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Catégorie : Se connaître
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Faut-il cultiver l’indifférence ?
L’indifférence porte souvent en elle une connotation péjorative et surtout, douloureuse. Qui n’a jamais été ignoré par une personne estimée ? Oui, ça fait mal ; au cœur, à l’ego et aux sentiments qu’on avait pour ladite personne. Dans notre société, entre les obligations sociales et ses propres ressentis, il est parfois difficile d’y voir clair. Et si l’indifférence vous aidait, finalement ? Alors faut-il la cultiver ? Et si oui, comment s’y prendre ?
L’indifférence, c’est quoi ?
Selon Le Robert, l’indifférence se définit par « l’état de la personne qui n’éprouve ni douleur, ni plaisir, ni crainte, ni désir ». Cela peut se traduire par un état intérieur d’apathie. Mais l’indifférence peut également s’en référer à autre chose qu’à l’absence de sentiments d’un individu. Le Robert précise ainsi qu’il peut s’agir du « détachement à l’égard d’une chose, d’un événement ».
Ainsi, l’indifférence peut tout autant désigner une distance émotionnelle quant à soi-même et ses propres sentiments, ceux des autres, ou encore quant aux événements de la vie qui surviennent parfois. L’indifférence se dessine alors comme une notion plus nuancée qu’un simple égoïsme.
L’indifférence et sa connotation péjorative
Le sentiment d’indifférence est souvent vue comme une émotion difficile à encaisser pour celui qui la subit. La plupart du temps, l’indifférence porte une connotation très péjorative, dont peu de gens souhaitent finalement être responsables. D’où vient cette idée que l’indifférence est péjorative ?
Cela s’explique à travers deux notions qu’il est important de distinguer : l’indifférence envers la vérité et l’indifférence émotionnelle. La première désigne une prise de distance avec les événements qui se déroulent dans l’actualité, dans sa vie ou dans la vie d’autrui ; la seconde, plus délicate, s’explique par des tendances individualistes mises en scène par la société depuis des décennies. L’altruisme et la bienveillance ont longtemps été mis de côté au profit d’une illusion de réussite sociale.
De nos jours, ces deux notions d’indifférence tendent à se nuancer, tant par la complexité de notre société à deux mesures, que par la toile infinie que forment nos sentiments personnels. Enfin, l’indifférence demeure dans les consciences collectives comme une chose dérangeante, blessante, dangereuse et péjorative. Cela s’explique par la blessure de rejet/ d’abandon qu’elle peut réveiller chez certaines personnes.
Ainsi, l’indifférence a été diabolisée et a permis de justifier de certaines marginalisations qui paraissaient « cool » ou tendance. Mais l’indifférence, au même titre que le plaisir ou la tristesse est une émotion neutre. Et comme pour toutes les émotions, tout dépend de ce que vous en faîtes !
Les bienfaits de l’indifférence
Si cela paraît difficile à croire, l’indifférence présente pourtant des bienfaits ! Parmi eux, l’on peut noter :
Une forme de liberté :
Le fait de cultiver l’indifférence est une forme de liberté. Entendons-nous bien : il ne s’agit pas ici d’ignorer tout le monde quand ça nous chante. Il est plutôt question de cultiver l’indifférence et de savoir qu’il sera possible de l’appliquer à des choses qui nous entrave dans le quotidien. Le regard des autres ? Les injonctions sociales ? Les choses que vous penser « devoir » aux autres ? L’indifférence représente dans certains cas une forme de liberté, car alors vous n’êtes plus obligé de répondre à ce que l’on attend de vous. Cette pression s’envole ! Vous vivez pour vous et pour personne d’autre.
Vivre plus honnêtement :
De la même façon, cultiver l’indifférence quand vous en ressentez le besoin permet de vivre plus honnêtement. Sans être égoïste, cela permet de vous concentrer sur votre vie et vos projets –personnels, pros, familiaux…etc. Vous vivez selon vos valeurs, et vous ne devez rien à personne sinon à vous-mêmes.
Être en accord avec ses besoins :
Cultiver l’indifférence, c’est aussi savoir quand l’appliquer pour ne pas aller au-delà de ses limites. Si dans votre groupe d’amis, une personne vous met mal à l’aise et ne semble pas très encline à faire des efforts pour que tout se passe bien, alors peut-être est-il préférable de se parer d’indifférence à son égard afin de passer du bon temps quand même. Si, en revanche, un jour de fatigue physique ou émotionnelle, vous préférez ne pas y aller, le fait d’être indifférent non pas aux sentiments de vos amis mais bel et bien à l’opinion du « qu’en dira-t-on », vous aurez plus de facilité à vous écouter et respecter votre besoin d’être seul et de vous reposer.
Savoir s’écouter et se connaître toujours mieux :
L’indifférence, lorsqu’elle est utilisée sans excès, permet d’apprendre à mieux se connaître et surtout, savoir quand s’écouter. Comme pour l’exemple ci-dessus, l’indifférence permet de ne pas culpabiliser à tort en se choisissant. Car quoiqu’il arrive, vous restez votre compagnon de vie le plus fidèle.
Comment cultiver l’indifférence ?
Être responsable de soi-même :
La première chose à comprendre –et appliquer- dans sa vie c’est la responsabilité de soi. Car s’il est possible de compter sur ses amis ou sa famille, le plus souvent, on passe le temps en tête à tête avec soi. Vous êtes responsable de vos sentiments, de vos actions, de vos décisions. De votre tristesse comme de votre bonheur, et en cela, vous êtes une personne autonome et indépendante ! Alors n’ayez plus peur, et soyez votre propre étincelle pour lancer ce feu qu’est la vie ! Cela permet également de ne dépendre de personne d’autre, que ce soit dans le travail, dans les relations interpersonnelles ou encore dans vos besoins et envies.
Vivre le moment présent et accepte la réalité :
La vie, le corps humain, les événements, tout est cyclique. Autrement dit, si tout a un début, tout possède également une fin. Et le mieux, c’est encore de profiter pleinement du moment présent. Que celui-ci paraisse pénible ou se drape d’une joie incommensurable, il est essentiel de savourer les nuances qu’offre le présent. Alors n’ayez plus peur de vous détacher d’un passé réconfortant ou de vous éloigner quelques heures d’un futur prometteur ! Le présent est là, lui, et la réalité est souvent plus belle que ce que l’on redoute.
Votre liberté importe ; celle des autres aussi :
La liberté passe par une forme importante d’indépendance. Ce qui n’empêche cependant pas de pouvoir tisser des liens plus ou moins étroits avec d’autres personnes. L’amour est un sentiment qui se pratique au moins à deux personnes. Toutefois, l’indifférence intervient lorsque ces relations vous aspirent et que vous avez ce sentiment de responsabilité concernant la vie des autres (on ne parle évidemment pas des enfants, des personnes fragiles ou en danger immédiat). Il est donc important de conserver cette indépendance dans le plus de domaines possibles afin de ne pas devenir tributaire de quelconques obligations imaginaires. Il est possible d’en apprendre plus via cet article : l’indépendance, une nécessité ?
Accepter qu’il y ait parfois des adieux:
La vie se compose de rencontres et d’adieux. Si certains sont plus déchirants que d’autres, il est néanmoins important de se faire à l’idée qu’il n’y a que peu de personnes qui passent toute leur vie à notre côté. Que ce soit au niveau des différents êtres vivants qui croiseront votre route, des biens matériels ou encore de votre propre évolution, les adieux durent toujours puisqu’ils sont amenés à se répéter. Et si, au lieu d’y voir une fin, vous y voyiez le début d’une nouveauté qui se révèlera bientôt ?
En quelques mots…
L’indifférence est bien souvent perçue comme une notion péjorative et un sentiment qui s’avère blessant pour ceux qui la subissent. Qu’on y ait déjà fait face ou non, il est important de noter qu’elle n’est pas fondamentalement mauvaise. En effet, comme pour beaucoup de choses de la vie, il est surtout question d’équilibre. Et quelques grammes d’indifférence ne font pas de mal, surtout si cela est nécessaire à la recette de votre bien-être !
Il est néanmoins essentiel de bien choisir ses « batailles ». Il ne s’agit en aucun cas de justifier un mauvais comportement envers autrui, mais bel et bien d’un choix que vous faîtes : vous-mêmes. Vos besoins, votre vie, vos envies. Et parfois, ça fait du bien !
Je suis Charlotte Vallet, thérapeute, experte en hypnose, EMDR, neurosciences et soins énergétiques du corps et du visage.
Je propose des séances à mon cabinet , qui se situe au 87Bis avenue de Wagram 75017 Paris.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib ou par téléphone 06 85 45 84 83.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
J’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir. Loin du quotidien et des tracas qui en naissent, venez vous ressourcer au plus proche de la nature.
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Comprendre son corps pour apprécier sa sexualité
La sexualité est un sujet complexe. Complètement subjective, la sexualité varie tout au long de la vie et peut porter dans son sillage quelques périodes plus complexes. En effet, outre la libido, la sexualité est bien souvent, pour les femmes davantage que pour les hommes, sujet à de nombreux complexes voire des blocages. Alors comment vivre une sexualité épanouie ? Il se pourrait bien que l’acceptation de soi et la célébration de son propre être puisse être la clé qui permettra de vivre et apprécier sa sexualité pleinement.
Comment fonctionne le désir dans le corps ?
Le désir, tout comme la sexualité dans sa globalité, est un concept très complexe. Pour certains, elle est semblable à une pulsion, pour d’autres, c’est un tourbillon d’émotions et de sensations qui se diffuse dans le corps.
Mais concrètement, c’est quoi le désir ? Et comment il se manifeste dans le corps ?
Le désir est la somme des sensations perçues par les sens. Cette somme n’est cependant pas sans conséquences, puisqu’elle déclenche à son tour une réaction chimique dans le cerveau. Le scientifique Bernard Sablonnière décrit les réactions des neurones au désir comme des « clés chimiques ». Autrement dit, ce sont différentes hormones qui sont libérées à tour de rôle dans l’esprit lorsque le désir naît.
Dopamine : activateur du désir.
Ocytocine : hormone de l’attachement.
Testostérone / œstrogène : associées de la libido.
Ce schéma se reproduit chaque fois que le désir se ressent par le corps. Mais les sens, qui ont perçu les premiers indices, ne s’arrêtent pas à cette simple tache ! Les yeux, l’ouïe, l’odorat ou le goût sont des parties intégrantes de la naissance du désir, mais également de sa continuité dans l’instant.
Le corps, outil important dans la sexualité
Enfin, le désir se traduit également par les ce que l’on appelle couramment les zones érogènes. Ce sont tous les endroits du corps qui sont susceptibles de faire durer le désir dans le corps et de l’accroître. Les zones érogènes peuvent varier d’une personne à l’autre (sexe, oreille, mains, nuque, cuisses…etc.). Ainsi, tout le corps est non seulement concerné par le désir, mais il en est également un outil principal.
Le corps étant l’un des outils principaux du plaisir sexuel, si on ne s’y sent pas à l’aise, l’accès à sa propre sexualité peut en être compromis. Il est alors important de trouver un équilibre entre acceptation de soi et sexualité épanouie. Plus vous vous sentirez à l’aise avec vous-mêmes, plus il vous sera aisée de vous dévoiler devant votre propre regard ou celui d’un.e partenaire.
Célébrer son corps au quotidien
Lorsqu’on évoque le fait de célébrer son corps, cela ne consiste pas à lui préparer une petite fête tous les matins avant de se remettre à la détester le reste de la journée. Célébrer son corps est un processus qui peut s’avérer long et sinueux, mais qui en vaut la peine. Parce qu’à bien y réfléchir, votre corps et votre esprit ne sont-ils pas les seuls qui vous accompagneront fidèlement tout au long de votre vie ? Alors il est temps de célébrer son corps !
Le corps est un miroir :
Eh oui ! Aussi étonnant que cela paraisse, le corps est bel et bien un miroir. Reflet de ce que l’on pense de soi ou de ce que l’on se fait subir, le corps nous rend au centuple ce qu’on lui accorde. Alors pourquoi ne pas se mettre à le cajoler plutôt que de l’abreuver de termes péjoratifs ? (pssst ! Les termes… il les comprend !) Peut-être est-il simplement temps de le célébrer, de le remercier, de le complimenter pour son accompagnement fidèle et constant.
Remercier son corps :
Lorsqu’on y pense, le corps est capable de tant et tant de choses, qu’il faudrait souvent le remercier ! Que ce soit après une journée d’escalade ou à la suite d’un accouchement, le corps nous soutient, nous accompagne, nous permet de nous dépasser et de repousser nos limites. Alors pourquoi attendre ? Merci de me supporter… littéralement !
Le corps change et grandit :
Même si la croissance du corps s’arrête plus tôt chez les filles que chez les garçons, le corps grandit quand même tout au long de la vie. Et parce qu’il garde profondément ancré en lui les blessures du passé mais aussi les victoires du présent, il ne faut pas lui en vouloir ! Le corps humain est le catalogue de nos expériences, un magnifique album vivant relatant notre parcours plus ou moins explicitement.
