Catégorie : enfance, domination et construction sociale

  • Violence parentale : les blessures invisibles dont personne ne veut vraiment parler

    Violence parentale : les blessures invisibles dont personne ne veut vraiment parler

    Derrière les portes closes des foyers français se joue parfois un drame silencieux que notre société peine à regarder en face. En France, un enfant meurt tous les cinq jours victime de violences parentales ou familiales. Environ 51 000 mineurs sont concernés par ces situations en 2023 – négligence, violences physiques, abus sexuels, violence verbale. C’est l’équivalent d’une ville entière d’enfants qui souffrent pendant que nous détournons le regard. La réalité elle est là, brutale et quotidienne, s’infiltrant dans des milliers de foyers supposés être des havres de paix.

    Ces actes de violence ont un impact dévastateur sur le développement comportemental des enfants exposés, entraînant sentiment d’impuissance, de repli sur soi et de détresse psychologique. Le cadre législatif existe pourtant : le code criminel prévoit des sanctions pénales sévères, de l’amende à la réclusion criminelle pour toute personne qui a autorité sur un enfant. Les signalements peuvent être adressés au procureur de la République, aux services sociaux ou via le numéro d’appel dédié à l’enfance en danger (119).

    Je refuse de faire comme si tout allait bien. Je refuse cette hypocrisie collective qui consiste à s’indigner deux minutes devant un fait divers tragique pour ensuite passer à autre chose. Ces enfants méritent mieux que notre indifférence polie.

    Les multiples visages de la maltraitance : bien au-delà des coups

    Tu penses connaître la maltraitance ? Tu imagines un gamin couvert de bleus qui se planque dans un coin ? C’est la partie émergée de l’iceberg. La réalité est encore plus complexe et tordue.

    Les violences “visibles”: quand le corps et l’âme sont meurtris

    Les violences physiques, c’est ce qui vient immédiatement à l’esprit. Les coups, les brûlures, les secousses violentes qui laissent des marques sur ces petits corps. C’est révoltant, c’est écœurant, et pourtant, ça continue de se produire tous les jours. Selon le ministère de la justice, ces actes de maltraitance sur mineur peuvent entraîner la mort ou une incapacité durable, et la sanction pénale est lourde – mais visiblement pas assez dissuasive.

    Mais il y a aussi ces mots qui tuent à petit feu, cette violence psychologique qui ne laisse pas de bleus mais creuse des gouffres dans l’estime de soi. “T’es vraiment nulle“, “j’aurais préféré ne jamais t’avoir“, “de toute façon, tu n’arriveras à rien“…

    Ces phrases assassines qui s’infiltrent dans l’esprit d’un enfant et deviennent cette petite voix intérieure destructrice qui peut le poursuivre jusqu’à sa mort.

    Et devine quoi ? Selon les données du 119 en 2022, les violences psychologiques sont désormais plus signalées que les violences physiques. La société commence enfin à comprendre que détruire l’âme d’un enfant est aussi grave que briser son corps. Il était temps, non ?

    dangers de la violence parentale par type de violence

    N’oublions pas les négligences : ces violences familiales silencieuses, qui constituent aussi une forme d’atteinte habituelle aux droits fondamentaux du mineur. L’absence de soins médicaux, de nutrition adéquate ou l’exposition à des situations d’insalubrité représentent des signes de maltraitance infantile nécessitant une intervention sociale urgente. L’indifférence aux besoins les plus fondamentaux de l’enfant est d’ailleurs une forme de violence particulièrement perverse.

    Conditionnements à répétition : la violence parentale invisible qui tue l’esprit et le libre arbitre

    Il y a d’autres formes de violence dont on parle beaucoup moins, et qui sont pourtant terriblement répandues. Ces violences qui se cachent derrière les apparences de “bonnes intentions” et de “tradition”.

