant lesquelles il sera possible de manger, et d’autres, durant lesquelles on ne mangera pas. Il existe différentes formes de jeûne intermittent (fasting, jeûne alternatif, jeûne modifié…etc.). Mais toutes ces méthodes, si elles changent dans le détail, demeurent cependant similaires sur la forme et le fonctionnement.
Historiquement, le jeûne a toujours été pratiqué. Que ce soit pour une raison religieuse (carême, ramadan…) ou pour des combats sociétaux ou politiques (grèves de la faim…etc.), le jeûne est présent depuis longtemps dans notre société. Mais le jeûne intermittent en tant que tel n’a été popularisé que très récemment, puisque cela date des années 1943, année à laquelle remontent les premières études réalisées sur ce type de régime.
Les différents types de jeûne
Il existe différentes façons de jeûner. Et que le jeûne soit total, partiel ou momentané, il est important de connaître les détails de chacun.
Le jeûne alternatif : cette façon de jeûner consiste à ne pas manger sur des périodes de 24h. Il est ainsi possible de manger de façon habituelle le lundi et le mercredi, et de jeûner le mardi et le jeudi.
Le jeûne modifié : pour cette alternative, il ne s’agit pas exactement d’arrêter de se nourrir. Toutefois il s’agit de choisir un ou plusieurs jours par semaine durant lesquels l’apport calorique sera alors réduit. Par exemple, si vous avez l’habitude de manger 2000 cal/jour, les jours choisis, il vous faudra réduire ce chiffre à 25% du nombre total, soit 500 cal/jour.
Le jeûne limité dans le temps : pour cette manière de jeûner, il s’agit de se concentrer non pas sur les moments où l’on ne mange pas, mais ceux auxquels il sera possible de manger. Autrement dit, au cours d’une journée, il s’agira de déterminer dans quelle fenêtre vous pourrez vous nourrir, alternant ainsi avec des périodes de jeûne de plusieurs heures, pouvant aller jusqu’à 20 heures (ce qui conduit à manger, par exemple, uniquement entre 12 et 16 heures).
Les bienfaits du jeûne pour le corps
À l’ère de la « malbouffe » et de la surconsommation, il est parfois fastidieux de trouver l’équilibre entre gourmandise, envie de consommer et besoins réels du corps. C’est ce pourquoi le jeûne intermittent peut être une solution intéressante. Il possède en effet de nombreux bienfaits pour le corps, contrairement à ce que les consciences collectives pourraient penser (qui a dit qu’on ne pouvait pas être en bonne santé sans manger trois fois par jours ?). Ainsi, le jeûne intermittent permet notamment :
- De diminuer la production d’insuline dans l’organisme ;
- De baisser le stockage des graisses en stimulant le corps qui se sert dedans ;
- D’offrir au corps la possibilité de nettoyer l’organisme entier ;
- De baisser le temps de récupération dont le corps a besoin, ce qui améliore nettement les facultés physiques et mentales ;
- De diminuer le vieillissement prématuré des cellules et donc l’oxydation de celles-ci ;
- De réduire le risque de maladies cardiovasculaires, de diabète, et le mauvais cholestérol ;
- De favoriser la reconnaissance du sentiment de satiété ;
- Et parfois, il permet aussi de brûler des graisses et donc de perdre du poids plus facilement (attention toutefois, il ne s’agit pas d’arrêter de manger !).
Ainsi, le jeûne intermittent offre de nombreux bienfaits sur le corps humain et son fonctionnement. Il est cependant important de bien noter qu’en aucun cas, le jeûne intermittent ne soigne une maladie, ni fait instantanément maigrir ou offre les clés de la jeunesse éternelle. Il s’agit simplement de cures possibles et envisageables, qui, si elles sont réalisées avec sérieux et sans privation, porteront leurs fruits.
Les inconvénients du jeûne intermittent
Comme tout sujet dans la vie, le jeûne intermittent possède également le revers de sa médaille si attrayante. Et pour cause, s’il présente de nombreux bienfaits pour le corps, cela ne l’empêche pas d’avoir aussi ses mauvais côtés. Voici quelques-uns de ses désavantages :
- Bien que ce soit l’effet inverse qui soit recherché, il arrive cependant que parfois, le corps stocke des graisses durant la période de jeûne intermittent ;
- Une mauvaise haleine peut également survenir durant les périodes du jeûne, ou les quelques heures où il dure ;
- Une fonte musculaire est un risque non négligeable également, surtout pour les personnes qui seraient cardiaques ;
- Les risques de troubles du comportement alimentaire (TCA) peuvent également découler de cette pratique, ou encore être renforcés à cause du jeûne intermittent.
Ainsi, si les bienfaits du jeûne intermittent sont indéniables, il est également très important de prendre en compte les risques que cette pratique peut présenter. Ils sont nombreux et portent davantage de conséquences que le simple fait de s’alimenter trois fois par jours.
Y a-t-il des contre-indications ?
Le jeûne intermittent, avec ses avantages et ses inconvénients, présente également quelques contre-indications. En plus de lever le voile quant à la question « est-ce fait pour tout le monde ? », le jeûne intermittent peut surtout s’avérer dangereux pour certaines personnes. C’est notamment le cas pour les personnes souffrant de :
- Dépendance à la drogue ou à l’alcool ;
- Les personnes anorexiques ;
- Ayant un IMC inférieur à 18 ;
- Les femmes enceintes, ou celles qui allaitent ;
- Les enfants ;
- Les personnes qui ont une maladie de reins.
De manière générale, il est important de demander l’avis de son médecin avant de commencer une période de jeûne intermittent. Les risques sont, autrement, parfois complexes, et les conséquences, graves.
Les erreurs à éviter pendant le jeûne intermittent :
- Manger en plus grande quantité durant les périodes de prise alimentaire ;
- Ne pas boire assez d’eau (qui permet d’éliminer les toxines) ;
- Se fixer des objectifs trop difficiles à atteindre ;
- Jeûner pour maigrir (ce n’est pas sa fonction principale !).
Ainsi, le jeûne intermittent est une pratique qui peut permettre de trouver l’équilibre entre ses besoins réels et l’alimentation à laquelle on est parfois habitués. Mais le jeûne intermittent est loin d’être un jeu : s’il est envisagé, il doit l’être avec recul et conscience, toujours. Il est important de ne pas le pratiquer dans le seul et unique but de perdre du poids ; pour cela, il y a tant et d’autres façons de procéder !
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Si vous souhaitez perdre du poids, l’une des solutions pourrait bien être de programmer des séances d’hypnose. Je suis aussi spécialisée dans les soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage. Vous pourriez trouver votre bonheur… !
N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
Et vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise depuis peu des retraites bien-être durant l’année. Celles-ci servent à prendre du recul, mais aussi du temps pour soi ; à privilégier le moment présent les notions de partage dans une bienveillance totale.
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Pourquoi les heures récupératrices de sommeil sont celles avant minuit ?
Dans la chaleur douillette d’une couverture moelleuse, au creux d’un oreiller qui respire notre lessive préférée ou sur un matelas qui épouse notre dos à la perfection, le sommeil peut se révéler bien salvateur pour le corps et l’esprit. A contrario, il suffit parfois d’un détail – ou d’une pensée- pour que l’insomnie sème un joyeux bazar dans notre rythme de sommeil. Comment reprendre le contrôle sur son cycle de sommeil pour pouvoir profiter des heures les plus réparatrices ? Et quelles sont-elles ?
L’importance d’un cycle de sommeil régulier
Si tout le monde en parle et le vante, c’est car la régularité du cycle du sommeil peut avoir de nombreuses vertus. En effet, tant sur le corps que sur l’esprit, on ressent tous le besoin de parfois recharger nos batteries – comme un appareil, oui ! Et un bon cycle du sommeil permet d’être à son potentiel maximum la journée qui suit. En cas de mauvais sommeil, d’insomnie ou de cauchemars répétés, le sommeil peut rapidement devenir un vrai fardeau, et un moment que l’on redoute lorsque la nuit tombe.
Pourtant, le sommeil a de nombreuses vertus. En ayant un cycle du sommeil régulier, cela permet notamment de :
Booster son système immunitaire ;
Réguler le métabolisme ;
Nettoyer le cerveau des cellules « obsolètes » ;
Diminuer le stress
Combattre les troubles de l’humeur, la dépression ;
Faire travailler la mémoire et l’enrichir ;
Booster la libido ;
Ralentir la vieillesse corporelle.
Ainsi, le sommeil est une véritable source de repos tant pour le corps que pour l’esprit. Il est donc important de pouvoir bien dormir. Le cas échéant, je vous invite à lire quel est l’impact d’un mauvais sommeil sur le corps et l’esprit.
Les différentes phases du sommeil
Il existe différentes phases durant le sommeil. Dans l’ordre, voici les phases du sommeil :
Phase d’endormissement : c’est la toute première phase d’un cycle de sommeil. Il s’agit ici de « déconnecter ». Dans l’obscurité de la chambre, la glande à l’origine du sommeil, la glande pinéale, libère de la mélatonine, invitant ainsi le corps et l’esprit à se reposer. C’est la phase durant laquelle l’on s’endort et l’on peut parfois avoir l’impression de tomber. Le plus souvent, cette première phase est assez courte et dure environ 5 minutes. Puis vient ensuite la deuxième phase.
Phase de sommeil (lent) léger : durant cette phase, le sommeil devient plus profond, sans l’être pour autant totalement. Il demeure encore facile de se réveiller, alors même que le cerveau est bien occupé. En effet, c’est durant cette deuxième phase que le cerveau va opérer un tri important en repassant toutes les informations de la journée. Le cortex cérébral est stimulé et s’occupera de conserver les informations dans la mémoire à long terme. De même, il est bon de savoir que plus le cerveau est stimulé durant la journée, plus il libèrera ensuite des ondes cérébrale au moment de cette phase. Leur fréquence peut donc varier d’une nuit à l’autre selon la manière dont le cerveau a été activé. Ainsi, la mémoire se consolide durant cette phase relativement longue, qui représente 50% du sommeil total.
Phase de sommeil profond : dans cette phase, le cerveau n’est plus le seul à sentir les effets du sommeil. En effet, c’est durant cette troisième phase que le corps voit sa température diminuer. Et pour cause, si le cerveau va, lors de cette phase importante, délivrer de puissantes « ondes delta », le corps, lui, en profite alors pour renforcer les os et les muscles suite à leur activité de la journée. Les cellules produisent beaucoup plus d’hormones qu’en période de réveil, et cela aide à se renforcer. Cette phase représente environ 20% du sommeil dans sa totalité durant une nuit.
