Étiquette : sophrologue

  • Comment trouver sa place dans la société en tant que femme ? 

    Comment trouver sa place dans la société en tant que femme ? 

    La faible femme aux fourneaux et l’homme fort et courageux au travail : c’est fini, nous dit-on ! Ah bon ? Je n’en suis pas si sûre. Certes, il y a des progrès, mais…

    En dépit des avancées en termes d’égalité des sexes, le monde dans lequel nous vivons reste un monde masculin. Un monde d’hommes construit par les hommes pour les hommes. La place que l’on accorde aux femmes s’agrandit peu à peu (et selon les pays, les métiers, les usages), mais cela reste encore très insuffisant pour décréter qu’un traitement équitable existe entre les deux sexes. Petit tour d’horizon sur l’évolution de nos droits et sur ce qu’il nous reste à faire ! Car les préjugés masculins restent tenaces, même si sur le plan juridique, la société française s’efforce d’établir une égalité de traitement entre les deux sexes.

    Petit rappel sur le droit des femmes

    Rappelons que ce n’est que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et le droit de vote accordé aux femmes, que celles-ci sont considérées comme des citoyennes à part entière.

    Peu à peu, les femmes ont eu « le droit » de gérer leur vie sans avoir besoin de demander l’autorisation de leur mari. Les lois sur la contraception ont ensuite permis aux femmes de disposer de leur corps comme elles le souhaitaient.

    Les notions de parité, au début des années 2000, ont été la dernière grande étape vers l’égalité tant souhaitée.

    Le chemin reste encore long pour faire sauter les verrous de ces lois et les conventions d’un autre âge. Mais on peut reconnaître que la société française tente « d’avancer » sur le sujet sur le plan législatif. Lentement, trop lentement peut-être, mais sûrement. Reste à savoir ce qu’il en est dans les mentalités… Et ça, c’est autre chose !

    Quelque chose de lourd…

    De plus en plus de femmes se sont fait une place dans le monde du travail, notamment dans les métiers de l’encadrement, où la mixité ne semble plus être un problème. Encore que beaucoup de femmes estiment qu’elles doivent se battre deux fois plus qu’un collègue masculin pour obtenir un poste ou un salaire équitable.

    Dans les autres catégories socio-professionnelles, la mixité et l’égalité des sexes est plus discutable. Il existe notamment encore de nombreuses catégories professionnelles qui sont encore exclusivement réservées aux femmes : assistant(e) d’accueil, secrétaire, hôte(sse) de caisse, technicien(ne) de surface, employé(e) de maison, assistante maternelle, infirmière, sages-femmes.

    A contrario, on estime que d’autres métiers sont plutôt réservés aux hommes. Notamment les métiers physiques du bâtiment et des travaux publics. La fameuse réplique de Jean Dujardin dans le film OSS 177 (« On verra bien quand il faudra porter quelque chose de lourd ») reste encore activée, au premier degré, dans de nombreux esprits masculins.

    Égalité… des quoi ? des chances… ?

    On ne parle plus aujourd’hui d’égalité des sexes mais plutôt d’égalité des chances. Le fait d’être une femme dans un monde d’hommes n’est-il pas encore un handicap ? Selon beaucoup d’entre elles, les inégalités restent notables.

    Dans les générations précédentes, le niveau de formation des femmes était moins élevé que celui des hommes. On a longtemps considéré que la femme était destinée à la tenue du foyer et à l’éducation des enfants, ce qui ne nécessitait pas une instruction des plus poussées.

    De nos jours, les femmes ont plus de diplômes que les hommes. Oui, plus ! Des études ont démontré qu’en 2018 en France, 42 % des femmes ont fait des études supérieures (Bac+2 et au-delà) contre 34 % chez les hommes. Un chiffre on ne peut plus significatif.

    Mais sur le plan des salaires, la musique est moins réjouissante. Pour un même niveau de diplôme, les hommes touchent en moyenne des salaires de 34 % supérieurs aux femmes. Un chiffre qui monte à 46 % chez les bac+3 !

    Discrimination inconsciente… pas tant que cela

    La première explication tient dans les études choisies. La majorité des hommes sortent des filières scientifiques alors que les femmes ont plutôt choisi les filières littéraires et sociales, qui restent des domaines un peu moins valorisés sur le marché du travail. En outre, beaucoup d’emplois à temps partiel, et donc à salaire moindre, sont occupés par des femmes.

    Ensuite, la discrimination, que l’on dit « inconsciente », des employeurs, fait son œuvre. Dans la réflexion pour un poste à pourvoir, dans le cadre d’un recrutement ou d’une promotion, la vie personnelle d’une femme entre en compte : « Elle va devoir s’absenter pour faire des enfants et les élever », « Elle manquera de disponibilité car elle aura aussi les tâches de mère au foyer à assurer ».

    Ces paramètres, silencieusement, interviennent dans la décision, notamment dans un contexte tendu où la rentabilité doit être optimisée à son maximum. L’employeur s’interroge plus rarement pour un homme. Celui-ci par défaut saura se livrer corps et âme à son métier. On lui demande rarement s’il a des enfants.

    Les mentalités ont donc la peau dure. Elles évoluent au fil des générations mais conservent toujours des préjugés contre les femmes. Malgré tout, on voit dans le monde de plus en plus de femmes devenir chef d’État, premier ministre, député, capitaine d’entreprise. Des femmes qui prennent des responsabilités d’envergure. Des femmes qui ne sont plus seulement perçues comme des femmes mais bien comme des individus en capacité de prendre des décisions. Elles sont (au-delà de toute considération politico-sociale) des exemples pour toutes les femmes.

    Des solutions données aux femmes pour faire leur place

    Nous devons suivre l’exemple d’une DAME comme Simone Veil, qui a fait beaucoup plus que faire voter une loi qui autorise l’IVG : elle a fait prendre conscience aux hommes de la discrimination qu’ils portaient sur les femmes. Elle s’est battue pour leur faire admettre que l’égalité hommes-femmes est un combat à mener par tous. Simone Veil a beaucoup fait sur le plan juridique, mais encore plus au niveau des mentalités.

    Pour que la femme trouve sa place dans la société, il faut donc s’attaquer aux préjugés acquis dès l’enfance. Cela passe notamment par l’éducation. Il faut faire comprendre à nos enfants que les deux sexes ne doivent pas être opposés mais doivent vivre ensemble sans que l’un des deux ne s’estime supérieur. Il est nécessaire par exemple d’en finir avec l’idée que des jeux soient spécifiquement pour les garçons et d’autres pour les filles. Des écoles se sont déjà inscrites dans cette démarche où on ne sépare plus les jeux dans un coffre rose et dans un coffre bleu. Même chose dans les magasins de jouets où l’on s’efforce de bannir les rayons filles et les rayons garçons.

    La notion d’égalité s’acquiert donc très tôt. Il faut bannir les expressions telles le « sexe fort » et « sexe faible », ne pas insister sur la notion qui veut que « le masculin l’emporte » (ce n’est qu’une règle grammaticale, rien de plus).

    Ne plus considérer certaines disciplines (on pense au football féminin, par exemple) comme une curiosité mais comme une discipline sportive à part entière.

    C’est au prix d’une éducation intransigeante, débarrassée de nos a priori sexistes, que l’on parviendra à résoudre, un par un, le problème de la place de la femme dans la société.

    Et finalement, il faut surtout que les (certaines) femmes changent aussi leur façon de se positionner. En effet, là encore, consciemment ou non, certaines femmes acceptent cette « soumission » ou cet état de fait. Pensant que c’est… normal ! Que c’est dans l’ordre des choses. NON. Si vous avez vraiment envie de vous faire votre place, vous pouvez y parvenir.

    Il reste donc encore un long chemin à parcourir…

    Un monde paritaire est possible. La femme doit continuer sa marche en avant pour que l’égalité des sexes soit reconnue par tous. Avec un changement de mentalité opéré le plus tôt possible, elle trouvera peu à peu de plus en plus d’hommes comme alliés. Il ne faudra pas considérer qu’il s’agit de lutter contre les hommes, mais simplement contre des préjugés portés depuis des générations tant par les hommes que par les femmes. En tout cas, de nombreux chantiers restent ouverts pour les générations futures.

    Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris

     

     

  • La charge mentale : le syndrome de la femme épuisée 

    La charge mentale : le syndrome de la femme épuisée 

    À peine réveillée, votre esprit est déjà en suractivité et passe en revue tout ce que vous avez à faire dans la journée ? Penser à aller chercher les enfants au sport, prévoir les courses pour le dîner (et pour celui de demain où vous avez invité quelques amis). Passer au pressing chercher les chemises de votre conjoint, aller à la pharmacie pour prendre le sirop pour Antoine, téléphoner au vétérinaire pour le vaccin de minou, envoyer le paiement de vos impôts, etc. etc. etc. etc. etc.

    Ah j’oubliais. Et bien sûr, aller travailler !

    Vivement le week-end durant lequel vous pourrez prendre le temps de faire les machines à laver, repasser, le ménage et vous occuper un peu plus des devoirs de vos enfants !

    Et votre conjoint ? Il fait quoi ? Beh… il travaille !?! Mais sûrement plus, plus tard, plus loin ? Voilà ce que nous entendons systématiquement.

    Notre société a beau évoluer dans le sens de l’égalité homme-femme, la bonne tenue d’un foyer reste, dans nos mentalités, même au 21e siècle, l’affaire des femmes. Et dans une société qui évolue en mode accéléré, il est donc normal que les femmes finissent par s’épuiser… Pourtant, on parle de plus en plus du partage des tâches…

     

    Le partage des tâches… où en est-on vraiment ?

    Il faut reconnaître que de plus en plus d’hommes participent à la vie quotidienne. Pourtant les femmes demeurent encore les impliquées dans la tenue du foyer.

    Les femmes seraient-elles donc conditionnées pour se sentir obligées d’être de parfaites épouses, mères et d’irréprochables maîtresses de maison ? Oui, c’est une réalité. Il semble d’ailleurs que même dans un couple où le partage des tâches est avéré, l’épouse reste la plus inquiète des deux dans la bonne gestion des actes de la vie quotidienne.

    Mais avant tout, le partage des tâches est-il aujourd’hui une réalité ?

    Des études menées en 1985 révélaient que les femmes en France étaient chargées de 69% des tâches ménagères du foyer, et à 80% de l’éducation des enfants. 25 ans plus tard, les mêmes études démontrent un net progrès sur le plan parental (71%) mais une très infime progression sur le plan des tâches ménagères (64%).

    Il reste donc du chemin à faire pour atteindre un parfait 50/50. Les hommes ont beau s’efforcer de faire la part qui leur revient, les femmes restent sujettes à ce qu’on appelle aujourd’hui la charge mentale. Mais qu’est-ce que la charge mentale ?

    Qu’est-ce que la “charge mentale” ?

    C’est une théorie développée par une chercheuse canadienne, Nicole Brais. La compagne, se met plus de pression que son conjoint dans le bon ordonnancement du foyer. Elle doit « penser à tout ». Même lorsque monsieur fait, madame se sent obliger de superviser, de vérifier la bonne exécution des tâches. Celles du conjoint, des enfants, mais aussi de la femme de ménage alors que les services de celle-ci ont été demandés pour éviter le problème.

    Cette charge est d’autant plus stressante de nos jours que les femmes ont désormais un emploi. Au stress du travail s’ajoute donc celui de la maison, ce qui alimente un épuisement mental très élevé. Nicole Brais, la chercheuse canadienne, insiste beaucoup sur une petite phrase malheureuse qui survient lors d’une situation que connaissent beaucoup de couples.

    Madame, au four et au moulin, oublie le fer sur la table à repasser ou le lait sur le feu. Monsieur croit alors venir la consoler en lui adressant un malheureux « Pourquoi tu ne me demandes pas de t’aider ? ».

    La phrase qui fait souvent exploser une femme. En quelques mots, le conjoint admet considérer que c’est la femme qui est la responsable des tâches ménagères. Consciemment ou non, les hommes n’interviennent pas tant que les femmes ne leur auront pas spécifiquement assigné à une mission.

    Ainsi dans chaque foyer, il y a un membre victime de charge mentale, et c’est quasiment toujours la femme. Celle-ci prend donc le leadership du foyer sur les tâches ménagères, les courses, l’éducation des enfants tout en assumant un métier exigeant et en essayant même de se dégager du temps pour une vie sociale.

    Comment en finir avec la charge mentale ?

    Ne pas trop se réjouir d’être une bonne ménagère !

    Il faut d’abord faire admettre aux hommes qu’ils ont un rôle à jouer. Mais il faut également que les femmes comprennent que leur attitude peut engendrer ces comportements inégaux. Souvent, l’investissement remarquable des femmes reçoit l’approbation passive des hommes. Beaucoup de femmes semblent alors s’épanouir dans ce rôle ! Mais jusqu’à quand ? Jusqu’à… l’épuisement…

    Ne pas être systématiquement reconnaissante

    Lorsqu’un homme prend l’initiative de faire la vaisselle (par exemple), la femme approuve souvent la démarche et adresse un remerciement qui confirmerait le caractère « exceptionnel » de la situation. Alors qu’elle devrait faire comme si de rien n’était, ne pas habituer son conjoint à des remerciements à chaque effort réalisé. C’est normal !

    En finir avec le besoin de tout contrôler et le besoin que tout soit parfait

    Il y a aussi le syndrome de « l’inspectrice des travaux finis », ce moment (que l’on a évoqué plus haut) ou la femme vérifie si le travail de son conjoint a été bien fait. Un irrépressible besoin de contrôler qui, finalement, déresponsabilise celui qui l’a fait. C’est encore pire quand on reproche systématiquement à son conjoint qu’il s’est encore trompé de marque ou de produit quand il revient des courses, ou que décidément il n’est pas doué pour telle ou telle tâche. Avec au bout du compte l’expression qu’il faut pourtant éviter à tout prix “Laisse, je vais faire…”.

    Un amas de clichés ? Certes, le trait de mes exemples est quelque peu grossi, mais ce sont des situations que vivent réellement, avec plus de nuances, de nombreux couples. La solution est souvent d’inviter le conjoint à faire sa part. Non pas en lui assignant des tâches d’autorité, mais en lui laissant implicitement l’espace des tâches à réaliser. Laisser traîner des choses. Le laisser s’en occuper et, surtout accepter qu’il s’en occupe à sa façon. Une démarche qui ne se fera pas du jour au lendemain, et qui peut même générer quelques tensions. Mais on sait que les choses ne peuvent que s’aplanir et s’améliorer dans le dialogue et le respect mutuel.