Nos corps sont différents :
Tous les corps sont uniques, et donc différents des autres. Et pourtant, ils restent tous des corps humains, beaux dans leur façon de vivre. Alors plus de raisons de se dénigrer, de se dévaloriser… le corps est un magnifique cadeau et la vie la plus belle des fêtes !
La sexualité, seul ou à plusieurs
Seul ou à plusieurs, les rapports sexuels peuvent parfois être intimidants. Et ce, d’autant plus lorsqu’on se dévalorise sans cesse ou que l’on ne se sent pas bien dans son corps. Si parfois, la sexualité peut permettre de s’apprécier davantage via le plaisir ressenti, le plus souvent, c’est l’inverse qui se produit : il faut se sentir bien pour mieux apprécier sa sexualité. Pour certaines personnes, il peut alors être plus simple de se familiariser avec ses propres désirs et son plaisir en étant d’abord seul.e. Tâtonnez, explorez, ressentez… Vous êtes le capitaine qui vogue sur l’océan, mais aussi le bateau qui ressent les vagues du plaisir et la mer qui caresse. Ce sont des moments précieux qui vous aideront à vous comprendre et vous percevoir dans le domaine du plaisir.
Comprendre son corps pour mieux vivre sa sexualité
En célébrant votre corps au quotidien, vous apprendrez jour après jour à vous aimer telle que vous êtes. Et cela s’en ressentira sur de nombreux aspects de votre vie, y compris votre vie sexuelle. Et avoir des complexes à la pelle, des idées peu valorisantes à son encontre, ça n’aide pas vraiment sur les chemins du plaisir.
Mais en vous valorisant à travers votre propre regard, vous prenez conscience de vos nombreux atouts et de votre potentiel en tant que femme. Au niveau de votre sexuelle, vous pourrez dire adieu aux complexes qui peuvent être sources de blocages. De même, vous vous sentirez beaucoup plus libérée avec un partenaire, ou même toute seule, dans l’intimité de votre propre amour de vous !
En quelques mots…
Autrement dit, aimez-vous et vous vivrez une sexualité beaucoup plus épanouie ! Inutile de faire semblant dans l’intimité d’une chambre, votre regard vous suit partout. Alors le mieux, c’est encore qu’il soit bienveillant et doux. Parce que toutes les femmes sont belles et que vous êtes la seule à pouvoir changer votre avis sur votre corps et votre personne.
Pour apprendre à célébrer son corps et l’apprécier davantage, il est également possible de faire appel aux médecines alternatives comme la réflexologie, le yoga –qui renforce le corps- ou encore le drainage lymphatique qui le soulage.
Je propose, en tant qu’hypnothérapeute et experte en neurosciences, de soins thérapeutiques en plus de séances d’hypnose. Les soins thérapeutiques en question concernent le visage et le corps.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Par ailleurs, je propose également des retraites bien-être, pour se (re)découvrir. Au plus proche de la nature et loin des tracas du quotidien, accordez-vous du temps et du repos pour vous comprendre toujours plus en profondeur.
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Faire face à l’échec pour repartir plus forte !
« L’échec est juste une étape de plus vers la réussite ». Combien de fois cette phrase a-t-elle été lue, entendue, prononcée ? Pourtant, face à l’échec, chaque personne a sa propre façon de réagir. De digérer, de rebondir ensuite, de s’en servir ou pas… Et si les philosophies de vies sont toutes différentes, personne n’est pour autant à l’abri d’une situation d’échec. Mais l’échec en est-il vraiment un ? Et comment y faire face malgré ses émotions pour repartir plus forte ensuite ?
Qu’est-ce que l’échec ?
On ne parle pas de roi et de reine ici, bien que les échecs ont certainement pu les concerner à une autre époque. Selon Le Robert, l’échec, dans son sens figuré, est le « fait de ne pas réussir, ne pas obtenir quelque chose ». Autrement dit, c’est une expérience vécue qui se solde par un résultat négatif pour la personne qui la vit.
Il y a dans la vie toutes sortes d’échecs. Professionnel, financier, amical, familial, amoureux, moral, physique, sportif…etc. En somme, l’échec peut s’appliquer à tous les domaines de la vie, et malheureusement, il n’épargne personne.
Pour autant, tous les échecs ne sont pas vraiment négatifs –n’en déplaise au Robert ! Et s’il suffisait d’appréhender différemment les choses pour en tirer tout le potentiel positif possible ?
Apprivoiser l’échec
« L’échec est le fondement de la réussite »
Lao Tseu
L’échec n’est jamais, jamais, facile à encaisser. Suite à un échec, les émotions « négatives » se succèdent et s’acharnent. Découragement, colère, stress, tristesse, anxiété… rien n’est simple. L’on perd l’objectif sur lequel on s’était concentré depuis quelques temps, et tout autour semble ne plus avoir d’importance. N’hésitez pas à aller voir comment diminuer le stress par de petits gestes au quotidien.
Tout cela est naturel.
Le retour à la brusque réalité peut faire très mal, mais malgré ce coup dur, rien n’est impossible. Alors comment apprivoiser l’échec pour qu’il ne soit plus ressenti comme un désastre intérieur mais une motivation supplémentaire ?
Analyser l’échec pour le comprendre :
Dans un premier temps, il est important d’analyser l’échec et ses causes. Pourquoi cela n’a-t-il pas eu le résultat escompté ? Attention toutefois, il ne s’agit en aucun cas de trouver un coupable (vous ou autrui) à blâmer. Bien au contraire, il s’agit de récapituler les événements et de trouver le moment où l’échec a pu s’infiltrer par une brèche. N’oubliez pas non plus que parfois, les choses arrivent simplement sans aucun fautif à punir. Mais c’est loin d’être négatif ; tout dépend de ce que vous décidez de faire ensuite !
Laisser le temps au temps :
Une fois confronté à la vérité de l’échec, laissez-vous le temps de digérer la situation. S’il est recommandé de remonter en selle après une chute de cheval, rien ne vous empêche de prendre du temps pour vous au préalable. De vous recentrer sur vous-même, non pas pour fuir mais pour digérer l’échec. Ce n’est qu’en étant totalement sereine, que vous pourrez vous investir entièrement dans un nouveau projet (et éviter le syndrome de l’imposteur avec de l’hypnose d’estime de soi !)
Retrouvez vos appuis et repères :
L’échec fait toujours grincer des dents. Alors pour ne pas perdre votre estime de vous ni votre confiance en vous –qui est si dure à acquérir…-, il est important de vous recentrer. Voyez vos amis, continuez votre vie non pas dans un déni confortable mais bel et bien dans une conscience de tout ce qui vous entoure. Vos amis et votre famille sont présents pour vous aider –vous aimer- et la vie continue. L’échec n’arrête pas le temps, il permet juste de faire le point.
Utiliser l’échec
Une fois que vous avez apprivoisé l’échec, il ne vous reste plus qu’à l’utiliser pour continuer d’avancer dans vos projets.
Tirer des enseignements de l’échec :
En tirant des enseignements de l’échec que vous avez vécu, vous pourrez consolidez ainsi vos compétences et vos savoirs pour le prochain projet que vous aurez. Le fait d’apprivoiser l’échec vous aide à la comprendre, mais en tirer des leçons vous aide à vous comprendre.
« La seule vraie erreur est celle à partir de laquelle nous n’apprenons rien »
Henry Ford
Alors n’ayez pas peur, apprenez de vos échecs comme de vos réussites et comprenez-vous toujours mieux. Au cours de sa vie, on est tous amené à changer ; alors comment nos objectifs et nos manières de vivre pourraient-elles demeurer les mêmes ?
Faire de l’échec une motivation :
L’échec est souvent perçu comme un frein. Mais il ne tient qu’à vous de le faire éclore en véritable petite fleure motivante ! L’échec est dur à encaisser et difficile à faire face. Mais il peut être une réelle source de motivation également. Persévérance, défi, motivation, optimisme… peu importe quelle est votre carburant. L’important est de trouver par quel moyen cet échec deviendra une ouverture motivante pour votre réussite !
Trouver un rythme qui convient :
L’échec peut prendre plusieurs rythmes différents pour être pleinement « digéré ». Et cette étape est essentielle ! Sans elle, l’échec deviendrait simplement source de rancœur et de rage ; si elles font un bon outil pour avancer, elles ne demeurent pas des émotions éphémères et surtout de mauvaises raisons pour se lancer dans un nouveau projet. Trouver un rythme qui vous convient, c’est aussi faire preuve d’écoute et de bienveillance envers vous-même. Ainsi, le retour vers un nouvel objectif est accompagné des plus belles compagnes !
En apprendre plus sur soi :
Cela peut sembler étonnant, mais votre réaction à l’échec vous en apprend beaucoup sur vous. Alors n’hésitez pas à creuser cela ! Cela peut aussi être une aubaine pour apprendre à se connaître à travers son propre regard et pas celui du groupe. Cela vous donnera des clefs supplémentaires pour le prochain projet, et plus généralement, au quotidien !
Ouvrir son horizon et agrandir ses perspectives !
Faire face à l’échec, c’est aussi prendre conscience de beaucoup de choses. Après tout, si une expérience se solde par un échec, n’est-ce pas également le signe que toutes les autres sont à tenter ? Cela laisse un champ des possibles assez large pour pouvoir expérimenter de nouveau.
Il ne s’agit évidemment pas de tomber dans un enchaînement de situations voués à l’échec. Plus simplement, c’est l’idée de se dire, en pleine conscience de l’échec vécu, que finalement, il s’agit plus d’un réalignement à opérer que d’un échec à essuyer.
En analysant au préalable les raisons qui ont menées à l’échec, cela permet également d’avoir une vision d’ensemble. Celle-ci est notamment utile pour tout nouveau projet : vous parviendrez à anticiper suffisamment et serez ainsi mieux préparé.
Ouvrir ses horizons et agrandir ses perspectives, c’est l’un des nombreux moyens qui permettent de progresser. Et parce que parfois la vie est imprévisible et amusante, l’avenir pourrait bien vous réserver de nombreuses surprises ! Ce que vous ne pensiez même envisageable il y a quelques mois pourrait devenir votre nouveau projet…
En quelques mots…
L’échec est souvent perçu comme, eh bien, un échec. Pourtant, il y a mille et une façons de faire de l’échec une motivation, un outil, une leçon. Et s’il est souvent perçu comme une bête noire qu’il faut à tout prix éviter de croiser dans sa vie, c’est faux ! L’échec est un des nombreux moyens existant qui permette de progresser, de se connaître mieux et d’évoluer.
Toutefois, certains échecs sont plus difficiles que d’autres. C’est pourquoi il est important de prendre du temps pour se recentrer avant de se lancer dans un nouveau projet ; le but n’est pas de se noyer, mais bel et bien de progresser !
Si vous avez besoin de pistes, je vous invite également à aller lire comment retrouver de l’estime de soi après une forte humiliation. Cela pourra également vous aider à reprendre confiance en vous et accomplir ensuite tout ce que vous voulez !
Comme tout le monde, j’ai connu mes échecs. Je les ai traversés plus ou moins facilement pour toujours apprendre et progresser. Et j’ai réussi. Ça a été difficile et long parfois, mais il suffit de trouver comment l’on fonctionne.
Aujourd’hui, je suis hypnothérapeute et experte en neurosciences. Je propose des séances d’hypnose à Paris, ainsi que des soins thérapeutiques du corps (drainage lymphatique).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être. Au plus porche de la nature, ces séjours permettent de se (re)découvrir et d’en apprendre plus sur soi. Loin des tracas du quotidien, il s’agit de se concentrer sur soi.
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L’indépendance, une nécessité ?
L’indépendance est une notion de plus en plus recherchée dans notre société. Que ce soit au niveau du travail, des relations personnelles ou bien des responsabilités qui nous incombent, l’indépendance reste l’une des portes menant à une forme de liberté. Lorsque les liens sociaux sont mis en avant, lorsque l’humain est au cœur de tant de formules de bien-être, alors pourquoi semble-t-elle autant importer ? Qu’est-ce qui rend l’indépendance si attirante ? Et enfin, l’indépendance est-elle une nécessité dans nos vies ou un fardeau solitaire ?
Comment définir l’indépendance ?
L’indépendance est délicate à définir. La formule principale voudrait que l’indépendance soit l’état d’une personne n’étant tributaire d’aucun individu « sur le plan matériel, moral, intellectuel » (selon le Larousse). Autrement dit, lorsque l’on parle d’une personne indépendante, il s’agit de désigner que ladite personne ne dépend de rien ni de personne sinon d’elle-même.
Toutefois, la question se pose de savoir si une indépendance totale serait finalement une nécessité, un besoin ou tout simplement l’expression d’envies ponctuelles dans la vie de certaines personnes. Sachant que l’indépendance peut également être émotionnelle, financière…etc. et s’appliquer à tous les domaines et aspects de la vie d’un individu.
Les différentes formes d’indépendance
L’indépendance matérielle : l’indépendance financière peut se retrouver chez une personne ayant son propre logement, par exemple. En d’autres mots, un individu en situation d’indépendance matérielle est une personne qui ne dépend pas d’autrui pour subvenir à ses besoins matériels, quels qu’ils soient.
