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Catégorie : Émotion
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Important : arrête de donner sans retour !
Vous donnez tout dans vos relations, mais ne recevez rien en retour ? Il est temps et même important d’arrêter de donner sans retour et de reprendre votre pouvoir émotionnel. Découvrez pourquoi ces dynamiques déséquilibrées épuisent votre énergie et comment fixer des limites pour cultiver des relations qui vous nourrissent vraiment.
Arrêter de donner du temps à des gens qui n’en donnent pas : surtout aux hommes
Nous avons toutes été là : investir du temps, de l’énergie, de la passion dans une relation qui, au final, ne nous nourrit pas, mais nous épuise. Plus jeune, j’ai moi-même succombé à ce piège. Donner sans retour. Perte d’énergie garantie. Pourquoi ? Parce qu’une grande majorité des femmes ont cette tendance à donner sans compter, souvent dans l’espoir de recevoir en retour ce qu’elles ont offert. Mais qu’en est-il quand l’autre ne répond pas à cette attente, ou pire, quand l’autre ne le fait même pas de façon équivalente ?
Pourquoi les femmes ont tendance à donner sans retour du temps aux hommes qui ne le méritent pas
Le problème, c’est que beaucoup de femmes ont été conditionnées à penser qu’elles doivent prouver leur amour ou leur valeur en donnant sans compter. Le manque d’équilibre dans la relation devient alors une norme, et au fil du temps, cela épuise la personne qui donne. On a toutes, ou presque, été cette femme qui attend un message, un appel, un geste… Mais qui se retrouve à chaque fois déçue, frustrée, parfois même blessée par le manque d’effort de l’autre.
L’illusion est souvent la suivante : « Plus je donne, plus il me verra. » Mais ce raisonnement est faussé. On finit par donner sans retour. En réalité, ce n’est pas l’amour que l’on donne qui attire l’autre, mais l’amour que l’on se porte à soi-même. Donner sans retour, c’est sacrifier son énergie, sa valeur, et son estime de soi.
Les conséquences : épuisement, perte de soi et manque d’authenticité
Se retrouver dans une relation où les efforts ne sont pas réciproques mène à une perte de soi. Il y a des femmes qui donnent des mois, des années à des hommes qui ne sont pas prêts à investir de la même manière. Ce genre de relation grignote petit à petit notre énergie, nous rend dépendantes, et souvent, nous nous perdons dans le processus.
Cela crée un déséquilibre qui, loin d’être une preuve d’amour, est une preuve de manque d’amour propre. Et cette perte d’énergie n’est pas juste physique. C’est une perte émotionnelle et mentale qui peut créer une insécurité profonde et une perte de confiance en soi.
Reconnaître la différence entre donner et se sacrifier
Quand on donne dans une relation, c’est parce qu’on a envie de le faire, parce qu’on est enrichi par cet échange. Mais le sacrifice ? Ce n’est jamais pour la bonne raison. Donner à l’autre sans retour ne fait pas qu’affaiblir la relation, cela nous enlève notre énergie vitale, et finit par nourrir un égoïsme déguisé, à savoir celui de l’homme qui profite de cet investissement sans rien offrir en retour.
Le mythe de la “Relation Parfaite” : pourquoi ça ne marche pas
On m’a souvent dit que l’amour parfait était celui où tu donnes tout sans compter, où l’autre te répond avec la même intensité. Mais ça, c’est une utopie. Ce modèle d’amour idéal est souvent imposé par des normes sociales ou des attentes irréalistes. La véritable relation équilibrée est celle dans laquelle chaque partenaire investit de manière réciproque, avec respect et authenticité.
La vérité ? Un homme qui ne sait pas te donner du temps, de l’attention ou de l’effort n’est pas quelqu’un qui te mérite. Tu n’as pas à te sacrifier pour mériter son amour. Il n’y a rien de plus toxique que de rester dans une relation qui te pompe ton énergie sans retour.
Comment s’en sortir ? La clé : savoir reprendre son pouvoir
La première étape pour sortir de cette dynamique, c’est d’arrêter de se sacrifier. Prendre le temps de se reconnecter à soi-même et comprendre que l’amour n’est pas une course à l’approbation, mais un échange libre et authentique. Il n’y a pas de mérite à aimer quelqu’un qui ne nous aime pas de la même manière.
Si tu te sens piégée par cette dynamique, voici quelques astuces pour reprendre ton pouvoir :
- Affronte ta propre peur de la solitude : Beaucoup de femmes restent dans des relations qui ne les nourrissent pas parce qu’elles ont peur de la solitude. Mais la solitude n’est pas une ennemie, c’est un espace de reconnexion à soi, un terrain fertile pour grandir.
- Fixe des limites claires : Ne donne pas ton temps à ceux qui ne l’apprécient pas. Si tu ne vois pas d’efforts réciproques, arrête de donner sans retour. Respecte-toi davantage.
- Apprends à t’aimer toi-même d’abord : L’amour propre, c’est se donner ce que l’on attend des autres. Quand tu apprends à te respecter et à t’aimer profondément, tu attires des relations saines et équilibrées, sans avoir à te sacrifier.
- Prends du recul et observe la relation avec objectivité : Est-ce que cet homme investit dans la relation comme toi ? Si la réponse est non, il est temps de faire des choix différents.
Et si c’était le moment de reprendre le contrôle de ta vie ?
Si tu te reconnais dans cette situation et que tu te sens prête à reprendre ton énergie et ton pouvoir personnel, je suis là pour t’aider à faire ce pas important. Ne laisse plus personne puiser dans ton énergie sans retour. Reconnecte-toi à ton pouvoir intérieur et apprends à établir des relations qui te nourrissent réellement.
Tu as le droit de t’aimer profondément et de ne plus accepter d’être dans une relation où tu donnes sans recevoir. C’est précisément ce que nous allons travailler ensemble, dans mes coachings, pour t’aider à reprendre ta place, à respecter tes limites et à créer des relations saines et équilibrées.
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Absolument croire que l’on s’aime pour que les autres nous valident, c’est se mentir à soi-même
Arrête absolument de chercher dans le regard des autres ce qui doit venir de toi. L’approbation extérieure n’est qu’un mirage, une illusion qui t’enferme dans une quête sans fin. Se libérer, c’est choisir de s’aimer sans conditions, sans validation, et sans compromis. Dans cet article, découvre pourquoi l’amour de soi est un acte radical, une révolution intérieure, et comment sortir du piège de la dépendance émotionnelle (croire que l’on s’aime) pour enfin reprendre ton pouvoir.
Arrête de te mentir. Croire que tu t’aimes parce que les autres t’approuvent n’est rien d’autre qu’une illusion de confort. C’est une quête d’approbation déguisée en quête de soi. Et c’est du bullshit. C’est un mirage qui te fait croire que l’amour de soi, c’est ce que l’extérieur te donne. Mais c’est faux. L’amour de soi n’est pas une marchandise à échanger contre un peu de validation extérieure. Si tu t’accroches à ça, tu restes coincé(e) dans une dépendance qui t’empêche de respirer.
L’amour de soi, ce n’est pas ce que les autres pensent de toi. Ce n’est pas une transaction. C’est un acte de souveraineté. Ce n’est pas “si tu m’aimes, alors je peux m’aimer.” C’est l’inverse. C’est “je m’aime, et peu importe ce que les autres en pensent.” Si tu t’es déjà laissé(e) enfermer dans cette quête d’approbation, tu sais exactement ce que ça fait. Croire que l’on s’aime, c’est épuisant. Et à la fin, tu n’es plus toi-même. T’as juste perdu le contrôle. Parce que la seule personne qui puisse valider ta valeur, c’est toi.