    L’infantilisation excessive, tu vois ce que c’est ? Ces parents qui font tout à la place de leur enfant, qui le maintiennent dans un état de dépendance absolue, qui lui coupent les ailes avant même qu’il ait appris à voler. “C’est pour ton bien, tu es trop petit pour comprendre”, “laisse maman faire, tu vas te faire mal”… À force d’entendre ça, l’enfant finit par le croire et renonce à son autonomie.

    Et que dire de ces parents qui éduquent par la peur ? Qui utilisent les menaces, l’intimidation, la culpabilité comme outils éducatifs ? “Si tu n’es pas sage, le loup va venir te chercher”, “Dieu punit les enfants désobéissants”, “si tu continues comme ça, je ne t’aimerai plus”… Ces chantages affectifs constants créent des adultes anxieux, incapables de prendre des décisions sans craindre des conséquences catastrophiques.

    Il y a aussi cette violence qui consiste à formater l’enfant dans un moule étriqué : traditions rigides, dogmes religieux indiscutables, rôles de genre inflexibles… “Les garçons ne pleurent pas”, “les filles doivent être sages et discrètes”, “dans notre famille, on a toujours fait comme ça”… Autant de carcans qui empêchent l’enfant de développer sa propre identité.

    Ces formes de violence sont particulièrement vicieuses parce qu’elles se déguisent en amour parental. L’enfant qui en est victime ne réalise souvent pas avant l’âge adulte à quel point il a été entravé dans son développement. Et la société ne les reconnaît pas comme de la maltraitance, alors qu’elles peuvent causer des dégâts tout aussi profonds.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Qui sont les auteurs ? La vérité qu’on n’ose pas regarder en face

    Il serait tellement plus facile de croire que les monstres qui maltraitent les enfants sont des étrangers louches qui rôdent dans les parcs. La réalité est bien plus dérangeante, et les statistiques sur la violence familiale nous mettent face à une vérité qui fait mal.

    Le cercle familial : là où le danger se cache le plus souvent

    C’est un fait. La majorité des violences envers les enfants sont commises au sein même de la famille. Par ceux-là mêmes qui sont censés les protéger et les aimer inconditionnellement. Et voilà le fait qui va te faire grincer des dents : selon une étude statistique portant sur les données de 2022, c’est la mère qui serait le plus mise en cause dans les signalements effectués au numéro 119. Oui, tu as bien lu. Ça fait mal à notre vision idéalisée de la maternité, n’est-ce pas ?

    auteurs des violences parentales

    Des parents souvent prisonniers de leur propre histoire

    Tu sais ce qui est vraiment accablant ? La majorité des parents maltraitants ont eux-mêmes été victimes de violence dans leur enfance. C’est comme une malédiction qui se transmet de génération en génération, un cycle de violence familiale que même la loi sur la violence éducative peine à briser.

    Ces adultes n’ont jamais appris ce qu’était une parentalité saine. Ils n’ont pas reçu les outils émotionnels pour gérer leur stress post-traumatique, leur colère, leur sentiment d’impuissance face aux défis du quotidien. Ils reproduisent au sein du couple et avec leurs enfants ce qu’ils ont connu, créant parfois des situations de violence domestique aux conséquences dévastatrices sur le développement des mineurs.

    Et combien d’entre eux ont eu accès à un soutien psychologique ou ont souhaité consulter ? Dans un pays où 72 % des gens n’ont jamais consulté un psy, comment s’étonner que ces blessures non soignées continuent de saigner, entraînant parfois des actes de maltraitance conditionnelle des enfants ?

    Bon à savoir : Les chiffres récents de Doctolib montrent une évolution encourageante: +13,8 % de consultations psy en 2024 par rapport à 2023. Les mentalités changent, doucement mais sûrement. Mais il reste tant à faire… D’autant que 67 % des patients sont des femmes. Les hommes, eux, continuent majoritairement de fuir leurs émotions, de refuser de regarder leurs blessures en face.