    Casser les clichés et changer notre attitude

    Il est donc important de briser la figure un peu vieillotte de la maîtresse de maison. Casser le cliché selon lequel monsieur rentre à la maison pour se reposer, après une longue journée de travail. Aujourd’hui un homme n’est plus le seul à assurer les revenus du foyer. L’épouse du XXIe siècle à un job, il arrive même qu’elle soit mieux payée que son conjoint, qu’elle exerce un métier beaucoup plus exigeant ! L’époque n’exige plus qu’elle soit la wonder-woman du foyer.

    Plus facile à écrire qu’à faire. Nous sommes tous (toutes) un peu conditionné(e)s par l’image que donnaient nos parents, cette espèce d’harmonie du couple qui semblait émaner de la maman « multitâches » et du papa moins concerné. Une harmonie pourtant fort trompeuse… car on en voit aujourd’hui les dégâts… Mais c’est à nous désormais de changer les choses et nos propres comportements !

    Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

     

     

     

  • L’hypnose : en quoi cela consiste et pourquoi y avoir recours ?

    L’hypnose : en quoi cela consiste et pourquoi y avoir recours ?

    On y croit ou pas… On y est sensible ou pas… On en a peur ou pas. Quoi qu’il en soit, l’hypnose intrigue. Mais aujourd’hui, c’est un outil thérapeutique reconnu, et qui est de plus en plus utilisé notamment pour soulager, voire traiter de nombreux maux de différentes natures et ayant différentes causes. Comment ? En échangeant sans contraintes, avec son propre corps.

    Les plus sceptiques d’entre vous devraient se référer aux résultats. Eh oui ! Car même si les mécanismes de l’hypnose ne sont pas encore véritablement connus et explicables, son efficacité ne peut plus être mise en question.

    Une preuve ? Depuis une dizaine d’années, l’hypnose remplace l’anesthésie générale pour un certain nombre d’interventions chirurgicales. C’est donc que ça fonctionne ! Qui irait se faire triturer le ventre sans anesthésie ?

    Il n’y a pas une seule et unique définition de l’hypnose. De nombreux psychiatres, médecins, etc., en ont donné leur propre définition : Milton Erickson, Daniel Araoz, André Weitzenhoffer, Jean Godin, Michel Kérouac, Olivier Lockert, Bernheim pour ne citer qu’eux… Et contrairement à ce que l’on pense, l’hypnose existe depuis fort longtemps ! Il est difficile de dater exactement ses premières utilisations, mais il est reconnu que dans l’Égypte ancienne, les Égyptiens essayaient déjà d’en tirer des bénéfices. Le pharaon Ramsès II y avait recours notamment pour motiver ses soldats à partir au combat.

    Et de nos jours, l’hypnose est reconnue comme une médecine douce, de plus en plus pratiquée, qui participe à atténuer, voire à traiter de nombreux troubles qui nuisent à notre bien-être.

    Alors, en quoi cela consiste ? Qui est concerné ? Pourquoi y avoir recours ?

    Mais d’abord quelques petits rappels de base (et simplifiés)

     

    L’objectif d’une séance d’hypnose est de modifier l’état de conscience, pour atteindre un état de transe dans lequel des évènements ou des émotions enfouis dans l’inconscient ont plus de chances de refaire surface. Et à partir de ces éléments, une solution est recherchée. Mais conscience, inconscience, transe, quèsaco ?

    L’état de conscience : l’état de conscience est celui qui nous guide lorsque nous sommes “éveillés”. Autrement dit, c’est être dans en état de vigilance et de contrôle qui nous permet de guider nos actes en fonction d’un grand nombre de paramètres qui nous conduisent à raisonner et à agir, mais qui nous bloquent aussi.

    L’état d’inconscience : c’est un état beaucoup plus subjectif dans lequel s’entremêlent des souvenirs plus ou moins enfouis, des émotions plus ou moins fortes, des intuitions… Mais pour faire plus simple, disons que l’inconscient concerne tout ce qui n’est pas conscient et que nous ne pouvons pas maîtriser.

    L’état de transe : non, ce n’est pas uniquement l’état dans lequel se trouve un drogué après avoir pris son héroïne… C’est d’ailleurs même un état que nous connaissons tous très bien sans même le savoir. C’est un état dans lequel on focalise tellement notre attention sur quelque chose de bien précis que l’on en oublie tout le reste. Un état proche d’une ultra concentration. Il nous arrive à tous, en exerçant une activité, d’être tellement concentré que l’on ne se rend plus compte de rien.

    Et c’est à partir de ce principe que l’hypnose fonctionne. L’objectif est de se frayer un chemin entre l’état de conscience et l’état inconscience.

    Les différents types d’hypnose

     

    Il existe différents types d’hypnose, mais je n’aborderai ici que les deux plus connues, l’hypnose classique (traditionnelle) et l’hypnose Ericksonienne.

    L’hypnose classique, c’est celle que tout le monde connaît. En effet, lorsque l’on prononce le mot hypnose, le commun des mortels pense aux hypnotiseurs que l’on voit dans les spectacles, et qui ont « le pouvoir d’endormir » les gens. La personne est passive, et l’hypnotiseur utilise des injonctions pour modifier l’état de conscience des individus. C’est un type d’hypnose autoritaire, si l’on peut dire.

    Mais dans le cadre d’une démarche thérapeutique, ce n’est pas le même type d’hypnose qui est utilisé. Dans ce cas, il s’agit de l’hypnose appelée « hypnose Ericksonienne ». Ce type d’hypnose dite « moderne » doit son nom à Milton Erickson, un psychiatre américain mort en 1981, qui était dans son enfance daltonien et dyslexique. À 17 ans, il contracte la poliomyélite qui le rend complètement paralysé. Il ne peut alors que parler et bouger les yeux. Et c’est dans ce contexte qu’il découvre le pouvoir de l’autosuggestion. Autrement dit, il se convainc qu’il peut se guérir. Peu à peu, il réussit à faire bouger ses muscles, et en quelques mois, il recouvre toutes ses facultés motrices. Un miracle ? Non, les miracles n’existent pas. Nous avons en nous une force qui nous permet de vaincre certains maux.

    Dans le cas de l’hypnose Ericksonienne, le patient est dans un état de profonde relaxation, en transe, comme je l’ai défini précédemment. Contrairement à l’hypnose traditionnelle, le patient participe activement à sa mise en situation hypnotique.

    Et pour ceux qui veulent aller plus loin encore, ils peuvent avoir recours à l’hypnose « spirituelle », au cours de laquelle l’hypnothérapeute guide le patient à la recherche de ses vies antérieures.

    Tout le monde peut-il être hypnotisé ?

     

    Dans le cadre de l’hypnose dite classique (celle des spectacles), il se dit que seuls 10 % des gens peuvent être hypnotisés. Il s’agit de personnes « suggestibles ». Dans les salles de spectacle, les personnes montant sur scène ont été choisis préalablement selon leur suggestibilité.

    À l’inverse, de nombreuses études montrent que 80 % des individus sont réceptifs à l’hypnose Ericksonienne. Bien évidemment, le patient doit être consentant. D’une part, cet outil thérapeutique requiert l’adhésion du patient, mais d’autre part, il ne faut pas faire partie de 5 % d’individus qui y sont complètement réfractaires.

    Bien sûr, dans les 80 %, c’est plus difficile pour les gens qui sont perpétuellement dans le contrôle, mais même les plus tenaces peuvent être hypnotisés. Il faut alors plus de séances et surtout de la bonne volonté.

    Que peut-on attendre de l’hypnose ?

     

    Même s’il est difficile de généraliser, l’hypnose a fait ses preuves notamment pour affronter une situation particulière qui nuit à notre quotidien et donc pour trouver des solutions afin d’adopter de nouveaux comportements. Le champ des problèmes traités est très vaste, et je ne citerai ici les principales problématiques pouvant relever de l’hypnose Ericksonienne.

    • Lutter contre certaines addictions comme le tabac, par exemple.
    • Lutter contre la douleur. En état d’hypnose, le corps libère des endorphines qui sont des antalgiques naturels.
    • Lutter contre l’obésité ou pour maigrir tout simplement.
    • Diminuer les troubles du sommeil.
    • Diminuer les troubles de la sexualité (et notamment des blocages induisant des problèmes de stérilité).
    • Diminuer les angoisses et le stress.
    • Traiter des troubles dermatologiques tels que le psoriasis.
    • Soulager des problèmes musculaires, de dos notamment.
    • Soulager le syndrome du côlon irritable.
    • Comprendre les troubles alimentaires (anorexie, boulimie).
    • Faire resurgir, entre autres, des blessures et des traumatismes que le cerveau a enfoui dans l’inconscient et qui nuisent à l’épanouissement (méthode utilisée par Freud).

    Comment se déroule une séance d’hypnose ?

     

    Elle s’effectue en présence d’un thérapeute qui a suivi les formations nécessaires. Elle consiste en un échange entre le patient et le thérapeute.

    D’une façon générale, une première séance est cependant nécessaire afin que le thérapeute recueille, avec l’accord du patient, des éléments de vie qui lui seront nécessaires pour guider les entretiens.

    Puis lors des séances suivantes, le thérapeute grâce à ses outils, amène le patient dans un état de transe, dit « hypnotique » qui peu à peu le conduit vers son inconscient.

    Pour ma part, voici comme je procède lors d’une séance d’hypnose :

    • Accueil, mise en confiance du patient.
    • Phase de questionnement notamment sur la problématique à traiter et les attentes du patient.
    • Phase d’explication de l’hypnose avec des mots simples et réconfortants.
    • Phase de relaxation-projection dans un souvenir agréable suggéré par le patient dans le questionnement initial.
    • Phase de travail. Le principe est de travailler sur l’inconscient du client en état de transe.
    • Sortie de la phase transe-hypnotique.
    • Débriefing.
    • Planification de la prochaine séance.

    Une séance dure environ une heure. Mais en général, une séance ne suffit pas… Selon le problème à traiter, il faut prévoir entre 5 et 10 séances.

    Quelques exemples concrets :

    • Arrêt du tabagisme : entre 1 à 5 séances. S’il en faut plus c’est qu’il y a un problème plus important à gérer. Un manque de volonté de la part du patient, par exemple.
    • Perte de poids : entre 8 et 12 séances.
    • Insomnies : entre 1 à 3 séances.

    Est-ce dangereux ?

     

    Non, disons-le d’emblée. Quel que soit l’état d’hypnose, vous restez toujours maître de vos actions. Et pour ceux qui se posent la question (à juste titre), on finit toujours par se réveiller. Et contrairement à ce qu’il peut se dire, un hypnothérapeute ne peut pas avoir d’influence sur vos pensées. L’hypnose n’est pas un lavage de cerveau. Vous pouvez donc y aller en toute confiance, sous réserve bien sûr de choisir un véritable thérapeute.

    Vous êtes intéressé(e) ?

     

    À la fois sophrologue et hypnothérapeute, j’ai suivi diverses formations m’octroyant les compétences et les aptitudes pour pratiquer l’hypnose et vous aider à résoudre divers problèmes. J’interviens à Paris et en proche banlieue. N’hésitez pas à me consulter ma page pro ou à me contacter directement en MP ou par mail : charlottevallet@hotmail.com.

    « L’hypnose, c’est une relation pleine de vie qui a lieu dans une personne et qui est suscitée par la chaleur d’une autre personne »

     Erickson

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue

     

     

     

     

  • Quand l’esprit domine le corps

    Quand l’esprit domine le corps

    Platon disait « les MAUX du corps sont les MOTS de l’âme, ainsi on ne doit pas guérir le corps sans chercher à guérir l’âme. »

    Dans les traditions indiennes et chinoises, le corps et l’esprit ne font qu’un, depuis la nuit des temps. Pourtant, c’est encore loin d’être le cas dans notre civilisation occidentale, où pour monsieur Tout-le-monde, le corps et l’esprit sont deux entités indépendantes. La faute à Descartes (et à ses disciples), qui considérait que l’âme (entité immatérielle) était radicalement distincte du corps (machine). C’est ce que l’on appelle le « dualisme ».

    Mais, heureusement, depuis Descartes, la science a évolué, et la médecine reconnaît aujourd’hui l’interdépendance entre le corps et l’esprit. L’esprit peut influer sur le corps, et le corps sur l’esprit.

    De nos jours, dans une société qui nous soumet à de multiples émotions en tout genre, notre corps subit de nombreux chocs émotifs que nous ne sommes pas toujours en mesure de gérer, et qui peuvent se traduire par un mal-être qui se répercute en maladie(s).

    Cependant tout ceci est assez complexe, et c’est la raison pour laquelle j’ai souhaité rédiger cet article afin de tenter de vous livrer des explications simples, mais aussi des solutions.

    Quelques définitions préalables et quelques explications

    Le corps

    Commençons par le plus simple : le corps. Et contentons-nous de la définition du Larousse. Le corps se définit comme « La partie matérielle d’un être animé considérée en particulier du point de vue de son anatomie, de son aspect extérieur ». Rien de très difficile jusqu’à présent.

    L’esprit

    Mais si l’on tape le mot « esprit » sur internet, on y trouve une dizaine de définitions, selon que l’on se place d’un point de vue psychologique, psychanalytique, philosophique, métaphysique, spirituel, religieux…

    Pour le commun des mortels, l’esprit est « associé » au cerveau. Cependant, ce sont deux choses différentes. Le cerveau est concret : on peut le visualiser, l’analyser, le traiter. L’esprit n’est pas matérialisable. Il est invisible, propre à chacun, privé, subjectif.

    Demandez à quelqu’un de vous donner une définition du mot esprit ? Personne n’aura la même.

    C’est pourquoi, pour simplifier, j’associerai dans cet article, le mot « esprit » à « pensées et émotions », et que je me baserai sur l’hypothèse émise par les neurosciences : l’esprit siège dans notre cerveau.

    Désormais, un nombre important d’études montrent que nos pensées, nos émotions, nos ressentis ont une influence sur notre santé. Il a été prouvé que des pathologies graves telles que le cancer, les AVC et les infarctus peuvent avoir un lien direct avec notre « esprit ».

    Et ne l’oublions jamais au cours de cette lecture, l’inverse est également vrai. Des pensées positives améliorent la qualité de vie et peuvent même améliorer l’état de santé. D’ailleurs, illustrons cela tout de suite et parlons de l’effet placebo.

    L’effet placebo : la preuve que l’esprit et le corps sont en lien direct

    Pour ceux qui ne connaissent pas l’effet placebo, il s’agit d’obtenir un effet thérapeutique réel en faisant croire à un patient qu’il prend un médicament alors qu’il prend du sucre. Précisons que tout le monde n’est pas réceptif à ces expériences, mais bon nombre de personnes y sont sensibles.