L’indépendance financière : souvent associée à l’indépendance matérielle, cela concerne surtout la question (si taboue en France…) de l’argent. L’indépendance financière permet de subvenir seul.e à ses besoins, quels qu’ils soient. Si il y a encore quelques décennies, le mari subvenait aux besoins de la famille entière, ce temps semble désormais révolu. Aujourd’hui, les femmes subviennent à leurs besoins seules et sont de plus en plus indépendantes –et pas seulement financièrement ! En effet, de plus en plus de femmes décident de se mettre à son compte avec de l’hypnose pour gérer le stress que cela entraine.
Indépendance intellectuelle/ morale : l’indépendance morale ou intellectuelle se rapporte directement aux valeurs auxquelles chacun peut prétendre répondre. L’indépendance intellectuelle, c’est avoir des convictions que l’on a cultivé soi-même, et qui guide aussi les choix et les actes que l’on peut faire. Plus encore, l’indépendance intellectuelle ou morale, c’est avoir la liberté d’agir et de choisir sans dépendre des obligations d’autrui, des attentes de la société…etc.
Indépendance émotionnelle : l’indépendance émotionnelle est encore méconnue. Elle s’oppose à tous les soucis relationnels concernant la dépendance affective et toutes les déviances que cela engendre. L’indépendance émotionnelle est, par définition le fait de ne dépendre que de soi pour toutes les émotions qui nous traversent. Et par extension, il s’agit de prendre la totale responsabilité des émotions que l’on éprouve, quelles qu’elles soient.
Y a-t-il des « mauvais côtés » à l’indépendance ?
Si l’indépendance est souvent valorisée dans notre société, il peut néanmoins y avoir quelques « désavantages » à celle-ci. En effet, l’indépendance, si elle mène à l’une des formes de la liberté qu’il est possible de caresser de temps en temps, elle reste parfois pesante. Et pour cause, l’indépendance conduit l’individu qui l’est à se suffire à lui-même. Cela mène parfois à :
- Un isolement inconscient : en n’ayant besoin de personne, l’on peut parfois avoir tendance à se contenter de sa propre compagnie ;
- Repli sur soi: se suffire à soi-même sans travailler sa curiosité du monde ou des gens conduit souvent à un repli sur soi assez sévère ;
- Une vie solitaire : de même, la solitude peut prendre beaucoup de place dans la vie, elle-même conduisant à certains symptômes de dépression ;
- Ne plus avoir envie/ besoin de famille, d’amis… : enfin, ce qui est lié à une indépendance totale et complète, c’est de couper les liens avec les autres. Parfois, l’affection ne suffit pas et les personnes indépendantes ne recherchent que des choses éphémères. De nos jours, de nombreuses femmes font le choix de rester célibataire à vie sans jugement avec l’aide de l’hypnose thérapie à Paris;
- Une peur de perdre cette indépendance : une fois que l’on goûte un bon gâteau, il est parfois difficile de se contenter de l’imitation industrielle dénuée de saveurs, n’est-ce pas ?
Ainsi, si les effets néfastes de l’indépendance ne ressortent pas tout de suite ni même de façon systématique, ils peuvent tout de même exister. Ils sont en grande partie reliés directement avec différentes formes de solitude. Mais tout le monde ne réagissant pas de la même façon à celle-ci, il se peut qu’il y ait des effets plus graves, comme des troubles anxieux ou de la dépression.
L’indépendance, une question d’équilibre ?
L’indépendance mène à la liberté.
Si cette phrase peut être nuancée de nombreuses façons, l’indépendance est et demeurera l’un des chemins les plus directs pour rejoindre la liberté. En philosophie, la liberté se traduit comme une absence de contrainte, l’état d’une personne qui agit comme bon lui semble. Mais très rapidement, cette définition trouve ses limites. Après tout « la liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres », non ?
Si l’indépendance mène à la liberté, il est important de garder en tête que les limites de la liberté se retrouvent rapidement dans notre société. Ainsi, les deux notions, si elles sont inévitablement liées, se distinguent toutefois de manière précise.
L’indépendance est différente de l’autonomie.
Par ailleurs, d’aucuns pensent que l’autonomie et l’indépendance sont synonymes l’une de l’autre. Pourtant, l’autonomie répond au fait de ne pas suivre les règles d’une autre personne que soi. Et l’indépendance est ce qui mène à une autonomie totale. Mais l’autonomie ne semble pas reprendre les « désavantages » que présente l’indépendance. Faudrait-il alors être autonome sans posséder une indépendance totale ?
Si certains distinguent les deux termes, c’est certainement pour mieux les comprendre dans un premier temps. Car finalement, ils sont indubitablement liés et ne peuvent exister l’un sans l’autre.
Une question d’équilibre ?
L’indépendance est-elle une nécessité ? Pour certaines personnes, elle est vitale. Car être indépendant (financièrement, matériellement, intellectuellement, émotionnellement…), c’est pouvoir agir en son âme en conscience. Faut-il pour autant se détacher de tout lien social ?
Non, car l’indépendance est une clé puissante que vous garderez pour toujours avec vous. Elle vous ouvrira les portes de liens que vous ne pouviez même pas imaginer, vous conduira dans des voyages merveilleux, rendra la vie plus douce et à la fois plus colorée.
Car comme pour beaucoup de choses dans la vie, tout n’est qu’une question d’équilibre. Parvenir à être indépendant n’est pas une mauvaise chose en soi, tout comme il n’est pas foncièrement mauvais de demander de l’aide lorsqu’on en ressent le besoin. Avoir une connexion sociale, pouvoir se connecter aux personnes avec de l’hypnose à Paris est une bonne chose. La question de l’équilibre se pose d’ailleurs selon les besoins et les envies de chacun. L’équilibre passe à travers des habitudes, des tendances, des besoins, des loisirs, et surtout : un bien-être. Et il n’est pas à négliger !
Indépendance et bien-être
Finalement, tout cela est pour souligner l’importance de l’indépendance pour le bien-être. Que celui-ci soit physique, émotionnel ou mental, l’indépendance fournit toujours une corde supplémentaire à chaque arc. Votre bien-être ne dépend que de vous, et l’indépendance vous permet de l’atteindre plus facilement, justement car vous en êtes le levier principal. Apprenez à vous connaitre avec de l’hypnose pour la confiance en soi pour vous faire plaisir !
Plus besoin de dépendre d’autrui ou des normes sociétales souvent biaisés par le Dieu Argent ou Productivité. Vous pouvez tout faire ! Faire le tour du monde sur le dos d’une Harley Davidson ? Possible ! Partir en mer pour une durée indéterminée en ne se fiant qu’aux étoiles ? Dangereux, mais possible ! Tout ce qui compte, c’est vous et votre bonheur. Il est temps de s’avancer sur ce chemin et d’ouvrir votre cœur au bien-être que tout le monde mérite…
Pour conclure…
S’il fallait peindre l’indépendance, elle serait un oiseau.
L’autonomie en serait un nuage, qui ne répond à rien sinon à lui-même.
Et la liberté serait le joli coucher de soleil dans le fond.
Car finalement, toutes ces notions ne se font jamais ressentir en même temps. Vous êtes libre de commander le café que vous voulez à la terrasse du coin. Vous êtes autonome même en dépendant des transports en commun, ou en étant locataire. Enfin, vous êtes indépendant y compris lorsque vous avez besoin de voir vos amis ou votre famille. Vous êtes simplement libre d’établir votre propre définition de tout cela, et de vivre selon elle.
L’indépendance n’est pas une totale nécessité. Elle peut se faire ressentir lorsqu’un besoin sous-jacent de jouir de plus de liberté se fait lui-même ressentir. Mais on peut vivre en dépendant de petits gestes du quotidien. Vous vivez la vie que vous construisez vous-même !
J’ai moi-même fait le choix de l’indépendance matérielle et professionnelle, il y a quelques années. Et quel bonheur de ne plus dépendre d’autrui ! Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris qui vous apprends à vous connaitre. Je propose des séances d’hypnose ou de soins pour le corps et le visage (comme le drainage lymphatique par exemple).
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites bien-être qui permettent de (re)découvrir pleinement. Loin du quotidien et au plus proche de la nature, la liberté vous tend ses bras pour quelques jours.
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Vaincre le syndrome de l’imposteur
Le syndrome de l’imposteur devient de plus en plus cité de nos jours. Et pour cause, dans une société où tout le monde tourne à cent à l’heure, il est parfois délicat de reconnaître la valeur de son travail et de la façon dont on peut se congratuler. Mais au-delà d’une appellation récente, qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur ? De quand date-t-il ? Est-il un réel trouble ? Et surtout, comment finir par le vaincre ?
Qu’est-ce que le syndrome de l’imposteur ?
Apparu en 1978 après que Pauline Clance et Susanne Imes, deux psychologues, aient étudié le phénomène, le syndrome de l’imposteur est une sensation bien étrange à éprouver. A cette époque, leur étude portait sur une totalité de 150 femmes ayant été diplômées et exerçant un métier prestigieux. Toutefois, il s’est avéré que ces femmes ne pensaient pas « avoir réussi » comme cela peut être admis de manière sociétale (un bon emploi, un bon salaire…).
Et le syndrome de l’imposteur, c’est justement cela.
Plus « cliniquement », il pourrait être qualifié par un mélange d’anxiété et de manque d’estime et de confiance en soi et ce que l’on peut accomplir. Autrement dit, cette recette est celle qui créé le terrible sentiment d’imposture et par-là même, l’effrayant réflexe de nier sa réussite ou ses succès.
Quelles en sont les sources ?
De nombreuses études ont été menées et certaines tendent à révéler que les sources de ce syndrome et de ce sentiment de non-mérite seraient directement liées à l’ego. Un ego malmené durant un moment de vie serait la première source de ce syndrome. De la même façon, la comparaison aux autres peut également grandement jouer dans l’apparition de ce sentiment d’imposture. Parmi les sources de ce syndrome, il est également possible de compter la pression (parentale, scolaire) qui peut parfois advenir lorsque l’on est encore jeune et en pleine construction.
Qui est touché par le syndrome de l’imposteur ?
À vrai dire, tout le monde peut un jour être confronté au syndrome de l’imposteur ! Néanmoins, il y a quelques tendances qui se distinguent. Les femmes et les personnes autodidactes auraient en effet tendance a davantage porter le fardeau de ce syndrome. Absence de reconnaissance, sentiment de ne pas être à la hauteur, les symptômes sont multiples et variés.
De même, les inégalités sociétales actuelles ne permettent pas encore d’obtenir reconnaissance pour tout le travail accompli par les femmes et autres minorités. Cela contribue à engraisser le monstre de l’imposture qui se répand alors chez de plus en plus de personnes.
Comment savoir si on ressent le syndrome de l’imposteur ?
Le syndrome de l’imposteur n’étant pas une maladie ni un trouble reconnu affectif, nous ne pouvons pas à proprement parler évoquer des « symptômes ». Toutefois, de nombreux indices peuvent mener sur la piste que vous souffrez peut-être du syndrome de l’imposteur. C’est notamment le cas si vous ressentez :
- Un empressement à se distinguer de la réussite (ex : « ce n’était pas très compliqué ») ;
- « Rejeter » les événements positifs qui surviennent dans la vie ;
- Ne pas se sentir légitime face aux compliments ou aux félicitations ;
- Être gêné/ embarrassé/ mal-à-l’aise devant des félicitations ;
- L’impression d’être surestimé ;
- Peur ou malaise vis-à-vis de l’attention que l’on peut vous porter ;
- Manque de confiance en soi dans la majorité des domaines de la vie.
Tels sont les premiers signes que vous êtes sûrement concerné par le syndrome de l’imposteur. Mais ce n’est rien de grave ! Le syndrome de l’imposteur peut tout à fait disparaître avec le temps et du travail sur soi.
Comment vaincre le syndrome de l’imposteur ?
Vaincre le syndrome de l’imposteur ne se fait pas par la seule force de la volonté. C’est une lutte parfois quotidienne, qui a pour but de vous légitimer dans différents aspects de la vie. Parce que le syndrome de l’imposteur peut également se manifester dans une sphère sociale, amicale, familiale ou encore intime. Elle n’est plus seulement reliée au monde du travail.
Finalement, peu importe la sphère dans laquelle le syndrome s’immisce, l’important est que vous pouvez totalement vous libérer de ce syndrome qui empoisonne votre vie et ébranle vos certitudes ! Et ceci peut se faire, il faut retrouver de l’estime de soi avec l’hypnose.
Exercices pour vaincre le syndrome de l’imposteur
Briser le silence :
Comme pour beaucoup de sujets, la première étape et non la moindre, c’est souvent d’en parler. Avec vos amis ou votre famille, parlez-en à des personnes proches qui vous connaissent ; bien souvent, elles auront un avis objectif et le recul nécessaire pour vous parler en toute honnêteté. En brisant le silence autour de ce syndrome, vous brisez aussi sa carapace !
Faire des listes :
Les listes ne sont pas au goût de tout le monde, et pourtant, parfois, elles sont nécessaires. En listant l’étendue de vos facultés et de vos compétences (à la façon d’une lettre de motivation), vous prendrez un peu de recul face au syndrome de l’imposteur. Petit à petit, vous parviendrez à avoir le recul et la lucidité nécessaires pour comprendre que le syndrome vous ment et que vous êtes bel et bien capable d’accomplir les choses au seul mérite de votre travail.