La validation extérieure : une prison qui ne fait qu’enfermer
Le problème avec cette quête de validation, c’est que tu te vois à travers les yeux des autres. Tu cherches à exister par leur regard, tu as besoin qu’ils te donnent une place dans leur monde, que leur approbation te dise que tu es bien, que tu es suffisant(e). Mais tu sais quoi ? C’est la pire des erreurs.
Tu sais ce qui arrive quand tu fais ça ? Tu deviens l’esclave de l’opinion publique. Tu t’enfermes dans une cage dorée. Et au lieu de t’aimer pour ce que tu es, tu commences à t’aimer pour ce qu’ils pensent de toi. Tu donnes ton pouvoir à des gens qui, la plupart du temps, ne se préoccupent même pas de toi. Leur regard est fuyant, incertain, et au final, insatisfaisant.
Ce n’est pas ça, l’amour de soi. L’amour de soi, c’est un choix radical. C’est choisir d’être toi, sans attendre que les autres te donnent leur aval. Si tu t’attends à ce que l’extérieur te valide pour te sentir bien, tu vis une vie de mensonge.
Le mythe de la validation : l’approbation des autres n’est pas ton métier
L’amour de soi ne devrait jamais être une quête pour plaire. Si tu cherches constamment à être vu(e), apprécié(e), validé(e) par les autres, tu es pris(e) dans un piège. C’est une spirale sans fin où tu finis par perdre tout contrôle. Tu cherches à obtenir l’amour là où il n’existe pas.
À chaque fois que tu attends que les autres te valident, tu délègues ton bonheur. Mais voilà, le bonheur, ça ne se délègue pas. Il doit venir de toi. L’amour de soi, ce n’est pas attendre qu’un autre te dise que tu es suffisant(e). C’est dire “je suis suffisant(e), même sans que tu me le dises.” L’amour de soi, c’est se donner la permission de ne pas dépendre de l’approbation des autres pour exister. Parce que, spoiler alert, l’autre ne peut pas te donner ce que tu n’as pas appris à te donner à toi-même.
La révolution de l’amour de soi, du “croire que l’on s’aime” : une liberté radicale
Se donner la permission de s’aimer sans conditions n’est pas un acte de soumission, c’est un acte de libération totale. C’est rompre les chaînes de l’influence extérieure, de l’approbation des autres. C’est une révolte. Une révolte contre la dépendance. Une révolte contre l’idée que pour être aimé(e), il faut être validé(e) par l’autre.
Le véritable amour de soi, ce n’est pas un acte d’esclave qui cherche à plaire à tout prix. C’est une déclaration de guerre contre ce qui te fait te sentir insuffisant(e). C’est te dire à toi-même que tu es suffisant(e), même sans le monde entier derrière toi.
Et si t’attends encore que les autres te valident…
Si tu es encore là, à attendre qu’on te dise que tu es digne, que tu es beau/belle, que tu es assez, tu te condamnes à vivre à moitié. Tu ne peux pas remplir le vide en toi avec les compliments des autres. Tu dois te remplir toi-même. Tu dois apprendre à te regarder et à te dire : “Je m’aime, peu importe si tu m’aimes ou pas.”
Comment rompre ce cycle de validation ?
- Prends conscience de ta dépendance à l’approbation. C’est le premier pas pour te libérer. Regarde dans quel domaine tu attends l’approbation des autres. Note-le. Et fais-en un point de rupture.
- Commence à t’accepter tel(le) que tu es. Arrête de chercher à changer ou à plaire pour mériter de l’amour. L’amour de soi, c’est accepter que tu sois imparfait(e), et ne pas chercher à le cacher.
- Ne te compare pas. À force de te comparer aux autres, tu oublies ce qui fait de toi une personne unique. Si tu veux grandir, arrête de mesurer ta valeur en fonction des autres. La seule personne qui peut te dire si tu es assez, c’est toi.
- Fais des choix qui nourrissent ton âme. Choisis de t’entourer de personnes qui te voient et t’acceptent pour ce que tu es, pas pour ce qu’elles aimeraient que tu sois.
- Fixe des limites. Si quelqu’un ou quelque chose te pousse à douter de toi, coupe les ponts. Ton amour de toi est plus important que n’importe quelle opinion extérieure.
Tu es prêt(e) à passer à l’étape suivante ?
Si tu veux vraiment te libérer de cette quête incessante de validation et t’aimer profondément, je suis là pour t’accompagner. Dans mes coachings personnalisés, je t’aide à retrouver ta souveraineté intérieure et à construire une vie qui te ressemble, sans attentes externes. Fini de faire croire que l’on s’aime, il est temps de le faire pour de vrai ! C’est le moment de briser les chaînes et de commencer à vivre pour toi, pas pour les autres.
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L’EMDR pour vaincre ses phobies
Il y a des épreuves, des événements dans la vie qui laissent une marque profonde en soi. À défaut d’être physique, cette marque percute l’inconscient et s’y loge pour une durée indéterminée. Si parfois, il est possible d’en faire fi, certaines situations peuvent néanmoins réveiller la peur liée à l’événement et transformer cette marque en phobie.
Toutefois, il est possible de vaincre sa ou ses phobie(s). C’est un travail qu’il est important de faire en plusieurs fois afin que la thérapie agisse. Si l’hypnose est reconnue pour son traitement des phobies, il est également possible de faire appel à une thérapie EMDR.
Qu’est-ce qu’une phobie exactement ?
La phobie est définie, selon Le Robert, comme une « peur morbide, [une] angoisse éprouvée devant certains objets, actes, situations ou idées (exemple : agoraphobie…) ». Plus généralement, elle se caractérise par une peur, une aversion qui sont instinctives.
Autrement dit, la phobie est un prolongement de la peur. En effet, la peur se surmonte, s’affronte avec de la volonté. La phobie, quant à elle, se vit à travers tout le corps, est souvent irrationnelle et nous paraît insurmontable.
Parfois, la phobie peut même se révéler douloureuse selon les symptômes qu’elle déclenche :
- Angoisse ;
- Accélération de la respiration ;
- Difficultés à respirer/ sensation d’étouffer ;
- Tremblements ;
- Frissons ;
- Douleurs au niveau du ventre/ du thorax ;
- Nausées, etc.
Ainsi, une phobie est une marque laissée dans notre esprit, qui est parfois présente depuis notre enfance (arachnophobie), ou qui se manifeste suite à une mauvaise expérience (claustrophobie).
La naissance d’une phobie
Contrairement à la peur, qui flirte parfois avec l’irrationnel, la phobie en défie toutes les lois. En effet, la phobie naît aussi bien d’une mauvaise expérience vécue que fantasmée. Toutefois, il existe une multitude d’éléments à prendre en compte et qui peuvent être à l’origine de la phobie.
- Aspect psychologique caractéristique d’un individu (timidité qui devient de l’agoraphobie) ;
- Vulnérabilité biologique familiale ;
- L’environnement dans lequel l’individu évolue ;
- Une mauvaise expérience vécue ;
- Une mauvaise situation imaginée ou rêvée qui renforce une peur.
Ainsi, une phobie ne se manifeste pas du jour au lendemain. Le plus souvent, elle surgit comme une peur, puis elle se renforce à travers de petits éléments du quotidien, jusqu’à devenir une phobie. Une marque qui paraît indélébile et insurmontable.
Cependant, il existe de nombreuses solutions pour vaincre la phobie, et une séance d’EMDR est l’une d’entre elles !
L’EMDR : une thérapie efficace
L’EMDR peut se traduire par Eye Movement Desensibilisation and Reprocessing, soit la désensibilisation et le retraitement via les mouvements oculaires. Cette thérapie est une forme de psychothérapie qui passe par l’intégration neuro-émotionnelle à travers les mouvements oculaires. L’EMDR présente de nombreux bienfaits.