     

    Pour votre culture générale, on parle de l’effet placebo depuis des siècles. Mais c’est Henry Beecher qui était anesthésiste, pendant la Seconde Guerre mondiale, qui a publié la première véritable étude sur ce sujet, suite à ce qu’il avait observé pendant la guerre. En effet, n’ayant plus de morphine pour soulager ses patients, il leur injectait, sans leur dire, des doses d’eau salée. Et pour 35 % d’entre eux, la douleur diminuait. Même si l’on dit qu’il avait surestimé ce chiffre, il n’en demeure pas moins que l’effet placebo est aujourd’hui incontesté et incontestable. Certaines personnes qui pensent recevoir un véritable traitement voient leurs maux diminuer, ce qui prouve par A + B que la pensée agit sur le corps et dans ce cas, dans le bon sens.

    Mais à l’inverse, lorsque nos pensées ou émotions sont négatives, elles agissent dans le mauvais sens. Et l’on parle alors, le plus souvent de maladies psychosomatiques.

    Qu’est-ce qu’une maladie psychosomatique

    C’est la conséquence de ce que je viens d’évoquer. Par exemple, en cas de stress, d’angoisse, de mal-être induits par des pensées négatives, le corps réagit, et des maladies se déclarent. Contrairement à ce que certains pensent, les maladies psychosomatiques sont de véritables maladies.

     

    Mais comment est-ce possible ?

    En reprenant l’hypothèse que l’esprit siège dans le cerveau, cela s’explique facilement. Notre système nerveux est composé de dizaines de milliards de neurones. Et le système nerveux agit directement sur notre système endocrinien et notre système immunitaire.

    Aussi, dès lors que nos émotions sont négatives, des phénomènes chimiques se déclenchent, ce qui crée un déséquilibre du système nerveux, ce qui entraîne un déséquilibre dans les autres systèmes qui sont censés nous protéger.

    Si le système immunitaire ou le système endocrinien deviennent défaillants, eh bien on est malade, et pour de vrai !

    Un exemple ?

    Lorsque nous sommes stressés, des réactions en chaîne se déclenchent, et de véritables pathologies peuvent en découler :

    • Troubles de la digestion : ballonnement, diarrhées, constipation, crampes abdominales
    • Troubles de l’alimentation : anorexie-boulimie
    • Hypertension et migraines
    • Crises de panique
    • Épuisement, neurasthénie, douleurs inexpliquées

    De même, lorsque nous sommes de bonne humeur, les signaux sont inversés, et nous sommes moins sujets à tous ces maux, voire nous pouvons en guérir certains.

    Certains vont même plus loin : chaque maladie a un sens

    Dans le livre « Ton corps dit : Aime-toi ! » de Lise Bourbeau, une coach en développement personnel, une relation directe est établie entre nos émotions et vingt pathologies.

    Que l’on y croie ou pas, Lise Bourbeau vous démontre que chaque maladie nous livre un message. Et pour elle, tout passe par un travail sur soi.

    Un exemple, et en simplifiant énormément, pour l’auteur, le mal au dos peut traduire différentes choses :

    • Lorsque l’on a mal dans le bas du dos, c’est que l’on se sent submergé par des contraintes et que l’on y répond par devoir, alors que l’on a plutôt envie de liberté.
    • Lorsque l’on a mal au milieu du dos, c’est un signe d’insécurité matérielle.
    • Et s’il s’agit du haut du dos, c’est une souffrance affective ou que l’on se sent surveillé.

    D’ailleurs, on connaît toutes les expressions : en avoir plein le dos, avoir quelqu’un sur le dos

    Bien sûr, ici je vous résume sa vision qui est largement argumentée dans son ouvrage.

    Un petit résumé s’impose

    De nos jours, la dualité entre le corps et l’esprit est révolue. Il est désormais reconnu que des interactions incessantes se produisent entre les deux, et dans les deux sens.

    Notre esprit recueille nos émotions.

    En fonction de ces émotions, notre cerveau déclenche des réactions en chaîne.

    Selon notre « façon de faire face », notre fébrilité, notre état de fatigue, etc., notre corps réagit plus ou moins bien, souvent “moins” que “bien” d’ailleurs.

    Les solutions

    Si vous allez consulter un médecin, rares seront ceux qui vous diront de traiter la cause d’origine, et dans notre exemple précédent, de traiter la cause d’une difficulté à gérer le stress, par exemple. Si le stress engendre chez vous des maux d’estomac ou des ballonnements, le médecin vous enverra faire une fibroscopie, et vous prescrira trois ou quatre pilules différentes. Attention, je ne généralise pas, ni pour les médecins, ni pour les pathologies. Mais à titre personnel, j’ai plutôt rencontré des médecins qui se préoccupent plus des conséquences que de la cause. Sachant aussi que certaines maladies ne sont pas liées à notre état mental.

    Cependant, dans de nombreux cas, des alternatives existent, alternatives qui tenteront de s’attaquer au problème de fond. Citons par exemple, l’hypnose, l’acupuncture, la méditation, la sophrologie dont j’ai fait mon métier.

    Ainsi pour finir cet article, je vous parlerai de deux techniques, l’une que l’on peut pratiquer seule : la méditation, et l’autre pour laquelle vous êtes accompagné(e) : la sophrologie.

    La méditation

    Pour certains, le mot méditation fait sourire, et pourtant cette pratique millénaire fait désormais l’objet d’un consensus dans le corps médical. Lors d’un congrès, en avril 2012, réunissant 700 médecins, psychologies, neurologues, les effets positifs de la méditation ont été observés par IRM et par Scanner.

    La méditation consiste à apprendre à vous détacher de vos préoccupations et à ne vous concentrer que sur le moment présent.

    L’avantage, c’est que vous pouvez pratiquer la méditation seule, mais c’est aussi un inconvénient, car certains éprouvent le besoin d’échanger.

    La sophrologie

    Sophrologue de métier, je vous livre ici en quoi la sophrologie peut vous aider dans la gestion de vos émotions.

    La sophrologie a pour but d’apprendre à gérer les tensions, le stress, les peurs afin d’harmoniser le corps et l’esprit.

    C’est d’ailleurs la raison d’être de ce blog !

    Avec la sophrologie, vous êtes guidé(e) par un professionnel qui sait adapter son travail à votre état. Si vous êtes intéressé(e), je vous invite à me contacter et à prendre un rendez-vous, ou à participer aux ateliers que j’organise.

    Conclusion

    Si toutes les pathologies ne sont pas en lien direct avec nos pensées et nos émotions, une partie d’entre elles le sont, et c’est désormais admis et reconnu par le corps médical. Pour autant, les patients ne sont pas toujours orientés vers les « bons » traitements ou les « bons » praticiens. Ils sont soulagés de leur douleur « physique », mais ne le sont pas de leur douleur « mentale ». Les médecine douces peuvent donc être LA solution.

    A Bientôt,

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute sur Paris et proche banlieue

     

     

     

     

  • Et toi, qu’est-ce qui te donne le SMILE ?

    Et toi, qu’est-ce qui te donne le SMILE ?

    Aujourd’hui, nous sommes lundi. Et le lundi est, pour un grand nombre d’entre nous, un jour morose.

    Alors, pour bien commencer la semaine, je me suis demandé, ce week-end, ce qui me procurait de la joie au quotidien. J’ai fini par dialoguer avec moi-même pour y répondre.

    C’est une question que l’on se ne pose pas souvent. On préfère plutôt se demander si l’on est heureux ou malheureux. Sachant que la quête du bonheur n’est pas toujours une fin en soi.

    Par ailleurs, nous avons la fâcheuse tendance à penser que nous ne somme pas heureux. Notre cerveau a plutôt tendance à nous rappeler les moments difficiles plutôt que les moments positifs.

    Et c’est prouvé ! Écoutez autour de vous, et comptez le nombre de fois où vous entendez « je suis fatigué ; j’ai froid ; je ne sais pas comment je vais faire pour faire telle ou telle chose ; cette personne m’énerve ; je me sens mal ; mon appartement est en bazar; je me sens trahie ; elle ne m’aime pas … ».

    Il est acquis que nous (les êtres humains), nous nous complaisons dans la plainte. Elle anime nos journées.

    Cela dit, elle nous épuise tout autant !

    Et si nous regardions les choses différemment ? Et si plutôt que regarder ce qui ne va pas, nous regardions ce qui va bien ? Faire un bilan de ce qui est positif dans sa vie peut aider à s’apercevoir que, finalement, la vie est belle !

     

    Sourire

    Mon expérience 

    Si je me réfère à mon année 2018, voici les moments qui m’ont procuré de la satisfaction :

    1. Janvier – J’ai emménagé dans mon nouvel appartement, après une rupture difficile. Le décorer m’a procuré un plaisir intense.
    2. Février – Il a neigé à Paris. La neige a tenu plusieurs jours, ce qui est plutôt rare, ici. Il faisait très froid et les voitures avaient du mal à circuler, mais que c’était beau !
    3. Mars – J’ai fini le semi-marathon avec une de mes amies sans m’être trop entraînée. L’ambiance était si chaleureuse ! Des musiciens, des chanteurs, des fans… Vous vous sentez tout puissant.
    4. Avril – Je suis retournée en Afrique, pour la première fois après y avoir vécu, ce qui m’a fait redécouvrir l’univers magique de ce continent. Les odeurs de poulets braisés dans les rues, l’attieké, l’alloco, la gentillesse des africains, et le mantra “tout est possible” qui vous habite à nouveau.
    5. Mai – J’ai débuté une formation “Switch Collective”, ce qui m’a permis de me reconvertir dans la joie et l’apaisement.
    6. Juin – J’ai commencé ce blog qui est devenu ma vitrine, mais surtout mon outil de communication. C’est aussi mon “bébé”, et j’en suis assez fière.
    7. Juillet –  On a gagné la coupe du monde, et l’ambiance a été à son apogée durant plus d’un mois. Les Français étaient proches et soudés.
    8. Août – J’ai découvert les joies de la Bretagne. Je n’ai pas pour habitude de découvrir les régions françaises, préférant partir à l’étranger dès que je le peux. Et pourtant, cette fois, j’ai adoré. Les paysages sont magnifiques, sauvages et différents du reste des régions. Tout ce que j’aime.
    9. Septembre – J’ai retrouvé ma ville (qui est selon moi la plus belle), après plusieurs mois sur d’autres territoires. Prendre conscience de la beauté de cette architecture hors du commun, de la diversité culturelle, c’est magique.
    10. Octobre – J’ai profité de l’été indien. Été qui habituellement se termine en septembre, mais là, l’été s’est prolongé, et j’ai pu profiter du soleil en cette période souvent triste.
    11. Novembre – J’ai commencé l’organisation de mon voyage au Népal, et ce, pour la deuxième fois. Ce qui me fait sourire, ce sont tous les préparatifs purement logistiques.
    12. Décembre – J’adore les fêtes de Noel et la chaleur de mon entourage à cette période.

    Essayez de faire de même. Obligez-vous à faire un bilan mensuel ou hebdomadaire de ce qui s’est bien passé, et de ce qui vous a procuré du plaisir.

    Vous constaterez que, finalement, le verre est plutôt à moitié plein qu’à moitié vide !

    Sourire

    Comment (re)trouver le sourire ?

    Finalement, avoir le sourire ou non, c’est assez subjectif. Et nous sommes tous différents face à cela. Certains auront “moins” que vous (sur le papier), mais ils se contentent de peu ou en attendent moins… Ils parviennent à apprécier des petits plaisirs au quotidien.

    Il y a tant de petites choses qui procurent des petits plaisirs :

    1. Le sourire d’un inconnu dans le métro
    2. Un rayon de soleil, un ciel bleu
    3. La blague d’un collègue quand on arrive au travail le matin
    4. Le rire des enfants dans la rue
    5. Le chocolat viennois pris au Starbucks du coin
    6. Un compliment de sa belle soeur
    7. La fin d’une séance de sport avec une amie
    8. Marcher au bord de la mer
    9. Rentrer dans le jean que l’on portait, il y a 10 ans
    10. Croiser des amoureux dans la rue
    11. La bienveillance
    12. Boire une bière avec quelqu’un que vous appréciez
    13. Réserver des vacances
    14. Gagner un pari
    15. Marcher des heures dans les rues avec de la musique
    16. Recevoir une bonne nouvelle dans sa boite mail
    17. Se préparer avant un diner ou une sortie
    18. Apprécier un bon repas, que l’on aura cuisiné

    Sourire

    Le pouvoir du moment présent

    Alors, si vous aussi, vous avez envie de profiter de la vie, je vous conseille fortement la lecture de ce livre : “Le pouvoir du moment présent” d’Eckart Toll. Il est incontournable. Vous y trouverez des solutions pour trouver une paix intérieure et pour apprendre à vous épanouir.

    “Au coeur de cet enseignement se trouve la transformation de la conscience : en vivant dans l’instant présent, nous transcendons notre ego et accédons à ” un état de grâce, de légèreté et de bien-être “. Ce livre a le pouvoir de métamorphoser votre vie par une expérience unique.”

    En effet, nous vivons constamment dans le passé ou dans le futur, mais rarement au présent. Et comme l’avenir nous fait peur, nous avons tendance à anticiper toutes les situations de façon à éviter l’échec.

    Alors, oui, préparer l’avenir est important. Mais il ne faut pas se laisser submerger par cette anticipation. Le hic, c’est que la peur n’évite pas le danger, et l’anticipation n’évite pas l’échec. Il est impossible de tout contrôler, car de nombreuses situations ne dépendent pas de nous.

    Le passé, quant à lui, est essentiel car il a fait de nous ce que nous sommes. En l’occurence, il faut l’accepter. On ne le change pas… Il faut juste en tirer les leçons.

    Aussi, pour être un plus apaisé(e), il est fondamental de vivre le moment présent en pleine conscience.

    La sophrologie est un outil de choix pour apprendre à vivre dans le moment présent et apprendre à se relaxer.

    Si vous souhaitez plus d’informations sur cette méthode, je suis à votre disposition pour en discuter par message privé.

    La fiabilité, le pilier de l'amitié

    Charlotte VALLET

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue

    charlottevallet@hotmail.com

  • CAP sur 2019 : Choisissez votre résolution.

    CAP sur 2019 : Choisissez votre résolution.

    Nous voici en 2019, nouveau départ, et comme d’habitude nouvelles résolutions !

    La nouvelle année, c’est souvent une façon pour tout un chacun de se libérer du passé (et de ses mauvaises habitudes) et de recommencer sur de nouvelles bases en essayant d’être quelqu’un de “mieux”. Du moins, c’est parfois l’illusion que nous avons face à cette nouvelle ligne de départ.

    Le mois de janvier, c’est aussi une période « d’amour » au cours de laquelle nous exprimons nos voeux et nos sentiments envers autrui. Qui n’a pas entendu les mots doux ci-dessous ?