    Les séquelles de la violence parentale : ces bombes à retardement

    Tu t’es déjà demandé pourquoi certains adultes semblent saborder systématiquement leurs relations ? Pourquoi d’autres sont incapables de mettre des limites avec leur partenaire intime ? Pourquoi certains répètent inlassablement les mêmes schémas toxiques au sein du couple ? Très souvent, la réponse se trouve dans une enfance marquée par la violence intrafamiliale.

    Des blessures qui ne cicatrisent pas toutes seules

    La maltraitance des enfants, c’est comme une bombe qui explose dans un cerveau en développement. Les neurosciences l’ont prouvé : les traumatismes précoces modifient littéralement la structure et le fonctionnement du cerveau, créant des facteurs de risque qui peuvent entraîner une incapacité à construire des relations saines.

    Ce n’est pas “juste dans la tête” ou une question de volonté. C’est ancré dans la biologie, dans la chimie du cerveau, dans les connexions neuronales. Le corps entier porte la mémoire de ces agressions, qu’il s’agisse de violence physique, de violence sexuelle ou même de négligence infantile.

    Ces modifications se traduisent ensuite par des comportements qui peuvent sembler illogiques vu de l’extérieur : hypervigilance constante, difficultés à faire confiance, tendance à l’autodestruction, problèmes d’attachement… Des conséquences qui peuvent coûter des milliers d’euros en traitement et en prise en charge psychologique.

    Ce n’est donc pas un hasard si 60 % des personnes consultant pour leur santé mentale le font en raison d’un trouble psychique conscient, souvent lié à des traumatismes d’enfance. Ces blessures ne disparaissent pas magiquement avec le temps. Elles continuent de saigner sous la surface, influençant chaque aspect de la vie, y compris la façon dont ces victimes réagiront un jour face à une situation de violence conjugale – soit impuissantes, soit en reproduisant les mauvais exemples subis.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Le chemin vers la guérison : possible mais pas rose bonbon

    La bonne nouvelle – parce qu’il en faut une, quand même – c’est que la guérison est possible. Le cerveau est incroyablement capable de créer de nouveaux chemins, même après des décennies de souffrance liée à l’impact de la violence parentale.

    Mais soyons honnêtes : ce n’est pas un chemin facile. Ça demande du courage, de la persévérance, et généralement un accompagnement professionnel. Il faut être prête à regarder en face ce qu’on a passé sa vie à fuir, à ressentir des émotions qu’on a enterrées sous des tonnes de mécanismes de défense.

    Je ne vais pas te mentir et te dire que quelques séances de méditation et des affirmations positives vont effacer des années de traumatismes liés à un père violent ou à des châtiments corporels. Non. C’est un travail de fond, souvent long et douloureux. Mais c’est aussi profondément libérateur.

    Différentes approches thérapeutiques peuvent aider : EMDR, thérapies cognitivo-comportementales, hypnose… L’important est de trouver celle qui résonne avec toi et un thérapeute avec qui tu te sens en sécurité.

    Ce travail est exigeant, mais crois moi, ça vaut le coup. Parce que la vraie protection, c’est de ne plus être prisonnier de son passé, de pouvoir enfin vivre pleinement dans le présent sans que les fantômes d’une autorité parentale abusive ne viennent hanter chaque jour de ta vie d’adulte.

    Pour aller plus loin : ressources et soutien

    Que tu sois directement concernée par la maltraitance, que tu t’inquiètes pour un enfant, ou que tu veuilles simplement être mieux informée, voici quelques ressources utiles :

    • Le 119 : numéro gratuit accessible 24h/24 pour signaler une situation préoccupante
    • Des associations comme L’Enfant Bleu ou Innocence En Danger qui offrent information et accompagnement
    • Les Centres Médico-Psychologiques (CMP) qui proposent des consultations gratuites

    N’oublie jamais : la protection des enfants n’est pas optionnelle. C’est l’affaire de chacun d’entre nous. Ton attention, ton courage à signaler, ton refus de détourner le regard peuvent littéralement sauver des vies.