La thérapie EMDR intervient sur les phobies lorsqu’il existe un lien entre traumatisme et peur. En effet, le traitement de la phobie par l’EMDR va réveiller de nombreuses émotions. L’EMDR permet de traiter ces émotions et de les distinguer progressivement du traumatisme afin que celui-ci perde de son impact et de sa puissance. Autrement dit, qu’il ne soit plus un handicap ou une source de malheur pour l’individu.
La séance d’EMDR remonte ainsi aux racines de la phobie, à ses causes multiples ou simples, et permet d’atténuer le pouvoir qu’elle avait sur la personne. En parallèle, l’EMDR permet de traiter les émotions, de les « digérer » pour qu’elles ne restent pas dans la partie qui traite de la peur.
Ainsi, la thérapie EMDR permet de vaincre ses phobies, y compris les plus tenaces et les plus pesantes au quotidien.
Les bienfaits de l’EMDR dans le traitement de la phobie
Que la phobie soit commune (peur des araignées, de la foule, des avions, de l’obscurité, des lieux clos…) ou peu répandue (peur des trous, des poupées, des bruits spécifiques ou peur des escaliers), l’EMDR permet de traiter la phobie en profondeur.
Se libérer du passé :
Qu’il y ait eu un stress ou un événement traumatique vécu dans le passé, la première étape dans toute thérapie EMDR est de questionner le passé. Ainsi, il est possible de comprendre où le stress a pris sa source et de quelle manière il continue de se manifester dans le présent. En fouillant le passé inconscient et conscient, la thérapie EMDR va également libérer la personne de l’emprise que celui-ci exerçait sur elle.
Vaincre la phobie :
En reconsolidant la mémoire de l’individu, l’EMDR va modifier le ressenti du souvenir et le séparer du sentiment de peur absolue et irrationnelle. L’événement traumatique sera traité par une partie spécifique du cerveau, tandis que les émotions seront dirigées et digérées ailleurs. Petit à petit, l’événement se distingue des émotions et la phobie rapetisse jusqu’à disparaître.
Reprendre confiance en soi :
Si ce n’est pas son but premier, l’EMDR permet de retrouver confiance en soi indirectement. Et pour cause, en vous délivrant de l’étau de la phobie, vous reprenez le contrôle sur votre quotidien et votre présent. Vous êtes inarrêtable, et la confiance en vous revient peu à peu !
Renforcer les ressources internes :
S’engager dans une thérapie EMDR, c’est avoir la force de reconnaître qu’on a besoin d’un petit coup de pouce pour avancer. Cela demande du courage. La méthode EMDR est une thérapie qui nécessite plusieurs séances, ce qui va demander à la personne de la force, de la détermination, tout en renforçant son apaisement intérieur. Les émotions sont plus sereines après la séance, et vos ressources se renforcent à mesure du temps.
L’EMDR chez Nouvelle
Chez Nouvelle, vous pouvez retrouver des séances d’EMDR délivrées par Charlotte Vallet, créatrice de cet atelier intimiste et chaleureux. Engagée dans la liberté féminine, elle propose divers soins qui permettent aux femmes de s’émanciper et de trouver leur voix.
Retrouvez deux soins d’EMDR : les séances individuelles d’EMDR, et les séances d’EMDR en forfait.Pour aller plus loin…
UN EBOOK :
Si tu es toujours à la recherche du bon boulanger pour avoir le meilleur pain, alors télécharge mon dernier ebook. Il te donnera la liste de +100 praticiens incroyables sur Paris que j’ai pu tester et approuver (chaman / hypnothérapeutes / astrologues / masseurs / énérgeticiens…)
UN PODCAST :
Pour en savoir plus sur l’atelier Nouvelle et sa fondatrice, Charlotte, vous pouvez écouter les parcours inspirants de femmes fortes et indépendantes. Tout est partagé dans le merveilleux podcast Visions Nouvelles.
UN APPEL GRATUIT AVEC CHARLOTTE :
Si vous hésitez encore ou bien que vous ne savez pas si Charlotte pourra vous aider, aucun stress ! Charlotte vous propose un appel gratuit afin de vous découvrir. Si à l’issue de cet appel, vous souhaitez prendre rendez-vous pour l’une de ses prestations, il ne vous reste qu’à réserver !
DES EBOOKS GRATUITS :
Au cours de sa carrière, Charlotte a accompagné de nombreuses femmes vers la liberté et le bien-être. Certaines de ces connaissances se lient à son expérience et elle vous en partage les meilleures clés via des Ebooks gratuits.
PACK 3 EBOOKS – L’art de s’émanciper, ce sont des tips et des astuces qui vous permettent d’amorcer quelques pas vers un bien-être et une liberté que vous envisagez peut-être. Parce que la vie est trop courte pour s’enraciner dans des injonctions qui ne sont pas de votre volonté : prenez votre liberté !
DES RETRAITES BIEN-ÊTRE :
Charlotte Vallet organise une retraite au moins de juin, et une retraite en juillet.
Ces retraites permettent de se sortir du quotidien pour se reconnecter à son MOI profond et effectuer un travail sur soi indépendamment des soucis qui prennent place au quotidien. Ces retraites ont pour objectif de vous amener à un niveau de conscience élevé, à vibrer intérieurement et briller à l’extérieur !
Pour réserver vos places, c’est par ici :
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Rupture amoureuse : l’hypnose comme outil thérapeutique
La rupture amoureuse peut être mutuelle et entendue, déchirante et inexpliquée. Dans un cas comme dans l’autre, s’en remettre nécessite du temps et de la bienveillance envers soi-même. Mais à l’époque où les relations humaines sont consommables comme des produits, à l’heure où l’on (re)jette les personnes comme des choses dont on ne voudrait pas s’embarrasser, il est parfois délicat de se relever. Bien heureusement, les liens humains se font et se défont beaucoup au cours d’une vie, et si certains sont plus douloureux que d’autres lorsqu’ils se défont, il existe de nombreuses méthodes qui aident à se remettre debout.
L’hypnose en fait partie. Car la relation amoureuse est comme un deuil, l’hypnose est une alliée douce qui aide à reprendre confiance en sa personne et en ses sentiments. Alors comment cela fonctionne-t-il ?
L’amour est une addiction
La plupart d’entre nous a déjà fait l’expérience d’une relation amoureuse. Les papillons dans le ventre au début, l’impatience de voir et d’entendre l’autre, l’envie de le comprendre dans son entièreté… Jusqu’au jour où les chemins se séparent. C’est alors un équilibre qui se brise, et qui nécessite du temps pour être reconstruit et adapté.
La rupture amoureuse peut parfois s’avérer douloureuse et déchirante. Source d’addictions qui cachent un déni profond de la situation, voire de dépression qui peut rallonger le cycle de deuil de la relation, une rupture est rarement un moment de plaisir.
Et pour cause, l’amour est une drogue puissante. Il permet de se sentir plus léger, plus confiante car aimée, plus entière parfois lorsqu’on n’est pas alignées. Parce que l’amour est une farandole d’endorphines, de dopamine et de sérotonine, l’amour est une puissante addiction. Et la rupture, comme tout sevrage, peut être très fastidieuse à appréhender ensuite.
Post-rupture : que faire ?
Si certaines personnes se connaissent suffisamment pour pouvoir gérer une rupture amoureuse à leur façon, pour d’autres, c’est tout un monde qui s’écroule et les repères qui s’en retrouvent bouleversés. Après une rupture amoureuse, il est important de se retrouver, de se reconstruire, de créer de nouveaux repères pour pouvoir continuer d’évoluer sur son propre chemin.