    “Bonne année à toutes les choses, au monde, à la mer, aux forêts.
    Bonne année à toutes les roses que l’hiver prépare en secret.
    Bonne année à tous ceux qui m’aiment et qui m’entendent ici-bas.
    Et bonne année aussi, quand même, à tous ceux qui ne m’aiment pas.”

    Quoi qu’il en soit, se fixer des objectifs est essentiel pour avancer. C’est aussi une histoire de fierté personnelle. Dès lors que l’on est dans cette démarche, on se sent déjà mieux, comme si on s’aimait déjà un peu plus, je dirais.

    Mais attention à ne pas se mentir… Se fixer des objectifs intenables, comme une liste de 10 résolutions, ne sert à rien, bien au contraire… Mieux vaut se fixer un objectif et l’atteindre, que 10, et n’en atteindre aucun. Alors fixez-vous, une et une seule résolution, et donnez-vous à 100 % pour la tenir.

    Vouloir à la fois arrêter de fumer, se mettre au sport, arrêter de procrastiner, se fixer un voyage, c’est très certainement un peu prétentieux. Mieux vaut être réaliste et moins exigeant.

    Dans cet article, je vous ai dressé une liste de résolutions classées par thématique. Ce ne sont bien sûr que des propositions. À vous de vous les approprier, en fonction de votre personnalité.

    « L’essentiel n’est pas de vivre, mais de bien vivre » 

    Dormir plus

    C’est essentiel : respectez-vous et tentez de dormir au minimum 8 heures par nuit. Votre corps vous le rendra au centuple. Très souvent, on imagine que l’hygiène de vie passe par la nourriture. Certes, ce n’est pas faux. Mais le sommeil est prioritaire, d’autant que lorsque l’on manque de sommeil, on a plus tendance à manger en plus grandes quantités.

    Boire plus

    Même si l’on a moins soif en hiver, je vous l’accorde, il est important de continuer à s’hydrater de la même façon qu’en été. En effet, avec le froid, le corps se dessèche considérablement, et il est primordial de boire au minimum 1,5 litres de liquide par jour. Je vous conseille de vous préparer des smoothies dès le réveil, ainsi qu’un jus de citron tiède. Vous démarrerez alors la journée avec déjà une dose correcte de liquide.

    Bouteille d'eau en plastique imprimé Maisons du monde

    Utiliser un humidificateur chez soi

    Je n’avais pas vraiment conscience de l’apport d’un humidificateur avant que l’on ne m’en parle et que je lise des articles sur ce sujet. Eh bien, je fais toute la différence depuis que j’en utilise un. Je suis beaucoup moins malade et mon sommeil s’est nettement amélioré.

    S’inscrire à une course à pied

    Pour ma part, je me suis inscrite à un marathon cette année. Rien que le fait de m’entraîner régulièrement pour cette épreuve, somme toute difficile, me procure de bonnes sensations et des vibrations positives. C’est un véritable challenge et je ne suis pas certaine de relever ce défi…, mais je suis déjà très fière de moi que de m’être inscrite.

    Aller voir un magnétiseur

    J’ai déjà écrit un article sur mon blog sur deux jeunes femmes superbes qui font des miracles en la matière. C’est idéal en cas de manque de motivation et de petit coup de mou. Elles font en sorte que vos énergies circulent mieux dans votre corps.

    J’ai rendez-vous demain avec un autre praticien qui est situé dans le 17e arrondissement de Paris. Je souhaite qu’il m’aide à accélérer le processus de diminution de mon inflammation sur le visage (liée au laser ablatif). Je vous écrirai un article sur cette expérience et vous donnerai ses coordonnées, si bien sûr, ça fonctionne !

    Faire de la méditation

    La méditation n’est pas “seulement” un phénomène de mode. C’est une méthode qui a été éprouvée en termes de bénéfices sur la santé mentale. Pratiquer un peu de méditation avec l’application “Petit Bambou”, chaque jour, peut être une solution pour aller mieux. Ce serait une ” sage ” résolution…

    New Moon Vibes: Our New Moon Ritual + Guided Meditation | Wabi-Sabi Well

    Se reposer en cas de fatigue sans aucune culpabilité

    On parle toujours de procrastination lorsque l’on prend l’habitude de tout remettre au lendemain. Cela dit, se reposer en cas de grosse fatigue au lieu de répondre à ses objectifs du jour, ne doit pas engendrer de la culpabilité. D’autant que vous ne serez pas efficace. Alors faites de 2019, une année sans culpabilité.

    Un soin du visage tous les 1 mois et demi

    Avec la pollution très présente à Paris, il est essentiel de prendre soin de son visage. Alors, parfois on y pense, mais on a souvent tendance à négliger l’importance de faire des soins. Pourtant, il existe de nombreux endroits où l’on peut faire de très bons soins du visage à des prix attractifs à Paris. Et si vous ne pouvez pas, commencez déjà par bien vous démaquiller et vous nettoyer le visage le soir, et de l’hydrater quotidiennement.

    Se mettre au sauna

    Les bienfaits du sauna sont nombreux et apportent surtout une relaxation simple et accessible à l’ensemble du corps. Et aujourd’hui, nous avons la chance de trouver des saunas accessibles facilement dans les salles de gym, par exemple. Je vous conseille de faire 3 sessions de 15 minutes, en  vous douchant à l’eau froide, entre chaque session.

    Mettre au repos son estomac

    Depuis quelque temps, j’essaie de faire en sorte de reposer mon estomac, durant 13 heures au minimum. Je dîne vers 19 heures et je ne petit-déjeune pas avant 9 heures. Vous vous sentez tellement plus léger au réveil. Je me suis organisée pour travailler de chez moi, jusqu’au petit déjeuner, de façon à me préparer un succulent encas plein de fibres et de vitamines, que j’absorbe avec délectation, à 9 heures pétantes !

    Salade pommes et noix Plus

    Penser aux protéines alternatives

    J’ai renoncé à manger de la viande, et je suppose que d’autres personnes sont dans le même cas que moi. Aussi, et pour pallier le manque de protéines, j’ai trouvé, récemment, en magasin bio, une petite perle qui s’appelle ” l’Éveil du Bouddha “. C’est une poudre que vous mélangez à du lait végétal (ou même du lait de vache si vous préférez) et qui est un délice pour les papilles. Elle existe sous différents parfums : ma préférée est celle au cacao.

    Diminuer le temps d’écran sur le téléphone au profit d’un livre

    Il est difficile de trouver du temps pour lire un livre, je vous l’accorde ! En revanche, nous en trouvons pour le passer sur notre écran de téléphone …  Et si vous avez un IPhone, vous avez désormais droit à un rapport quotidien du temps passé sur votre écran… et c’est assez alarmant. Et si nous tentions de diminuer le temps passé à cette ” activité ” ? En la divisant par deux, on pourrait déjà, à nouveau lire ou rire !

    Se mettre à la sophrologie

    Ce n’est pas parce que je suis sophrologue que je vous encourage à essayer la sophrologie. C’est surtout parce que vous y mettre vous fera un bien fou. Croyez-moi, c’est presque magique. La respiration est la clé du bien-être. Alors, essayez !

     

    « Le langage structure tout de la relation humaine »

    Être plus gratifiant envers soi et envers les autres

    Apprenez à dire MERCI ! Cela semble évident, mais pas tant que cela. On prend l’habitude d’évoluer avec ceux qui nous entourent, et sans même que ce soit volontaire parfois, on oublie de dire Merci. Pourtant, être reconnaissant envers les gens qui nous accompagnent au quotidien est la moindre des choses. Le leur dire leur fera un bien fou. Et à vous aussi d’ailleurs. Il faut être conscient que c’est une véritable chance d’être soutenu. Alors, on ose dire merci, mais surtout, on y pense !

    Avouer à une personne qu’on l’aime

    Sans amour la vie ne mérite pas d’être vécue… C’est, en effet, le Saint Graal pour avancer et être en paix avec soi-même. En ce début 2019, avouez aux personnes qui vous sont chères que vous les aimez, mais surtout à votre bien aimé(e) caché(e) ou pas. Il faut mettre sa fierté de côté pour être en accord avec soi-même. Qu’avons-nous à perdre ?

    Faire preuve de sincérité en toute circonstance

    La sincérité est le pilier de toutes les relations. Sans elle, il est impossible d’avancer. Soyez toujours sincère avec les autres, et par la même occasion avec vous-même. Je vous invite à lire mon article sur ce thème (qui m’est très cher) et qui sera très prochainement publié !

    Renouer avec un vieil ami

    Il est possible qu’un vieil ami vous ait fait du mal… beaucoup de mal. Et si vous faisiez un effort pour analyser la situation… Et si cette personne était quelqu’un de bon qui vous a blessé(e) sans le vouloir, lui pardonneriez-vous ? Débarrassez-vous de vos rancoeurs.

    First kisses immortalized in photos.

    « Le voyage est un retour vers l’essentiel »

    Prévoir un road trip 

    Il est temps pour vous de voyager et de parcourir le monde. Contrairement à ce que l’on pense, le voyage n’est pas une question de chance mais réellement d’envies. Si l’on a vraiment envie de voyager, c’est toujours possible.

    Découvrir l’Afrique

    C’est encore un continent méconnu de la plupart des gens. Et pourtant et j’ai beaucoup voyagé !  C’est en Afrique que vous pourrez découvrir les plus beaux paysage du monde !

    Afrique: le style à l'état pur!

     

     

    « Le plus grand échec est de ne pas avoir le courage d’oser »

    Faire du camping

    “L’aventure est dans chaque souffle de vent” ! Faire du camping permet de découvrir de nombreuses facettes que nous ne connaissons pas toujours ! La vie en société, la vie sans confort… et plein d’autres choses encore…

    Monter le Kilimandjaro

    “Les grands voyages ont ceci de merveilleux que leur enchantement commence avant le départ même… On ouvre les atlas, on rêve sur les cartes. On répète les noms magnifiques des villes inconnues…”. Certes, ce n’est pas donné à tout le monde… Mais quelle merveilleuse aventure !

    Sauter en parachute

     “La vie est un voyage en parachute.” Ok, ok… Mais un vrai saut en parachute… ça décoiffe ! Ça par exemple, ce peut être une deuxième résolution que vous pouvez programmer dans l’année.

    Voyager seul

    “ La solitude est un art ”. C’est lorsque l’on est fasse à soi-même que l’on apprend le plus de choses.

    Vivre à l’étranger au moins une fois dans sa vie

    “Rien ne développe l’intelligence comme les voyages”. Honnêtement, c’est le must du must pour s’ouvrir l’esprit.

    Démarrer une entreprise 

     “Chaque fois que vous voyez une entreprise qui réussit, dites-vous que c’est parce qu’un jour, quelqu’un a pris une décision courageuse.”. Aujourd’hui, si vous avez une passion (et quelques compétences tout de même), rien de plus facile que de vous lancer dans l’aventure de l’entrepreunariat.

     

    « Connais-toi toi-même »

    Avoir toujours un livre de chevet à portée de mains

    “La lecture est l’apothéose de l’écriture”…

    Apprendre une deuxième langue

    De nos jours, il existe de nombreuses méthodes pour apprendre une nouvelle langue à des prix attractifs. Plus besoin de passer par des organismes qui vous feront payer des tarifs exorbitants. Vous pouvez même apprendre une langue grâce à des formules en ligne gratuites ou des applications téléchargeables.

    Aller seule au cinéma

    Croyez-moi ou non mais c’est une bulle de confort absolu. Personne pour vous parler durant le film, ou pour vous piquer vos pop-corps (rires). Des émotions au plus profond de nous-même.

    Écouter des podcasts comme « Nouvelle École »

     Mon podcast de l’année ? Vous le trouverez principalement sur Apple Podcast mais aussi sur YouTube.

    Lecture

    « Le bonheur est né de l’altruisme »

    Donner son sang

    “Évalue ta richesse à l’importance de ce que tu donnes.”

    Avoir un animal de compagnie et lui donner beaucoup d’amour

    On n’est jamais aussi heureux que dans le bonheur qu’on donne. Donner, c’est recevoir.” C’est une sacrée résolution mais que de bonheur !

    Faire du bénévolat 

    Donner est un plaisir plus durable que recevoir, car celui des deux qui donne est celui que se souvient le plus longtemps.”

     

    « La nature donne les mouvements, et l’art les enseignements »

    Aller plus souvent à la campagne

    Souvent, on se trouve des excuses pour ne pas bouger ! Et pourtant, vous pouvez aller vous aérer l’esprit et prendre l’air sans avoir de maison de campagne. Il existe de nombreuses promenades en forêt, et non loin de Paris. Je suis tombée récemment sur un article qui m’a donné quelques idées de balades : https://www.lesothers.com/11-randonnees-paris/?fbclid=IwAR3tSCvkNpU3BRsm121lAIZreJTpt38APM6g_CGBqPGraQxvjSM5osioM3o

    Acheter des plantes et leur donner de l’amour

    Il est prouvé que lorsque vous parlez à vos plantes et que vous vous montrez bienveillantes envers elles, elles poussent plus vite. Faites l’expérience, c’est intéressant !

    Trier ses poubelles

    Et si nous terminions par une résolution écologique ? Certes, ce n’est pas évident de le faire tous les jours, mais pas impossible non plus. Prévoyez chez vous deux poubelles, une pour le verre et une pour le reste au minimum. Le compost est intéressant et marrant à faire aussi. “Le compost est économique et gratuit.  À la maison, chacun de nous peut rediriger une bonne partie des déchets destinés à la poubelle vers le tri sélectif (verre, papier, carton, plastiques, textiles, boites de conserves…). Après ce tri, la moitié de la portion qu’il reste, est composée de déchets organiques compostables. Il s’agit aussi bien du trognon de pomme que du restant de repas, du marc de café avec son filtre ou encore des épluchures de pomme de terre et les feuilles de journal qui l’entourent sont des déchets.”

     

    Autumn in Park City, Utah 16 Incredibly Beautiful Aerial Pictures Of The American West

     

    Alors ? Quelle résolution avez-vous choisie ? 

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue 

     

  • Hiver je t’aime, et je t’accepte !

    Hiver je t’aime, et je t’accepte !

    C’est officiel, l’hiver arrive ! Et en général, avec l’hiver arrive aussi toutes ces petites angoisses, voire même cette petite déprime que nous redoutons tous… Et pourtant, l’hiver, malgré la pluie, malgré le froid, peut se révéler comme une période extrêmement positive !
    Déjà, l’hiver est une période magique pour la plupart d’entre nous, avec les fêtes, les retrouvailles avec ceux qui nous sont chers… mais c’est aussi, la saison idéale pour cocooner, se reposer, se ressourcer et faire plein de choses que l’on a pas vraiment le temps de faire ou d’apprécier le reste de l’année.
    Alors pour que vous changiez d’avis sur cette saison souvent boudée, j’ai voulu dans cet article vous livrer mes secrets pour transformer ces longs mois souvent froids, en de merveilleux moments plutôt très chaleureux.
    Après avoir fait quelques rappels sur l’hiver et ses bienfaits, à proprement parlé, je vous proposerai quelques activités, et vous constaterez qu’il n’y a vraiment pas de quoi déprimer !
    e

    L’hiver, quèsaco ?