Phase de sommeil paradoxal : Cette dernière phase de sommeil est relativement courte (seulement une trentaine de minutes) mais elle est intense. C’est cette phase qui s’approche le plus d’un coma, et elle permet surtout au système nerveux de se régénérer. Le fait de réguler les humeurs en plus de reposer l’esprit et le corps permet d’être apaisé. Et c’est là qu’interviennent les rêves. Autrement dit, le cerveau est complètement actif, et bien que tout le corps soit comme en état de paralysie, les globes oculaires réagissent sans peine face aux rêves qu’ils voient. Et les rêves sont directement influencés par le système limbique, duquel ils dépendent, et qui recèle toutes nos émotions, d’une grande joie à une peur tétanisante, en passant par les pulsions sexuelles ou encore la tristesse.
Ainsi, la quatrième phase se conclut par un réveil bref avant que le cycle ne recommence. Durant la nuit, l’on peut compter entre trois et six cycles de sommeil (un cycle = quatre phases), selon si les personnes sont de « grandes » dormeuses ou non. Mais il est à noter que les phases de sommeil paradoxal sont souvent inaltérables peu importe l’âge ou le nombre d’heures que dure la nuit.
Les caractéristiques d’un sommeil réparateur
Lorsque la fatigue se fait ressentir dans tout le corps et que les paupières se font lourdes, se sont des signaux du corps qu’il est temps de s’allonger pour une bonne nuit de repos ! Pour commencer, quelles sont les caractéristiques d’un sommeil réparateur ? Il est question d’un sommeil réparateur lorsque :
- La durée du sommeil est suffisante ;
- La qualité du sommeil est satisfaisante ;
- La régularité du sommeil, ou le rythme de sommeil (les heures de coucher et de réveil ne changent pas beaucoup d’un jour à l’autre).
Quelle phase de sommeil est la plus réparatrice ?
Selon les spécialistes du sommeil, les heures de la nuit qui sont le plus réparatrices sont celles du sommeil lent et profond, soit la durant la troisième phase d’un cycle de sommeil. Cette phase du cycle est reposante car c’est celle durant laquelle le cerveau voit son activité baisser le plus (sans s’arrêter totalement !). Le corps et le cerveau se ressourcent, se reposent, et donc, inévitablement, le réveil est plus doux et la journée moins difficile que si le sommeil n’était pas réparateur.
De plus, cette phase n’est pas présente lors de tous les cycles qui ont lieu durant une nuit. En effet, la phase de sommeil profond ne survient que deux à trois fois dans les premiers cycles. Le reste de la nuit, les autres phases s’enchaînent simplement sans celle-ci. Ainsi, pour une heure de coucher avant minuit, cette phase aura lieu avant deux heures du matin, durant les premières heures de sommeil.
Le sommeil est donc très important. Tant sur le corps que sur l’esprit, il est essentiel de bien dormir pour recharger ses batteries et continuer de briller dans la vie de manière sereine. Vous savez maintenant qu’il ne suffit pas de dormir treize heures d’affilée pour être reposé. Jouez plutôt sur la régularité du sommeil et des heures de coucher/ lever, sur la qualité du sommeil, et surtout, sur le fait que votre corps et votre esprit sauront quoi faire quand vous n’aurez qu’à fermer les yeux.
Par ailleurs, il existe de nombreuses autres solutions en cas de mauvais sommeil sur de longues périodes. Parfois, les insomnies sont directement liées à un traumatisme ou un blocage psychologique. L’hypnothérapie peut alors être une solution qui s’offre à vous. Experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris, je propose toutes sortes de soins thérapeutiques pour le corps, comme le drainage lymphatique et le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Et si vous n’aviez besoin que de prendre un peu de recul sur le quotidien pour pouvoir retrouver un doux sommeil ? Depuis peu, j’organise plusieurs retraites bien-être durant l’année. Si l’envie de vous isoler dans les paysages campagnards de Normandie et de profiter de quelques jours de soins et d’exercices sur soi, c’est désormais possible !
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Le rebirth, qu’est-ce que c’est ? Cette technique qui a réoxygéné tous mes sens
Découvert dans les années 60, le rebirth est une méthode de développement personnel. Bercé de controverses, ayant quelques contrindications mais se montrant pourtant efficace pour beaucoup de personnes, voici ce qu’est le rebirth, et ce en quoi il consiste. Une méthode qui réoxygène tous les sens de par son efficacité et la liberté qu’il offre : à découvrir !
Définition et origines
Le rebirth est un terme anglais qui signifie littéralement « renaissance ». Ce mot désigne une méthode de développement personnel qui existe depuis plus d’une cinquantaine d’années. En effet, dans les années 60-70, Leonard Orr met au point cette pratique dans le but de pouvoir entamer un processus de guérison concernant des blessures anciennes.
Également auteur, Leonard Orr est un pionner dans son domaine. Après avoir passé plus d’une dizaine d’années à mener ses observations personnelles, il défend désormais le rebirth comme l’une des méthodes les plus efficaces pour se débarrasser de ses peurs, blocages et blessures.
Le rebirth : quels principes ?
Le rebirth est donc une méthode qui est aujourd’hui associée à l’idée de développement personnel. Cette pratique permet de repartir sur des bases nouvelles à chaque moment. Il s’agit donc, à l’aide d’une respiration dite consciente, de retrouver sa première inspiration de vie. Autrement dit, le rebirth est une expérience qui permet de revivre les premiers instants de sa vie afin d’en comprendre et de cerner les blocages qui ont eu lieu durant cette période.
Et pour cause, les premières années de vie sont celles durant laquelle la plupart des blocages émotionnels et des peurs prennent leur source. Y revenir et les revivre permet ainsi de mieux les comprendre pour pouvoir ensuite s’en débarrasser à l’âge adulte au lieu d’en être prisonnier.
Comment ça fonctionne ?
Le rebirth, en théorie, consiste à respirer de manière consciente durant 45 minutes environ. Une séance de rebirth se pratique d’ordinaire en étant allongé sur le dos, et en se concentrant totalement sur la respiration. Les yeux fermés permettent de mieux se concentrer. Petit à petit, la respiration est accélérée volontairement par la personne qui pratique le rebirth, et le souffle s’amplifie. Dès lors, la phase de respiration consciente est alors amorcée.
Ces séances, selon le thérapeute qui l’exerce, peuvent alors se dérouler de différentes manières. Tantôt sous l’eau, tantôt allongé, par le nez ou bien par la bouche, il existe de nombreuses façons de pratiquer le rebirth. Mais la volonté du résultat en reste inchangée.
En accélérant la respiration, l’apport d’oxygène dans le corps est augmenté, et débloque ainsi des mécanismes mentaux qui peuvent être inhibiteurs. Le patient découvre alors les clefs qui permettent de se libérer des blocages du passé, de pouvoir apprécier et mieux vivre dans le présent.
Pourquoi pratiquer le rebirth ?
La plupart des peurs et blocages présents dans la vie adulte résultent de blessures émotionnelles survenues lors de la naissance ou peu de temps après. Le fait de revivre cette naissance autant que faire se peut, permet alors de trouver plus clairement la source de ce qui bloque aujourd’hui. Comme un retour en arrière du corps, l’accès à la mémoire émotionnelle se débloque alors. Et qu’est-ce que ça fait du bien !
Mais pour quelles raisons est-il intéressant de faire une séance de rebirth ? Comme pour toute thérapie, il peut y avoir plusieurs facteurs à prendre en compte et qui peuvent mener à faire une séance. Parmi eux :
- La volonté de diminuer le stress, l’angoisse ou l’anxiété ;
- Dans le cas d’une dépression ;
- Lors d’une crise ou situation de crise (deuil, maladie, perte d’emploi…Etc.)
- Dans le cadre d’une psychothérapie, d’une psychanalyse ou dans l’encadrement d’un stage de développement personnel par exemple.
Et en pratique, alors ?
Si en théorie, le rebirth se pratique de différentes manières selon les thérapeutes, en pratique, il existe différentes séances qui peuvent prendre forme. D’une première part, il peut y avoir des séances individuelles, durant lesquelles le thérapeute sert de « guide » au patient. Assis près de lui, le professionnel aide le patient dans ses inspirations et l’éclaire dans ses expirations. C’est donc à travers le rythme de cette respiration que les souvenirs à la source des blocages du présent pourront refaire surface.
Il existe également des séances collectives, durant lesquelles il est également possible de faire remonter les souvenirs à l’origine des problématiques du présent. Toutefois, la séance collective permet également une prise de parole antérieure et/ou postérieure à la séance de respiration consciente. De plus, le fait de ne pas se retrouver seul avec le thérapeute peut ouvrir la voix –littéralement !- à la sensation de confiance car l’on n’est pas seul et il sera, pour beaucoup, plus simple de s’exprimer.
Il est également à noter qu’en séance individuelle ou collective, il est possible que les premières séances de respiration consciente ne provoquent pas chez les patients les sensations éprouvées lors de la naissance. La plupart du temps, il faudra plus de trois séances pour parvenir à ce stade et pouvoir commencer à ressentir les effets désirés.
Y a-t-il des contre-indications ?
La pratique du rebirth ne présente pas beaucoup de contre-indications. En revanche, il y en a tout de même quelques unes, qu’il n’est pas envisageable de laisser de côté. Parmi elles, l’on retrouve notamment :
- Le rebirth est déconseillé pour les personnes trop fragiles émotionnellement, ou psychologiquement déstructurées ;
- Les personnes qui doivent suivre un traitement à base d’antidépresseurs ou de somnifères. Et pour cause, en raison de leur force, ces médicaments pourraient altérer les effets d’une séance de rebirth sur le corps et l’esprit d’un patient ;
- Les personnes enceintes de plus de 6 mois. En effet, au-delà de six mois de grossesse, le rebirth pourrait être à l’origine du déclenchement d’un accouchement. Avec des personnes qui ont beaucoup de pratique, il est possible de l’envisager, mais la séance devra être très surveillée pour éviter toute complication.
Quelques sources supplémentaires !
Si le sujet du rebirth vous intrigue et que les réponses n’ont pas été apportées dans cet article, quel autre meilleur moyen de se renseigner que de se tourner directement vers les professionnels du rebirth ! Voici quelques recommandations bibliographiques qui permettront d’étayer le sujet :
- Leonard Orr et Sondra Ray, Re-birthing, renaissance au Nouvel-Âge, Guy Saint-Jean, Canada 1977/1980/1982.
- Leonard Orr, La respiration consciente, Editions Ronan Daniel, 1985.
- Dominique Levadoux-Feuillet, Renaître, vers une psychanalyse du souffle, Chemins de l’harmonie, Paris 1997.
Ainsi, le rebirth est comme un chemin qui emmène dans le passé, afin de mieux profiter du présent. Avec ou sans musiques, les séances de rebirth sont aussi différentes qu’efficaces pour certaines personnes -elles l’ont été pour moi ! Plongez dans votre passé enfoui pour comprendre les blocages du présent, et les laisser derrière vous !