Anticiper la réussite plutôt que l’échec :
Bien souvent, le syndrome de l’imposteur vous convainc que vous ne serez pas à la hauteur. Et si vous décidiez d’aller à contre-courant ? Inspirez profondément, et au prochain projet que l’on vous propose, misez sur votre réussite. Cela peut paraître prétentieux, mais il n’en est rien. Vous seul.e êtes conscient.e de ce que vous êtes capable de faire, de vos talents et de vos compétences. Vous allez y arriver !
Démystifier le syndrome de l’imposteur :
Cela peut arriver en brisant le silence autour de ce trouble. En parler, le dédramatiser voire même en plaisanter un peu, ça peut totalement vous aider à le voir sous un nouveau jour. Dans le même temps, cela permet de vous en éloigner un peu plus, et surtout, de vous libérer de l’emprise qu’il impose sur votre vie et dans au moins un domaine particulier.
Travailler l’estime et la confiance de soi :
Plus facile à dire qu’à faire… mais pas impossible ! Il est important de comprendre comment l’estime de soi et la confiance en soi influent directement sur le syndrome de l’imposteur. En travaillant sur vous-même et vous aidant d’hypnose pour la confiance en soi, vous vous offrez ainsi la possibilité de vaincre le syndrome de l’imposteur !
Pour conclure…
Le syndrome de l’imposteur est parfois compliqué à définir précisément. Il se manifeste par une petite voix sournoise qui vous fait penser que vous n’êtes pas à la hauteur des choses accomplies par vos soins, et il est si facile de la croire. Pourtant, il n’en est rien ! Vous êtes amplement capables de réussir et en droit de vous en attribuer le mérite, peu importe combien il peut être difficile de l’accepter ensuite.
Et si vous ne parvenez pas à le vaincre seul.e, il n’y a aucune honte. Certaines blessures et marques sont souvent présentes depuis longtemps et l’aide d’un professionnel est alors recommandée. Psychologue, méditation, l’hypnose thérapeutique à Paris et ses bienfaits… il est possible de trouver la source de ce syndrome et de travailler dessus afin de la surmonter.
Je suis moi-même hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des séances d’hypnose, mais également des soins thérapeutiques du corps et du visage (drainage lymphatique) – qui peuvent d’ailleurs vous aider à vous concentrer sur vous et retrouver votre confiance en vous !
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise des retraites sous le signe du bien-être, pour se (re)découvrir. Loin du quotidien et des soucis qu’il porte dans son sillage, prenez du temps pour vous ouvrir à vous-même.
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Oser prendre la parole en public
Sueurs froides, tremblements de mains, voix qui chevrote et balbutiements sont parfois au rendez-vous quand les mots « prise de parole en public » retentissent. S’exprimer devant une audience, quelle qu’elle soit peut s’avérer être une réelle source de stress et de nervosité. Est-ce simplement un peu d’appréhension quant au discours à tenir ou une réelle angoisse liée au fait de devoir s’exprimer devant toute une troupe de personnes ?
Quoiqu’il en soit, prendre la parole en public n’est pas inné ni naturel pour tous. Mais bonne nouvelle, il est possible d’apprendre à le faire ! Alors quels sont les tips qui permettent de se présenter de façon plus sereine pour prendre la parole en public ?
Prendre la parole en public : une étape qui peut sembler insurmontable
Quel que soit votre âge, votre genre ou votre milieu social, nous sommes tous confronté, au moins une fois dans notre vie, à la prise de parole en public. Que ce soit pour un exposé devant une classe au lycée ou à l’université, un discours de témoin au mariage de l’une de nos meilleures amies ou encore en plein milieu de l’open-space au travail, il arrive un moment où nous sommes tous mis face à la prise de parole en public.
Et le moins qu’on puisse dire, c’est que même pour les plus extravertis d’entre nous, c’est une étape qui marque. La première prise de parole en public est toujours une étape à franchir. Pour d’autres personnes, peu importe le nombre de fois où elles ont fait l’exercice, il demeure difficile et paraît toujours, de la même façon, insurmontable.
Mais alors pour quelles raisons cela peut paraître naturel à certaines personnes quand d’autres semblent totalement paralysées par l’idée de prendre la parole en public ?
Les différents blocages qui empêchent de prendre la parole en public
Les raisons qui peuvent déclencher un stress immense ou encore des crises angoisses à l’idée d’intervenir en public sont multiples. Parmi les blocages, l’on retrouve notamment :
La peur des autres : intervenir devant un groupe de personnes inclut forcément certaines responsabilités. Les gens comptent sur vous pour faire un discours intéressant et pertinent, et la peur des autres peut rapidement se manifester. Et si les gens trouvaient mon discours inintéressant ? Et si certains me huaient ? Se moquaient ?
La peur de soi : prendre la parole en public implique d’être écouté, et cela paraît intimidant pour beaucoup de gens. Et si je racontais n’importe quoi ? Et si je n’étais pas à la hauteur ?
Le stress et la nervosité : ils peuvent directement avoir des effets sur votre forme physique et trahir votre état. Là encore, le lien avec l’opinion des autres s’établit, et le stress augmente, refermant le cercle vicieux qu’il a entamé.
Il existe encore moult autres blocages qui empêchent de prendre la parole en public de façon sereine et apaisée. Ce qui est certain, c’est que tous ces blocages ont des sources bien précises, et que pour s’en débarrasser, il faut les identifier de façon claire.
Les sources de ces blocages et peurs
Et pour les vaincre, ces blocages, il faut tout d’abord en identifier la ou les source(s). Le plus souvent, tous ces blocages sont directement en lien avec :
Les croyances limitantes : intériorisées pendant l’enfance ou au cours de la vie, l’adulte qui se laisse guider par ses croyances limitantes est un adulte… limité. En effet, les croyances limitantes reposent sur des blessures émotionnelles enfouies qui perpétuent un schéma visant à ne pas croire en soi ou ses facultés. Vaincre ses croyances limitantes, c’est possible !
Une estime de soi bancale : l’estime de soi, que l’on confond souvent avec l’ego, est pourtant bien indispensable au quotidien, il est nécessaire de retrouver l’estime de soi par l’hypnose. Et pour cause, savoir de quoi l’on est capable et ce que l’on vaut dans son propre regard est une chose utile et bienveillante. Cela permet notamment de se surpasser lorsqu’on s’en sait capable, et de réussir plus facilement en connaissant ses limites et ses atouts.
Une absence de confiance en soi : la confiance en soi est également un facteur important. Dans le cadre d’une prise de parole en public, la confiance en soi est celle qui livre un élan de « je suis capable de faire ça » et qui vous convainc que vous l’êtes vraiment (capable). Sans confiance en vous, vous ne saisissez pas les opportunités qui se présentent à vous et cela vous conforte dans le même temps quant au fait que vous ne les méritiez pas. Inversez ce cycle défaitiste et prenez les choses en mains !
La glossophobie : méconnu, ce terme désigne la peur de prendre la parole en public. Afin de soigner cette phobie, certains soins thérapeutiques comme un massage Kobido couplé à de l’hypnose peuvent s’avérer utiles. Qu’il s’agisse d’une psychothérapie qui permette de débloquer la source de cette phobie, de médecines parallèles qui sauront en apaiser les effets, il est important de prendre du temps pour se défaire de cette phobie.
Tips et astuces pour pouvoir prendre la parole en public !
Préparez-vous avant le grand jour : répétez devant le miroir si cela vous aide à travailler tant l’élocution que votre posture et votre discours. Vous prenez alors doucement conscience de votre potentiel, et que cette prise de parole ne sera qu’une petite étape dans votre vie. Vous en êtes capable et vous allez y arriver !
Prenez confiance en vous : à travers des exercices du quotidien comme le fait de parler avec vos amis ou des groupes sociaux (amis, famille, collègues…). Poser sa voix par enregistrement, seul ou à plusieurs, est également un moyen très simple de prendre confiance pour la prise de parole. En sachant que votre voix ne tremblera pas, vous avez moins le trac et il ne vous reste plus qu’à vous lancer.
Travaillez votre respiration : parce que dans une prise de parole, il ne suffit pas de savoir s’exprimer mais également de gérer les silences. Travailler votre respiration sera alors le meilleur moyen de mettre toutes les chances de votre côté afin de maîtriser entièrement le moment et de réduire le stress au maximum.
Soyez direct : le message que vous avez à faire passer doit être bien entendu et compris par tous. Alors on efface toutes les fioritures autour, et l’on se concentre sur la qualité du message. Les mots se suffisent à eux-mêmes, nul besoin d’en rajouter !
Connaître son audience peut aider : enfin, le fait de savoir à l’avance devant qui vous allez vous exprimer peut également vous aider à vous sentir plus en confiance le jour J. Et pour cause, connaître les personnes qui seront présentes vous permettra de prendre confiance. Je le/la connais, il/elle est très gentil/le et ne se moquera pas si c’est un échec…
Enfin, si le stress persiste malgré toutes vos préparations, il est possible de se détendre par de petits gestes d’hypnose contre le stress
En conclusion…
Prendre la parole en public est ainsi une grande responsabilité. Se dresser seul/e, face aux autres et commencer à parler peut être source d’une grande inquiétude quant à soi-même et ses capacités. Douter est naturel, mais de l’hypnose pour la confiance en soi pour se faire plaisir existe, un bon moyen pour croire en vous. Et lorsque vous serez en train de parler, concentrez-vous sur des points de la salle qui vous permettent de ne pas vous inquiétez davantage ; parfois, le regard des autres est le pire déclencheur d’un oubli de votre texte !
De mon côté je suis Charlotte Vallet, Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques du corps comme les drainage lymphatique et drainage visage, qui permettent de se sentir mieux dans son corps.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
De même, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de se (re)découvrir le temps de quelques jours. Au plus proche de la nature, venez apprendre tout ce dont vous êtes capable et que vous ignorez encore…
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Explication du système nerveux et de ce qui lui fait du bien
Le système nerveux est l’un des fonctionnements les plus alambiqués du corps humain. Mais que sait-on vraiment de lui, finalement ? Oui, il arrive de se cogner le nerf du coude dans une poignée de porte ou celui du genou contre le pied d’une table. Oui, il arrive de se sentir avoir « les nerfs à vif », mais excepté cette brève douleur ou cette expression, on ne connaît presque rien de ce système dans son entièreté. Zoom sur le fonctionnement du système nerveux, et ce qui lui fait du bien.
Qu’est-ce que le système nerveux ?
Il est le plus complexe et le plus organisé du corps humain. Récepteur de nombreuses informations, il est responsable des actions du corps en interne comme en externe. Autrement dit, c’est le système nerveux qui contrôle nos mouvements, qu’il s’agisse de lever la main pour saluer un ami ou bien de mettre en mouvement un muscle.
Tous ces gestes, toutes ces commandes internes sont possibles grâce à la moelle épinière. C’est elle qui sert de messagère entre le système nerveux et les actions du corps humain. Les informations, quant à elles, sont directement reçues via les cinq sens, et c’est le cerveau qui les traite en premier lieu.
On distingue alors deux « sous-systèmes » : le premier se composant de la moelle épinière et du cerveau est appelé système nerveux central (SNC) ; le second qui se constitue des nerfs et des organes sensoriels est appelé système nerveux périphérique (SNP).
Mais plus généralement, c’est le système nerveux autonome ou neurovégétatif qui complète le système nerveux central. Ce dernier est en charge de la régulation de tous les processus qui se produisent dans le corps de manière automatique. Et il se subdivise lui-même en deux parties :
- Le système nerveux parasympathique ;
- Le système nerveux sympathique.
Ces deux systèmes contrôlent entièrement les impacts du stress sur le corps humain, ainsi que la relaxation de celui-ci. Plus exactement, le système nerveux parasympathique est directement lié aux fonctions involontaires de l’organisme, et a pour mission de réguler les fonctions neurologiques inconscientes. Autrement dit, il s’occupe de tempérer et ralentir les fonctions de l’organisme pour économiser de l’énergie.
Ainsi, le système nerveux du corps humain, s’il est le plus complet et le mieux organisé, est également l’un des systèmes du corps les plus compliqués à cerner et comprendre. Il s’étale à travers toute l’anatomie de l’individu, sillonnant les plus infimes parties. C’est le système nerveux qui est responsable de la coordination des actions avec l’environnement. Tous les êtres vivants possédant un système nerveux sont appelés « eumétazoaires ».
Les liens différents entre les organes et le système nerveux
Le système nerveux régule et ordonne les actions du corps. Et pour cela, il est en lien direct avec de nombreux organes. Si le système nerveux central est en lien direct avec le cerveau et la moelle épinière, le système nerveux périphérique avec les organes sensoriels, c’est le système nerveux parasympathique qui semble aider à la régulation de nombreuses fonctions corporelles. Parmi elles :
- Le cœur, sur lequel il agit directement via la fréquence cardiaque, la respiration et la tension artérielle, qu’il peut réguler.
- Les poumons, parce qu’il est lié à la contraction des bronchiques et la sécrétion des mucus.
- Le tube digestif, car en effet, le système nerveux parasympathique en augmente la motricité, permet la relaxation des sphincters et stimule les sécrétions digestives.