    L’hiver, c’est cette fameuse période qui dure officiellement 3 mois, mais plutôt 6 chez nous et qui représente pour beaucoup d’entre nous « une galère ».
    C’est la période durant laquelle on ferme les volets à 18 heures, et où l’on attend qu’une chose : aller se coucher.
    C’est la période durant laquelle on se plaint de tout.
    C’est la période durant laquelle on se sent perpétuellement fatigués, sans entrain, blasés.
    C’est la période durant laquelle tout nous pèse, et accessoirement celle durant laquelle on va aussi peser un peu plus…
    e
    L’hiver, c’est aussi cette période durant laquelle la solitude refait surface. Elle en devient presque notre meilleure amie.
    C’est aussi la période durant laquelle la luminosité est au plus bas. Il pleut, il neige, il gèle et le ciel est terne la majorité du temps.
    C’est donc la période durant laquelle nous allons systématiquement chercher de la chaleur, qu’elle soit humaine ou de toute autre nature.
    e
    Finalement, l’hiver, on hiberne et le plus souvent, on déprime.
    e
    Et pourtant, il y a tant de choses à faire. Comme nous allons le découvrir dans la suite de cet article, l’hiver est au contraire une période où l’on peut véritablement se faire plaisir, simplement, seule, avec son alter ego, ou avec ses amis !
    e
    Hiver, je t'aime et je t'accepte

    Quels sont les bienfaits du froid ?

    D’ailleurs, en parlant du froid, savez-vous qu’il possède des vertus incroyables ? Rien que pour cette raison, il ne faut pas dénigrer cette période hivernale.

    Dès lors qu’il fait froid, la circulation sanguine est accélérée avec tous les bienfaits qui s’y rapportent. Résultats : la microcirculation est stimulée, les cellules sont mieux drainées, les organes sont alors bien mieux alimentés. La peau est raffermie. Une cure de jeunesse ! Et si vous faites un régime, c’est le must pour éliminer un maximum de toxines !

    Alors, si vous voulez tester en live les bienfaits du froid, voici quelques activités qui vous feront le plus grand bien :

    • La dernière variante de la cryothérapie corps entier (CCE). Cette technique, consiste à exposer votre corps à des températures comprises entre – 110° C et – 140° C,  pendant trois minutes, et permet notamment de soulager les douleurs corporelles, en agissant comme un stimulateur psychique. Le froid est un allié, si nous apprenons à l’apprivoiser.
    • Une nage en eau froide, comme par exemple sur les côtes normandes ou les côtes bretonnes, si vous avez l’occasion de vous y rendre. L’eau y est gelée, mais vous raffermira plus que jamais.
    • Une excursion en chiens de traineaux en Andorre. Le petit must si vous êtes accompagnée de votre âme soeur !
    • Un trek dans l’Himalaya. Je vous conseille la lecture de l’article que je vous ai concocté sur ce sujet : l’organisation clefs en mains de ce trek.

    Mais que faire en hiver ?

    Nous y voilà ! Comment s’occuper, comment en profiter ? Comment passer le plus agréablement possible ces longues soirées ou ces courtes journées ?

    • Bien sûr, arrivent en tête, les soirées Netflix avec son chéri, et des popcorns en prime (pas trop tout de même…). Même si vous pouvez vous les faire livrer, faites-vous plaisir, et faites-les vous-même, c’est tellement plus agréable. Vous ne savez pas trop quoi regarder ? Voici quelques séries incontournables.

    Hiver, je t'aime et je t'accepte

    Mes séries du moment :

    1. The house of the Haunting Hill – 8/10
    2. This is us (sur Amazon Prime) – 8/10
    3. Narcos – 9/10
    4. The end of the fucking world – 7/10
    5. Safe (en cours)
    6. Pour ceux qui ne l’auraient pas encore vu malgré l’euphorie de ” Bella Ciao ” La Casa Del Papel – 9/10
    7. Stranger Things – 10/10 . La prochaine saison est prévue en 2019… Il faut faire preuve de patience…
    8. Maniac – 7/10. Dans l’absolu, ce n’est pas ma série préférée, mais je trouve le scénario intéressant et dans l’air du temps.
    9. You – C’est ma série coup de coeur – 10/10
    • Dévorer quelques bon livres, bien au chaud sous la couette, et pourquoi pas, en se construisant une cabane, pleine de coussins, comme quand nous étions enfants. Un excellent moyen de raviver nos souvenirs d’enfance, et de se sentir bien et en sécurité.

    Mes livres du moment (surtout en lien avec le développement personnel, je vous l’accorde) :

    1. Libérez votre cerveau , Idriss Aberkane
    2. Rêve ta vie, vis tes rêves, Isabelle Servant
    3. Sauvez votre peau, Fabrice Midal
    4. Le droit à la paresse, Paul Lafargue
    5. L’alimentation ou la troisième médecine, Jean Seignalet
    6. Les 4 accords Toltèques, Don Miguel Ruiz
    • Se cultiver en écoutant avec assiduité quelques bons conférenciers. Si vous êtes, comme moi, fan de philosophie et de développement personnel, voici quelques liens très intéressants.
    1. Les lundi philo https://www.mk2.com/evenements/lundis-philo-charles-pepin#seances
    2. Les rencontres perspectives http://www.rencontres-perspectives.fr
      • S’isoler et regarder un film en grand écran. Eh oui, le cinéma reste une valeur sûre. Bien installé(e) avec ses Maltesers et ses pop-corns, on se laisse aller à apprécier autant de films que l’on veut. Et surtout, on investit dans une carte de fidélité. En hiver, elle est vite amortie !  https://www.ugc.fr/les-offres-ugc.html
    • Et les musées, on ne les oublie pas ! Paris est la plus belle ville du monde (n’est-ce pas ?) dotée d’une culture très diversifiée. Profitons de cette chance pour découvrir les nouveautés.
    1. Sergio Leone, la Cinémathèque, du 10/10/2018 au 27/01/2019
    2. Jean Michel Basquiat, Fondation Louis Vuitton, 16e arrondissement, 18 Déc 2018-13 Jan 2019
    3. Michael Jackson, Grand Palais (galeries nationales), Champs-Elysées, jusqu’au 14 Fév 2019
    4. JR, Momentum, la Mécanique de l’épreuve, Maison Européenne de la Photographie, 5 rue de fourcy, 75004 Paris, du mercredi 7 novembre 2018 au mardi 12 février 2019

     

    Hiver, je t'aime et je t'accepte

    • Bien évidemment, il y a aussi la(les) fameuse(s) et incontournable(s) raclette(ssss) ! Ouvrons la saison et profitons-en pleinement ! La gourmande que je suis, vous mets ci-dessous, ses restaurants préférés spécialisés en raclette à Paris. Comme pour beaucoup d’entre nous, la raclette est pour moi, un peu comme une addiction… Il m’arrive d’en manger deux fois par semaine… Il n’y a pas de mal à se faire du bien !
    1. Le chalet Savoyard, 58, rue de Charonne (XIe)
    2. Le chalet de Neuilly, 14, rue du Commandant-Pilot à Neuilly-sur-Seine
    3. Pain, vin, fromage, 3, rue Geoffroy-l’Angevin (IVe)
    4. Heureux comme Alexandre, 24, rue de la Parcheminerie (Ve)
    • Ensuite, il est également autorisé de rêver et de s’évader… Quoi de plus agréable que d’envisager un séjour dans des pays où la neige vous fera rêver ? Voici mon top 3, des destinations incontournables pour se garantir des paysages féériques.
    1. L’Islande, pour le Blue Lagoon mais pas que ! En réalité, surtout pour les longues routes vides et enneigées sur lesquelles vous apprécierez de conduire. On s’y sent le roi du monde.
    2. La République Tchèque et notamment Prague, pour son fameux pont Charles, que vous prendrez l’habitude de traverser, encore et encore. Mais aussi pour ses trdelník, un dessert qui ressemble comme un jumeau à une brioche, et sur lequel vous pouvez ajouter du Nutella et même des M&M’s. Un pur régal !
    3. La Suède pour l’hygiène de vie irréprochable de la population nordiste et pour leur goût prononcé pour les fêtes de Noël et leurs décorations.

    Mais on peut aussi beaucoup plus concrètement se faire plaisir et faire plaisir :

    • En préparant les fêtes. On tente le combo : Noël + Nouvel an + Thanksgiving.
    • En prenant des vacances. Il n’y a pas que les fêtes à cette période, n’est-ce pas ?
    • En confectionnant la meilleure des galettes des rois (et tricher pour avoir la fève).
    • En fêtant comme il se doit la Saint Valentin et offrant des fleurs et des chocolats à son compagnon. Même si cela se perd, essayez de remettre cette fête à l’honneur cette année.
    • En faisant du shopping et participant au concours du plus beau manteau et/ou des plus belles bottes, pour nous les femmes. On adore le shopping en hiver !

    Hiver, je t'aime et je t'accepte

    Quelques petits plus, rien que pour vous, s’il vous plaît !

    • Après avoir dormi 8 heures minimum, on se réveille en musique et on ouvre les fenêtres dix minutes pour aérer.
    • Au réveil, on boit un grand verre d’eau de source (Mont Roucous, Rosée de la Reine, Montcalm).
    • On fait le plein de zinc car c’est un véritable anti-virus pour éviter certaines maladies.
    • On se met au sport, ou on décide de poursuivre ses cours de sport préférés. L’hiver, il faut impérativement renforcer son système immunitaire. Alors, ne négligez pas le sport : c’est votre meilleur ami. Je vous conseille d’ailleurs d’essayer la Zumba , c’est à la fois sportif et surtout très fun.
    • On se fait un plateau de fruits de mer de temps en temps car ils sont remplis d’oligo-éléments. On peut aussi tenter de marcher au bord de la mer. Rien de plus assainissant que respirer l’air marin !
    • On investit dans un blender, et on se fait un smoothie par jour. Je vous conseille le livre « La Bible du Smoothie » qui regorge de recettes gourmandes.
    • On communique au maximum, et on ne se renferme pas sur soi, si on sent un petit coup de mou. Prenez votre téléphone et appelez vos meilleurs amis ou votre famille. Parler fait toujours du bien même si l’on pense ne pas en avoir envie.
    • On respire des huiles essentielles : lavande , marjolaine à coquilles, poivre … Il en existe sous toutes les formes à la pharmacie ou dans les magasins bio.
    • On prend davantage de bains  pour détendre ses muscles et se relaxer.
    • On s’hydrate avec de l’eau et des crèmes pour éviter de ressembler à un crocodile.
    • On reste positive en lisant beaucoup de livres sur le développement personnel notamment.
    e
    Et… on se témoigne un maximum d’amour.
    e

    Et pour un meilleur sommeil, on applique le rituel du sommeil

    • Essayer de se coucher au plus tard à 23 h pour bénéficier de 8 h de sommeil, et surtout d’un sommeil réparateur.
    • Prendre un bain chaud additionné de Sel d’Epsom (en boutique bio ou à commander sur amazon). En effet, le sulfate de magnésium permet une meilleure détente. Et pour un maximum d’effet, rajoutez quelques gouttes d’huile essentielle de lavande dans l’eau du bain.
    • Abuser des infusions de valériane (sans sucre).
    • Ne pas hésiter à utiliser des huiles essentielles apaisantes. Si vous ressentez des angoisses ou du stress, déposez, avant de vous coucher, 1 goutte pure d’huile essentielle de Marjolaine à coquilles sur votre plexus solaire. Massez doucement. En cas d’insomnie, respirez directement le flacon.
    • Eteindre les écrans 45 mn avant le coucher (TV, smartphone, tablette…), et mettre les appareils en mode avion ou hors connexion. Les champs électromagnétiques perturbent la qualité du sommeil. Déposez vos appareils à au moins un mètre de votre tête.
    e

    Et pour l’Alimentation…

    Quelques petits efforts s’imposent :

    • Réapprendre à bien s’alimenter.
    • Eliminer les produits raffinés (sucre blanc, pâtes et riz farines blanches, plats préparés qui contiennent beaucoup trop d’additifs et de sucres cachés).
    • Éliminer les produits laitiers à base de lait de vache (sauf certains beurres bio).
    • Éliminer tous les produits contenant de la farine de blé (c’est le pire des glutens. Il y a plein d’alternatives : farine d’épeautre, quinoa, sarrasin, riz…).
    • S’alimenter le moins « transformé » possible.
    • Introduire plus d’aliments crus au quotidien pour profiter de tous les minéraux et vitamines qui sont éliminés lors de la cuisson.
    • Introduire des huiles crues et riches en Oméga 3 (Colza, Noix, Lin…) à mélanger à l’huile d’olive pour les sauces salades et les assaisonnements (des mélanges prêts à l’emploi existent en boutique bio).
    • Prendre le temps de bien mastiquer et d’apprécier ce que l’on mange.
    • Boire 1,5 l d’eau de source durant la journée, SAUF pendant et après les repas.
    Hiver, je t'aime et je t'accepte

    On se fixe aussi des objectifs constamment

    On a tous des rêves, n’est-ce pas ? Des rêves incroyables , merveilleux et fabuleux… Sans pour autant les réaliser, s’obliger à en réaliser certains est un excellent moyen de se donner de bonnes raisons de se lever. De même, s’obliger à s’organiser, à se fixer quelques objectifs, et parvenir à les atteindre améliore notre confiance en nous. On éprouve une certaine satisfaction à avoir tenu nos engagements.
    Alors, le dimanche, essayez de vous faire un planning de votre semaine. Déjà, vous vous sentirez beaucoup moins stressée et bien plus détendue. Sinon, tout est embrouillé dans la tête, et on peut facilement céder à une espèce de panique le lundi matin en se réveillant.
    C’est également un excellent moyen d’apprendre à prioriser, et donc d’avancer. C’est aussi une façon de réfléchir à ses propres désirs et à ses propres besoins.
    Vous vous sentez motivée, prête à affronter le quotidien.
    Et vous verrez, si vous faites cela de façon durable, vous vous lancerez de plus en plus de défis, et les réussir vous apportera de nombreuses satisfactions. N’oubliez pas que la satisfaction est la première source de bonheur !! On y croit ??.
    Alors, prête pour le challenge d’un objectif par semaine ? Essayez, vous apprécierez vos progrès.
    e
    e

    Comment anticiper la maladie ?