Et si vous souhaitez explorer d’autres voies, je propose des séances d’hypnose qui permettent, tout comme le rebirth, de s’affranchir des angoisses, de l’anxiété, et de réduire les causes du stress. De même, en cas de soucis de sommeil, ou d’addiction, il est possible de prendre rendez-vous sur Doctolib. A savoir que je propose également des soins thérapeutiques pour le corps, comme le drainage lymphatique et le drainage du corps.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Et pour toutes les amatrices de grand air, je propose des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi-même, loin du quotidien et des soucis qu’il apporte. Bienveillance, partage, écoute de soi et des autres vous guideront lors de ces quelques jours hors du temps. Vous êtes la seule maîtresse de votre bien-être ! -

L’hiver arrive : mieux vaut prévenir que guérir ?
Alors que l’automne, un peu tardif, lègue lentement sa place à la saison la plus froide de l’année, l’énergie disparaît en même temps que les fleurs, et l’hiver qui s’annonce risque d’être synonyme de mélancolie et de fatigue. Heureusement, il existe des petites habitudes qu’il est simple d’intégrer dans les quotidiens, et qui permettront de bien se préparer à l’arrivée parfois tant redoutée de l’hiver.
Une laine, un rhume, une écharpe, une angine, plus un bonnet…
Parce que l’hiver est l’une des saisons les plus rudes pour le corps et l’esprit, il est d’autant plus important de bien s’y préparer. Vitamines, plantes, alimentation, sommeil… chaque aspect de la vie quotidienne peut avoir un impact bénéfique ou néfaste lorsque l’hiver approche.
Si les premiers matins gelés font timidement leur apparition, ils risquent néanmoins de bien se manifester d’ici peu. Et pour ce jour fatidique, il vaut mieux être préparé ; et ça ne concerne pas seulement les accessoires d’hiver ! Il est important d’équilibrer les apports nutritifs pour son corps, de manger équilibré et aussi de bien se dépenser –et au bon moment.
L’hiver est une saison froide, avec peu de lumière naturelle et des nuits très longues. Loin d’être le climat du Pôle Nord, elle a tout de même un impact important sur le corps (se traduisant souvent par des maladies), et notamment sur l’énergie de celui-ci. De même, les baisses de moral peuvent également se présenter plus rapidement.
Les gestes qui aident à se préparer à la froide saison
Il existe de nombreuses habitudes et petites routines qui permettent de traverser le « Grand Froid » et d’en ressortir indemne.
Préparer son corps :
Préparer son corps à affronter les températures plus basses est possible. Et cela passe principalement par l’alimentation. Puisqu’il fait de plus en plus froid, il arrive que le corps, s’il n’a pas suffisamment d’apports, puise dans ses réserves. Mais cela peut avoir des conséquences comme des vertiges, des baisses de tension voire parfois, des malaises. Sans même évoquer les possibles carences ! Il est donc important de manger tous les repas préconisés par les médecins, et surtout, d’apporter à son corps les nutriments dont il a besoin. Et pour cause, le froid et l’humidité sont des sources d’épuisement si le corps n’a pas les bonnes armes pour lutter contre.
En hiver, on privilégiera donc : les agrumes (qui apportent de la vitamine C), les poissons gras (maquereau, hareng… riches en vitamine D), et tous les fruits à coque (qui permettent de faire le plein d’oméga-3).
De même, le repos du corps est essentiel en hiver. Cela permet de faire le plein d’énergie et de se reposer suffisamment pour affronter une journée entière dans le froid. Car si le corps manque de sommeil ou ne bénéficie que d’un sommeil médiocre, ses capacités s’en voient réduites. Il est donc important de conserver un rythme de sommeil le plus constant possible, et des horaires réguliers.
Par ailleurs, le fait de pratiquer une activité physique régulière est également un élément important pour se préparer à l’hiver. Et pour cause, avec le froid, le sang a parfois du mal à bien circuler. Une activité physique pratiquée de préférence le matin permettra aux extrémités du corps de ne pas être trop sensibles au froid.
De même, le sport est l’une des activités qui permet d’ « énergiser » rapidement le corps, diminuer le niveau de stress et procurer un sentiment de bien-être. Enfin, le sport permet d’améliorer la qualité du sommeil.
Préparer son esprit :
Si pour certains, l’arrivée de l’hiver signifie repas en famille ou bonhommes de neige dehors, pour d’autres, c’est surtout le début d’une longue période sans beaucoup de lumière naturelle. Forcément, cela joue un rôle sur le mental – moins envie de sortir le week-end, davantage dormir, ne plus trop manger…etc. Ce sont d’ailleurs parfois des symptômes d’une dépression saisonnière, il est donc important de rester vigilant à ce propos.
Le sommeil impacte également beaucoup le mental, notamment s’il n’est pas suffisamment réparateur. Provoquant alors des pertes de mémoire, des difficultés à la concentration ou des difficultés à réagir rapidement. Fatalement, un esprit fatigué ne permet pas non plus au corps d’être à son potentiel serein et accompli.
Le fait de trouver des bénéfices hivernaux permettront de mieux laisser passer la saison. Par exemple, il est possible de skier, allumer un feu de cheminée, prendre un bain hydratant ou encore de porter une nouvelle pair de gants. Cela peut se traduire par des petits détails comme de grands accomplissements. Ils offriront même la possibilité d’apprécier, ne serait-ce que momentanément, l’hiver et ses bienfaits.
Préparer sa peau :
Enfin, la peau ne reste pas indemne non plus au passage de l’hiver. Et pour cause, le froid et l’humidité peuvent parfois avoir des conséquences terribles sur la peau. L’hydratation et la protection des changements de températures sont importantes voire essentielles pour certaines peaux.
Il est donc conseillé de privilégier : les soins hydratants, les sérums qui redonnent l’éclat qui se perd parfois dans les nuits, et une alimentation saine qui permet de nourrir la peau (vitamine D, notamment).
Préparer sa maison :
Et parce qu’il n’y a pas que le corps qui peut pâtir de l’arrivée de l’hiver, il est également important de prendre soin (et d’adapter les soins) apportés à son intérieur. Quelques habitudes sont à mettre en place afin de repousser les microbes et les traces d’humidité qui se glissent parfois sans qu’on les remarque.
- Renouveler l’air au quotidien : une fois par jour (en général le matin après la nuit), il est recommandé d’ouvrir les fenêtres de son chez-soi pour aérer quelques minutes. Cela permet aussi de se débarrasser des microbes et de la pollution intérieure parfois bien plus présente que ce que l’on pense.
- Aérer les pièces d’eau (surtout la salle de bain) afin de ne pas avoir d’humidité stagnante et, sur le long terme, de moisissure !
- L’arrivée de l’hiver, c’est aussi le moment opportun pour vérifier que les radiateurs fonctionnent bien. Un petit coup de dépoussiérage avant de les mettre en route, et le tour est joué !
- Si vous avez un jardin, il est également conseillé de l’entretenir avant l’arrivée de l’hiver. Ainsi, le printemps se déroulera de la meilleure façon, et vous n’aurez pas besoin de vous impliquer corps et âme dans l’entretien durant l’hiver.
- C’est aussi l’occasion de ranger les vêtements d’été pour les remplacer par les gros pulls d’hiver ! Et dans le même temps… faire un peu de tri pour donner à des associations !
Tips en plus : les huiles essentielles
À l’arrivée de l’hiver, il est également possible de se tourner vers les huiles essentielles afin de compléter les différents besoins du corps. Parmi les plus efficaces, l’on retrouve :
- L’huile essentielle de tea-tree (arbre à thé): c’est un anti-infectieux naturel qui permet de prévenir et/ ou soulager des douleurs comme des angines ou des otites. Accorder quelques gouttes d’huile essentielle à une cuillère de miel, et le tour est joué !
- L’huile essentielle de thym : elle permet d’aider le corps à chasser le sentiment de fatigue en cas de maladie touchant les voies respiratoires (bronchite, sinusite…).
- L’huile essentielle de myrte rouge : anti-inflammatoire, cette huile essentielle permet de chasser les toux les plus grasses tout en apaisant les muqueuses. Elle peut être utilisée en application directe sur le thorax en ayant été diluée dans de l’huile végétale.
Ainsi, se préparer à l’hiver ne comprend pas qu’une préparation psychologique à quelques journées plus froides. Comme pour les animaux qui entrent en hibernation, il s’agit de réajuster tous les aspects de sa vie afin que passe la saison… jusqu’à la prochaine, beaucoup plus fleurie !
Si l’hiver est une saison parfois difficile, il est également possible de mettre en place différents soins en prévention ou même durant l’hiver. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, les séances que je propose peuvent vous apporter de l’aide et les soins dont vous pourriez avoir besoin. Je propose aussi des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
De même, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Et lorsque l’hiver laissera généreusement sa place au printemps, alors il sera temps de vous concentrer sur vous-mêmes et de vous reconnecter à votre moi profond. Je propose d’ailleurs des retraites bien-être qui permettent de se connecter à soi-même, de se découvrir, mais aussi de prendre du temps pour soi, loin des tracas de la vie.
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Garder la pêche en automne : bilan des vitamines et aliments qui aident le corps
L’automne s’achève bientôt… mais êtes-vous vraiment prêts pour affronter l’hiver ? Et votre corps ? Votre esprit ? La saison froide se déclarera bientôt, et peut-être avez-vous raté les meilleurs tips afin de garder la pêche malgré le temps qui se dégrade !
Les aliments qui aident à passer au travers de l’automne
La première chose à faire lors d’un changement de saison, c’est de changer… l’alimentation ! Aussi simple que cela puisse paraître, on a tendance à oublier que tous les aliments que nous fournit la nature ont bel et bien une saison propice à leur consommation et leur production. C’est notamment le cas pour ces fruits et légumes automnaux, qui sont bien souvent oubliés.
Les poireaux : peu calorique, le poireau est un légume souvent délaissé ou directement mélangé avec d’autres légumes dans une soupe. Pourtant, il présente de nombreux avantages, notamment grâce aux fibres qu’il contient ainsi que ses vitamines, qui aident l’organisme contre les cancers de l’intestin.
Le chou : qu’il soit rouge, rave, blanc ou frisé, cette crucifère présente de nombreuses vertus sous-estimées. Peu calorique, il est pourtant riche en différents minéraux essentiels à l’organisme. Calcium, potassium et phosphore, il aide surtout, grâce aux enzymes qui le composent, à éliminer les toxines présentes dans le corps. Ainsi, l’ADN est nettoyé et vieillit moins vite. Crus en salade ou bien cuits, les choux se mangent à toutes les sauces !