Et pour que tout cela soit possible, il est parfois nécessaire de comprendre pour accepter la situation.
Si de plus en plus de personnes se tournent vers des psychothérapies pour effectuer ce travail en étant accompagnées, peu de gens savent que l’hypnose est un réel outil également. Lors d’une rupture amoureuse, l’hypnose peut s’avérer d’une grande aide pour reprendre les rênes de sa vie !
L’hypnose pour accompagner la rupture amoureuse
L’hypnose peut ainsi représenter une aide mais aussi un point de départ qui permet de travailler en profondeur sur les chemins de pensées de l’individu. La rupture amoureuse peut durer dans le temps et vous empêcher, à terme, de reprendre une vie où vous êtes la décisionnaire. Finalement, vous subissez l’état de rupture, ce qui est naturel et fait partie d’une forme de déni. Mais c’est grâce à l’action qu’il sera possible de vous retrouver.
Ainsi, l’hypnose auprès d’un professionnel peut être une réelle aide dans cette situation. En effet, l’hypnose travaille directement sur l’inconscient de la personne, ce qui permet une libération émotionnelle en plus de nouvelles pistes de réflexion.
Attention toutefois, l’hypnose ne soigne pas les cœurs brisés. En revanche, elle présente de nombreux bienfaits qui vous permettent de reprendre confiance en vous et en l’avenir !
Les bienfaits de l’hypnose pour traiter la rupture amoureuse
Parmi les bienfaits que présente l’hypnose dans le cadre d’une rupture amoureuse, il est possible de citer :
La libération des émotions :
En travaillant directement avec l’inconscient, l’hypnose permet de (se) libérer des émotions enfouies. C’est un processus profond qui va directement impacter les émotions et les libérer. De la sorte, c’est vous qui êtes libérée ensuite et pouvez mieux aborder le présent et le futur. Que la rupture soit récente ou non, de nombreuses émotions peuvent demeurer dans l’ombre (culpabilité, incompréhension, colère, tristesse…). S’en libérer est alors nécessaire pour une meilleure acceptation de la situation et, à terme, une meilleure appréhension du futur et du présent.
Se recentrer :
L’hypnose permet également de se recentrer après une rupture amoureuse. En effet, peu importe si on subit ou initie la rupture, le fait est qu’après un tel événement, on a souvent besoin de se recentrer. Et parfois, prendre du temps pour soi ne suffit pas ; il faut faire un voyage plus long et profond. L’hypnose peut alors être une aide pour vous reconnecter à la personne que vous êtes, et (ré)apprendre à vous connaître.
(Re)prise de confiance en soi :
La rupture amoureuse peut également impacter votre estime de soi ou votre confiance en vous. Il est alors primordial de ne pas se laisser sombrer sur cette pente, qui peut être source de dépression ou d’anxiété. L’hypnose peut, là aussi, être un outil pour retrouver confiance en soi. Avec un travail en profondeur, apprenez à (re)prendre confiance à travers la conscience de votre être et de ses capacités !
Les étapes du deuil de la relation :
Comme un deuil, les ruptures amoureuses peuvent être suivies de nombreuses étapes avant que la situation soit plus claire. Ainsi, l’hypnose aide la personne à faire son deuil de la rupture, notamment en l’accompagnant à travers les différentes phases.
Apaisement et relaxation :
Enfin, l’hypnose est également un outil qui travaille sur la relaxation et l’apaisement. La rupture amoureuse peut être brutale, tant physiquement qu’émotionnellement. Grâce à l’hypnose, vous êtes apaisée plus détendue. Un état qui permet également d’y voir plus clair au quotidien et de mieux appréhender la vie de tous les jours.
En quelques mots…
Ainsi, l’hypnose présente de nombreux bienfaits dans le traitement d’une rupture amoureuse. Il est toutefois important de noter qu’elle ne permet pas de réparer un cœur brisé ; seul le temps et vous-même pouvez le faire.
Mais l’hypnose s’avère un réel outil pour permettre de se reconstruire sur des fondations plus solides et durables.
De mon côté, je suis Charlotte Vallet, experte en hypnose, en neurosciences, EMDR et soins énergétiques du corps et du visage. Il est possible de retrouver mes prestations d’hypnose en séance simple ou par forfait.
Pour faire du bien à l’esprit et à la peau en même temps, retrouvez les séances d’hypnose + LED, en séance simple ou par forfait !
J’organise également des séances d’hypnose sur ZOOM, pour guérir de sa rupture amoureuse !
Depuis peu, c’est à Nouvelles, cabinet situé au 87 Bis Avenue de Wagram, 75017 Paris que vous pourrez trouver des séances d’hypnose, des soins pour se recentrer sur soi et s’émanciper des émotions néfastes et limitantes.
N’hésitez pas à prendre rendez-vous, que ce soit par Doctolib ou directement par téléphone au 06.85.45.84.83.
Chez Nouvelles, ce qui m’importe, c’est d’aider toutes les femmes à s’émanciper.
Vous pouvez aussi en découvrir plus sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
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Les différentes étapes pour se remettre d’un deuil
Perdre un proche est souvent inattendu, violent et extrêmement brutal à gérer tant pour le corps que pour l’esprit. Faire son deuil, entamer le processus d’acceptation est souvent compliqué et douloureux. Pourtant, c’est le seul moyen de pouvoir continuer à vivre malgré cette perte irréversible qui fait si mal. Alors quelles sont les différentes étapes du deuil ? Comment continuer à vivre lorsqu’on a l’impression qu’une partie de nous est morte ?
Le deuil : un mot qui effraie ?
Comment définir le deuil ?
Le terme « deuil » possède deux définitions qui se recoupent l’une l’autre. Selon la première définition, le deuil désigne une douleur, une terrible affliction qui est éprouvée lors de la perte d’un proche. La seconde façon de définir le mot deuil est pour faire référence à la mort d’un proche. On peut alors dire : « il a subi plusieurs deuils dans son entourage ».
Bien souvent, il peut effrayer l’entourage de la personne endeuillée, car la plupart des gens sont mal à l’aise avec l’idée de la mort. Ne fait-elle pourtant pas partie de la vie ? Toute chose n’a-t-elle pas un cycle de vie ? Il est important de pouvoir se détacher de la croyance populaire selon laquelle le deuil est forcément triste et morne ; les émotions le sont peut-être, mais il existe autant de façons de vivre son deuil que d’individus sur Terre. Dans certaines cultures, la couleur du deuil est d’ailleurs le blanc, et un esprit plus festif accompagne la cérémonie d’adieu. Tout dépend des cultures et des habitudes de chacun.
Les cinq étapes du deuil et leur utilité :
Au fil du temps, beaucoup de psychologues et autres professionnels se sont penchés sur la question du deuil. Elisabeth Kübler-Ross est l’une des premières à évoquer les cinq étapes du deuil, à travers :
Le déni (refus de la mort)
La colère (rancœur d’avoir perdu un proche)
Le marchandage (tentative de retrouver le défunt)
La dépression (traverser la souffrance de la perte)
L’acceptation (se reconstruire malgré la perte).
Ces cinq étapes subissent aujourd’hui une popularisation importante, car ces étapes sont souvent utilisées pour tout deuil (rupture d’une relation, perte d’un objet…etc.). Pourtant, à l’origine, ces étapes ont été crées afin d’apaiser la douleur de la perte et guider dans le même temps la personne endeuillée. En lui livrant des pistes sans pour autant le contraindre à ressentir x ou y émotions, le travail de deuil se fait de manière naturelle et plus important encore : de manière personnelle.