- Il est également responsable de la contraction de la vessie.
- Près des yeux, il est directement lié la contraction des pupilles, appelée myosis.
- En lien avec les organes génitaux, c’est aussi le système nerveux parasympathique qui aide l’érection.
- Enfin, directement relié aux glandes, le système nerveux parasympathique influence la sécrétion des glandes salivaires et sudoripares; mais aussi la stimulation des sécrétions dans le pancréas exocrine ; ainsi que la stimulation d’insuline dans le pancréas endocrine.
Plus généralement, les deux étant liés puisqu’ils s’équilibrent et équilibrent le corps, les systèmes nerveux parasympathiques et sympathiques agissent sur beaucoup d’organes différents. Cela permet de nombreuses actions de leur part pour tenter de réguler notre corps au mieux, telles que :
- La pression artérielle ;
- La fréquence cardiaque ;
- Le métabolisme ;
- L’équilibre hydrique ;
- La miction,
- La température corporelle ;
- La défécation ;
- La réponse sexuelle ;
- Le poids ;
- La digestion ;
- La sudation.
Ainsi, tous les systèmes nerveux présents dans le corps ont une fonction bien spécifique qui permet à l’ensemble du corps de fonctionner. Chacun sa mission, chacun sa place, et le corps humain trouve une certain équilibre. Les systèmes parasympathique et sympathique, au même titre que le système nerveux central ou périphérique ont une utilité indéniable. C’est aussi pourquoi il faut y faire attention : en cas de déséquilibre, cela peut avoir des répercussions importantes sur le corps humain.
Comment chouchouter le système nerveux
Vous l’aurez compris, sans le système nerveux, le corps ne serait rien ! Le système nerveux, au final, c’est la capacité du corps à percevoir, analyser, exécuter et s’adapter. Sans ces quatre facultés, la vie serait beaucoup plus compliquée… et c’est pour cela qu’il est important de prendre soin de son système nerveux, tout comme de sa santé mentale ou physique !
D’un point de vue strictement neurologique, il est possible de stimuler le système nerveux à travers de petits exercices qui permettent de mettre en action les différents muscles ou les articulations. Car si jamais le système nerveux s’essouffle trop rapidement ou bien qu’un choc ne lui permet plus de fonctionner comme il le devrait, cela ne reste pas sans conséquences. On déplore alors des exécutions d’actions incorrectes, voire des maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer…etc.).
Mais ce n’est pas le seul moyen de chouchouter le système nerveux. Et pour cause, l’un des grands éléments qui bouleverse le plus souvent le système nerveux, causant différents troubles dans le corps par la suite, c’est le stress. Et pour réduire le stress, il existe toutes sortes de solutions :
- Les médecines parallèles (sophrologie, hypnose, méditation…) ;
- Certains aliments (noix, épinards, cacao…etc.) ;
- Certains minéraux (magnésium, zinc, calcium, potassium…etc.) ;
- Certaines vitamines (vitamines B1, B2, B6 et B12, C, E… etc.).
Ces petits tips permettent de réduire le stress au quotidien, et cela permet également d’adapter ces méthodes assez simples à mettre en place dans les habitudes avec des exercices qui vous aideront à faire de mieux en mieux face au stress, et surtout à mieux le gérer. À terme, il s’agira de ne plus laisser le stress impacter le système nerveux !
Ainsi, le système nerveux est assez complexe à expliquer. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’il gère une grande partie –pour ne pas dire la majorité- des actions que le corps est capable d’accomplir, en interne ou en externe. Il est important d’en prendre soin, pour qu’il puisse, en retour, prendre soin de notre corps !
Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose des soins thérapeutiques du corps et du visage, tels que le drainage lymphatique ou du visage.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Aussi, j’organise plusieurs fois par an des retraites bien-être. Proche de la nature, ces retraites offrent l’occasion de couper avec le quotidien parfois étouffant, et de se découvrir ou de se retrouver pleinement. En ce qui concerne le système nerveux et sa gestion, ces retraites peuvent être bénéfiques pour lui, puisqu’elles offrent la possibilité de prendre du temps pour soi et pour se comprendre.
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Les bienfaits à suivre une thérapie
La vie est faite de différentes épreuves à traverser. Parfois, ces épreuves sont légères et douces comme une brise printanière, et d’autres fois, elles se font plus véhémentes, comme l’orage qui éclate au milieu de l’été. Ce qui est sûr, c’est que chaque épreuve, chaque événement de la vie laisse certaines marques dans le corps et au creux de l’esprit. Et de temps en temps, il arrive que le seul moyen de les surmonter soit de suivre une thérapie. Je propose des séances d’hypnose à Paris avec un massage Kobido, pour reconnecter le corps et l’esprit.
Mais contrairement aux idées reçues, la thérapie peut avoir de nombreux bienfaits, et chaque personne est libre d’en suivre une ou non. La thérapie est une question de choix vis-à-vis de ses besoins, de ses envies et des objectifs qu’il a pour son futur.
Une thérapie, c’est quoi ?
Lorsqu’on parle de thérapie, le plus souvent, il est en fait question de psychothérapie. Il s’agit donc, selon la définition officielle, d’apporter un soin « thérapeutique concernant des troubles psychiques ou somatiques par des procédés psychiques ». Cependant, la thérapie a beaucoup évolué depuis des années, et aujourd’hui, le plus souvent, lorsqu’on évoque la psychothérapie, il s’agit d’entrer en relation avec le thérapeute plutôt que d’aborder la thérapie comme un lien de patient/ soignant.
Le fait que l’accent soit mis sur les prises de consciences et le travail que le client peut amorcer sur lui et sur son quotidien a permis de grandement démocratiser le processus de la psychothérapie. Les personnes qui en ressentent alors le besoin s’y dirigent beaucoup plus facilement, et sont à mêmes de prendre en main leur vie avec de nouveaux moyens à sa disposition et en se connaissant mieux.
Les différentes thérapies qui existent
Les psychothérapies sont celles auxquelles l’on fait référence lorsqu’on évoque une thérapie. Toutefois, depuis quelques années déjà, les médecines parallèles ne cessent de se déployer en Occident, et sont de plus en plus appréciées. Ainsi, il est désormais possible de compter parmi les thérapies « parallèles », les thérapies par :
- L’art ;
- La danse ;
- L’écriture ;
- La méditation;
- Le sport qui vous plait qui comme l’hypnose, fait gagner de la confiance en soi.
Elles s’ajoutent aux différentes thérapies qui ont été reconnues de manière scientifique au cours des décennies, comme les thérapies :
- Cognitive et comportementale ;
- Systémique ;
- La psychanalyse ;
- Psychothérapies existentielles/ humanistes.
Il en existe tout autant qu’il existe de thérapeutes, puisque chacun peut avoir une spécialité à apporter aux patients qu’il rencontre.
Les bienfaits d’une thérapie
Qu’il s’agisse d’une psychothérapie ou d’une thérapie par l’art par exemple (il est important de noter que tous les psychologues ne sont pas psychothérapeutes), il existe de nombreux bienfaits à aller consulter pour se faire aider. De nombreuses études ces dernières décennies ont d’ailleurs contribuées à rechercher et appuyer les bienfaits que possédaient les thérapies et en particulier les psychothérapies (méta-analyse de M. Lambert en 2004 à partir des études menées en amont).
Parmi les bienfaits d’une psychothérapie, l’on retrouve :
La fin d’une ou de plusieurs souffrances :
Si c’est pour beaucoup la raison principale qui les encourage à démarrer un processus de thérapie, c’est aussi l’un des effets qui est le moins négligeable. Et pour cause, grâce à l’emploi de différentes méthodes comme l’hypnose pour retrouver l’estime de soi, la PNL ou la sophrologie, la psychothérapie peut aider à endiguer la souffrance voire à s’en débarrasser sur le long terme, que la souffrance soit physique, mentale ou émotionnelle.
Amélioration des relations :
En effet, la psychothérapie, en vous aidant à mieux vous comprendre, permet également d’améliorer les relations que vous pouvez avoir avec un entourage extérieur. Qu’il s’agisse à la source de certains soucis de communication, de timidité, d’obsessions ou suite à quelques échecs amoureux, un bon thérapeute, avec la méthode adaptée, pourra parvenir à vous faire surmonter les tracas liés aux relations interpersonnelles.
Apprendre à mieux se connaitre :
A travers le voyage de l’apprentissage de soi, il y a la destination d’un meilleur épanouissement général. Que ce soit dans la vie professionnelle, personnelle ou sociale, se connaître est un atout du quotidien pour tout ce qui est ou va être entrepris dans un futur plus ou moins proche. Découvrir la façon dont votre esprit fonctionne en apprenant les blessures du passé, c’est aussi comprendre pourquoi certains comportements sont rapidement acquis dans le présent. La psychothérapie, c’est donc aussi laisser tomber l’armure que l’on présente au monde pour soi-même connaitre ce qui se cache au-dessous.
Une aide pour la réalisation de soi :
Plus généralement, les thérapies livrent une grande aide quant à la réalisation de soi. En effet, il est possible d’entamer un travail profond sur l’estime de soi, la confiance en soi et de s’aimer soi-même avec de l’hypnose en supplément de la thérapie. Cela peut également se révéler être un immense soutien notamment pour toutes les personnes qui entament un grand changement dans leur vie, ou sont justement au cœur de ce changement.
Evoluer :
Il arrive parfois que la sensation d’être bloqué dans un passage de sa vie surgisse subitement. La psychothérapie permet de surmonter autant que prévenir cette sensation désagréable, notamment en faisant la lumière sur le lien entre les expériences du passé et les problèmes, les difficultés rencontrés dans le présent. Comprendre le passé et en accepter les conséquences, c’est aussi s’offrir une chance de pouvoir continuer dans la vie de manière plus sereine et plus éclairée. C’est prendre en compte la totalité de ce qui vous compose pour être sûr d’éviter les mêmes erreurs, et les mêmes schémas qui peuvent parfois être destructeurs.
Ainsi, les thérapies peuvent avoir beaucoup de bienfaits et surtout, de nombreux effets sur les personnes qui franchissent le pas de faire appel à un professionnel. À terme, ce sont des forces supplémentaires que vous possédez en ayant pris le temps de vous connaitre davantage, mais aussi le courage sublime de ceux qui peuvent regarder le passé sans souffrir ou le regretter. Accepter sa vie, la personne que l’on est et découvrir celle que l’on aspire à être, tels sont les atouts que la psychothérapie permet de posséder dans sa manche.
Il est également important de noter que les thérapies doivent être amorcées de manière volontaire. Si vous le faites à contrecœur, les effets seront moindres et ce sera surtout une perte de temps pour vous ainsi que pour le professionnel. La démarche doit être personnelle et motivée par vos besoins et envies, et nullement forcée selon un quelconque avis extérieur (sauf si c’est l’avis de votre médecin suite à un traumatisme vécu). Il est toutefois normal, malgré une motivation franche, d’avoir quelques appréhensions lors des premières séances.
Enfin, le choix du thérapeute est également très important. Chacun ayant sa spécialité, son domaine de prédilection et surtout, ses méthodes, il est important de bien se renseigner afin d’éviter l’épuisement dans la recherche et la multiplication des « premières séances » qui ne mèneront nulle part.
Je suis Charlotte Vallet, experte en neurosciences et hypnothérapeute à Paris. Je propose ainsi des séances d’hypnose, qui peuvent permettre dans un premier temps ou en complément d’une psychothérapie, de venir en aide afin de surmonter certaines addictions, des insomnies…etc.
Par ailleurs, je propose aussi des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique Renata Franca ou encore des soins du visage, comme le drainage pour le visage.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être qui permettent de couper avec le quotidien parfois étouffant, et de se recentrer sur soi et la nature.
Pour les séances d’hypnose, il est possible de prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
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À quel profil ayurvédique appartiens-tu ?
Inhérents à la médecine ayurvédique et toutes les pratiques qu’elle comporte, le profil ayurvédique permet d’en apprendre plus sur soi. L’Ayurveda comporte trois grands profils, qui se nomment doshas. Zoom sur les différents doshas, leurs particularités pour le corps et l’esprit, et sur ce qui résulte de ces profils ayurvédiques.
Qu’est-ce que les doshas ?
Les doshas sont des particularités propres à chacun dans la médecine ayurvédique. Ils symbolisent les trois types d’énergies vitales qui animent l’être humain. Chaque personne possède un dosha prédominant, lequel comporte deux des cinq éléments de la médecine ayurvédique. Dans la pratique de l’Ayurveda, chaque dosha a son importance ; ils sont tous responsables des mécanismes physiologiques et psychologiques de nos êtres.
Dans la pratique de la médecine ayurvédique, il est important de noter que les doshas ne sont pas tous les trois des concepts entiers et distinguables ; en effet, ils demeurent simplement les trois parties d’une grande et même énergie présente dans tout le corps. Ainsi, ils se complètent, s’harmonisent et se jouxtent en tentant de conserver l’équilibre à la façon de funambules de la santé. Si l’un est déséquilibré, cela entraîne alors des troubles qui peuvent être soit de nature psychique, soit de nature physiologique.