Les lentilles : comme beaucoup de légumineuses, les lentilles sont une excellente source de protéines et d’antioxydants. Elles sont également, comme leurs cousins les pois-chiches, très riches en fibre, ce qui favorise le processus de digestion. En revanche, le fer que les lentilles contiennent est dit « non héminique », ce qui signifie que l’organisme a parfois du mal à l’absorber. En salade ou cuites, les lentilles conservent leurs bienfaits malgré tout ! Et si elles sont associées à des tomates ou du chou (riches en vitamine C), le fer est mieux absorbé par le corps.
Le potiron : et plus généralement la totalité des courges (potimarron, citrouille…etc.) sont très riches en fibres et peu caloriques. Plein d’antioxydants, le potiron est une courge qu’il est bon de consommer en automne pour faire le plein de vitamines et s’imprégner pleinement de la saison orange ! Par ailleurs, les graines de citrouille présentes un taux de tryptophane élevé, un acide qui augmente la production de sérotonine et provoque un effet apaisant. Les graines séchées de citrouilles sont d’ailleurs des éléments parfaitement comestibles ! Pour le potiron, en revanche, il faudra privilégier la soupe ou la purée, qui n’altèreront pas ses vertus.
Les champignons : s’ils font souvent office d’accompagnement, ils sont pourtant source de nombreux bienfaits pour le corps. Source d’eau, de cuivre et de sélénium (qui lutte contre le vieillissement de l’ADN et des enzymes le composant), ils ne contiennent de surcroît aucune matière grasse. En salade ou revenus à la poêle, il est possible de les déguster de différentes façons.
Les châtaignes : antioxydantes et peu grasses, ces petits oléagineux sont riches en fer, en potassium et en calcium. Et puisque c’est la saison, il est possible d’en trouver partout en forêt ! De même, les noix sont également très appréciées par le corps, car riches en oméga-3 et acides gras qui sont essentiels à la peau et pour le cerveau. Enfin, les oléagineux sont également riches en magnésium peuvent agir sur les neurotransmetteurs responsables de la régulation de l’humeur. En collation ou dans une salade, les noix et les châtaignes sont toujours les bienvenues dans les assiettes et les organismes. Adieu les coups de blues, bonjour les châtaignes grillées !
L’ail : s’il est connu pour l’haleine difficile à soutenir, c’est bien là le seul préjudice de l’ail. Car à côté de ce petit désavantage bien vite réglé, il est surtout un allié de taille pour le corps humain. Antibactérien naturel, riche en minéraux et en vitamines, l’ail aide tout autant le système immunitaire à se renforcer, qu’il permet de le « détoxifier » à son échelle. Il peut se consommer cuit ou cru – sachant que ses bienfaits sont plus importants lorsqu’il est cru.
Les oranges : on a tendance à l’oublier, mais l’automne est la saison parfaite pour les agrumes… et donc, les oranges. Les presser soi-même ou les croquer en quartiers, l’orange reste riche en vitamine C, essentielle pour faire le plein d’énergie et lutter contre les virus et les bactéries présentes partout.
Le raisin : souvent laissé de côté à la fin des beaux jours, le raisin est pourtant un allié de taille durant l’automne et à l’approche de l’hiver. Et pour cause, ce fruit en grappe a une influence directe sur les vaisseaux sanguins. Riches en fibres, il aide également durant le processus de digestion. Bien qu’il soit un peu calorique, il offre énergie en cas de fatigue. Un grain par-ci ou par-là permet alors au corps de se rebooster !
Le plein de vitamines et de minéraux
Parce que le corps a parfois besoin d’un peu plus d’énergie que ce que les aliments confèrent, il est possible d’y ajouter quelques vitamines naturelles, d’autant plus que certaines d’entre elles sont plus rarement présentes en automne ou en hiver (la vitamine D…).
La gelée royale : riche en protéines, sucres, en gras, en oligo-éléments et plein de vitamines, il faut passer son aspect blanchâtre pour apprécier ce met automnal. Car en cas de baisse d’énergie, la gelée royale est emplie de vitamine B, de magnésium et d’acides qui fortifient l’organisme. De même, en cas de dépression saisonnière, la gelée royale est une alliée du quotidien qui aide à apaiser l’esprit et le corps. Mélangée à du miel, une petite noix de gelée royale peut faire des miracles !
La propolis : récupérée par les abeilles pour assainir leur ruche, la propolis possède le même effet sur le corps humain. Riche en en antioxydants et en phénols, elle a des vertus antiseptiques avérées. Plus encore, la propolis permet de tenir à l’écart toute production de germe, de virus ou de bactéries. En gélule ou en sirop, la propolis est une alliée idéale pour l’arrivée de l’hiver.
L’acérola : riche en vitamine C, ce petit fruit qui ressemble à une petite tomate de la taille d’une cerise est un excellent tonifiant. Elle permet de prévenir les affections que l’hiver apporte toujours dans son sillage. En pharmacie ou dans les magasins bios, elle est disponible en gélule. Idéal pour faire une bonne cure !
L’extrait de pépin de pamplemousse : souvent laissé de côté pour son amertume, le pamplemousse présente pourtant de nombreux bienfaits. Il a notamment été notifié d’antibiotique naturel depuis plusieurs années. Sa composition riche en antioxydants lui offre la possibilité d’être aussi efficace en prévention qu’en traitement. Il soutient le système immunitaire sans faillir, et redonne de l’énergie à tout le corps. Les extraits de pépins de pamplemousse sont d’autant plus efficaces. Ils sont disponibles en pharmacie ou en magasins bios, et sont à diluer dans une boisson chaude pour ne pas altérer les bienfaits de l’extrait.
Ainsi, il existe de nombreuses façons de traverser l’automne et les risques qu’il apporte fatalement. De même, il est possible de compléter les bienfaits des aliments par des cures de vitamines éphémères. Tout comme il existe des façons de se préparer à l’arrivée de l’hiver, il est important de privilégier ce que la nature offre et de se tourner vers un bien-être holistique et harmonieux !
Et si votre corps vous fait ressentir quelles sont ses limites, n’hésitez pas à vous tourner vers d’autres solutions. Par exemple, le drainage lymphatique peut prodiguer une sensation “détox” sur tout le corps. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Le drainage lymphatique ou le drainage du visage sont notamment des soins que je propose.
Par ailleurs, si vous souhaitez vous y essayer, vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Enfin, pour en apprendre davantage sur moi, n’hésitez pas à écouter le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou encore mon podcast intitulé Combattantes.Sans oublier que le printemps reviendra un jour, et avec lui, de nombreuses nouvelles opportunités ! Je propose d’ailleurs des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi en pleine nature, dans un cadre paisible. Idéal pour toutes celles qui veulent se retrouver, se découvrir, ou prendre le temps de se connaître ! -

Bien dormir en automne : est-ce si compliqué ?
L’automne s’est installé confortablement dehors, et la fatigue s’en fait ressentir. Alors que le changement d’heure vient d’avoir lieu, les nuits paraissent plus longues et surtout, la nuit tombe tôt. Parfois un peu trop tôt, même, ce qui a tendance à compliquer l’heure du coucher et surtout, à ralentir l’arrivée du sommeil… Conseils, et astuces sont peut-être THE solution au problème du sommeil !
Un sommeil qui se fait rare et difficile
Alors que la nuit tombe de plus en plus tôt, le sommeil, lui, se fait attendre. Invité vedette des nuits, il est pour beaucoup bien trop rare. Et le manque de sommeil –ou les difficultés à le trouver- est l’un des effets de l’automne. Et pour cause, en bonne période de transition, les journées commencent à se raccourcir, et les nuits sont plus longues. Le manque de lumière naturelle et de soleil entraînent inévitablement des baisses de vitamine D, et parfois aussi, de moral.
Autrement dit, les signaux « naturels » (lorsque le soleil se couche, par exemple) que le corps comprend d’ordinaire sont quelque peu bousculés. Cela mène bien souvent à des troubles du sommeil ou des insomnies. Il est alors important de s’adapter à cette nouvelle saison, et surtout, les cycles du soleil qui se raccourcissent.
Dormir : mission impossible ?
Mais alors si tout se modifie en automne, dormir est-il impossible ? Eh bien, non. Il existe de nombreuses astuces qui permettent de faire s’adapter à la fois l’esprit et le corps dans le but d’obtenir un meilleur sommeil. De même, l’esprit joue parfois un rôle important dans les troubles du sommeil. Et l’automne peut avoir des conséquences sur le mental, comme la dépression saisonnière qu’il délivre dans son sillage.
Comment bien dormir ?
Pour bien dormir, il y a de nombreuses astuces qu’il est simple de mettre en pratique. Parmi elles :
Une activité physique régulière :
Plus le corps sera épuisé, et plus le sommeil viendra vite. On parle alors de « bonne fatigue ». Puis faire du sport aide le corps à affronter le froid et le mauvais temps en améliorant la santé générale. Une activité physique régulière permet aussi la sécrétion d’endorphines, hormones du bonheur. Le mieux pour que l’activité physique procure à la fois une sensation de bien-être, et soit la source d’un sommeil réparateur, c’est de pratiquer le matin. Et pour cause, après chaque séance de sport, les muscles se réveillent et le rythme cardiaque a tendance à accélérer ; en pratiquant le matin, cela évite toute possibilité d’insomnie.
Une alimentation équilibrée :
Une alimentation équilibrée, tout au long de l’année, est très importante. Mais lors des saisons –et intersaisons-, elle l’est d’autant plus. Manger des fruits et légumes de saison permet au corps de faire le plein d’énergie et des vitamines dont il a besoin pour affronter les changements que les saisons entraînent. Bien qu’à l’approche du froid, on ait tendance à favoriser les aliments sucrés et gras –réaction du corps tout à fait naturelle-, il faut varier la nourriture. De même, il est préférable de favoriser une soupe et des repas légers le soir, afin de ne pas avoir de troubles du sommeil liés à la digestion (réveils intempestifs, brûlures de l’estomac…etc.). Les repas légers le soir sont donc à privilégier. Et surtout, ne pas oublier l’hydratation !
La température dans la chambre :
Si le froid et l’humidité prennent rapidement place à l’extérieur, il est naturel d’avoir envie de réchauffer son intérieur. Mais il est important de se rappeler que 18°C (environ…) est une température suffisante pour dormir. S’il fait trop froid ou trop chaud, le corps subit des désagréments dans la nuit qui risquent de provoquer un ou plusieurs réveils. En revanche, en cas de frilosité, il est conseillé de privilégier une couette en plus, ou une couverture plus chaude, qu’il sera facile de faire glisser dans la nuit une fois le corps réchauffé.
L’importance des heures fixes :
Que ce soit pour l’heure du coucher ou du lever, il est important d’avoir des cycles de sommeils globalement réguliers. Si quelques minutes diffèrent d’un réveil à l’autre, ce n’est rien de grave. Il s’agit surtout de ne pas se lever à plusieurs heures d’écart d’un jour à l’autre, et ce… malgré l’envie de rester au chaud sous la couette le week-end !