    L’hiver, c’est aussi la saison de tous ces petits maux qui viennent nous titiller alors que ce n’est pas forcément la bonne période ! Pour autant, il est facile de s’en prévenir ou de les soulager si vous n’avez pas pu les éviter. Pour ma part, tout repose sur mon hygiène de vie. Et voici quelques bons plans.

    1. https://www.nutrimea.com/fr/346-acide-hyaluronique-collagene-marin-5425032387779.html?gcli
    2. https://www.shop-pharmacie.fr/medicaments/F10002037/pierre-fabre-revitalose.htm
    • La mono-diète de pommes ou de raisins (j’ai écrit un article dessus en vous expliquant tout) est idéale pour nettoyer tout son organisme.
    e

    Finalement à quoi sert l’hiver ?

    L’hiver, c’est finalement une période durant laquelle on peut se relâcher. Se sentir plus libre, moins oppressée et angoissée par la vie. C’est aussi une période utile à la réflexion, et durant laquelle on prépare doucement l’été en se fixant des objectifs raisonnables mais qui porteront leurs fruits, lorsque le soleil et la chaleur réapparaîtront.

    C’est encore la période durant laquelle on peut réaliser de nombreuses activités que nous ne faisons pas l’été.

    Finalement, l’hiver ça sert à hiberner, à se retrouver avec ses amis et avec soi-même, et surtout, l’hiver, c’est apprendre à lâcher prise et à profiter.

    e

    Alors, portons un regard différent sur cette période souvent sombre pour certains ! L’hiver, finalement, est là pour nous faire du bien, et pour nous aider à être au top de notre forme une fois les beaux jours revenus !

    La sophrologie peut vous aider à passer un meilleur hiver; pensez-y !

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue 

  • Réussir sa préparation de trek : c’est parti !

    Réussir sa préparation de trek : c’est parti !

    Grande passionnée de trek depuis quelques années, j’essaie d’en faire un au moins une fois par an. Jusqu’à présent, j’ai plus souvent choisi des destinations originales et lointaines, du type Népal, Inde, Colombie ou encore Malaisie plutôt que des destinations en France. Et pourtant, il existe des treks splendides dans notre beau pays.
    e
    Inutile de parcourir le monde en quête de décors paradisiaques ! La France regorge de paysages authentiques, à découvrir lors de treks au cœur d’une nature préservée et verdoyante. Pour les amateurs de sensations fortes comme pour les amoureux de grands espaces, il existe une multitude de merveilleux endroits pour randonner en France.
    Privilégiez-les si vous ne disposez pas de beaucoup de temps.
    e
    Voici quelques exemples de trek splendides à faire en France :
    • Le tour du Mont Blanc
    • Le tour des aiguilles rouges
    • Les gorges de l’Ardèche
    • Le trek des calanques
    • Le GR20 en Corse
    • Trek sur les volcans d’Auvergne
    • Le sentier des douaniers
    • Le tour du Queyras
    • Le trek du balcon de la mer de glace
    • Trek de Gavarnie
    À vrai dire, on pense souvent que partir faire un trek à l’étranger est onéreux, mais pas tant que cela, sachant que nous dormons souvent en lodge (10 € la nuit environ, si vous choisissez l’Asie) ou dans notre tente préalablement achetée chez Décathlon.
    e
    Vous pouvez alors vous permettre de le faire à l’étranger si c’est une envie qui vous tient vraiment à coeur.
    e
    De mon côté, je vous écris cet article aujourd’hui, surtout pour vous aider à bien vous préparer, en amont de cette aventure qui est l’une des plus incroyables. C’est à la fois ressourçant et terriblement challengeant.
    e
    Et comme je privilégie le challenge aux habitudes, c’est le genre d’objectif qui m’émoustille le plus.
    e

    Voyage au Népal

    Avant le départ

    En amont du départ , il faut d’abord, bien sûr, choisir sa destination. Le choix s’effectue en fonction de la saison et en fonction du nombre de jours dont vous disposez. Si vous disposez de moins de deux semaines, misez en priorité sur la France.
    e
    Ensuite, le choix de la saison est bien évidemment important, car lorsque nous partons en trek, nous sommes à 80 % du temps dehors !
    S’il pleut tous les jours, votre périple pourrait être quelque peu gâché.
    e
    Autre critère important sur lequel se baser  ce sont les températures… ! Un trek est toujours plus agréable lorsqu’il fait bon.
    Ni trop chaud, ni trop froid.
    e
    La température idéale se situe entre 15 ° et 22 ° maximum !!! D’ailleurs mieux vaut avoir trop froid que trop chaud.
    Car lorsque l’on a trop chaud, il est difficile d’enlever des couches supplémentaires… une fois toutes les couches enlevées… on subit alors davantage le climat.
    e

    Voyage au Népal

    Les affaires (habits) à prévoir

    Il s’agit d’un sujet très important, croyez-moi ! Le fait de porter un sac trop lourd risque de vous déranger, mais surtout de vous user durant la marche.
    e
    Ne dépassez pas les 20 kg , et si vous pouvez vous débrouiller pour que le sac ne fasse que entre 8 et 15 kilos, c’est l’idéal. J’entends bien qu’il est difficile de se restreindre à 8 kg avec ce que nous souhaitons emporter… C’est pourquoi, je vais vous donner quelques conseils :
    e
    Voyage au Népal
    e
    • Pour 1 semaine de trek : prévoyez 8 kg

    La priorité si vous partez une semaine, c’est de vous contenter :
    – Des chaussettes de marche
    – Des chaussures de marche
    – Un pantalon confortable (du style pantalon de ski)
    – Des leggings
    – Des Tee-shirts manches longues/courtes en fonction de la météo
    – Un Kway
    – Un/Deux pulls / une polaire chaude
    – Une trousse de médicaments
    – Des lingettes désinfectantes
    – Des produits de toilettes en miniature (shampoing, après-shampoing, savon…)
    – Des lunettes de soleil
    – Un chapeau ou une casquette (le soleil tape encore plus avec l’altitude), donc si vous avez la peau fragile, il faut vous protéger.
    – Une gourde
    – Des pastilles pour nettoyer l’eau (ce sont souvent des boîtes de 20)
    – Une paire de bâtons pour marcher si vous le souhaitez
    – Un duvet
    – Un guide du routard et une carte intégrée
    e
    • pour 2 semaines de trek : 12/15 kg

    Prévoyez la même chose que pour une semaine, mais en comptant un peu plus de teeshirts, de chaussettes, et de sous-vêtements. Vous pouvez évidemment faire des lessives (à la main) lorsque vous rencontrerez des points d’eau.
    Je vous conseille d’acheter de la lessive avant de partir (en tube, c’est l’idéal).
    e
    • pour 3 semaines de trek : 20 kg maximum, faites-moi confiance

    Prévoyez, là encore, la même chose que pour une semaine, mais en augmentant également le nombre de teeshirts, de sous-vêtements et de chaussettes dont vous allez avoir besoin pour toute la durée.
    e
    Pour ce qui est du duvet , vous en trouverez à tous les prix allant de 15 € à 300 €. À vous de choisir le duvet qui correspond à la saison que vous avez choisie. À l’achat, vous constaterez que selon le sac de couchage, vous pourrez choisir la température sur l’étiquette  “15 degrés” , “-10 degrés”.
    e
    Le sac de couchage et la tente sont deux achats fondamentaux. N’hésitez pas à y mettre le prix, ce sera vite rentabilisé.
    e
    Si vous souhaitez limiter les frais, vous pouvez vous contenter de chaussures de marche d’entrée de gamme chez Décathlon. Il en existe des fantastiques, vraiment pas chères et qui tiennent clairement la route.
    e
    Quelques noms de marques à connaître pour les chaussures :

    Aigle, Salomon, Quechua, Asolo, Tecnica, Lafuma, Kayland, Scarpa

    La logistique sur place

    Soit vous êtes de nature spontanée, soit vous êtes plutôt du genre organisé.
    • Si vous êtes spontané(e), vous pouvez décider de vous arrêter dès que vous ressentez la fatigue dans un refuge choisi à la dernière minute.
    • Si vous êtes plus organisé(e), vous pouvez réserver chacun des refuges à l’avance.e
    e
    Il y a cependant un « mais » dans chacun des cas.
    e
    – Dans le premier cas, si vous décidez de partir en haute saison (en fonction du pays), il se peut que le refuge soit plein et que vous n’y trouviez plus de place.
    – Dans le second cas, si vous avez réservé les refuges à l’avance, vous perdez un peu en liberté car il faudra vous obliger à atteindre votre objectif de kilomètres tous les jours.
    e
    Autre chose à prévoir : le permis de trek.
    e
    Dans certaines régions où pays, vous entrerez dans des zones protégées. Il faudra alors vous identifier à l’entrée du parc national, et vous aurez alors besoin de présenter un permis de trek.
    De temps en temps, il y a des zones de sécurité durant le trek, et on vous demandera de présenter ce permis.
    e
    Sur place, il faut toujours penser à s’hydrater. Un trek vous fera vous dépenser énormément. Il est important de boire encore plus que lors de vos habitudes quotidiennes. Je dirais une moyenne de 3 litres de liquide, entre l’eau et les thés ingurgités.
    e
    Voyage au Népal

    L’altitude lors d’un trek

    Nous n’y pensons pas assez, mais c’est un point sur lequel il faut s’attarder. Tout le monde ne supporte pas l’altitude de la même manière. Pour certains, ce sera les doigts dans le nez, mais pour d’autres ce sera un peu plus éprouvant. Au passage, pensez à faire vérifier vos sinus et votre état de santé avant de partir.

    Le « mal aigu des montagnes » touche presque toutes les personnes en haute altitude. En dessous de 3 000m. Le « mal aigu des montagnes » est dû à un défaut d’oxygénation du cerveau et qui se produit à partir de 3 500 m. Ce MAL est dû à un défaut d’oxygénation du cerveau consécutif à une mauvaise acclimatation. L’incidence de Mal Aigu des Montagnes est variable mais augmente très rapidement avec l’altitude. Elle est de 15 % à 2 000 mètres d’altitude, de 60 % à 4 000 m.

    Le MAM n’apparaît pas immédiatement. Il survient généralement après un délai de quelques heures en altitude.

    Voyage au Népal
    Il faut alors modérer ses efforts, et s’acclimater à chaque palier, comme en plongée sous-marine.
    e
    Par exemple, ne passez pas en une journée de 1 500 m à 3 000 m ou de 3 000 m à 5 000 m. Vous risquez de manquer cruellement d’oxygène, et les oreilles payeront le prix de l’impatience.
    Les paliers des 3 000 m et des 5 000 m sont souvent les plus éprouvants. Alors, allez-y doucement mais sûrement.
    e
    Lorsque vous arrivez aux 3 000 m, acclimatez-vous en restant une belle nuit et une matinée à ce stade de l’aventure, puis faites de même à 4 000m puis à 5 000m.
    e
    Si vous voyagez seul(e), n’hésitez pas à indiquer régulièrement à vos proches l’endroit où vous vous trouvez. En cas de problèmes, ils pourront alors prévenir les secours.
    e
    Petite anecdote : la soupe à l’ail est excellente pour l’altitude.
    Elle permet une coagulation du sang plus rapide. N’hésitez pas à en manger, même s’il fait chaud.
    e
    Les bienfaits de l’ail : si vous partez faire des treks en haute altitude comme ce sera mon cas, en Asie, l’ail et plus précisément la soupe d’ail est recommandé pour prévenir ou réduire les symptômes du mal des montagnes.

    Et pour notre cœur, il n’y a pas mieux ! En effet, des études ont établi que les personnes qui consommaient 2 à 5 g d’ail tous les jours avaient moins de cholestérol et de triglycérides sanguins que les autres. De fait, la consommation d’ail permet de réduire les risques de maladies cardio-vasculaires.

    De plus, l’ail augmente la fluidité du sang : ce qui est idéal pour prévenir la formation de caillots sanguins dans les artères.

    />

    L’Hygiène

    Je suis dans l’obligation d’en parler car beaucoup de personnes sont persuadées que le trek est associé à un ” manque d’hygiène “durant le périple. La bonne nouvelle, c’est que ces personnes n’ont pas tout à fait tort (rires). Je rigole bien évidemment, mais cela dépend du pays que vous choisissez. Si vous partez au Népal en hiver, il faut être prêt à se laver à l’eau froide… très très froide, alors que les températures avoisinent déjà les -0° C.

    Tout est une question de sacrifices et de MENTAL.

    Aussi, il est possible que vous préfériez rester légèrement ” craspouille ” plutôt que risquer votre peau sous cette eau gelée.

    C’est la raison pour laquelle je vous ai proposé d’acheter des lingettes désinfectantes, en amont du voyage, ainsi qu’un gel nettoyant visage et de l’eau thermale en spray (petit flacon). Avec ce matériel, vous êtes paré(e) pour être propre, presque comme un sous neuf.

    Cela dit, n’exagérons rien. Si vous partez faire votre trek, l’été, il sera plus facile de filer sous la douche après vos quelques heures de marche.

    Voyage au Népal

    La trousse de secours

    Ne soyons pas superstitieux, mais il est toujours plus raisonnable de préparer une trousse de médicaments. Les médicaments en altitude ne sont pas vraiment conseillés, mais parfois vous n’avez pas le choix. Alors, prévoyez-les judicieusement.

    Voici un exemple de contenu de trousse à pharmacie :

    Médicaments :

    • Antalgiques et antipyrétiques contre la fièvre et la douleur. Privilégiez le paracétamol.
    • Antidiarrhéique
    • Antiémétique contre les nausées
    • Antibiotique à spectre large
    • Anti-inflammatoire contre les entorses, mal de dos, contractures…
    • Répulsif contre les insectes (moustiques…)
    • Traitement contre la toux
    • Pansements digestifs
    • Collyre en dosettes

    Matériel :

    • Un thermomètre
    • Une paire de ciseaux
    • Seringue
    • Une pince à épiler
    • Une aiguille sous cutanée
    • Une agrafeuse
    • Gants stériles
    • Bandelettes adhésives pour plaie cutanée
    • Sparadrap
    • Bande adhésive
    • Bande de contention élastique
    • Pansement compressif pour les plaies hémorragies
    • Pansement hydro-colloïdes
    • Sutures adhésives
    • Compresses stériles
    • Crème solaire et crème contre les brûlures
    • Pansements et double-peaux contre les ampoules
    • Un antiseptique pour désinfecter les plaies
    • Préservatifs
    • Tampons féminins
    • Attelles (genou, cheville)
    • Coalgan contre le saignement du nez
    • Solution hydroalcoolique pour se laver les mains
    • Des comprimés de stérilisation d’eau

    À compléter par :

    • Randonnée en altitude :
      • Médicaments contre les troubles du sommeil
      • Mal des montagnes : médicaments préventifs et curatifs
      • Caisson hyperbare

    Les bienfaits du trek

    Ils sont si nombreux même si vous ne le savez pas encore. Beaucoup de personnes sont persuadées que le trek est une épreuve de vie épuisante.
    C’est assez faux !
    e
    C’est épuisant, sur le moment, je vous l’accorde. Mais, ce sera vite rentabilisé lorsque les nuits qui suivront ces journées de d’efforts intenses seront les plus apaisantes de votre vie.
    e
    C’est un bon effort pour le corps, et qui vous permet de vous détoxifier en profondeur le cerveau.
    e
    Vous vous retrouvez seul(e) devant des paysages magnifiques, et vous prenez conscience à quel point la nature est fantastique.
    e
    Vous oubliez tous vos problèmes et vous développez votre créativité.
    e
    La marche lente et prolongée est une activité physique peu traumatisante pour les articulations, par rapport à d’autres sports d’impact. Elle permet de développer en douceur une musculature équilibrée et un gainage de tous les muscles du corps : ceux des 4 membres et du tronc. Elle travaille également la coordination motrice et rééquilibre les zones corporelles, si nécessaire.
    e
    Cependant pour un meilleur équilibre vous allez avoir besoin de vos meilleurs amis : les bâtons !