  • Sortir d’une relation toxique : arrête de normaliser l’inacceptable

    Sortir d’une relation toxique : arrête de normaliser l’inacceptable

    Constamment sur tes gardes, à t’excuser, à douter de toi dans ta relation familiale ou amoureuse ? Cette épuisante réalité a un nom : la toxicité.

    Une petite voix te dit que ce n’est pas normal, qu’aucune relation ne devrait ressembler à ça. Cette voix a raison. Parce que se battre pour une relation, c’est déjà l’avoir perdue.​

    Le premier conseil pour t’en libérer : arrête de normaliser l’anormal. Reconnais que ton besoin de soutien est légitime face à cette situation difficile. Un psychologue ou coach peut t’aider à mettre fin à ce cycle destructeur et à préparer ton départ en toute sécurité. Bien sûr, il est peut-être difficile d’accepter que quelqu’un que tu aimes te cause tant de souffrance, mais cette prise de conscience est ton premier pas vers la guérison. N’hésite pas à chercher de l’aide pour reconstruire ton estime et retrouver confiance en toi. Tu n’es pas condamnée à rester victime – tu as le droit d’agir pour ton bien-être et ta santé mentale.

    Le signe qui ne trompe pas : quand aimer devient épuisant

    Une relation épanouissante, c’est comme une batterie externe pour ton âme ! Elle booste ta confiance en soi, nourrit ton sentiment de valeur et t’aide à conquérir le monde. À l’inverse, une relation toxique ? C’est un vampire émotionnel qui suce ton énergie vitale jusqu’à la dernière goutte, te laissant dans un état de stress et d’anxiété proche du burnout relationnel.

    As-tu déjà eu cette sensation d’épuisement total après avoir passé du temps avec ton partenaire ? Cette prise de conscience que quelque chose cloche profondément dans ton couple toxique ? C’est souvent le premier pas vers la libération.

    Voici les signes qui ne trompent pas :

    • Tu dois constamment tirer les vers du nez de l’autre pour avoir une vraie conversation
    • Tu te retrouves à t’excuser mille fois pour des broutilles
    • Si tu ne donnes pas de nouvelles, tu n’en reçois jamais
    • Tu as l’impression de devoir constamment “réparer” la communication

    Quand j’accompagne des femmes dans cette situation toxique, elles me disent souvent : “Mais c’est normal de faire des efforts dans un couple, non ?” Bien sûr qu’il y a des moments de réajustement dans toute relation de couple ! On évolue individuellement, c’est logique que la relation doive parfois s’adapter. Mais attention, il y a une différence fondamentale entre faire des efforts ponctuels et vivre dans un état permanent de combat.

    La vérité ? Tu n’as pas besoin de vivre une période difficile à chaque dispute. Si tu passes plus de temps à pleurer qu’à sourire, ce n’est pas de l’amour — c’est de la dépendance affective déguisée en sentiment amoureux.

    Parfois, le comportement toxique est si subtil qu’on ne s’en rend compte que petit à petit. Les reproches constants, le chantage affectif, les disputes qui finissent toujours par te culpabiliser sont autant de preuves que ton lien avec cette personne nuit à ton épanouissement personnel.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    La toxicité : un tango qui se danse à deux

    Maintenant, ce que je vais te dire va peut-être faire mal, mais c’est nécessaire : si tu es dans une relation difficile avec un partenaire toxique ou même un parent, tu y participes aussi. 

    C’est tentant de mettre toute la toxicité de la relation sur les épaules de l’autre. “C’est lui qui est pervers narcissique“, “C’est elle qui est manipulatrice“. La vérité qui dérange, c’est que tu restes dans cette relation malsaine. Tu la nourris par ta présence, par ton émotion, par ton besoin ou ton espoir perpétuel de la sauver.

    Tu t’auto-sabotes parce que, quelque part, tu souffres d’un manque de confiance en toi, tu ne te respectes pas assez pour dire “ça suffit“. Tu acceptes des comportements, des paroles, des situations que la version la plus épanouie de toi-même n’accepterait jamais. Et c’est précisément ce manque de respect envers toi-même qui t’empêche de couper les ponts.