De plus, cela permet de réguler le cycle circadien, et le corps s’habituera rapidement à cette routine de sommeil. Il saura qu’à une certaine heure, il est temps pour lui de déposer les armes et de se reposer.
Enfin, un sommeil régulier et réparateur permet d’éviter les sautes d’humeur, un état de fatigue prolongé, et des effets sur l’esprit comme la dépression, les troubles de l’attention, de la concentration ou encore de la mémoire. Les défenses immunitaires du corps sont davantage solides et les troubles de l’appétit moins fréquent.
La routine de sommeil : mythe ou réalité ?
Certains spécialistes du sommeil vantent les mérites d’une routine de sommeil, afin de préparer sa nuit du mieux possible. Mais est-ce que se préparer à dormir favorise vraiment le sommeil ?
Selon les recommandations, préparer sa nuit en instaurant quelques rituels qui aident à se détendre serait bénéfique pour le sommeil. Et pour cause, cela permet à l’esprit de se reposer avant la nuit, au corps de se détendre, et au stress –s’il y en a-, de se dissiper. Dans l’idéal, il faut compter environ une heure avant de dormir, et mettre en place ce qui vous détend le plus. Détail important mais pas des moindres, il est également conseillé de boire son dernier verre d’eau au moins une heure avant l’heure du coucher, ce qui évitera de se réveiller durant la nuit et d’interrompre le sommeil.
Parmi ces routines de sommeil, l’on peut retrouver :
- La dégustation d’une boisson chaude avant d’aller dormir (au moins une heure avant, comme pour l’eau) ;
- Regarder un film calme (rien de trop violent ou stimulant, pour ne pas que le cerveau soit en pleine analyse une fois fini le film) ;
- Lire un bon livre ;
- Méditer, se relaxer ;
- Ecrire (sa journée, ses aspirations, ses objectifs…etc.) ;
- Faire un bilan (écrit ou mental) positif de sa journée ;
- Eloigner les appareils connectés pour un meilleur recentrage ;
- Une bonne literie !
Ainsi, un bon sommeil ne vient pas seul. Il faut parfois mettre en place des rituels, des petites étapes dans sa routine pour que le sommeil se fasse moins capricieux. A terme, ces gestes vous sembleront normaux et acquis, et les insomnies ou les réveils en pleine nuit ne seront plus qu’un lointain, lointain souvenir !
Si le sommeil persiste à se faire difficile et capricieux, il est tout à fait possible de s’orienter vers des soins comme l’hypnose. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Lorsque le sommeil est mauvais et peu réparateur, l’hypnose peut aider à en trouver la cause et soigner cela afin d’accéder à des nuits reposantes. Je propose également des soins thérapeutiques du corps, comme le drainage lymphatique ou le drainage du visage.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Parfois, pour bien dormir, il faut aussi rompre avec le quotidien. Je propose des retraites bien-être qui offrent justement cette possibilité, en plus d’une reconnexion à soi en pleine campagne. Dans un cadre naturel et paisible, vous pourrez vous découvrir, et retrouver les mécanismes d’une vie simple et bienveillante envers vous-même ! -

Les bienfaits des bains de pieds
Souvent oublié, parfois laissé de côté ou totalement ignoré, le bain de pieds a pourtant de nombreuses vertus. Ils nous portent, nous supportent, c’est grâce à eux que certaines chaussures nous vont si bien et pourtant, on a tendance à les oublier. Mais les pieds nécessitent parfois une attention toute particulière. Quels sont donc les bienfaits d’un bain de pieds ?
Les origines du bain de pieds
Qui n’a jamais vu sa grand-mère plonger ses pieds dans une bassine d’eau chaude, l’air détendu et heureux ? Les bains de pieds existent depuis toujours. Chauds ou froids, ils permettent de soigner bien des maux et parfois même aussi l’esprit ! Descendant direct des soins thermaux délivrés dans les thermes en Rome Antique ou les fameux hammams en Orient, il faut attendre plusieurs siècles pour que le bain de pied soit apprécié par un plus grand nombre. Au XIXe siècle, l’hydrothérapie apparaît en Occident, et avec elle, le bain de pied se popularise.
Les pieds : centre névralgique important
Ce que peu de gens savent, c’est que sous la voute plantaire, il y a une grande concentration de terminaisons nerveuses qui permettent de relier tous les organes du corps sous la totalité des deux pieds. Ainsi, il est possible de faire s’apaiser –voire disparaître- une migraine en massant un endroit spécifique.
Il est donc d’autant plus important de prendre soin de ses pieds. Et cela est sans compter les douleurs qui peuvent se révéler à la suite d’une journée chargée ou d’autres raisons et paramètres extérieurs.
Les bienfaits du bain de pieds
Prendre un bain de pied, c’est l’occasion de prévenir de nombreuses douleurs corporelles et au niveau des pieds. Et pour cause, le bain de pied présente de nombreux bienfaits. Parmi eux :
Les bienfaits pour la peau :
Sécheresse, corne ou inflammation tel que psoriasis, les bains de pieds peuvent s’avérer très efficaces pour lutter contre ces désagréments du quotidien. L’eau chaude –ou froide, dans certains cas-, permet alors d’adoucir la peau et de la soigner en partie grâce à une bonne hydratation. Pour cela, il suffit d’associer l’eau à quelques petits autres ingrédients.
Les bienfaits sur le système nerveux :
Comme écrit il y a quelques lignes de cela, les pieds comprennent une très grande quantité de terminaisons nerveuses. Autrement dit, chaque zone du pied correspond à une partie spécifique du corps humain, ou l’un de ses organes. Prendre soin de ses pieds, c’est donc également s’offrir un moment pour relaxer la totalité du corps. En cas de stress ou d’anxiété, les bains de pieds permettent de se détendre, de décompresser et renforcent les pieds en cas de travail quotidien debout.
Les bienfaits pour le corps dans son ensemble :
Puisque les pieds sont en lien direct avec tout le reste du corps, en cas de divers petites gênes, le bain de pieds peut alors s’avérer être d’une grande aide. C’est notamment le cas pour ce qui est de la circulation sanguine, ou de la sensation des « jambes lourdes » qui survient parfois. Plus précisément, le bain de pieds à l’eau froide sera ici un atout précieux, qui permettra de dynamiser l’organisme et de stimuler dans le même temps le système immunitaire – qui s’en retrouve renforcé. Le risque de varice s’éloigne ainsi, et avec lui, les sensations désagréables parfois éprouvées !
Que mettre dans l’eau du bain de pieds ?
Chaque bain de pied est différent. Si les causes qui mènent à en faire un peuvent être multiples et diverses, les ingrédients dépendront justement desdites causes. Autrement dit, un bain de pieds pour se débarrasser de sa corne ne contiendra pas les mêmes ingrédients qu’un bain de pieds visant à soulager une quelconque douleur !
Meilleure circulation sanguine :
Pour la recherche d’une meilleure circulation sanguine, ou à cause de douleurs inflammatoires, il est conseillé de favoriser l’eau chaude, à laquelle sont ajoutées deux cuillères à café de vinaigre de vin blanc, ou de vinaigre de cidre.
Eliminer les toxines :
Grâce à un bain de pieds chaud ou froid contenant de l’argile bentonite ou plus simplement des sels minéraux, il est tout à fait possible de détoxifier l’ensemble du corps (toujours grâce à ce lien entre les pieds et le reste du corps !)
Pour hydrater les pieds :
Pour l’hydratation, l’eau tiède est recommandée. Associée à une lotion laiteuse, elle permettra à la peau d’être hydratée sur toute la surface du pied. Aussi, il est possible d’ajouter une à deux cuillères à café de miel dans la bassine d’eau afin de favoriser davantage l’hydratation, et de laisser une jolie sensation de douceur !
Se débarrasser de la corne :
Pendant environ quinze minutes, il est important de laisser tremper les pieds dans de l’eau tiède ou chaude. Le sel de bain, ou plus simplement du gros sel de cuisine, permettent de lutter efficacement contre la présence de corne. Moment relaxant, prévoyez tout de même une serviette à portée de pied pour le moment post-bain de pieds !
Réguler la transpiration :
Le bain de pieds, qui permet de nombreux soins, offre aussi la possibilité de lutter contre les excès de transpiration. Pour ce faire, du thé vert devra être infusé dans l’eau tiède de la bassine. A hauteur d’un sachet de thé pour 1L d’eau, il est important d’attendre une dizaine de minutes avant de plonger les pieds dans ce mélange salvateur. Laissez ensuite tremper vos pieds pendant un quart d’heure environ.
Soulager la douleur :
Les douleurs sont parfois nombreuses et difficilement compréhensibles. Si une douleur survient au niveau des pieds, il est possible d’investir dans des appareils qui favorisent la guérison des douleurs corporelles dans leur ensemble (maux de tête, problèmes de foie, de dents, crampes multiples…etc.). Et pour cause, l’appareil spécifique et doté d’options permettra un soin complet qui se rapproche beaucoup de la réflexologie plantaire, soignant ainsi le corps à travers les diverses zones des pieds.
Les huiles essentielles pour les bains de pieds
Si parfois, les recettes initiales des bains de pieds ne sont pas porteuses des meilleures odeurs, il est envisageable d’ajouter dans l’eau chaude, tiède ou froide quelques gouttes d’huile essentielle afin de favoriser les effets recherchés. Parmi les huiles efficaces, l’on retrouve :
L’huile essentielle de cyprès : qui améliore la circulation sanguine (et éloigne les varices, jambes lourdes…etc.) ;
L’huile essentielle de genièvre : agit sur les rhumatismes et les crampes ;
L’huile essentielle de patchouli : tonifiant veineux et lymphatique ;
L’huile essentielle de camomille : possède des effets relaxants ;
L’huile essentielle de bergamote : sert d’antiseptique et réduit les odeurs.
Ainsi, les bains de pieds, souvent oubliés dans les soins corporels, ont de nombreux bienfaits et permettent de se relaxer. Selon les différentes recettes, il est possible d’apaiser, de soigner, d’hydrater ou de réduire certains effets indésirables et désagréables que la vie provoque sur le corps. De quoi donner un bon coup de pied dans la fourmilière des gênes corporelles !
Plus généralement, en cas de sensation de lourdeur dans les jambes ou de douleurs, le drainage lymphatique peut s’avérer très efficace. C’est notamment l’un des soins thérapeutiques du corps que je propose. Hypnothérapeute et experte en neuroscience, j’exerce à Paris et serais ravie de vous aider.