Ainsi, le deuil définit tout aussi bien la perte d’un proche, que l’état endeuillé dans lequel on se retrouve tous après ladite perte. Au fil du temps, le deuil a été découpé en cinq étapes distinctes permettant de vivre son deuil chacun à la façon dont il lui convient.
Laisser le temps au temps
Il n’y a pas vraiment de temporalité précise pour faire le deuil. Etant un processus unique et personnel, chaque personne évolue et expérimente le deuil à son rythme (et c’est mieux comme ça !). Toutefois, certains professionnels de psychiatrie et de la psychothérapie, font référence à une « temporalité du deuil ».
Sont alors évoquées des périodes pour chacune des étapes du deuil, observées chez des patients frappés par celui-ci. Dans la phase de déni, sont par exemple compris plusieurs jours de sidération qui suivent la mauvaise nouvelle de la perte d’un proche. C’est suite à cette sidération que se manifestent les différentes émotions, parfois violentes, illustrant le cataclysme intérieur de la personne endeuillée.
Certains professionnels s’accordent à dire qu’il faut entre 8 et 10 mois pour que la période de colère et de marchandage (aussi appelée négociation) se terminent, et que la perte définitive de l’être aimé soit assimilée par le corps et l’esprit.
Et c’est ensuite à terme de la dépression, qui peut elle aussi durer plusieurs mois voire plusieurs années, que la personne qui a vécu le deuil reprend peu à peu son souffle, se retrouve, évolue, et entame un processus de guérison intérieure lui permettant de retourner à sa vie en ayant intégré la perte définitive qui a eu lieu.
Il y a assurément une temporalité dans le deuil, puisque le processus se termine un jour. Toutefois, il n’y a pas de nombre précis de jours, de mois ou d’années pour faire son deuil. L’essentiel durant ce processus, c’est de le vivre pleinement, pour qu’une fois achevé, il ne puisse plus ni peser dans l’inconscient, ni planer comme une ombre sur le quotidien. Prendre son temps pour dire adieu est naturel, et primordial. Chacun son rythme.
Vivre le deuil : une expérience personnelle
Malgré les études qui ont été menées, les professionnels s’accordent tous à dire que perdre un proche est une expérience universelle. Chaque personne est amenée, dans sa vie, à connaître cette douleur, cette tristesse toutes particulières qui ébranlent à la fois l’âme, le cœur, l’esprit et parfois aussi le corps. Pourtant, il y a une notion très spécifique à prendre en compte malgré l’universalité de cette expérience, c’est qu’elle reste unique à vivre. Et pour cause, si perdre un proche est souvent la cause d’une terrible douleur intérieure, il n’en reste pas moins que le deuil est un processus unique, qui se vit à un rythme personnel.
Les cinq étapes du deuil sont souvent présentes chez la grande majorité des personnes ayant expérimenté la perte d’un être aimé. Toutefois, le processus de deuil est loin d’être linéaire. Chez certains, cela se manifestera par des mois de dépression en plus des différentes étapes, et chez d’autres, le processus de deuil sera plus irrégulier, les faisant osciller d’une étape à l’autre. De même, il est important de prendre en compte que parfois, même après avoir passé l’une des étapes du deuil, on revient en arrière à des étapes antérieures.
Parce qu’il demeure compliqué, difficile et terriblement douloureux de faire son deuil, certaines personnes ont besoin de prendre le temps afin de dire adieu à ce lien qui n’existe, en fait, déjà plus.
Célébrer la vie
Si cela peut sembler inopportun durant la période de deuil, il est cependant important, une fois le deuil totalement achevé, de recommencer à célébrer la vie. Même si elle paraît plus vide, plus fade et moins colorée, elle demeure néanmoins d’une importance essentielle.
Certaines personnes, après le deuil, aiment à se perdre dans de multiples plaisirs, comme la fête avec leurs proches, et d’autres encore planifient de nombreux projets pour être sûrs de pouvoir tout accomplir. C’est souvent l’effet que possède le deuil sur certaines personnes : il les pousse à vivre « plus intensément ».
Ont-ils raison ? Ont-ils tort de penser et agir ainsi ?
Y a-t-il une « bonne » façon de vivre après un deuil ?
Eh bien non ! Car tout comme le deuil, la vie est une expérience unique et personnelle. Chacun, selon les besoins et les envies de ce qu’il ressent, peut ou non décider de changer quelque chose à son quotidien après le deuil.
Envie de voyager autour du monde pour être sûr de ne rien manquer ? Foncez !
Besoin de vous reconnecter à vos proches et votre famille ? N’hésitez pas non plus.
Vous avez décidé d’accomplir le projet de vos rêves ? Lancez-vous !
Vous l’aurez compris, dans le deuil comme dans la vie, vous restez maître de vos émotions, de votre expérience, et de la façon dont vous souhaitez expérimenter la chose. Car c’est douloureux, intense, triste, bouleversant … mais que ça reste votre expérience personnelle.
Il arrive cependant que parfois, le deuil s’allonge dans le temps, que l’on repousse encore et encore les prochaines étapes car finalement, le deuil, c’est le dernier lien avec l’être disparu. Toutefois, le deuil n’est pas fait pour durer toute la vie, et justement, votre vie vous attend !
Il est alors possible d’aller consulter des professionnels comme des psychothérapeutes ou de se tourner vers des médecines parallèles comme l’hypnose ou la méditation. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris.
Je propose également des soins thérapeutiques si vous souhaitez prendre du temps pour vous, tels que le drainage du visage ou le drainage lymphatique.
Vous pouvez prendre rendez-vous sur Doctolib.
De même, vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être en plus proche de la nature, qui permettent de se reconnecter à soi-même.
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Les différentes étapes pour se remettre d’une rupture amoureuse
Qu’elle se soit faite brutalement ou d’un commun accord, à cause de la distance ou par la force des choses quand le temps passe inlassablement, il est toujours difficile d’appréhender la rupture amoureuse comme une chance. Et pour cause, faire le deuil d’une partie de votre vie, de votre quotidien ou simplement de la source intarissable de sentiments amoureux que représentait la personne, il est toujours extrêmement fastidieux de dire adieu. Alors comment aborder la rupture amoureuse sans y laisser ses plumes ? Combien de temps faut-il attendre pour ne plus avoir mal ? Y a-t-il des étapes qui permettent de se remettre d’une rupture amoureuse et de « se réparer » dans le même temps ?
La rupture amoureuse, un deuil relationnel
La toute première chose qu’il faut noter, c’est que peu importe le temps qu’a duré l’histoire d’amour en question, la rupture est comme un deuil. Violente pour le cœur, parfois inattendue, elle marque surtout la fin d’une époque et d’une relation qui était importante pour vous. Adieu les projets d’avenir que vous aviez mis au point, les voyages que vous rêviez de faire ensemble, le glas de la rupture a retentit fort, et il est temps de commencer son deuil.
Et tout comme pour le deuil d’un proche, il y aura de la douleur, de la tristesse, du regret, voire de la culpabilité. Des flots d’émotions se succéderont, parfois à en faire mal physiquement. Mais cela fait aussi partie de la rupture amoureuse, aussi douloureux que ce soit. Il y a par ailleurs différentes douleurs qui peuvent être ressenties suite à une rupture amoureuse. Outre la douleur de la perte de l’être aimé, il y a une notion dans la rupture amoureuse qui peut renvoyer directement à son amour-propre (comme penser de n’être plus digne d’amour…etc.).
Ainsi, la rupture amoureuse peut aisément être comparée au deuil dans le sens où il s’agit de dire adieu à une personne aimée. Le quotidien avec elle devient brusquement un souvenir, les habitudes qui ont été crées sont à défaire, et surtout, le cœur en prend un sacré coup. Bien que ce soit douloureux, c’est en ressentant et en vivant l’expérience de la rupture amoureuse qu’il sera ensuite possible de la surmonter totalement.