Ainsi, les doshas principaux composent le corps humain et permettent aux professionnels de l’Ayurveda de déterminer quels maux sont présents dans le corps ou l’esprit.
Les trois doshas principaux
Il y a donc en tout, six doshas. Les trois principaux, appelés Vata, Pitta et Kapha sont les doshas majeurs dans la médecine ayurvédique. Pour savoir lequel des trois doshas est prédominant, il y a plusieurs caractéristiques corporelles, mentales et émotionnelles qu’il est possible de prendre en compte et remarquer chez chaque personne. Ainsi, chaque dosha a ses propres caractéristiques, que celles-ci soient directement liées aux cinq éléments ou bien aux nuances de l’être humain.
Le dosha Vata :
Ce dosha se rapporte à l’élément Air et à l’Ether. Il se caractérise surtout par le mouvement fluide, la nature mobile de l’énergie du vent. Ce dosha est qualifié de froid, rugueux, sec, piquant, flottant, clair, parfois erratique. Il symbolise la force du vent, le mouvement dans le corps et l’esprit, et lorsqu’il est harmonieux, rend les mouvements fluides et gracieux.
Son site principal dans le corps est le colon, mais il est également présent dans les os, le pelvis, les cuisses, les oreilles, la tête et les cheveux. Ces caractéristiques se traduisent par des particularités spécifiques dans le corps humain. Parmi elles, l’on retrouve notamment :
Léger : les os du corps sont étroits.
Froid : des tendances à la frilosité.
Sec : la peau et les yeux s’assèchent rapidement.
Clair : les yeux sont clairs.
Fin : l’esprit est curieux et ouvert aux nouvelles idées.
Si ce dosha est déséquilibré, les conséquences se constatent rapidement car chacune des particularités ci-dessus est alors exacerbée.
Au niveau psychique, les personnes de nature Vata se caractérisent par une forte tendance à se montrer bavardes, enthousiastes et créatives. Avec une grande propension à s’adapter et une flexibilité à toute épreuve, elle peuvent, en cas du déséquilibre du dosha, se montrer confuses et se sentir rapidement dépassées. Elles sont également très sensibles aux émotions froides comme l’anxiété, la peur et le doute. Mais les personnes de nature Vata sont surtout aventurières, créatives et aiment commencer de nouveaux projets – en oubliant parfois de les terminer !
Le dosha Pitta :
Ce dosha tire son énergie de l’élément Feu combiné à l’Eau. Ce dosha Pitta se rapporte surtout à la transformation. En sanskrit, le mot Pitta signifie littéralement la « bile ». Il se qualifie le plus souvent par des adjectifs tels que chaud, huileux, tranchant, mobile, léger ou même liquide. Au niveau du corps, ce dosha est surtout présent dans la digestion, directement lié à l’assimilation de la nourriture. Il est également en lien avec la régulation de la température du corps, l’éclat des yeux et celui de la peau.
Son site principal dans le corps est l’intestin grêle, mais il est également très présent au niveau de l’estomac ou encore dans le sang. Ce dosha a la particularité de puiser dans la matière de son élément, là ou le dosha Vata se ressource grâce au sien. Sur le corps humain, les particularités du dosha Pitta se traduisent ainsi :
Huileux : la peau est souvent grasse et peut même provoquer de l’acné.
Liquide : Les personnes de nature Pitta transpirent facilement dès qu’il fait un peu chaud.
Chaud : les mains sont souvent moites et chaudes.
Mobile : leur teint plutôt clair peut rapidement rougir.
En cas de déséquilibre, ces particularités peuvent se trouver exacerbées. Il est donc essentiel de ne pas abuser de son élément principal (Feu), et d’éviter le soleil et la chaleur en trop grandes quantités.
Au niveau de la psyché, les personnes qui sont Pitta trouvent un équilibre entre les actions (Feu) et la sensibilité (Eau). Leurs émotions sont souvent intenses, et peuvent s’apparenter à de l’irritabilité. Une excellente libido se reflète dans le feu duquel ils puisent leur énergie. De même, la volonté, la détermination et le leadership caractérisent ce dosha. Loyaux et fidèles en amitié, leur exigence peut parfois paraître intimidante. Pourtant, leur bienveillance envers ceux qu’ils estiment est sans limites.
Le dosha Kapha :
Le dosha Kapha puise directement dans l’énergie de l’Eau, à laquelle se mêle la Terre. Plus exactement, ce dosha se rapporte à l’adhésion. Littéralement, Kapha signifie « ce qui lie » en sanskrit. Le dosha Kapha se qualifie par des adjectifs tels que lourd, dense, froid, statique, lent ou encore mou. Son organe sensoriel est la langue, et il se situe aussi dans la partie supérieure du corps, soit la tête, le torse, l’estomac ou encore le pancréas. C’est le dosha du goût.
Au niveau du corps humain, ses caractéristiques se reflètent ainsi :
Lourd : souvent, le squelette est de bonne constitution.
Froid : ils ont le teint pâle et la peau claire.
Dense : s’ils ne s’entretiennent pas, les Kapha ont tendance à rapidement stagner.
Lent : la digestion est généralement assez lente ce qui amène un sentiment de satiété rapidement.
En cas de déséquilibre de ce dosha, les particularités physiques qu’il présente s’en trouvent exacerbées. Il est donc essentiel de ne pas rester enraciné dans son élément (Terre), et de bouger, de se mouvoir comme l’Eau.
Au niveau de la psyché, les personnes dont le dosha principal est Kapha sont des personnes qui aiment aimer et être aimées. Fidèles, tempérantes, et généreuses, ce sont des personnes équilibrées. Ils ont le goût du lien social, aiment partager avec autrui, et découvrir tout ce qu’il est possible via les interactions sociales. La philosophie est une discipline à laquelle ils apprécient s’adonner.
Leur sédentarité est probablement la critique la plus récurrente qu’ils reçoivent. Souvent réservés, ils ont des difficultés à s’affirmer, et leur timidité peut parfois leur causer du tort lorsqu’ils ne parviennent pas à s’exprimer. C’est la sécurité qui prime pour les personnes de nature Kapha, car c’est elle qui créé son équilibre.
Ainsi, les trois doshas principaux de la médecine ayurvédique sont les doshas Vata, Pitta et Kapha. Chacun ayant ses propres caractéristiques, il est néanmoins important de noter que personne ne peut se résumer à un seul des doshas.
Il y a d’ailleurs, dans l’Ayurveda, trois autres doshas, mineurs ceux-ci, qui permettent d’appréhender et affiner la compréhension d’une personne. Ainsi, il est totalement possible de retrouver des personnes possédant une nature Vata-Kapha, Pitta-Kapha ou Pitta-Vata. La médecine ayurvédique couvre une grande surface de différences, mais aussi de caractéristiques qui sont propres à chacun. Pour plus de précision sur la médecine ayurvédique, je vous invite à lire cet article sur l’Ayurveda.
Si les médecines et soins parallèles vous intéressent, je vous invite à visiter mon site. Vous y trouverez les séances d’hypnose que je propose, ou bien les soins corporels thérapeutiques que je réalise, tels que le drainage lymphatique, ou encore le drainage du visage.
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Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes
Afin de vous pencher davantage sur les facettes qui vous composent, il est aussi possible de procéder à une retraite bien-être. C’est en particulier ce que je propose afin de vous permettre de prendre du recul pour mieux se recentrer sur soi.
Et vous, quel est votre profil ayurvédique ?
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Le divorce : quand est-ce la meilleure solution ?
Il y a encore une quarantaine d’années, le divorce n’était une solution que peu envisagée. Aujourd’hui, c’est plus de 45% des mariages qui se soldent par un divorce, en France. Et si parfois, les raisons pour lesquelles l’on se retrouve en couple avec une personne semblent obscures et floues, si l’on se laisse guider par les sentiments qui nous étreignent, alors comment être sûr qu’il est temps de divorcer ? Quand décider de le faire, sans pour autant le regretter ?
Le divorce, une solution miraculeuse ?
Il arrive des instants, dans toutes les relations, où le doute se fait sentir. Que ce soit par rapport à soi ou par rapport à l’autre, la relation peut rapidement être remise en cause. Faut-il continuer avec la personne ? Est-il préférable de tout arrêter, pour se consacrer à soi ? Cette décision n’est pas à prendre à la légère. Pour peu qu’il y ait également des enfants dans le foyer, ou des projets en cours, c’est un choix dont il faut peser les pour et les contre.
Historiquement, le divorce a été remanié de multiples fois. Interdit par l’Eglise au XVIe siècle, il est de nouveau autorisé durant l’Ancien Régime. C’est durant la Révolution française que le concept du mariage est totalement désacralisé, et que le divorce commence à se démocratiser. C’est d’ailleurs la loi du 20 septembre 1792 qui autorise le divorce en France, tel qu’on le connaît aujourd’hui. Mais il est de nouveau supprimé, pendant soixante-huit longues années, de 1816 à 1884 – de quoi avoir la tête qui tourne !
Le fait que de nos jours, le divorce soit beaucoup plus accessible qu’il y a une trentaine d’années favorise grandement des décisions hâtives. En quelques mois, le divorce peut être prononcé, et pour peu que la séparation se fasse à l’amiable, le tour est joué rapidement et sans complications. Si se marier n’est pour certains plus aussi « sacré » qu’avant, le divorce en devient une solution de secours.
Pour autant, c’est loin d’être une solution miraculeuse. Lorsqu’on se marie, aux yeux de la loi tout autant que dans la vie quotidienne, il y a des choses qui se lient dans plusieurs domaines. Un compte joint, un logement à et pour deux, et peut-être même des enfants sont-ils nés de cette union. Quelles que soient les caractéristiques et le quotidien qui découle du couple, toute relation est unique. Et malgré tout cela, parfois, la séparation reste la seule solution envisageable.
Comment savoir si quitter l’autre est la chose à faire ?
Si les raisons de se mettre en couple et de se marier sont multiples et variées, il en va de même pour les raisons qui poussent un couple à se séparer. Perte de désir pour l’autre, ne pas réussir à se projeter avec le partenaire, ou ne simplement plus être aussi amoureux qu’au début… les raisons d’un divorce sont tout aussi diverses que chaque mariage et relation est unique.
Faire le point avant de prendre la décision de divorcer est essentiel. Savoir pourquoi l’on veut partir ou rester est primordial. La relation a-t-elle besoin de repasser au premier plan de la vie quotidienne ? Ou bien est-ce vraiment plus ancré, plus dissimulé, et insidieux ? Le partage avec l’autre ne vaut-il peut-être plus tous les sacrifices pour vous ? A nouveau, toutes les raisons sont valables. Mais elles doivent être réfléchies et muries.
Le divorce, tout comme le mariage, est une décision importante qui bouleverse tous les aspects de la vie. Vie de famille, aspect financier, au niveau du logement, concernant la belle-famille, amis en commun ou collègues qui vous connaissent depuis plusieurs années… personne ne doit être une enclave à votre divorce, mais certains voudront peut-être vous soutenir. Quoiqu’il en soit, le choix de divorcer est loin d’être anodin.
La seule raison qui n’a pas besoin d’être réfléchie, c’est dans le cas de violences conjugales. Le silence peut tuer, et il est urgent, si vous êtes en danger, de fuir pour sauvez votre vie et celles des enfants s’il y en a.
Le divorce : un traumatisme qui peut se graver dans l’âme
Psychologiquement, comment se passe le divorce ? Beaucoup de professionnels de la santé mentale s’accordent à dire que le divorce, même s’il se passe dans les meilleures conditions possibles, peut tout à fait être mal vécu par l’un ou l’autre parti, voire, parfois, les deux partis. Et pour cause, si le mariage est socialement vu comme une réussite, le divorce laisse parfois le goût amer de la défaite. Pour beaucoup de personnes divorcées, cette période de séparation se passe donc très mal.
Pour d’autres, au contraire, le divorce peut être perçu comme une réelle libération. Et pour cause, il peut parfois soulager les personnes concernées des conflits qui avaient lieu, ou des tensions qui prenaient place sans pouvoir se résoudre.
Enfin, le divorce peut parfois bien se passer tout au long de la procédure ainsi qu’après la fin de celle-ci, tout comme il peut se passer difficilement du début à la fin. Quoiqu’il en soit, ce qui est sûr, c’est qu’à l’amiable ou au cœur du conflit, le divorce reste une étape importante dans une vie, et surtout, un choc psychique pour le mental.
A l’instar d’un deuil, il s’agit de dire adieu non pas à une partie de sa vie, mais bel et bien à un lien qui vous a unit pendant x années à une personne. C’est enterrer une vie de famille qui paraît « acceptable » pour la société, et partir vers l’inconnu d’être divorcé.e. S’il y a des enfants, les parents divorcés sont également plus susceptibles de se voir être jugés ou pris en pitié. Ce sont alors des épreuves du quotidien qu’il faut surmonter en plus du fait de réapprendre à vivre seul, penser à soi, et l’organisation si jamais il y avait des enfants dans le foyer.
Pour autant, il n’y a rien de choquant à vouloir divorcer. Et il vaut même mieux vouloir divorcer plutôt qu’accepter une vie qui ne nous convient plus. Finalement, ce n’est pas ça, la vraie force du divorce ?