Vous pouvez d’ailleurs prendre rendez-vous sur Doctolib.De même, pour en apprendre davantage sur moi, le podcast dans lequel j’ai été interviewée est disponible, ou encore, vous pouvez écouter mon podcast Combattantes.J’organise également des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi dans un cadre naturel et paisible. -

Prendre soin de sa peau malgré le froid
L’hiver approche à grand pas et s’infiltre dans les quotidiens jour après jour. Si le corps réagit davantage à la fatigue qu’à l’ordinaire, la peau n’est pas épargnée non plus. Les températures chutent avec allégresse, et l’air se refroidit rapidement. Le vent devient mordant, et très vite, les peaux pèlent, s’assèchent et le processus pour retrouver une belle peau s’enclenche. Et si on prenait soin de la peau avant que tout cela ne se produise ?
Les risques pour la peau pendant l’hiver
La saison la plus froide de l’année commence bientôt, et si parfois le soleil l’accompagne, il arrive souvent qu’on oublie d’hydrater sa peau et d’en prendre soin. Pourtant, la peau est aussi sensible que le corps aux effets du froid. Et ce dernier peut parfois se montrer cruel. Parmi ses effets, l’on retrouve :
Déshydratation de l’épiderme, dû aux changements de températures, et à l’humidité dans l’air ;
La couche cornée de la peau est réduite (ce qui rend la peau sèche) ;
Une perte de cellule dans la peau (qui favorise les plaies et inflammations) ;
Diminution de l’hydratation cellulaire de la peau (en raison d’un sentiment de soif moins présent) ;
Certaines pathologies comme la dermatite.
De plus, le froid peut entraîner diverses autres conséquences selon les différents types de peaux qui existent, et surtout, la sensibilité de chacune au froid.
Une routine rallongée
Avec le froid, il est important de ne pas négliger la routine habituelle pour la peau. Mais surtout, avec les températures qui chutent, cette routine peut être renforcée et plus détaillée, afin que la peau soit chérie et choyée. De cette façon, il sera plus simple de protéger et continuer de prendre soin de votre peau au quotidien. Les routines se font et se défont, se rallongent et les habitudes sont rapidement prises. Votre peau vous remerciera une fois que le bout du nez sera dehors !
Les soins pour la peau pendant l’hiver
Le sérum et les huiles végétales :
Souvent délaissé pour une simple crème hydratante dans la routine quotidienne, le sérum peut pourtant s’avérer être un fidèle ami dans le cadre de l’hiver. Et pour cause, il agit beaucoup plus en profondeur dans l’épiderme que la plus fidèle des crèmes hydratantes. Pour raviver l’éclat, ou approfondir le soin d’hydratation, le sérum peut être appliqué par légères pressions directement avec la paume de la main sur le visage. Il repulpe l’épiderme s’il sert à l’éclat, et permet une meilleure hydratation dans le second cas.
De plus, il se trouve être un excellent allié pour les soins qui suivent lors de votre routine, puisqu’il permet de le renforcer. C’est donc un ami idéal pour l’hiver, et surtout, traiter les petits désagréments cutanés que la froide saison provoque.
Toutefois, si aucun sérum ne vous a encore charmé, il est possible de le remplacer par des huiles végétales tout aussi efficaces. L’on retrouve parmi ces huiles :
Huile d’Argan : sa réputation la précède souvent, notamment pour les soins des cheveux, mais l’huile d’argan est avant tout un atout nourrissant pour tout ce qu’il touche. Peau, mains, cheveux…etc. En hiver, elle s’avère donc être une alliée idéale pour lutter contre le froid et la sécheresse de la peau qui survient parfois. Elle apporte également un effet bonne mine, et en plus d’hydrater, elle contribue à protéger l’épiderme une fois face au vent glacial de l’hiver !
L’huile de pin : disponible sous forme de sérum, cette huile végétale est particulièrement efficace en hiver, puisqu’elle permet aux cellules de l’épiderme de s’oxygéner, donne à la peau vitalité et souplesse tout en s’assurant de la protéger du froid et du vent.
L’huile de coco : qui n’a jamais rêvé d’avoir une peau pleine d’éclat, tonique et bien entendu hydratée ? C’est tout ce que permet l’huile végétale de coco pour les peaux en hiver. Et une autre de ses vertus indéniables, c’est son efficacité contre les irritations causées au quotidien pendant l’hiver. Et puis… son odeur colorée ramènera un peu de soleil dans les cœurs, et les salles de bain !
L’importance d’un soin nocturne :
Durant la nuit, la peau se régénère. Cela favorise grandement les effets des soins qui ont été faits le soir, notamment. De plus, la peau n’est pas exposée à tous les risques que l’hiver présente, puisque le sommeil se déroule dans le cocon réconfortant d’une chambre, à l’abri des vents les plus froids, de la pollution la plus présente et de l’humidité la plus tenace.
C’est ce pourquoi il peut être intéressant d’aider la peau à se régénérer, et surtout, lui fournir davantage de ressources pour qu’elle puisse récupérer des micros-agressions de la journée. C’est le moment idéal pour les masques de nuit, à faire de temps en temps, lorsque la peau paraît plus souffrante qu’à l’ordinaire.
De même, il est tout à fait possible et suffisant, selon votre peau et ses réactions, de simplement appliquer un nettoyant au lait ou aux huiles végétales, afin de laisser la peau « respirer ».
La crème hydratante est, quant à elle, un incontournable de l’hiver, puisqu’elle offre protection, hydratation et aide à régénérer la peau qui a souffert durant le jour. Il est d’ailleurs tout à fait possible de mélanger quelques gouttes d’huile végétale à la crème hydratante, afin d’obtenir une crème légère et nourrissante pour la peau. Effet velouté garanti !
P.S : on n’oublie pas les lèvres qui elles aussi se dessèchent rapidement l’hiver ! Un petit coup de baume à lèvres avant l’heure du coucher, et les sourires ne seront plus jamais douloureux !
Une routine adaptée aux sports d’hiver
L’hiver, ce n’est pas seulement le froid. C’est aussi la neige, les vacances dans un chalet ou une semaine passée à dévaler les pistes enneigées ! Et puisque le climat diffère, la routine pour la peau doit également s’adapter. Il faut donc rajouter à la routine habituelle, une petite étape pour protéger la peau des brûlures éventuelles du soleil si vous passez vos journées sur les pistes glissantes en montagne. Le froid n’empêche pas le soleil de brûler !
L’écran solaire est donc privilégié afin d’éviter de revenir en étant de la couleur des écrevisses. Outre l’aspect esthétique, c’est surtout les risques d’un cancer de la peau qui sont éloignés ; à la mer ou à la montagne, le soleil demeure traître !
Et en cas de coups de soleil, il est important d’hydrater d’autant plus la peau, et surtout, de lui permettre de cicatriser en toute bienveillance, notamment à l’aide d’une crème après-soleil, ou d’huile essentielle de lavande aspic pure.
Les « plus » :
Masque à l’argile blanche : moins connue que sa cousine aux nombreux bienfaits, l’argile verte, elle demeure un incontournable pour les peaux irritées, déshydratées et qui ont besoin d’être purifiées. L’argile blanche s’utilise en masque purifiant, et permet de retrouver douceur et éclat. Elle est à accompagner d’un soin hydratant pour les peaux très sèches.
Ne pas prendre des douches trop longues : la chaleur de l’eau réconfortante n’aide malheureusement pas à conserver une peau en bonne santé. Et pour cause, l’eau chaude à tendance à fragiliser les différentes couches protectrices de la peau, et son équilibre. On favorise alors l’eau tiède, ou les douches plus courtes !
Eviter un intérieur surchauffé : des températures intérieures trop élevées ne favorisent pas non plus la bonne hydratation de la peau. Et pour cause, trop de chaleur suite à des températures glaciales à l’extérieur peuvent renforcer ou créer un assèchement de la peau. Mais si la frilosité s’empare rapidement de vous, il est possible d’utiliser un humidificateur d’air afin d’amoindrir les effets desséchants du chauffage.
Un petit coup de main ? Si les cheveux et le visage ont tendance à ressentir les effets du froid (déshydratation du second et pointes cassantes du premier), il reste un autre endroit qui est souvent oublié : les mains. La peau est parfois tout aussi sensible que sur le visage, si ce n’est plus, à cause de tout ce l’on touche à longueur de journée. Elles affrontent aussi les températures, les micros-agressions de l’extérieur, et pourtant, on prend rarement le temps d’en prendre soin !
Ainsi, si l’hiver apporte son lot de flocons parfois bien embêtants, cette saison froide reste également une jolie saison. Et avec une bonne routine pour la peau, vous ne la craindrez plus autant !
Il existe, de plus, d’autres soins qui permettent au corps et au visage d’affronter toutes les saisons et les changements qu’elles entraînent sur notre organisme. C’est notamment le cas du drainage lymphatique ou encore du drainage du visage. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences, j’exerce à Paris.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.J’organise également plusieurs fois par an des retraites bien-être durant lesquelles il est possible de se reconnecter, de se découvrir, de partager avec soi et autrui tant de moments et de soins qui s’oublient rapidement dans les quotidiens. Dans un cadre naturel et paisible, il sera possible de vous retrouver pleinement !Et vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes. -

L’impact d’un mauvais sommeil sur le corps et l’esprit
Alors que la ville prend vie le matin ou que le coq chantonne au petit jour, vous ouvrez les yeux… et vous êtes fatigués. Pourtant, la certitude d’avoir dormi vous étreint. C’est donc le signe que le sommeil n’était pas d’une bonne qualité, et malheureusement, il n’y a pas qu’une sensation désagréable qui peut en résulter. La journée va être longue… mais c’est surtout le corps et l’esprit qui absorbent les plus grandes conséquences d’un mauvais sommeil !
Les causes d’un mauvais sommeil
Les troubles du sommeil existent aujourd’hui plus que jamais. Dans un monde qui va –et vit- à cent à l’heure, il est parfois difficile de parvenir à mettre son cerveau en veille, et surtout, de comprendre les limites du corps. L’être humain prend l’habitude de forcer, de se surpasser, mais cela a des conséquences sur sa santé et son bien-être. Depuis quelques années, les études se succèdent et les preuves s’accumulent : qui n’a jamais souffert d’une seule insomnie ?
Endormissement retardé, insomnies chroniques ou ponctuelles, et éveils nocturnes sont un fléau et un quotidien pour beaucoup. Les causes sont souvent multiples et le résultat d’une accumulation de « petits rien » qui pourtant empêchent le repos réparateur dont le corps et l’esprit ont besoin. Parmi les causes qui troublent le sommeil, l’on retrouve :
Apnée du sommeil : trouble du sommeil invisible, elle cause pourtant de nombreuses conséquences. Si le cerveau ne parvient pas à donner aux muscles respiratoires l’ordre de fonctionner, si les poumons ne parviennent pas à absorber la quantité d’air suffisante pour respirer ou si cette absorption est interrompue, il s’agit d’apnée du sommeil.