Vivre pleinement la douleur
L’une des plus grandes et sans conteste la première des étapes lors d’une rupture amoureuse, c’est la douleur. Vive, électrisante, parfois physiquement ressentie, la douleur peut être difficile à appréhender. Car bien souvent, il est possible d’être tenté par le fait de nier la douleur, de la rejeter, et prolonger ainsi le déni que la rupture n’a pas eu lieu. Tant que vous ne vous sentez pas triste, tout va bien ? Justement, non ! La tristesse, la colère et les larmes ne sont pas mauvaises en soi. Bien au contraire, les extérioriser permet aussi de s’approprier l’événement, et surtout, d’en traverser la première étape pour mieux vous reconstruire ensuite.
Vous avez le droit d’être triste. Vous avez le droit de pleurer. Vous avez le droit de hurler.
Extérioriser les émotions
Que ce soit à travers des activités artistiques, en discutant avec une personne de confiance de la manière dont vous vous sentez ou encore en partant faire un voyage avec votre sœur, il est important de pouvoir extérioriser vos émotions. Et pour cause, si vous gardez tout à l’intérieur, alors les couches de sentiments vont s’accumuler, jusqu’à devenir du ressentiment. Ils s’entassent, se confondent, et très rapidement, vous perdez le fil de ce que vous ressentez et de ce dont vous avez besoin.
Extérioriser ses émotions, c’est aussi leur permettre de s’envoler. Car après avoir apprivoiser la douleur, toutes les autres émotions, si elles sont conservées au-dedans de vous, sont tout autant de risques qu’elles deviennent de nouveaux moteurs de haine et des freins au quotidien et pour votre futur. Et surtout, extérioriser ses émotions permet de les comprendre et de ne pas les laisser vous hanter !
Comprendre les causes de la rupture
Selon la façon dont la rupture a eu lieu, il peut parfois rester des questions en suspens. Pourquoi ? Est-ce ma faute ? Qu’est-ce que j’ai fait pour le/ la pousser à me quitter ? Telles sont des questions qui peuvent parfois tourner autour de vous à l’instar de fantômes sournois. Tenter de comprendre les causes de la rupture, ça permet de ne pas ressasser. Car en l’absence de réponse, c’est le cerveau qui prend le relais et, dans le cas d’une absence de réponse, s’imagine les pires scénarios.
Mais surtout, le fait de comprendre les causes de la rupture amoureuse offre la possibilité de prendre du recul sur la relation –souvent idéalisée lorsqu’elle s’achève-, et de comprendre tout ce qui n’allait pas sans avoir été perçu jusqu’alors. Un bon moyen de faire le point sur ce qui s’est passé, pour amorcer le présent et un futur beaucoup plus légèrement !
Accepter la fin de toute chose
Parce que tout comme la vie et ce qui la compose, les plantes, les animaux, les périodes… tout dépend d’un cycle. Et parfois, l’amour aussi – même si on aimerait croire à l’amour éternel ! Accepter que toute chose ait une fin, c’est aussi parvenir à faire preuve de courage, de recul et de sérénité pour continuer votre chemin.
Comment savoir que tout est bel et bien fini ? Pour beaucoup de personnes, cela passe à travers le fait de pouvoir repenser à l’autre, mais sans éprouver ni colère, ni honte, ni tristesse. Pour d’autres, cela passe à travers la volonté de se projeter de nouveau, et de faire de nouveaux plans pour l’avenir. L’équipage perd un homme, mais le navire continue de voguer !
Se choyer
Après une rupture amoureuse, c’est aussi la question des habitudes qui se pose. Il faut réapprendre à vivre seul, sortir avec ses amis plutôt qu’en couple, et tout simplement, rester avec soi-même au quotidien. Et pour être sûr de jouir de la meilleure présence possible, quoi de mieux que de prendre du temps pour vous afin de vous faire plaisir ? De prendre soin de vous ? Que cela passe à travers des séances de shopping, des soins thérapeutiques ou encore via une reconnexion à vous-mêmes à travers les arts, chacun trouvera sa voie pour se sentir mieux.
Se choyer, ça passe aussi à travers le fait de se donner du temps. De se recentrer sur ses proches, sur soi-même, sur son animal de compagnie… etc. C’est être patient avec soi, et surtout, rester bienveillant. De ne pas se reprocher toute l’histoire, de ne pas culpabiliser d’avoir aimé.
Prendre soin de vous, c’est important. Plus encore, c’est même une nécessité après une rupture. Parce que si l’être aimé est parti, rien ne vous empêche d’être votre premier amour !
Et parce que les ruptures amoureuses, si elles ferment parfois un chapitre important de votre vie, peuvent tout aussi bien en ouvrir un nouveau qui s’avère essentiel, il est primordial de prendre soin de vous.
Ainsi, les ruptures amoureuses ne sont jamais aisées à envisager. Pire encore, elles sont terriblement douloureuses à vivre et intenses en émotions. Mais avec le temps, elles sont aussi l’occasion de pouvoir travailler sur soi-même, d’envisager de nouvelles perspectives et surtout, de vous trouver davantage. Si toutefois, la rupture semble bien trop ancrée ou insurmontable, il est possible et recommandé d’aller consulter des spécialistes.
De même, l’hypnose peut également être une bonne aide pour se libérer de la douleur ressentie et des gênes que cette douleur peut causer au quotidien. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, je propose des séances d’hypnose, des soins du visage et des soins du corps tels que le drainage lymphatique.
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Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Enfin, j’organise également des retraites bien-être au plus proche de la nature afin de se recentrer sur soi et de se reconnecter à son moi profond, via le partage et la bienveillance.
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Le divorce : quand est-ce la meilleure solution ?
Il y a encore une quarantaine d’années, le divorce n’était une solution que peu envisagée. Aujourd’hui, c’est plus de 45% des mariages qui se soldent par un divorce, en France. Et si parfois, les raisons pour lesquelles l’on se retrouve en couple avec une personne semblent obscures et floues, si l’on se laisse guider par les sentiments qui nous étreignent, alors comment être sûr qu’il est temps de divorcer ? Quand décider de le faire, sans pour autant le regretter ?
Le divorce, une solution miraculeuse ?
Il arrive des instants, dans toutes les relations, où le doute se fait sentir. Que ce soit par rapport à soi ou par rapport à l’autre, la relation peut rapidement être remise en cause. Faut-il continuer avec la personne ? Est-il préférable de tout arrêter, pour se consacrer à soi ? Cette décision n’est pas à prendre à la légère. Pour peu qu’il y ait également des enfants dans le foyer, ou des projets en cours, c’est un choix dont il faut peser les pour et les contre.
Historiquement, le divorce a été remanié de multiples fois. Interdit par l’Eglise au XVIe siècle, il est de nouveau autorisé durant l’Ancien Régime. C’est durant la Révolution française que le concept du mariage est totalement désacralisé, et que le divorce commence à se démocratiser. C’est d’ailleurs la loi du 20 septembre 1792 qui autorise le divorce en France, tel qu’on le connaît aujourd’hui. Mais il est de nouveau supprimé, pendant soixante-huit longues années, de 1816 à 1884 – de quoi avoir la tête qui tourne !
Le fait que de nos jours, le divorce soit beaucoup plus accessible qu’il y a une trentaine d’années favorise grandement des décisions hâtives. En quelques mois, le divorce peut être prononcé, et pour peu que la séparation se fasse à l’amiable, le tour est joué rapidement et sans complications. Si se marier n’est pour certains plus aussi « sacré » qu’avant, le divorce en devient une solution de secours.