    Parlons donc maintenant de nos bâtons : non, les bâtons ne sont pas destinés uniquement aux personnes ayant des capacités physiques amoindries ou des problèmes d’équilibre. Bien au contraire, leur utilisation vous permet non seulement de marcher plus longtemps et dans une meilleure position mais ils vous apporteront aussi bien d’autres choses !

    e

    Ils augmentent la sollicitation de tous les muscles du haut du dos, de vos épaules, de vos bras et de vos avant-bras. Ainsi, vous tonifiez, voire musclez (en fonction du niveau physique de votre trek) toutes les parties hautes de votre corps en gardant en permanence un dos droit, et ce quelle que soit la pente ou le chemin sur lesquels vous évoluez.

    Voyage au Népal

    Trucs et astuces

    Première chose, mais pas des moindres, la sophrologie peut vous aider sur le plan de la respiration. Et on sait à quel point il est important de savoir respirer lorsque vous faites de tels efforts !

    Dans le cas où vous souhaitez partir avec une agence, voici quelques informations concernant l’encadrement du trek :
    http://www.taan.org.np/members/pyrenees-nepal-treks-trails-pvtltd-1370?fbclid=IwAR1snpXkheTz6PPHHWeY5rOZ9HNRJW9R_HwMdJwBCewdlw7gUCm1_iwpDg0
    e
    C’est une agence locale et francophone enregistrée dans le registre treeing et gouvernement.
    e
    Pour votre sécurité et dans le cas de partage de locaux, et pour un premier voyage, c’est le meilleur moyen de procéder.
    e

    Je vous donne un programme type (Camp de base de l’Everest) :

    1. Katmandu – Lukla  en avion (suite Phakding)
    2. Namache 3400m
    3. Excrution Khumjung et  Everest vue point 3900m
    4. Tngboche  3860m
    5. Dingboche 4400m
    6. Lubuche  4900m
    7. Gorekchep et camp de base de l’Everest 5200m (LA NUIT A Gorekche)
    8. Retour  Tangboche 3860
    9. Monjo 2800m
    10. Lukla
    11. Retour Katmandu
    Style de trek : en Lodge

    Meilleure saison : octobre, novembre et février , mars, avril.

    Temps de marche / jour : 6- 7 heures
    Altitude maximale : 5 000 m
    Durée : 10 jours
    Tarif : 1 200 euros. Il s’agit de l’un des trek les plus onéreux. Vous pouvez trouver moins cher en passant par cette même agence.
    e
    @SERVICE INCLUS 
    e
    • Logement en Lodge pendant le trek
    • L’assurance pour le guide et le porteur
    • La pension complète durant le trek (3 repas par jour / 2300 RUPIES/PAR PERSONNE hors boissons)
    • Un porteur  pour deux personnes  maxi 20 kilos
    • Un guide francophone diplômé d’état
    • Le permis de trek, TIMS
    • Les transferts aéroport / hôtel / aéroport
    • La confirmation de votre vol retour international par leurs soins
    • Le vol Lukla/Katm aller-retour
    e
     Le séjour ne comprend pas : 
    e
    • Les secours d’urgence et l’assurance de voyage et d’annulation, l’accident ou la maladie, le vol, la perte ou les dégâts des effets personnels
    • Le visa de 40$ si vous le faites à l’aéroport de Katmandu
    • L’équipement personnel et les dépenses personnelles
    • Le pourboire pour le guide et le porteur (50 € par per personne)
    • L’hôtel et les repas en dehors de trek (environ 15 € le motel en ville/nuit)
    Voyage au Népal
  • Une libération émotionnelle grâce à Jen et Sana

    Une libération émotionnelle grâce à Jen et Sana

    Libérer ses émotions grâce à l’accupression et aux énergies

    Depuis ma reconversion dans le domaine de la sophrologie, je suis très attachée à toutes les pratiques de médecine douce et alternatives qui existent. Très curieuse de nature , je le suis doublement depuis que je fais ce métier.

    Déjà parce que pour bien conseiller autrui il faut apprendre à être bien avec soi-même (esprit sain dans un corps sain), et parce qu’il est toujours agréable de voir tout ce qui existe aujourd’hui sur le marché pour réussir à être apaisé et dans un état de bien-être constant. Au 21ème siècle nous sommes extrêmement gâtés face à toutes ces pratiques qui existent pour retrouver une paix intérieure .

    La première chose que j’avais envie d’essayer a tout prix depuis que je fais ce métier , ce sont les pratiques énergétiques.Vous savez ces pratiques qui vous permettent d’acquérir de l’énergie grâce à des spécialistes en la matière. J’avais envie de suivre une thérapie énergétique tout simplement !

    La découverte de Jen et Sana

    La force des réseaux sociaux aujourd’hui peut être très positive. Il y a quelques semaines je suis tombée sur une page Instagram très épurée et qui donne envie de deux jeunes femmes qui sont justement dans le domaine des pratiques énergétiques.

    Elles forment un binôme , travaillent à deux  et sont très complémentaires. Elles ont vraiment quelque chose d’à part, de simple , moderne, et naturelle.

    Elles sont sincères dans leur démarche ,ça se sent et se ressent.

    A la découverte de l’accupression

    Sana est spécialisée dans l’accupression; qu’est ce que l’accupression ? Il s’agit de l’acupuncture sans aiguilles (oui oui ça existe !) , et Jen est spécialisée dans les énergies. Sana cible les points d’acupuncture sur tout le corps pour y faire des points de pression et les débloquent, quant à Jen , elle ne se focalise que sur le crâne. Un peu comme un Ostéopathe , mais pour des problématiques un peu différentes.

    A deux, le travail est beaucoup plus puissant et profond. Elles travaillent ensemble sur les mauvaises émotions qui nous paralysent , et tentent avec brio de les faire disparaître , et de nous transmettre une belle énergie.

    Rien qu’a l’intonation de leurs messages privés , et à leur sympathie à premier abord, j’ai pris rendez-vous avec elle avec une facilité sans nom, en plein mois de juillet.
    Et puis quoi de plus important  que de passer un bel été , grâce à une belle énergie ?

    Jen et Sana - accupression et travail énergétique

    Arrivée chez Jen et Sana

    Où trouver Jen et Sana ?

    Le cabinet de ces deux jeunes femmes se situe dans le 9 eme arrondissement de Paris , rue Milton , dans mon quartier préféré. Déjà rien que par l’emplacement de cet endroit , me voici ravie.J’ai toujours rêvé d’habiter dans ce magnifique arrondissement. J’arrive à l’étage du cabinet, et Jen et Sana m’accueillent avec un tel sourire , que ça fait déjà du bien.

    Le sourire se transmet, parait-il, je vous le confirme !!!

    Deux jeunes femmes de la même génération que moi, belles comme des cœurs et avec une belle énergie déjà bien présente. Naturelles comme jamais, c’est si rare et ça fait du bien.

    Le cabinet donne déjà très envie : belle vue sur les toits de Paris, épuré, bien décoré, de la place pour marcher et poser ses affaires … et puis on ressent le fait qu’il y a de bonnes vibes.

    Jen et Sana

    Jen et Sana me proposent un thé (du choix dans les thés ça fait toujours plaisir pour une personne comme moi qui suis fan de thé) et me proposent de m’asseoir sur leur beau canapé parsemé de coussins.

    On commence par discuter très naturellement de nos vies à chacune , et c’est drôle mais tout nous rapproche.

    Toutes les 3 sommes parties vivre à l’étranger et nous avons fais le choix d’une reconversion immédiate après notre passage à l’étranger.

    On aime toutes les trois le sport , les voyages , nos proches , et l’envie d’aider.

    Comme quoi avec du temps et de la réflexion , le fait de donner un sens à ses journées c’est important.

    Comment se déroule une séance d’accupression ?

    La séance dure 2 heures la première fois , puis les séances qui suivront ne dureront qu’une heure et demie. Ce qui est déjà très bien et vraiment long. Pas trop long, mais le temps parfait pour ne pas ressentir de frustrations.

    Jen et Sana s’adaptent à la patiente et ne souhaitent surtout pas courir après la montre.

    Durant les 2 heures nous discutons alors pendant la moitié de la séance sur ma vie , mes habitudes , mes envies, mes besoins , mon passé, mes projets … mes émotions principales …. tout y passe !

    Jen et Sana sont très à l’écoute , très emphatiques, et prennent toutes les notes nécessaires pour se rappeler de chaque détail important de ma vie.

    Elles sont surtout très bonnes pour poser les questions qui font parler. Vous savez , ce qu’on ressent tous avant d’aller voir un praticien de ce type « je vais devoir parler … » ! Et ba là vous le faite avec une telle facilité , sans même vous en rendre compte.

    J’ai d’ailleurs oublié le fait que j’ai réussi à parler durant tout ce temps, car le temps passe si vite quand on se sent bien . J’ai réussi à faire un long résumé de ma vie et de mes ressentis en 1h.

    28 ans de ma vie en si peu de temps , en ne passant à côté d’aucun détail fondamental.

    Jen et Sana - accupression et travail énergétique

    Sourire de ces deux jeunes femmes toujours présent … elles écoutaient chaque petit détail de mes recueils.

    Après avoir noté ce que je souhaitais améliorer et dans quel domaine je voulais gagner en énergie elles débutent la séance et la mise en pratique.

    Déroulé de la séance

    Sana me demande de m’allonger sur une table , qui ressemble de près à une table de massage. D’ailleurs me semble-t-il qu’il s’agissait bien d’une table de massage.

    J’avais un petit vent dans le visage hyper agréable , comme la fenêtre était ouverte. Les douces températures du mois de juillet rendaient la séance encore plus chaleureuse.

    Sana me demande de fermer les yeux pour me détendre au maximum. Elle s’est vraiment spécialisée dans l’accupression et est excellente en la matière.
    Il s’agit ici de stimuler les points d’acupuncture par la pression des doigts. Cela permet de bien éliminer et de mieux respirer, mais aussi de débloquer de nombreuses émotions enfouies à l’intérieur de soi. Elle s’est alors attardée sur chaque point important du corps , pour y faire des points de pression (qui ressemblent de près au shiatsu).

    Le corps et l’esprit sont étroitement liés. Les émotions s’inscrivent dans le corps et les douleurs physiques conditionnent l’esprit. Notre santé et notre harmonie dépendent de la circulation libre et régulière de l’énergie vitale à l’intérieur de notre corps, de notre mental et de nos émotions.

    Du coup les points de pression fondamentales, permettent de débloquer le corps , pour un équilibre meilleur.

    Je n’y croyais que moyennement au début , ou du moins je ne connaissais pas cette méthode …. et pourtant ça fait un bien fou. Je ressentais que mon corps se détendait considérablement après chaque pression. Sana m’a appris à y croire , car elle est douée et très douce.

    On sent qu’elle a de l’expérience. D’ailleurs la première fois ça peut faire un peu mal (enfin une douleur à la limite de l’agréable), car le corps est bloqué et pas toujours très habitué à recevoir ce type de pressions.

    Jen et Sana - accupression et travail énergétique

    Quant à Jen c’est un peu le médecin de l’énergie par le crâne. C’est sa spécialité et elle donne envie de s’y intéresser de près.
    Attention , je vous parle avec mes mots; sans aucun terme scientifique , car il ne s’agit que du recueil de mes ressentis. Les ressentis d’une personne qui avait pour objectif de se détendre et de s’apaiser , sans être spécialiste en la matière.

    Jen a réussi à me faire dormir ; elle touchait mon crâne durant une bonne vingtaine de minutes pour y faire circuler des bonnes énergies.
    D’ailleurs ce qui m’a étonné c’est qu’en faisant cela , il s’agit aussi d’un échange de belles énergies. Jen a aussi capté mes énergies à moi et était donc toute apaisée en fin de séance.

    Jen m’a demandé avant de mettre en pratique sa méthode , de lui dire tout ce que je ressentais à la minute.

    Mais sa technique m’a procuré une telle sensation de plénitude avec le corps très enfoncé dans la table , que je n’arrivais pas à parler. Je ressentais uniquement … !

    Quels sont les bienfaits de l’accupression sur le corps et l’esprit ?

    Je me suis sentie sur un petit nuage. Je n’avais jamais ressenti ça auparavant. J’ai ressenti le fait que mon corps était bien ancré dans le sol et que chaque partie de mon corps existait pleinement.

    Je me sentais vivante , et à la fois très endormie , car cette méthode d’accupression apaise tellement qu’on ne pense plus à rien.

    Elles ont réussi à me débloquer toutes les mauvaises énergies qui circulaient dans mon corps. Et pourtant je suis de nature si optimiste et joyeuse , que je ne pensais pas en avoir autant des mauvaises énergies.

    Mais étant une éponge empathique , je capte les mauvaises énergies des autres.Ce qui est un axe d’amélioration à prendre en considération.

    Suite à la séance , j’avais du mal à parler.

    J’ai senti qu’il s’était passé de nombreuses choses en moi, et ça m’a fait tellement de bien que j’ai décidé de suivre une thérapie sur plusieurs séances.

    Il me reste alors 4 séances à partir de la rentrée !

    Quoi de mieux pour bien commencer l’année ! Vous pouvez combiner cette méthode à des séances de sophrologie, vous retrouverez rapidement une forme olympique.