La maladie de Willis-Ekbom : cette maladie concerne les personnes âgées de 25 à 45 ans. Rare, elle passe parfois pour de l’impatience auprès de l’entourage. Aussi appelée syndrome des jambes sans repos, cette maladie créé une sensation de picotement ou de brûlures dans les jambes de la personne, sensation qui ne peut être soulagée qu’à travers la marche. Cette maladie a de nos jours des traitements, et peut être passagère comme dans le cas d’une grossesse, une carence en vitamine B9 ou en fer. Si elle s’installe plus longuement, elle perturbe le sommeil avec des réveils intempestifs.
Les irrégularités du rythme circadien : le rythme circadien peut se traduire par l’horloge interne dont tous les êtres humains disposent. Il comprend notamment les cycles du sommeil. Un dérèglement du cycle circadien entraînera ainsi un mauvais sommeil (non réparateur), un état de fatigue et des insomnies fréquentes.
La narcolepsie : la narcolepsie est également une des causes d’un mauvais sommeil, bien qu’elle soit à un tout autre niveau puisque reconnue comme pathologie. La personne atteinte de narcolepsie souffre alors d’un cycle du sommeil bouleversé, puisqu’elle aura tendance à somnoler de manière excessive durant la journée, souffrir de paralysie du sommeil ou d’hallucinations lorsque le sommeil est dit « léger » (endormissement et réveil). Pour soigner la narcolepsie, il faut un traitement médicamenteux.
Les conséquences d’un mauvais sommeil
Si les causes d’un mauvais sommeil peuvent être multiples et variées, les conséquences d’un mauvais sommeil le sont tout autant. À long ou court terme, des effets se font alors ressentir sur le corps, l’esprit et l’humeur générale de l’individu.
Sur le corps :
Une prise de poids est observée : lorsque le cerveau manque de sommeil, il a tendance à activer des mécanismes dits « primaires ». L’activité du lobe frontal est réduite, et l’activité dans le centre de récompenses s’active au contraire plus facilement. Autrement dit, la personne aura tendance à se diriger vers des mécanismes simples, qui nécessitent le minimum d’efforts et un plaisir rapide. C’est le cas dans l’alimentation, et la consommation de nourriture grasse, sucrée ou salée est favorisée à une alimentation saine.
Des maladies cardio-vasculaires : l’une des causes du manque de sommeil peut par exemple mener à ces maladies. Il s’agit de l’apnée du sommeil. Elle peut engendrer de la somnolence durant la journée, la sensation d’étouffer pendant la nuit et des réveils en sursaut. À long terme, c’est prendre le risque de souffrir de soucis cardio-vasculaires.
Outre l’apnée du sommeil, cela s’explique aussi si un manque de sommeil se prolonge dans le temps. Les risques se multiplient et la manque de sommeil modifie le taux d’hormones ou de molécules dans le corps.
Bon à savoir : à contrario, le fait de dormir plus de neuf heures par jour (soit durant un cycle de 24 heures) peut également être le signe d’une maladie cardio-vasculaire ou psychologique (dépression).
Autres risques dus à un mauvais sommeil : hypertension artérielle, cholestérol, diabète, ou encore l’obésité.
Sur l’esprit :
Le vieillissement du cerveau : lorsque le vieillissement est évoqué, il ne s’agit pas d’un vieillissement physique. Cela fait surtout référence à l’esprit qui a tendance à fatiguer plus vite, présenter des incertitudes de mémoire ou des problèmes d’attention et de réactivité. Cela résulte d’un très mauvais sommeil, ou alors d’un travail de nuit exercé durant plusieurs années consécutives. Ce phénomène s’explique par le fait que le cerveau voit son cycle circadien bouleversé, et ne bénéficie plus –ou beaucoup moins- de la lumière naturelle. C’est tout un mode de vie. Mais le vieillissement de l’esprit est réversible !
Des risques de dépression augmentés : lorsque le sommeil est mauvais ou perturbé, il arrive que la dépression ressurgisse ou s’accentue. Les cerveau ne fait jamais de « pause » et continue, au contraire, d’altérer l’humeur et de renforcer les troubles liés à la dépression et ses causes.
Troubles de l’anxiété et angoisse : des horaires de sommeil irréguliers accentuent également les troubles de l’anxiété et les angoisses. Si le corps ne se repose pas bien, le cerveau, lui, continue de fonctionner et d’alimenter ainsi les sources de ces troubles.
Des facultés cognitives diminuées : un mauvais sommeil ou des troubles du sommeil ont cela en commun avec la maladie d’Alzheimer, qu’ils sont tous deux associés à des facultés cognitives altérées. Selon une étude réalisée par des chercheurs d’Oxford à propos de la maladie d’Alzheimer, il a été trouvé que les personnes qui dormaient moins de quatre heures par nuit avaient tendance à voir leurs facultés cognitives diminuées. Mais les personnes qui dormaient plus de huit heures par nuit constataient également cette diminution. Les chercheurs se sont alors penchés sur la qualité du sommeil, et non plus seulement sa quantité.
Une étude intéressante qui renvoie aux besoins de chaque personnes selon son mode de vie.
Sur l’humeur :
Des émotions « mauvaises » : parmi elles on compte l’irritabilité qui se manifeste plus rapidement, peu de patience ou au contraire un temps de réaction allongé. Selon le sommeil et les troubles dont souffre la personne, l’humeur ne sera pas modifiée de la même façon.
Des pics de fatigue : manquer de sommeil, c’est aussi se sentir bien pendant un instant, et épuisé l’instant suivant. Les taux d’hormones sont modifiés et cela a un impact direct sur les humeurs et les émotions, mais également sur nos réactions face aux différentes nouvelles de la journée. Si parfois, ces changements sont minimes, pour certaines personnes, ils peuvent constituer un véritable fléau.
Retrouver une bonne hygiène de sommeil
Ce qu’il faut donc privilégier afin d’avoir une bonne hygiène de sommeil, c’est :
La qualité prime sur la quantité : quelques heures peuvent parfois être plus réparatrices qu’une nuit complète ;
Dormir entre sept et neuf heures par nuit suffit pour un adulte ;
Eviter les écrans avant de dormir permet un meilleur endormissement et diminue le risque de sommeil interrompu ;
Une routine de sommeil est privilégiée (lecture, tisane…etc.) ;
Séances de méditation en cas de stress élevé ;
Et tout ce qui pourra vous sembler pertinent et fonctionner pour vous !
Sachez aussi que si jamais, les problèmes de sommeil persistent, il est tout à fait possible de vous tourner vers d’autres soins. L’hypnose permet par exemple de réguler le sommeil, et de guérir ce qui le trouble bien souvent. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, c’est l’un des soins que je propose au public. De même, les effets d’un manque de sommeil se font souvent ressentir sur le corps. Un drainage lymphatique ou un drainage du visage peuvent alors en effacer les marques. Ce sont aussi des soins thérapeutiques du corps que je propose.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.Enfin, il est possible d’en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Je propose également des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi dans un cadre au plus porche de la nature. Dans le partage et la bienveillance, apprenez à vous connaître ! -

Des meilleurs amis pour affronter l’automne
À l’arrivée de l’automne, il est parfois difficile de tenir le cap avec la même vigueur qui vous a tenu en joie tout l’été. Les feuilles tombent des arbres, le temps devient grisâtre, et souvent, l’humeur aussi. Alors comment retrouver la pêche des mois d’été ? La candeur qui anime les yeux au printemps ? En quelques mots… quels seront vos meilleurs amis pour affronter l’automne et le passage à l’hiver ?
Les alliés contre la fatigue
L’un des symptômes en automne, c’est la fatigue qui se fait de plus en plus prépondérante. Changement de saison ou vrai rattrapage des excès de l’été ? Peu importe la cause si les symptômes restent les mêmes. Le corps semble bouger au ralenti, il devient plus compliqué de se montrer efficace au travail, et l’idée de vous réjouir vous semble impossible face aux bonnes nouvelles. Ce sont les différentes fatigues qui existent à cette période :
La fatigue physique ;
La fatigue intellectuelle ;
La fatigue morale.
La fatigue physique se caractérise par une tendance à être moins actif que d’ordinaire, des gênes pour certains mouvements en cas de fatigue musculaire, voire, des douleurs répétées à certains endroits du corps en cas de grande fatigue.
La fatigue intellectuelle comprend quant à elle des difficultés à la concentration, un traitement de l’information plus lent que d’ordinaire, ou encore des manquements aux automatismes (par exemple le fait de rendre la monnaie si vous travaillez en caisse… etc.)
Enfin, la fatigue mentale se définit par des émotions et des sentiments plus « négatifs » que d’ordinaire. Si vous êtes du genre sociable et aventureux, et qu’à l’arrivée de l’automne, vous semblez hiberner et vous couper du monde cela peut être de la fatigue mentale. Vous avez du mal à compatir, à éprouver de la joie ou à rire… etc. La fatigue mentale peut annoncer des tendances dépressives. Mais elle se distingue malgré tout d’un besoin de solitude que l’on peut parfois ressentir pour x ou y raisons.
Afin de lutter contre ces fatigues qui apportent parfois à elles-seules plus de nuages noirs que les journées pluvieuses d’automne, il existe diverses solutions. De quoi satisfaire chaque personne et repousser au loin les nuages noirs de la fatigue !
Les aliments et plantes incontournables
- Des infusions de Ginseng permettent de lutter contre la fatigue physique ;
- Le gingembre est une plante reconnue pour tonifier le corps et booster l’énergie.
- Le cassis ou les fruits rouges et tous les agrumes permettent également de faire le plein de vitamine C, indispensables pour maintenir le cap dans les saisons plus fraîches ;
- L’échinacée est également une bonne référence pour renforcer les défenses naturelles ;
- La gelée royale et le propolis permettent de surmonter les maux physiques du quotidien.
- La passiflore permet de trouver un sommeil doux et réparateur ;
- La valériane est également une bonne alliée pour des nuits agréables et des réveils en pleine forme !
Les huiles essentielles en renfort
- La sauge est une valeur sûre permettant d’apaiser les pensées ;
- Huile essentielles de citronnier, qui renforce la concentration ;
- Huile essentielle de ravintsara, qui renforce les défenses naturelles ;
- Huile de tea-tree, qui possède un effet assainissant et permet de repartir sur de nouvelles bases.
Les activités physiques conseillées
- Des exercices de relaxation de façon hebdomadaire, afin de relâcher les tensions du corps et se concentrer sur le souffle et le présent ;
- Le yoga, qui allie détente et renforcement, permet également d’entraîner le corps de manière douce et de lui offrir les outils pour affronter l’automne.
Palier au manque de vitamine D
Puisque le soleil se fait rare en automne, ou tout au moins qu’il ne brille plus avec la même vigueur qu’en été, il est important de pouvoir trouver de la vitamine D dans d’autres sources afin de ne pas avoir de carence. Pour rappel, la carence de vitamine D fragilise considérablement les os et le système immunitaire. L’on retrouve de la vitamine D dans :
- Les poissons gras (anchois, hareng, maquereau, saumon…)
- L’huile de foie de morue (il faut passer outre le goût particulier, et le tour est joué !)