Les questions à se poser avant de divorcer
Y aura-t-il des gens pour me soutenir émotionnellement ?
Quels seront les impacts financiers du divorce ?
Pourquoi est-ce que le divorce serait une bonne solution pour moi ?
Est-ce que je suis malheureux/se parce que je suis marié/e ?
Est-ce que j’éprouve encore de l’amour pour mon/ma conjoint/e ?
Vais-je devoir trouver un autre logement ?
Comment le divorce va-t-il impacter les enfants ?
Pourrais-je compter sur mes proches pour m’aider avec les enfants ?
Il y a tant et tant d’autres questions à se poser, qu’il serait impossible de toutes les regrouper. Mais certaines s’ancrent davantage dans le concret et permettent d’ouvrir la voie pour faire le point. Parce qu’au final, il n’y a jamais de meilleurs moments pour quitter une personne… sinon celui que l’on décide.
Et pour éviter le surmenage, le burn-out émotionnel ou tout autre dépassement de vos limites lors de changements qui s’amorcent, il est possible de prendre soin de soi et de se recentrer. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, je propose également des soins du corps comme le drainage lymphatique et le drainage du visage. Fatigue, addiction, phobie, angoisse… vous pouvez lutter contre ces entraves du quotidien. N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Et parce qu’après une telle épreuve, il est parfois essentiel de se recentrer sur soi et ses besoins, ses envies, je propose aussi des retraites bien-être qui permettent la reconnexion à son “moi profond”. -

Peut-on monter sa boîte sans argent de côté ?
Monter sa propre entreprise et se lancer dans l’aventure de l’auto-entreprise, c’est parfois une étape clé dans la vie. Changer de voie du tout au tout ou ne simplement plus dépendre d’un patron avec tout ce que cela implique, les raisons de se lancer sont multiples et variées. Mais comment parvenir à monter son entreprise sans que le projet ne se casse la figure avant même d’avoir pu être abouti ? Et surtout, comment se lancer lorsqu’on a zéro économie ?
Identifier son idéal et ce qui est possible
Monter sa propre entreprise, c’est une étape clé pour tout auto-entrepreneur. Mais bien souvent, entre le rêve et la réalité, il y a une multitude de lois et de règles qui empêchent de parvenir à l’exacte réplique de ce que l’on s’est imaginé. Alors comment procéder ?
Dans un premier temps, il est important de savoir pourquoi vous souhaitez vous lancer dans cette voie. Car selon les raisons qui vous motivent, vous pourrez déterminer ensuite la direction dans laquelle vous voulez vous aller et surtout, les conditions dans lesquelles vous le ferez – après tout, vous serez votre seul patron !
A partir de ce point précis, il sera important et essentiel de faire quelques recherches. Selon l’activité que vous voudrez exercer, il sera nécessaire de choisir le statut juridique de l’entreprise le plus adapté. Et selon ce statut, il en découlera un plan économique (« business plan ») à également envisager.
Et vous voilà en route vers l’aventure difficile mais merveilleuse de l’auto-entreprise !
Peut-on se lancer sans avoir d’économies ?
Lorsque j’ai quitté mon job dans le marketing, je suis partie faire un tour du monde. J’avais besoin de me connaître avant de savoir ce que je voudrais faire. C’est ironiquement en apprenant à me connaître, que je me suis rendue compte que je voulais aider les gens, travailler avec l’humain, et surtout, pouvoir guider les gens sur le chemin d’un meilleur bien-être. Et lorsque j’ai décidé de monter ma boîte, je n’avais pas d’économies. Pourtant, à coups d’efforts et de détermination, j’ai pu y parvenir. Car quand on y croit assez, rien n’est impossible !
Mais rien n’a pourtant été facile. Il y avait des dépenses –et il y en a toujours-, qui m’ont également poussée à travailler à côté en tant que baby-sitter ou mascotte. Mais croyez-moi, le jeu en valait la chandelle. C’était une évidence, et si c’est aussi le cas pour vous, alors il existe plein de solutions pour pouvoir se lancer sans avoir trop voire pas du tout d’économies.
Ce sera un parcours plus difficile, mais à nouveau, pas impossible !
Les dépenses inévitables lors de la création d’entreprise
- Selon le statut juridique de l’entreprise que vous vous apprêtez à monter, il y a parfois des frais qui peuvent s’appliquer. C’est le cas notamment pour les entreprises SAS et SARL. Seul le statut de micro-entreprise ne nécessite aucun frais.
- Le matériel selon l’activité que vous choisissez d’exercer.
- La communication, car il faut bien attirer et informer les clients de ce que vous vendez.
- Au besoin d’un local, il y aura également des frais qui seront engagés. Et parfois même, des frais réguliers (loyer… etc.).
- La fiscalité : certaines entreprises, selon leur statut, doivent payer des impôts même lorsque leur entreprise ne fait pas encore de bénéfices.
Vous l’aurez compris, les frais de création peuvent rapidement s’accumuler et faire couler la barque d’économies. Il est donc important de voir ce qui peut être fait dans un second temps, et surtout, de prévoir les besoins que vous aurez pour votre entreprise, au moins durant les deux premières années. Ainsi, vous pourrez mieux vous organiser et surtout « voir venir ».
Avoir quelques moyens, mais pas une fortune
Si créer son entreprise avec zéro euro peut ressembler à une montagne difficile à gravir, il est possible d’avancer pas à pas. Notamment dans le cas où vous auriez quelques euros, même si ceux-ci sont une partie de votre salaire actuel. Encore une fois, prévoir sera de mise, y compris si vous décidez de tout risquer. Il est donc possible de pouvoir « investir » petit à petit dans son entreprise, et payer les frais de création sans se mettre dans une galère sans nom.
De plus, il existe de nombreuses aides et petites astuces qui peuvent aider à vous lancer, si vous ne possédez aucune économie. Parmi elles :
- Profiter des aides que l’Etat propose: parmi elles, il y a notamment l’ACRE ou l’ARE. De plus, il existe aussi des aides sociales ou/ et fiscales qui permettent d’alléger les coûts de votre entreprise, au moins la première année. Enfin, il existe aussi certains prêts publics qui sont accordés, et représentent un beau pécule pour débuter un projet d’auto-entreprise.
- Le financement participatif: si de plus en plus de personnes ont recours à ce moyen, c’est car il est une aide non négligeable. Le crowdfunding, c’est expliquer son projet sur une plateforme adaptée, et donner l’occasion aux gens de vous soutenir financièrement. Outre le fait d’alléger les coûts et frais d’entreprise, il est également possible de faire appel au crowdfunding lors des différentes étapes de développement d’entreprise. Contrairement aux aides au-dessus, le crowdfunding est accessible à n’importe quelle étape de l’aventure d’auto-entrepreneur !
- Utiliser son compte de formation : au-delà des financements, il est également possible de se former gratuitement ou à moindre coût une fois l’entreprise lancée. En effet, et surtout si vous avez bénéficié d’un travail salarial avant de vous lancer, vous pouvez profiter des avantages d’un compte de formation, et vous tourner vers des formations gratuites ou plus accessibles.
Il existe donc différentes possibilités qui permettent de ne pas devoir investir des milles et des cents lors de la création de son entreprise, ou du développement de celle-ci, dans un second temps. Évidement, il existe aussi d’autres solutions comme le fait de demander à des proches qui sont prêts à vous soutenir, de vous aider – savoir demander de l’aide est important et nullement un acte de faiblesse, bien au contraire !
Et si comme moi, vous vous lancez sans avoir d’économies, il est également possible de prendre quelques petits jobs en parallèle, qui permettront de vivre et de commencer plus sereinement. Quelle que soit l’activité dans laquelle vous souhaitez vous lancer, il est important de vous sentir prêt-e. Et souvenez-vous, malgré les obstacles et les difficultés, que c’est pour un avenir meilleur.
A cœur vaillant, rien d’impossible !
Manque de sommeil, angoisse de vous lancer ? Je m’appelle Charlotte Vallet, suis hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, et vous propose aussi des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique, ou le drainage du visage. En plus, il est possible de consulter pour une séance d’hypnose selon vos besoins. Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Enfin, j’organise des retraites bien-être qui permettent de prendre du temps pour soi, et de se découvrir davantage. Cela peut s’avérer d’une grande aide pour les femmes qui hésitent encore, ou que le doute étreint parfois trop fort. Retrouvez-vous, offrez-vous du temps et les moyens de vous connecter à votre moi profond. -

Le polyamour : et si c’était ça, la réelle fidélité de l’âme ?
Qui n’a jamais laissé un bout de soi dans une relation ? Pourtant, il existe des personnes capables d’aimer fort et de façon pure qui parviennent à ne jamais s’oublier. Est-ce qu’un modèle de couple non-exclusif, comme le polyamour, pourrait permettre de se rester fidèle même en évoluant ? Mais qu’est-ce que le polyamour, exactement ? Et comment ça fonctionne ? Quels en sont les avantages et les inconvénients ? Et qu’en est-il du rapport à soi lorsque les partenaires sont multiples ? Cap sur une nouvelle forme d’amour : le polyamour.
Polyamour : qui es-tu exactement ?
Formé à partir de deux radicaux, « poly » en grec, et « amore », en latin, le polyamour peut se traduire par « plusieurs amours ». Il s’agit donc d’entretenir une relation avec plusieurs personnes différentes, dans le consentement de chacun. Chacun des partis de la relation peut alors avoir un ou plusieurs autres partenaires de vie.
Basé sur une transparence absolue, le polyamour est une façon d’envisager les relations de façon peu traditionnelle. Pourtant, les premières apparitions du polyamour remontent au XVIIe siècle, par le philosophe socialiste utopiste Charles Fourier, dans son livre Le Nouveau Monde Amoureux. Il y expose les premières bases théoriques de ce qu’il nommera tendrement « l’amour multiple ».
Il faut cependant attendre les années 1990 pour voir éclore le terme de « polyamour » au sens qu’on lui connaît aujourd’hui.
Polyamour : des règles et des contraintes ?
Comme pour toute relation, il y a des « bases » à poser. Parmi elles, notamment, l’importance de la confiance et de l’honnêteté. Les amours multiples sont souvent à l’origine d’un amalgame entre le libertinage et l’infidélité : mais il n’en est rien. Les amours ne se remplacent pas les unes les autres, bien au contraire. Elles se complètent.
Dans une relation polyamoureuse, il n’y a pas de secrets. C’est une notion primordiale afin de veiller au bien-être de chacune des parties concernées. De même, on retrouve une certaine ressemblance avec une relation plus traditionnelle et exclusive : les notions de respect et de confiance sont évidemment inébranlables. Plus encore pour les relations polyamoureuses, puisqu’il s’agit alors du bien-être des partenaires et du bon fonctionnement des relations. Car l’objectif, outre l’échange et la tendresse, c’est aussi de pouvoir s’épanouir !
Et la fidélité, dans tout ça ?
Souvent confondu avec le libertinage, le polyamour pose cependant la question de la fidélité. Comment est-ce que cela fonctionne si les partenaires sont multiples ? Eh bien, il s’agit en réalité d’une nouvelle forme de fidélité. Si elle ne s’exprime plus à travers la fidélité sexuelle, elle est cependant présente dans d’autres aspects de la relation.
C’est notamment le cas pour la sincérité dont font preuve chacune des personnes concernées envers les autres partenaires. Cela passe à travers l’attention portée au bien-être de chacun, la communication (toujours), le consentement, le fait de se protéger avec d’autres partenaires… etc. La fidélité a donc diverses formes qui ne s’expriment pas forcément de la même façon dans une relation exclusive et polyamoureuse.
Comment vivre le polyamour ?
Si les raisons de se tourner vers le polyamour peuvent être multiples et personnelles, il est surtout du devoir de chacun de se montrer honnête envers soi-même. Et certaines personnes ne sont simplement faites pour les relations exclusives ! Chaque relation étant unique, il est parfois difficile de trouver tout ce dont on a besoin dans une seule relation. Le polyamour permet une certaine diversité et un équilibre grâce aux différentes relations entretenues.
L’idée de quitter le couple exclusif peut parfois être effrayante. Pourtant, le polyamour, bien qu’il porte lui aussi quelques bases importantes, semble tout de même être un pas de plus vers une forme de liberté. Car la liberté individuelle est souvent renforcée par le groupe.
La jalousie et le sentiment de possessivité disparaissent. Ils s’estompent au profit d’une réjouissance pour le bonheur de l’autre, même si l’on n’en est pas responsable. Les partenaires sont multiples, et les joies aussi. Cela demande évidemment un travail sur soi important, et surtout, de dépasser ce que le couple exclusif admet aisément (jalousie, possessivité, comparaison…etc.). Dans le polyamour, il s’agit surtout de multiplier les plaisirs de la vie avec des partenaires différents et uniques !
Le polyamour, ou écouter ses désirs et son cœur
Alors qu’en est-il dans le rapport à soi ? Lao Tse expliquait que « les femmes recherchent d’abord la fidélité, et en second la diversité. Les hommes recherchent d’abord la diversité, et en second la fidélité. » (Chine, environ 600 avant notre ère). Aujourd’hui, les femmes se sont majoritairement émancipées du modèle de couple exclusif. S’il a jadis été la seule fin importante et reconnue par la société patriarcale, ce modèle commence à s’estomper au profit du bonheur quelle que soit sa source. Désormais, les relations peuvent être exclusives, polyamoureuses, éphémères ou durer dans le temps. Tout existe, puisque chaque humain est unique !