Pour autant, c’est loin d’être une solution miraculeuse. Lorsqu’on se marie, aux yeux de la loi tout autant que dans la vie quotidienne, il y a des choses qui se lient dans plusieurs domaines. Un compte joint, un logement à et pour deux, et peut-être même des enfants sont-ils nés de cette union. Quelles que soient les caractéristiques et le quotidien qui découle du couple, toute relation est unique. Et malgré tout cela, parfois, la séparation reste la seule solution envisageable.
Comment savoir si quitter l’autre est la chose à faire ?
Si les raisons de se mettre en couple et de se marier sont multiples et variées, il en va de même pour les raisons qui poussent un couple à se séparer. Perte de désir pour l’autre, ne pas réussir à se projeter avec le partenaire, ou ne simplement plus être aussi amoureux qu’au début… les raisons d’un divorce sont tout aussi diverses que chaque mariage et relation est unique.
Faire le point avant de prendre la décision de divorcer est essentiel. Savoir pourquoi l’on veut partir ou rester est primordial. La relation a-t-elle besoin de repasser au premier plan de la vie quotidienne ? Ou bien est-ce vraiment plus ancré, plus dissimulé, et insidieux ? Le partage avec l’autre ne vaut-il peut-être plus tous les sacrifices pour vous ? A nouveau, toutes les raisons sont valables. Mais elles doivent être réfléchies et muries.
Le divorce, tout comme le mariage, est une décision importante qui bouleverse tous les aspects de la vie. Vie de famille, aspect financier, au niveau du logement, concernant la belle-famille, amis en commun ou collègues qui vous connaissent depuis plusieurs années… personne ne doit être une enclave à votre divorce, mais certains voudront peut-être vous soutenir. Quoiqu’il en soit, le choix de divorcer est loin d’être anodin.
La seule raison qui n’a pas besoin d’être réfléchie, c’est dans le cas de violences conjugales. Le silence peut tuer, et il est urgent, si vous êtes en danger, de fuir pour sauvez votre vie et celles des enfants s’il y en a.
Le divorce : un traumatisme qui peut se graver dans l’âme
Psychologiquement, comment se passe le divorce ? Beaucoup de professionnels de la santé mentale s’accordent à dire que le divorce, même s’il se passe dans les meilleures conditions possibles, peut tout à fait être mal vécu par l’un ou l’autre parti, voire, parfois, les deux partis. Et pour cause, si le mariage est socialement vu comme une réussite, le divorce laisse parfois le goût amer de la défaite. Pour beaucoup de personnes divorcées, cette période de séparation se passe donc très mal.
Pour d’autres, au contraire, le divorce peut être perçu comme une réelle libération. Et pour cause, il peut parfois soulager les personnes concernées des conflits qui avaient lieu, ou des tensions qui prenaient place sans pouvoir se résoudre.
Enfin, le divorce peut parfois bien se passer tout au long de la procédure ainsi qu’après la fin de celle-ci, tout comme il peut se passer difficilement du début à la fin. Quoiqu’il en soit, ce qui est sûr, c’est qu’à l’amiable ou au cœur du conflit, le divorce reste une étape importante dans une vie, et surtout, un choc psychique pour le mental.
A l’instar d’un deuil, il s’agit de dire adieu non pas à une partie de sa vie, mais bel et bien à un lien qui vous a unit pendant x années à une personne. C’est enterrer une vie de famille qui paraît « acceptable » pour la société, et partir vers l’inconnu d’être divorcé.e. S’il y a des enfants, les parents divorcés sont également plus susceptibles de se voir être jugés ou pris en pitié. Ce sont alors des épreuves du quotidien qu’il faut surmonter en plus du fait de réapprendre à vivre seul, penser à soi, et l’organisation si jamais il y avait des enfants dans le foyer.
Pour autant, il n’y a rien de choquant à vouloir divorcer. Et il vaut même mieux vouloir divorcer plutôt qu’accepter une vie qui ne nous convient plus. Finalement, ce n’est pas ça, la vraie force du divorce ?
Les questions à se poser avant de divorcer
Y aura-t-il des gens pour me soutenir émotionnellement ?
Quels seront les impacts financiers du divorce ?
Pourquoi est-ce que le divorce serait une bonne solution pour moi ?
Est-ce que je suis malheureux/se parce que je suis marié/e ?
Est-ce que j’éprouve encore de l’amour pour mon/ma conjoint/e ?
Vais-je devoir trouver un autre logement ?
Comment le divorce va-t-il impacter les enfants ?
Pourrais-je compter sur mes proches pour m’aider avec les enfants ?
Il y a tant et tant d’autres questions à se poser, qu’il serait impossible de toutes les regrouper. Mais certaines s’ancrent davantage dans le concret et permettent d’ouvrir la voie pour faire le point. Parce qu’au final, il n’y a jamais de meilleurs moments pour quitter une personne… sinon celui que l’on décide.
Et pour éviter le surmenage, le burn-out émotionnel ou tout autre dépassement de vos limites lors de changements qui s’amorcent, il est possible de prendre soin de soi et de se recentrer. Hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris, je propose également des soins du corps comme le drainage lymphatique et le drainage du visage. Fatigue, addiction, phobie, angoisse… vous pouvez lutter contre ces entraves du quotidien. N’hésitez pas à prendre rendez-vous sur Doctolib.
Vous pouvez en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.Et parce qu’après une telle épreuve, il est parfois essentiel de se recentrer sur soi et ses besoins, ses envies, je propose aussi des retraites bien-être qui permettent la reconnexion à son “moi profond”. -

Le polyamour : et si c’était ça, la réelle fidélité de l’âme ?
Qui n’a jamais laissé un bout de soi dans une relation ? Pourtant, il existe des personnes capables d’aimer fort et de façon pure qui parviennent à ne jamais s’oublier. Est-ce qu’un modèle de couple non-exclusif, comme le polyamour, pourrait permettre de se rester fidèle même en évoluant ? Mais qu’est-ce que le polyamour, exactement ? Et comment ça fonctionne ? Quels en sont les avantages et les inconvénients ? Et qu’en est-il du rapport à soi lorsque les partenaires sont multiples ? Cap sur une nouvelle forme d’amour : le polyamour.
Polyamour : qui es-tu exactement ?
Formé à partir de deux radicaux, « poly » en grec, et « amore », en latin, le polyamour peut se traduire par « plusieurs amours ». Il s’agit donc d’entretenir une relation avec plusieurs personnes différentes, dans le consentement de chacun. Chacun des partis de la relation peut alors avoir un ou plusieurs autres partenaires de vie.
Basé sur une transparence absolue, le polyamour est une façon d’envisager les relations de façon peu traditionnelle. Pourtant, les premières apparitions du polyamour remontent au XVIIe siècle, par le philosophe socialiste utopiste Charles Fourier, dans son livre Le Nouveau Monde Amoureux. Il y expose les premières bases théoriques de ce qu’il nommera tendrement « l’amour multiple ».
Il faut cependant attendre les années 1990 pour voir éclore le terme de « polyamour » au sens qu’on lui connaît aujourd’hui.
Polyamour : des règles et des contraintes ?
Comme pour toute relation, il y a des « bases » à poser. Parmi elles, notamment, l’importance de la confiance et de l’honnêteté. Les amours multiples sont souvent à l’origine d’un amalgame entre le libertinage et l’infidélité : mais il n’en est rien. Les amours ne se remplacent pas les unes les autres, bien au contraire. Elles se complètent.