    Reconnaître ta participation ne signifie pas te blâmer, mais te responsabiliser. C’est le premier pas pour reprendre le pouvoir sur ta vie et envisager un départ qui te libérera de cette emprise. Tu mérites mieux qu’une relation qui te vide de ton énergie et te fait douter de ta valeur, tu ne crois pas ?

    Comment sortir d’une relation toxique ?

    Étape 1 : Reconnaître l’évidence

    La première étape pour quitter une relation toxique est d’admettre que tu es sous emprise psychologique. Ça paraît simple, mais c’est souvent le pas le plus difficile à franchir. Notre cerveau excelle dans l’art de nous maintenir dans le déni.

    Prends un moment pour te poser ces questions en toute honnêteté :

    • Cette relation amoureuse me donne-t-elle plus d’énergie qu’elle n’en prend ?
    • Est-ce que mon état émotionnel s’améliore au sein du couple ?
    • Puis-je exprimer mes besoins sans peur des conséquences ?
    • Est-ce que je vis dans un cadre de respect mutuel ?

    Si ces réponses t’inquiètent, écoute ton intuition. Ce malaise n’est pas imaginaire – c’est ton corps qui signale que cette relation est toxique. Reconnaître une relation malsaine est le premier pas essentiel vers ta libération.

    Étape 2 : Comprendre tes propres schémas toxiques

    Cette étape n’est pas pour te culpabiliser, mais pour te rendre compte pourquoi tu acceptes ce type de dynamique. Un travail avec un professionnel comme un thérapeute t’aidera à identifier ces patterns répétitifs.

    Tenir un journal de tes émotions peut être une solution efficace pour prendre conscience des dynamiques destructrices. Note comment tu te sens avant et après chaque interaction avec la personne toxique. Ce simple exercice t’aidera à voir l’effet réel de cette relation sur ton bien-être.

    Une grande idée est de travailler sur ton histoire familiale. As-tu grandi dans un environnement où la violence émotionnelle était normalisée ? Ces expériences précoces influencent ton seuil de tolérance à la toxicité et peuvent t’amener à reproduire les mêmes schémas.

    Étape 3 : Couper le cordon

    Après avoir pris conscience de ta valeur, vient le moment de mettre fin à une relation qui te diminue. Cette décision peut sembler insurmontable, mais elle est nécessaire pour éviter plus de souffrance.

    La méthode la plus efficace ? Le “no contact“. C’est difficile de mettre fin complètement, mais c’est la voie vers la guérison. Chaque interaction est comme une rechute qui te maintient dans l’isolement social et l’auto dépréciation.

    Mais on a des liens qui compliquent la séparation” penseras-tu peut-être. Il existe toujours des façons de gérer ces situations tout en préservant ta santé mentale. Préparer ton départ inclut parfois de chercher du soutien légal, surtout en cas d’abus physique.

    Entoure-toi de gens bienveillants qui pourront te soutenir psychologiquement pendant cette transition. Le soutien extérieur est crucial pour garder le moral et la détermination de ne pas revenir en arrière.

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    Étape 4 : Reconstruire ta relation à toi-même

    Maintenant que tu as créé l’espace nécessaire en te libérant de cette relation, c’est le moment de reconstruire la relation la plus importante : celle que tu as avec toi-même.

    Le plus grand cadeau que tu puisses te faire, c’est d’apprendre à être bien seule. Non pas “résignée” à être seule, mais véritablement épanouie dans ta solitude. C’est là que tu découvriras ta propre valeur, tes désirs authentiques, et ce que tu ne permettras plus jamais dans une relation.

    Une cliente m’a dit un jour : “Depuis que je suis seule, je me suis rendu compte que je n’avais jamais vraiment écouté mes propres désirs. Je faisais toujours ce que mon partenaire voulait. Maintenant, je découvre ce que j’aime vraiment, et c’est incroyable.”