- Les champignons (cèpes, morilles, girolles…)
Si les aliments et plantes ne suffisent pas, il reste bien entendu des cures de vitamines D qu’il est possible de faire. Ces vitamines se trouvent en pharmacie. Il est bien important de voir avant avec votre médecin, car certaines sont relativement importantes et seulement délivrées sur prescription.
Retrouver un bon sommeil
Afin de faire face efficacement à ce premier changement de saison, le mieux est encore d’avoir un bon sommeil. Et pour se faire, rien de mieux que quelques heures réparatrices toutes les nuits. Encore faut-il éviter les insomnies récurrentes et les nuits cauchemardesques… Pour cela, il y a quelques rituels à mettre en place qui permettent de préparer le corps et l’esprit à un bon sommeil.
- Couper les écrans au moins une heure avant de se coucher ;
- Favoriser les activités calmes (lectures, méditation, dessin…) avant de dormir ;
- Eviter les mauvaises nouvelles comme les informations ou les films/ séries trop effrayants (à moins de vouloir donner rencard aux cauchemars !)
- Boire une camomille peut également renvoyer l’insomnie loin de vous.
Vous l’aurez compris, il n’y a pas vraiment de recette miracle face à l’arrivée de l’automne. En revanche, il y a de nombreuses façons de s’y préparer, et surtout, de ne pas se retrouver au fond de son lit pour manquement de motivation ou de risquer de faire une dépression saisonnière. Un petit shot de passiflore par-ci, un anchois par –là, et il ne vous restera plus qu’à dire adieu au chemin de la fatigue automnale !
Et pour se sentir plus prêt que jamais et surtout, en pleine forme physique et mentale, il existe de nombreux soins possibles. C’est notamment le cas de séances d’hypnose, ou de drainages lymphatiques. Ce sont deux exemples de soins que je propose dans mon cabinet, à Paris. Hypnothérapeute et experte en neurosciences, je suis Charlotte Vallet.
Si vous souhaitez prendre un rendez-vous, c’est sur Doctolib.
Je propose également des retraites bien-être afin de se reconnecter à soi. Parce que finalement, la personne avec qui l’on voyage toute notre vie, c’est soi-même, et qu’il est important d’en prendre soin.
Par ailleurs, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes. -

L’automne dans tous ses effets !
Toutes les bonnes choses ont une fin… et l’été ne fait pas exception à la règle ! Même si les soirées restent appréciables dans un premier temps, et que les couleurs chatoient avec vigueur, l’automne est un pont direct vers l’hiver ! Un joli pont, certes, mais qui porte sur lui les prémices disgracieuses des premières pluies, des jours qui raccourcissent, et des apparitions du soleil de plus en plus rares… Oui, l’automne porte avec lui de nombreuses valises encombrées de surprises. Et elles ne sont pas toujours bonnes pour notre corps ou notre mental ! Voyons quels sont les effets importants de l’automne.
L’automne, les premiers effets remarquables
Alors que le mois de septembre se profile à l’horizon, les effets de l’automne ne sont pas encore décelés. Officiellement, l’automne ne se fait pas appeler avant la date du 22. Et pourtant, déjà il est possible d’observer les journées se raccourcir, et le taux de lumière baisser de plus en plus tôt. Le soleil, qui rythmait les matinées estivales peine de plus en plus à se montrer le matin, retardant son arrivée toujours plus, et le soir, il court rapidement se cacher derrière l’horizon.
Et c’est souvent ce manque de lumière, insidieux et progressif, qui frappe en premier le moral des troupes. Parce que les êtres humains sont des animaux diurnes – qui vivent le jour, donc-, le manque de lumière peut être source de nombreux troubles. Parmi eux, l’on retrouve :
- Le manque de vitamine D
S’il paraît moindre en automne, il s’impose pourtant à cette période et perdure, si on n’y remédie pas, durant tout l’hiver. Sauf que la vitamine D est essentielle, à la fois pour les os, mais également pour tout le système immunitaire. En manquer, c’est risquer plus facilement d’attraper des microbes, de servir de couveuse à de petits (ou gros) virus, et ça, ce n’est souhaitable à personne !
- Le mental qui se fragilise
Qui n’est pas heureux de prendre un bain de soleil durant l’été ? Outre les vitamines qu’il permet au corps d’absorber, voir le soleil, le sentir chauffer sur sa peau, c’est surtout un moment agréable ! Alors quand le soleil se raréfie, c’est tout le mental qui se modifie… et très vite l’envie de se lover sous un plaid prévaut sur les soirs de fête.
- Les montagnes russes des humeurs
Et lorsque le mental se modifie si rapidement, en accord total –ou presque- avec les changements de la nature, ce n’est pas sans conséquences non plus pour les humeurs. Irritabilité, fatigue, tristesse… comment lutter ? Les sourires semblent disparaître en même temps que le soleil derrière ces petits nuages qui arrivent en renfort. Difficile, donc, de garder de le moral dans ces conditions, et surtout lorsque l’accumulation de ces trois premiers effets peut se constater.
L’automne, et l’énergie
Si les premiers effets de l’automne apparaissent aussi rapidement que les feuilles tombent des arbres, tout aussi vite, les conséquences desdits effets pointent aussi le bout de leur nez. Et plus que le moral ou l’aspect physique, ces effets peuvent directement intervenir sur l’énergie du corps dans son ensemble, et les sphères sociales comme privées.
- Vitamine D : du manque à l’isolement
Car outre le manque de vitamine D et les risques sanitaires qui y sont liés, des carences apportent aussi beaucoup de fatigue, des baisses de tensions, voire des malaises. Avant d’arriver à une telle extrémité, il est possible que cela convainque également même les âmes les plus téméraires face à la fraîcheur, de repousser certaines sorties en compagnie des amis ou des collègues – ou les deux ! C’est le signe d’une baisse d’énergie, du fait que le corps soit fatigué et puise dans ses ressources pour tenter de tout tenir à flot – et surtout, affronter le froid de plus en plus constant et mordant.
Le mieux est alors de palier à cette carence de vitamine D dès le début de l’automne. De même, elle peut se présenter une année par hasard, et revenir comme ne jamais se prononcer l’année suivante. Ce sont des variables aléatoires qui dépendent du style de vie, des aliments, et surtout, de chaque personne !
- D’un esprit fragile à la dépression, il n’y a qu’un pas…
Si le raccourci est rapidement effectué, l’automne comporte de nombreux risques pour la santé mentale. Car si les êtres vivants sont des animaux diurnes, le manque de soleil peut rapidement se répercuter sur le mental et donc, l’énergie. Si dans la tête, l’envie n’y est pas de mettre un pied dehors car les nuages sont déprimants, cette décision se transforme rapidement en habitude tenace et amère. Viennent alors les longues soirées de solitude, et fatalement, les journées qui le sont encore plus. Si les ours, les renards et les lapins hibernent à cette période pour ne ressortir leurs museaux qu’au printemps, c’est bien là la preuve du principe diurne et des conséquences.
Mais malgré le froid qui s’installe paisiblement en ignorant les dents qui claquent, le plus grand ennemi de cette époque n’est peut-être pas l’automne, mais bel et bien la dépression qu’il peut porter dans son sillage – aussi appelée dépression saisonnière.
- Des humeurs changeantes qui impactent la vie au quotidien
Si les déprimes passagères peuvent arriver toute l’année, lorsque l’irritabilité succède à un calme absolu ou une euphorie puissante, il devient compliqué pour l’entourage de suivre. Pire encore, cela fatigue le corps et l’esprit. Les émotions étant étroitement liées aux hormones, cela peut également impacter l’appétit, la libido ou encore, dans certains cas comme la dépression ou le stress, les cycles menstruels pour les personnes concernées.
Les humeurs ont un impact direct sur différents pans de la vie, et les conséquences de l’automne telles que le manque de sommeil –et donc la fatigue-, des baisses d’énergie –ou la dépression-, le manque de vitamine D – et donc des carences dans l’organisme-, peuvent avoir des effets malheureusement plus durables qu’une simple gêne à la fin de l’été.
Que faire ?
L’automne a donc autant d’effets qu’un supermarché a de produits – et ils ne sont pas tous bénéfiques ! Il existe évidemment des solutions, des meilleurs amis qui permettent d’affronter l’automne et ses conséquences, et de nombreux tips pour préparer tant le corps que l’esprit à l’arrivée de cette saison parfois très redoutée. Car si ses couleurs sont flamboyantes, la situation peut rapidement devenir complexe pour les personnes qui y sont sensibles.
Enfin, il n’y a aucune solution miracle. Chaque personne est différente, et réagira donc différemment à l’arrivée de l’automne. Si certains cœurs se réjouiront assurément, d’autres, plus emprunts à la mélancolie, pourront chérir les quelques rayons de soleil encore présents, les températures douces qui persistent contre les matinées froides, et les plus âmes les plus téméraires s’adapteront sans difficultés en attendant le retour du printemps. Car une chose est sûre… c’est qu’il reviendra !
Prendre soin de soi est un travail auquel il faut veiller. Avec l’arrivée de l’automne, l’on peut rapidement se sentir dépassé par le manque de sommeil, ou l’épuisement mental qui arrive parfois. C’est pourquoi je vous propose aussi, en tant qu’hypnothérapeute et experte en neurosciences sur Paris, des séances d’hypnose et de soins du corps thérapeutiques.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
Et tout comme l’automne, toutes les saisons ont leur effets et leurs particularités ! C’est pourquoi je propose des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi et de se découvrir davantage. Bienveillance, partage, le travail sur soi est un chemin pavé de petits gestes qu’il est parfois naturel de devoir apprendre. N’hésitez plus !
De même, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes. -

Bien-être physique versus bien-être psychique
Deux définitions différentes
Quand le bien-être physique définit un état de bonne santé physique où tous les besoins fondamentaux de notre corps sont satisfaits, le bien-être psychique est un état dans lequel une personne peut se réaliser, surmonter des tensions normales de la vie et accomplir un travail productif.
Un bien-être plus subjectif qu’un autre
Le bien-être psychique est une composante plus personnelle et subjective. En effet, soigner sa santé, son mental et sa qualité de vie sont des composantes à prendre en considération pour parler de bien-être psychique. Ce sont des leviers qui diffèrent chez les personnes.
Deux notions différentes mais un seul objectif
Chaque personne recherche le bien-être physique et aussi psychique car l’un ne va pas sans l’autre. On ne peut pas être heureux seulement grâce au bien-être psychique ni non plus seulement grâce au bien-être physique.
Ainsi, même s’ils s’opposent, ils sont finalement assimilables car ils permettent tous les deux d’être heureux !