Dans une relation polyamoureuse, il n’y a pas de secrets. C’est une notion primordiale afin de veiller au bien-être de chacune des parties concernées. De même, on retrouve une certaine ressemblance avec une relation plus traditionnelle et exclusive : les notions de respect et de confiance sont évidemment inébranlables. Plus encore pour les relations polyamoureuses, puisqu’il s’agit alors du bien-être des partenaires et du bon fonctionnement des relations. Car l’objectif, outre l’échange et la tendresse, c’est aussi de pouvoir s’épanouir !
Et la fidélité, dans tout ça ?
Souvent confondu avec le libertinage, le polyamour pose cependant la question de la fidélité. Comment est-ce que cela fonctionne si les partenaires sont multiples ? Eh bien, il s’agit en réalité d’une nouvelle forme de fidélité. Si elle ne s’exprime plus à travers la fidélité sexuelle, elle est cependant présente dans d’autres aspects de la relation.
C’est notamment le cas pour la sincérité dont font preuve chacune des personnes concernées envers les autres partenaires. Cela passe à travers l’attention portée au bien-être de chacun, la communication (toujours), le consentement, le fait de se protéger avec d’autres partenaires… etc. La fidélité a donc diverses formes qui ne s’expriment pas forcément de la même façon dans une relation exclusive et polyamoureuse.
Comment vivre le polyamour ?
Si les raisons de se tourner vers le polyamour peuvent être multiples et personnelles, il est surtout du devoir de chacun de se montrer honnête envers soi-même. Et certaines personnes ne sont simplement faites pour les relations exclusives ! Chaque relation étant unique, il est parfois difficile de trouver tout ce dont on a besoin dans une seule relation. Le polyamour permet une certaine diversité et un équilibre grâce aux différentes relations entretenues.
L’idée de quitter le couple exclusif peut parfois être effrayante. Pourtant, le polyamour, bien qu’il porte lui aussi quelques bases importantes, semble tout de même être un pas de plus vers une forme de liberté. Car la liberté individuelle est souvent renforcée par le groupe.
La jalousie et le sentiment de possessivité disparaissent. Ils s’estompent au profit d’une réjouissance pour le bonheur de l’autre, même si l’on n’en est pas responsable. Les partenaires sont multiples, et les joies aussi. Cela demande évidemment un travail sur soi important, et surtout, de dépasser ce que le couple exclusif admet aisément (jalousie, possessivité, comparaison…etc.). Dans le polyamour, il s’agit surtout de multiplier les plaisirs de la vie avec des partenaires différents et uniques !
Le polyamour, ou écouter ses désirs et son cœur
Alors qu’en est-il dans le rapport à soi ? Lao Tse expliquait que « les femmes recherchent d’abord la fidélité, et en second la diversité. Les hommes recherchent d’abord la diversité, et en second la fidélité. » (Chine, environ 600 avant notre ère). Aujourd’hui, les femmes se sont majoritairement émancipées du modèle de couple exclusif. S’il a jadis été la seule fin importante et reconnue par la société patriarcale, ce modèle commence à s’estomper au profit du bonheur quelle que soit sa source. Désormais, les relations peuvent être exclusives, polyamoureuses, éphémères ou durer dans le temps. Tout existe, puisque chaque humain est unique !
Dans le rapport à soi, le polyamour a une importance notable. En effet, dans une relation exclusive, un certain confort est mis en avant (l’autre est un soutien, un compagnon de route, un objet de désir…), mais dans les relations polyamoureuses, ce que représente le partenaire est multiplié. Attention toutefois, chaque relation est différente : avec un partenaire, il y aura plus d’écoute et d’échange, un autre apportera de l’humour et du dynamisme, un autre encore pourra être la source importante de désirs… chaque lien entretenu est différent des autres. Les passions partagées sont plus nombreuses également, et d’une certaine façon, chacun se nourrit et grandit avec différentes relations.
Il y a donc, dans le polyamour, une certaine recherche d’harmonie qui est présente, un besoin de nourrir son « moi » intérieur de diverses façons. Parce qu’après tout, n’apprend-on pas toujours des autres ? Le polyamour peut donc s’apparenter à un chemin intéressant concernant la fidélité à soi-même. Et pour cause, en multipliant les échanges, il n’y a plus une seule source d’apprentissage, d’échange et de plaisir, mais plusieurs. Et à l’origine de toute évolution personnelle, il y a des expériences. Les multiplier peut permettre, ainsi, de mieux trouver son propre soi, et tendre vers l’épanouissement, qui se multiplie également. Il n’y a plus une seule source de bonheur, mais de nombreuses. Et un cercle vertueux s’entame alors.
Pour résumer, il y a donc dans les relations polyamoureuses des notions similaires au couple exclusif, et d’autres, nouvelles et adaptables selon les besoins de chacun, qui s’appliquent. Si le couple exclusif contraint parfois à des concessions et des compromis, le couple polyamoureux porte également ses contraintes, bien qu’elles renvoient directement à un travail sur soi.
La relation polyamoureuse permet de nombreux avantages, comme le sentiment de liberté, la notion de séduction et le fait de savoir qu’il est possible de séduire, ou encore des échanges enrichissants car multiples. Dans le rapport à soi, cela peut permettre d’être plus apte à évoluer, à grandir, et surtout, à apprendre des autres pour toujours mieux se connaître soi-même.
Et comme dans toute relation, il est important de prendre soin de soi et de s’aimer soi-même avant de pouvoir aimer autrui. Je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute et experte en neurosciences à Paris. Je propose également des soins thérapeutiques du corps comme le drainage lymphatique et le drainage du visage. Si vous souhaitez un rendez-vous, vous pouvez vous rendre sur Doctolib. De même, il est possible d’en apprendre davantage sur moi en écoutant le podcast dans lequel j’ai été interviewée ou en écoutant mon podcast Combattantes.
Que vous soyez donc adepte ou non des relations polyamoureuses, la fidélité de l’âme passe toujours par le temps que vous vous accordez. Je propose d’ailleurs des retraites bien-être qui permettent de se reconnecter à son moi profond et de prendre le temps de se découvrir en profondeur. Pour une reconnexion à soi puissante et holistique dans un cadre calme et paisible.
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Comment dépasser ses peurs ?
Cette question, on se l’est toujours déjà posée… Cela paraît difficile, insurmontable voire complètement irréalisable. Aujourd’hui, vous allez découvrir les moyens d’y parvenir… Et devinez quoi, c’est possible !
La peur : d’une émotion à une réaction
Avant de rentrer dans le vif du sujet, qu’est-ce que la peur ? C’est une émotion éprouvée en présence ou à la pensée d’un danger, réel ou supposé. C’est un signal. Une alerte qui provoque des réactions instantanées : sueurs froides, nausées, accélérations cardiaques…
La dépasser, c’est possible…
Prendre d’abord le temps d’analyser la situation
Vous êtes face à un danger. Vous cherchez à vous échapper. Votre pouls s’accélère. Vous avez des sueurs froides. Dans cette situation, vous devez distinguer vos symptômes du danger. Vous dire que ses sensations sont indépendantes. Il faut prendre du recul.
Se concentrer sur sa respiration
La peur entraîne un sentiment de panique responsable lui-même de l’accélération cardiaque. La clé, diminuer sa fréquence respiratoire. Prendre une grande inspiration, bloquer et expirer ensuite au minimum 3 fois.
Se rappeler de la réalité
Ne vous enfermez pas dans vos pensées. N’imaginez pas le pire. Recentrez-vous sur la réalité. Rappelez-vous le contact de vos pieds au sol et l’environnement qui vous entoure. Bougez.
Contrôler puis dépasser ses peurs est donc possible grâce à ces trois étapes. Toutefois, vos peurs peuvent être plus profondes. Prendre contact avec un professionnel de santé peut sûrement vous aider si elles le sont. Au besoin, je peux vous aider grâce à l’hypnose.