Dans le rapport à soi, le polyamour a une importance notable. En effet, dans une relation exclusive, un certain confort est mis en avant (l’autre est un soutien, un compagnon de route, un objet de désir…), mais dans les relations polyamoureuses, ce que représente le partenaire est multiplié. Attention toutefois, chaque relation est différente : avec un partenaire, il y aura plus d’écoute et d’échange, un autre apportera de l’humour et du dynamisme, un autre encore pourra être la source importante de désirs… chaque lien entretenu est différent des autres. Les passions partagées sont plus nombreuses également, et d’une certaine façon, chacun se nourrit et grandit avec différentes relations.
Il y a donc, dans le polyamour, une certaine recherche d’harmonie qui est présente, un besoin de nourrir son « moi » intérieur de diverses façons. Parce qu’après tout, n’apprend-on pas toujours des autres ? Le polyamour peut donc s’apparenter à un chemin intéressant concernant la fidélité à soi-même. Et pour cause, en multipliant les échanges, il n’y a plus une seule source d’apprentissage, d’échange et de plaisir, mais plusieurs. Et à l’origine de toute évolution personnelle, il y a des expériences. Les multiplier peut permettre, ainsi, de mieux trouver son propre soi, et tendre vers l’épanouissement, qui se multiplie également. Il n’y a plus une seule source de bonheur, mais de nombreuses. Et un cercle vertueux s’entame alors.
Pour résumer, il y a donc dans les relations polyamoureuses des notions similaires au couple exclusif, et d’autres, nouvelles et adaptables selon les besoins de chacun, qui s’appliquent. Si le couple exclusif contraint parfois à des concessions et des compromis, le couple polyamoureux porte également ses contraintes, bien qu’elles renvoient directement à un travail sur soi.
La relation polyamoureuse permet de nombreux avantages, comme le sentiment de liberté, la notion de séduction et le fait de savoir qu’il est possible de séduire, ou encore des échanges enrichissants car multiples. Dans le rapport à soi, cela peut permettre d’être plus apte à évoluer, à grandir, et surtout, à apprendre des autres pour toujours mieux se connaître soi-même.
Et comme dans toute relation, il est important de prendre soin de soi et de s’aimer soi-même avant de pouvoir aimer autrui. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique et le drainage du visage. Si vous souhaitez un rendez-vous, vous pouvez vous rendre sur Doctolib. De même, il est possible d’en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Que vous soyez donc adepte ou non des relations polyamoureuses, la fidélité de l’âme passe toujours par le temps que vous vous accordez. Je propose d’ailleurs des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à son moi profond et de prendre le temps de se découvrir en profondeur. Pour une reconnexion à soi puissante et holistique dans un cadre calme et paisible.
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L’impact d’un mauvais sommeil sur le corps et l’esprit
Alors que la ville prend vie le matin ou que le coq chantonne au petit jour, vous ouvrez les yeux… et vous êtes fatigués. Pourtant, la certitude d’avoir dormi vous étreint. C’est donc le signe que le sommeil n’était pas d’une bonne qualité, et malheureusement, il n’y a pas qu’une sensation désagréable qui peut en résulter. La journée va être longue… mais c’est surtout le corps et l’esprit qui absorbent les plus grandes conséquences d’un mauvais sommeil !
Les causes d’un mauvais sommeil
Les troubles du sommeil existent aujourd’hui plus que jamais. Dans un monde qui va –et vit- à cent à l’heure, il est parfois difficile de parvenir à mettre son cerveau en veille, et surtout, de comprendre les limites du corps. L’être humain prend l’habitude de forcer, de se surpasser, mais cela a des conséquences sur sa santé et son bien-être. Depuis quelques années, les études se succèdent et les preuves s’accumulent : qui n’a jamais souffert d’une seule insomnie ?
Endormissement retardé, insomnies chroniques ou ponctuelles, et éveils nocturnes sont un fléau et un quotidien pour beaucoup. Les causes sont souvent multiples et le résultat d’une accumulation de « petits rien » qui pourtant empêchent le repos réparateur dont le corps et l’esprit ont besoin. Parmi les causes qui troublent le sommeil, l’on retrouve :
Apnée du sommeil : trouble du sommeil invisible, elle cause pourtant de nombreuses conséquences. Si le cerveau ne parvient pas à donner aux muscles respiratoires l’ordre de fonctionner, si les poumons ne parviennent pas à absorber la quantité d’air suffisante pour respirer ou si cette absorption est interrompue, il s’agit d’apnée du sommeil.
La maladie de Willis-Ekbom : cette maladie concerne les personnes âgées de 25 à 45 ans. Rare, elle passe parfois pour de l’impatience auprès de l’entourage. Aussi appelée syndrome des jambes sans repos, cette maladie créé une sensation de picotement ou de brûlures dans les jambes de la personne, sensation qui ne peut être soulagée qu’à travers la marche. Cette maladie a de nos jours des traitements, et peut être passagère comme dans le cas d’une grossesse, une carence en vitamine B9 ou en fer. Si elle s’installe plus longuement, elle perturbe le sommeil avec des réveils intempestifs.
Les irrégularités du rythme circadien : le rythme circadien peut se traduire par l’horloge interne dont tous les êtres humains disposent. Il comprend notamment les cycles du sommeil. Un dérèglement du cycle circadien entraînera ainsi un mauvais sommeil (non réparateur), un état de fatigue et des insomnies fréquentes.
La narcolepsie : la narcolepsie est également une des causes d’un mauvais sommeil, bien qu’elle soit à un tout autre niveau puisque reconnue comme pathologie. La personne atteinte de narcolepsie souffre alors d’un cycle du sommeil bouleversé, puisqu’elle aura tendance à somnoler de manière excessive durant la journée, souffrir de paralysie du sommeil ou d’hallucinations lorsque le sommeil est dit « léger » (endormissement et réveil). Pour soigner la narcolepsie, il faut un traitement médicamenteux.
Les conséquences d’un mauvais sommeil
Si les causes d’un mauvais sommeil peuvent être multiples et variées, les conséquences d’un mauvais sommeil le sont tout autant. À long ou court terme, des effets se font alors ressentir sur le corps, l’esprit et l’humeur générale de l’individu.
Sur le corps :
Une prise de poids est observée : lorsque le cerveau manque de sommeil, il a tendance à activer des mécanismes dits « primaires ». L’activité du lobe frontal est réduite, et l’activité dans le centre de récompenses s’active au contraire plus facilement. Autrement dit, la personne aura tendance à se diriger vers des mécanismes simples, qui nécessitent le minimum d’efforts et un plaisir rapide. C’est le cas dans l’alimentation, et la consommation de nourriture grasse, sucrée ou salée est favorisée à une alimentation saine.
Des maladies cardio-vasculaires : l’une des causes du manque de sommeil peut par exemple mener à ces maladies. Il s’agit de l’apnée du sommeil. Elle peut engendrer de la somnolence durant la journée, la sensation d’étouffer pendant la nuit et des réveils en sursaut. À long terme, c’est prendre le risque de souffrir de soucis cardio-vasculaires.
Outre l’apnée du sommeil, cela s’explique aussi si un manque de sommeil se prolonge dans le temps. Les risques se multiplient et la manque de sommeil modifie le taux d’hormones ou de molécules dans le corps.
Bon à savoir : à contrario, le fait de dormir plus de neuf heures par jour (soit durant un cycle de 24 heures) peut également être le signe d’une maladie cardio-vasculaire ou psychologique (dépression).
Autres risques dus à un mauvais sommeil : hypertension artérielle, cholestérol, diabète, ou encore l’obésité.
Sur l’esprit :
Le vieillissement du cerveau : lorsque le vieillissement est évoqué, il ne s’agit pas d’un vieillissement physique. Cela fait surtout référence à l’esprit qui a tendance à fatiguer plus vite, présenter des incertitudes de mémoire ou des problèmes d’attention et de réactivité. Cela résulte d’un très mauvais sommeil, ou alors d’un travail de nuit exercé durant plusieurs années consécutives. Ce phénomène s’explique par le fait que le cerveau voit son cycle circadien bouleversé, et ne bénéficie plus –ou beaucoup moins- de la lumière naturelle. C’est tout un mode de vie. Mais le vieillissement de l’esprit est réversible !
Des risques de dépression augmentés : lorsque le sommeil est mauvais ou perturbé, il arrive que la dépression ressurgisse ou s’accentue. Les cerveau ne fait jamais de « pause » et continue, au contraire, d’altérer l’humeur et de renforcer les troubles liés à la dépression et ses causes.
Troubles de l’anxiété et angoisse : des horaires de sommeil irréguliers accentuent également les troubles de l’anxiété et les angoisses. Si le corps ne se repose pas bien, le cerveau, lui, continue de fonctionner et d’alimenter ainsi les sources de ces troubles.
Des facultés cognitives diminuées : un mauvais sommeil ou des troubles du sommeil ont cela en commun avec la maladie d’Alzheimer, qu’ils sont tous deux associés à des facultés cognitives altérées. Selon une étude réalisée par des chercheurs d’Oxford à propos de la maladie d’Alzheimer, il a été trouvé que les personnes qui dormaient moins de quatre heures par nuit avaient tendance à voir leurs facultés cognitives diminuées. Mais les personnes qui dormaient plus de huit heures par nuit constataient également cette diminution. Les chercheurs se sont alors penchés sur la qualité du sommeil, et non plus seulement sa quantité.
Une étude intéressante qui renvoie aux besoins de chaque personnes selon son mode de vie.
Sur l’humeur :
Des émotions « mauvaises » : parmi elles on compte l’irritabilité qui se manifeste plus rapidement, peu de patience ou au contraire un temps de réaction allongé. Selon le sommeil et les troubles dont souffre la personne, l’humeur ne sera pas modifiée de la même façon.
Des pics de fatigue : manquer de sommeil, c’est aussi se sentir bien pendant un instant, et épuisé l’instant suivant. Les taux d’hormones sont modifiés et cela a un impact direct sur les humeurs et les émotions, mais également sur nos réactions face aux différentes nouvelles de la journée. Si parfois, ces changements sont minimes, pour certaines personnes, ils peuvent constituer un véritable fléau.
Retrouver une bonne hygiène de sommeil
Ce qu’il faut donc privilégier afin d’avoir une bonne hygiène de sommeil, c’est :
La qualité prime sur la quantité : quelques heures peuvent parfois être plus réparatrices qu’une nuit complète ;
Dormir entre sept et neuf heures par nuit suffit pour un adulte ;
Eviter les écrans avant de dormir permet un meilleur endormissement et diminue le risque de sommeil interrompu ;
Une routine de sommeil est privilégiée (lecture, tisane…etc.) ;
Séances de méditation en cas de stress élevé ;
Et tout ce qui pourra vous sembler pertinent et fonctionner pour vous !
Sachez aussi que si jamais, les problèmes de sommeil persistent, il est tout à fait possible de vous tourner vers d’autres soins. L’hypnose permet par exemple de réguler le sommeil, et de guérir ce qui le trouble bien souvent. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, c’est l’un des soins que je propose au public. De même, les effets d’un manque de sommeil se font souvent ressentir sur le corps. Un drainage lymphatique ou un drainage du visage peuvent alors en effacer les marques. Ce sont aussi des soins thérapeutiques du corps que je propose.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.Enfin, il est possible d’en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Je propose également des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à soi dans un cadre au plus porche de la nature. Dans le partage et la bienveillance, apprenez à vous connaître ! -

La clé pour réussir à aimer les autres, s’aimer soi-même
Avoir une bonne estime de soi, être bien dans sa peau… sont des expressions que l’on connaît tous. Seulement, concrètement s’aimer soi-même, ça signifie quoi ?
D’avoir conscience de sa propre valeur
Tout le monde est différent, c’est certain !
S’aimer, c’est rester dans toutes les situations de la vie en phase avec qui on est. C’est savoir prendre une décision en suivant son propre jugement. C’est croire en qui on est et ce que l’on fait. Pour cela, on oublie toutes les formulations péjoratives quand vous parlez de vous, votre métier, vos connaissances, etc.
Se faire confiance
Cela parait facile mais c’est loin de l’être…
Car, vous êtes la seule personne qui est en mesure de croire en vos capacités, sensations et émotions. Pour les connaître, il faut apprendre à écouter votre corps et votre langage.
Parler de vous-même avec amour et bienveillance
Plus simple à dire qu’à faire…
Se dénigrer, se rabaisser et se minimiser sont à proscrire pour enfin s’accepter à sa juste valeur. Votre vie n’est pas insignifiante. Elle ne mérite pas d’être invisible. Criez haut et fort qui vous êtes et ce que vous défendez.
S’aimer passe par la reconnaissance, la confiance et l’estime de soi. Et maintenant, il n’y a plus qu’à mettre en pratique pour finalement réussir à accepter la seule, l’unique et la seule personne que vous devez le plus aimer, vous.