    Voici les contacts de Jen et Sana si vous souhaitez à votre tour tester l’accupression et le travail énergétique afin de vous sentir bien avec vous même  :

    Jen : 06 64 52 04 57

    Sana : 06 46 68 61 26

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue 

    Jen et Sana - accupression et travail énergétique

  • Quand une souffrance se transforme en force  

    Quand une souffrance se transforme en force  

    Comme le dit la citation: « Les plus grandes qualités de l’âme ne se développent que par la souffrance. »

    Aujourd’hui je souhaite-vous conter l’histoire d’une de mes meilleures amies ; ce ne seront que ses mots.   Je n’ai rien transformé, car son histoire est extrêmement personnelle et touchante. Cette jeune femme a perdu son unique frère à l’âge de 16 ans, mais a fait face à cette épreuve avec beaucoup de courage et de force.

    J’attaque fort aujourd’hui, mais ce sujet me tenait terriblement à coeur, ayant aussi de nombreuses souffrances du passé au fond de moi.

    L’objectif de cet article est de montrer à quel point une souffrance profonde peut se transformer en vraie force, et surtout comme vous pouvez gagner en maturité mais aussi en optimisme lorsque vous vivez des épreuves difficiles.  

    14 ans après, cette jeune femme est resplendissante est a une appétence pour la vie que peu de personnes ont. Elle ne se laisse jamais décourager et va au bout de chacun de ses projets avec ambition.

    souffrance épreuve

    Interview de mon amie

    Jeune femme de 30 ans, sportive, dynamique, bosseuse, qui aime profondément la vie et le sens de celle-ci.  Mais cela n’a pas toujours été le cas.

    Voici ses propos : 

    « On croit toujours que ça n’arrive qu’aux autres et pourtant nous y voilà.

    On nous parle de la vitesse sur la route, de l’alcool, de la mauvaise conduite mais jamais de tous ces camions qui sillonnent nos autoroutes ; non nous n’en parlons pas, car c’est un point économique, on ne nous dit pas que traverser ces routes à grandes vitesses c’est comme marcher dans un champ de mines.

    Un appel d’air, une voiture incontrôlable, et nous y voilà, une mort à la clé.

    J’avais 16 ans, mon grand frère seulement 18.

    Comment vivre sans mon binôme, comment envisager rien qu’une seconde devoir porter la souffrance de mes parents sur mes petites épaules. Je n’étais qu’une enfant.

    Vivre dans l’ombre de moi-même, ne plus avoir goût à la vie, l’injustice devient une obsession, le réveil une souffrance.

    Les années passent, les moments défilent. Il faut revenir à la vie, goûter de nouveau au quotidien, sécher ses larmes.

    Qu’est ce qui est le plus difficile dans cette tragédie ? 

    L’absence de l’autre, le travail de deuil.

    Mais quand le temps fait son travail, la souffrance s’atténue, le plus dure devient de ne pas culpabiliser, comment puis-je esquisser un sourire alors que l’être tant aimé n’est plus ? Comment accepter de vivre des moments de bonheur alors que lui est sous terre.

    Les années passent. Les traits de son visage s’estompent dans mon esprit, sa voix ne résonne plus. Les sourires deviennent de plus en plus affirmés, mon ambition à réussir ma vie se développe au fil du temps, les projets s’accumulent, les moments de bonheur s’intensifient à tel point qu’ils redeviennent partie intégrante de mon quotidien.

    Les années passent. 1 an, 2 ans, 5 ans, 10 ans. Je ne les compte plus. Elles défilent de plus en plus vite. Puis vient l’année de mes 28 ans. Ce drame a 12 ans.

    Je comprends que cette épreuve m’a forgée. Que je suis désormais plus forte. Je sais, au combien, chaque moment est précieux, je n’ai pas peur de notre issue. Je le retrouverais. Mais mon passage sur cette terre doit être le plus merveilleux.

    Mon amour pour les autres est décuplé, ma meilleure amie prend ce rôle de sœur que je n’ai jamais eu, mes parents deviennent de plus en plus fort, les amours que je vis me remplissent de bonheur. Durant tout ce chemin j’ai eu la chance d’être entourée de personnes fabuleuses, à l’écoute et bienveillantes.

    Je ne peux pas me réjouir de mon passé mais je peux affirmer sans aucune gêne que je suis heureuse, que cette épreuve à dupliquer l’amour que je porte à la vie, intensifié les sentiments que je porte pour les personnes que j’aime, le moindre moment de bonheur du quotidien, même le plus simple est extrapolé.

    Le bonheur ce n’est pas de rêver de ce que l’on a plus ou de ce qu’on souhaiterait avoir.

    Le bonheur c’est ce chemin, parfois semé d’embûches, mais ce n’est pas le but ou l’issue de celui-ci. »

    Pour réussir à combattre une souffrance, la sophrologie peut vous aider; pensez-y !!

    QUAND NOS PEURS DEVIENNENT NOS FORCES

    Cet article t-a plu ? Epingle-le sur Pinterest !

     

  • Une monodiète de 3 jours, ça vaut le coup ? 

    Une monodiète de 3 jours, ça vaut le coup ? 

    Lorsque j’habitais en Côte d’Ivoire, je me murmurais souvent que « la chaleur et la pollution intense d’Abidjan risque de m’avoir un de ces jours ». Chaque matin au réveil, je ressentais que mon corps était chaud bouillant, comme si je venais de passer 20 minutes dans un sauna. Je transpirais beaucoup, et je fatiguais très rapidement.  C’était une chaleur prenante, épuisante, et inconnue pour une jeune femme qui venait de Paris.

    Paris a beau être la plus belle ville du monde, on se retrouve bien plus souvent, nez à nez avec une belle pluie torrentielle, qu’un soleil lumineux et étouffant. Ceci-dit, c’est bien, en Côte d’Ivoire, que je me suis rendue compte que je préférais les climats tempérés aux climats arides. Et pourtant la climatisation est installée de partout … mais la clim ce n’est pas ce qu’il y a de plus sain.

    C’est sans doute très psychologique, mais j’avais l’impression que mon corps subissait beaucoup de choses négatives dans ces conditions. J’étais alors beaucoup plus stricte face à mon hygiène de vie. Je dormais 9 heures par nuit quoi qu’il arrive, je buvais 3 litres d’eau par jour, je mangeais beaucoup de fruits et légumes (vitamines), de protéines (poulet braisé), et je faisais du sport à chaque pause déjeuner en semaine de façon à garder la forme mais aussi la pêche.

    Mon grand avantage c’est que je ne fume pas et que je n’ai jamais fumé. Et plus que tout, j’ai été amenée à faire plusieurs monodiète.

    Qu’est-ce que la monodiète ?

    Le principe de la monodiète c’est de manger sur une durée de 3 jours, un aliment unique. Trois journées sont préconisées mais une journée ou deux c’est déjà pas mal.

    Les monodiètes les plus recommandées sont celles à base de pomme, de riz ou de raisin. Mais c’est à vous de décider ce que vous souhaitez manger durant cette période, car ce n’est pas un moment facile.  Évidemment on évite de choisir les M&M’s 🙂 !

    L’objectif est de nettoyer l’estomac de toutes ses impuretés et de repartir sur une  bonne base.  Car on a tendance à beaucoup polluer cet organe avec le sucre , l’alcool, la cigarette, les mauvaises émotions , et pourtant l’estomac est le deuxième cerveau.  Il faut apprendre à en prendre soin.

    mono-diet pommes

    Comment m’est venue l’idée de la monodiète ?

    J’ai fait des rencontres multiples en Côte d’Ivoire, toutes aussi intéressantes les unes que les autres.  Un jour je fais la rencontre d’un jeune franco-libanais d’une trentaine d’années, qui était passionné par « la loi d’attraction », « le positivisme », « la méditation » et le « yoga ». Toujours à l’affût de nouvelles méthodes, pour entretenir son corps et son esprit. Les deux sont étroitement liés ne l’oublions pas. Il sortait justement d’une monodiète et m’en a fait beaucoup d’éloges « Charlotte, mon corps revit, de même pour mon esprit, je me sens apaisé et c’est très agréable ».

    Je décide alors sans plus attendre d’en faire une.  Dans la continuité évidemment de mon hygiène de vie irréprochable que j’abordais la bas.

    mono-diet pommes

    Ma monodiète à moi

    Je décide de choisir la pomme, fruit que j’affectionne particulièrement et facile à manger. En choisissant la pomme j’avais la possibilité de manger des pommes crues, mais aussi de la pomme cuite au four, de la compote, de boire du jus de pomme pressé… ça s’arrête là ! (Rires)

    mono-diet pommes

    C’est parti pour 3 jours de terreur

    1er jour : le premier jour ne fût pas le plus difficile.  J’avais encore des stocks de nourriture en moi pour tenir en ne mangeant que de la pomme. Et ceci sans me plaindre et sans ressentir de sensation de faim. Mes collègues pouvaient manger des plats succulents devant moi, ça ne me donnait aucunement envie. J’étais plus que motivée à tenir sur l’intégralité de ces trois jours. Je pensais fortement aux bienfaits que ça allait avoir sur mon corps.

    2 ème jour : au réveil les gargouillements commençaient à se faire entendre.

    J’avais une envie folle d’un bon pain au chocolat bien gras, mais il fallait que je persiste. Je n’avais fait qu’une seule journée jusqu’à présent, ce n’était pas grand chose. Sans plus attendre je me dirige vers le réfrigérateur ,  je l’ouvre, et je pris ma compote de pommes faite maison en guise de petit déjeuner.  « Quel délice » m’obligeais-je a me dire.

    Le midi à la pause déjeuner c’est avec 3 pommes que je suis venue au bureau.  Je les enchaînais les unes après les autres. Je voyais ma collègue Myriam en face de moi qui mangeait quant à elle un foutou poisson. Je la regardais avec des grands yeux désespérés. J’avais profondément envie de ce foutou poisson , et pourtant ce n’était pas mon plat africain préféré.

    Le soir je rentre chez moi, un peu affaiblie, je passe au « Casino » (supermarché le plus connu à Abidjan) me racheter des pommes. Devant le rayon CHIPS, je me demande si j’en achèterais pas un paquet pour le dévorer devant ma série préférée du moment « Stranger Things », mais j’ai résisté.   1 kilo de pommes acheté, je remonte chez moi.

    Ce soir-ci je me fis des pommes au four : grandiose et tellement original (rires)

    3 ème jour : le 3 eme jour fût le plus compliqué. Par moment, je tiens à l’avouer, que je me sentais un peu faible. Mais il ne fallait pas que je lâche mon challenge.  Chalengeuse que je suis !

    Je commençais à ne plus aimer la pomme, voir la détester. Cet aliment qui me causait tant de mal. Mes journées se ressemblaient terriblement. Comme quoi, la nourriture peut guider une bonne partie de nos vies quand on est gourmand.

    Ce soir là, je suis rentrée chez moi un peu énervée, car je commençais très sincèrement à avoir faim. Je ne jugeais que par la pomme, j’oubliais les saveurs multiples qui existent de nos jours : les épices, le fromage, le vin, le chocolat fondu …   Et pourtant, le lendemain matin, c’est avec le sourire que j’ai réussi à me dire que j’avais tenu trois jours et pour la bonne cause : celle de purifier mon corps et mon esprit.

    mono-diet pommes

    Les effets positifs sur moi

    J’ai en effet ressenti de nombreux effets positifs sur mon corps mais aussi sur mon esprit.

    Sur le corps : 

    • Une peau plus lumineuse , et moins granuleuse 
    • Le ventre moins gonflé et plus plat
    • Les cheveux plus doux
    • Les cernes moins creusées et plus atténuées
    • Le corps plus léger de façon général

    Sur l’esprit : 

    • Moins agressive, plus apaisée
    • Moins fatiguée 
    • Plus active

    Je vous conseille pleinement de faire une monodiète à chaque changement de saison.

    Attention à bien se préparer en amont en mangeant sainement.

    C’est plus difficile de faire une monodiète après avoir mangé des plats copieux et gras durant les jours qui précèdent.  Et puis ce n’est vraiment pas conseillé, car c’est un choc très brusque.

    La sophrologie peut être un bon parallèle à la monodiète. Cette technique vous apprendra à respirer, vous relaxer, lâcher prise et réussir à penser à vous faire du bien !

    Cet article t-a plu ? Epingle-le sur Pinterest !

  • Je Switch, tu Switch, il Switch… nous Switchons …. ! 

    Je Switch, tu Switch, il Switch… nous Switchons …. ! 

    Vous est-il déjà peut-être arrivé de vous demander si vous aimez réellement ce que vous faites dans la vie ? Je veux dire par là : avez-vous une forte passion pour votre métier, ou l’exercez-vous de façon linéaire juste pour répondre aux besoins vitaux quotidiens : payer son loyer, payer ses factures, rembourser son prêt … manger à sa faim, et réussir à aller au cinéma une fois de temps en temps ?

    La raison ou la passion ?

    Selon une étude menée par BFM, 2 français sur 5 souhaiteraient transformer leur métier en passion, mais sont actuellement même dans une position où leur métier n’est qu’alimentaire alors qu’il est perçu comme « prestigieux » pour beaucoup de leur entourage. Comme quoi l’entourage, il faut parfois le laisser où il est, et n’écouter que son cœur.

    Quand je dis alimentaire, il s’agit souvent d’un métier qui a été choisi dans la continuité d’études ou d’une formation exercée ou même influencée par le souhait d’une personne extérieure « mon père veut que je sois dans l’immobilier, il veut que je sois médecin », ou alors d’un métier choisi par obligation, car aucune étude n’a été faite.

    Souvent, ces personnes se disent alors « c’est comme ça et pas autrement … mon boulot je l’exerce depuis des années, et puis j’avance dans l’âge, ce ne sont plus des questions à me poser ».  

    Meditation

    Même si nous ne passons finalement que 12 % de notre vie au travail, soit 10 ans si nous aplatissons le tout, c’est déjà énorme, surtout si vous allez chaque jour à reculons au travail. Imaginez, 10 ans de trop à souffrir d’un mal-être professionnel, ou d’un ennui profond.  Et puis, tous les petits tracas mentaux sont source de maladies graves. Il faut vraiment y remédier … !

    Beaucoup n’aiment pas leur travail mais se disent , « oui mais que puis-je faire si je n’ai finalement des compétences que dans ce domaine? ». Faux et archi faux. Chaque être humain a des compétences multiples, et surtout, sans le savoir, dans des secteurs souvent enfouis.

    Le problème de fond c’est qu’ils ne se connaissent pas assez, car ils ne se posent pas les bonnes questions, au bon moment. Ces personnes-là suivent le mouvement – et ce que le conformisme et le jugement de la société – veulent faire d’eux.

    D’un point de vue personnel

    J’ai fait partie intégrante de ces personnes pendant 7 ans de ma vie professionnelle. Et encore, je n’ai que 28 ans, je suis jeune, et je ne fais pas partie de ces personnes qui switchent après 30 ans de carrière. Je ne suis peut-être pas l’exemple parfait… Mais j’admire ces personnes qui osent franchir le pas.

    De mon côté, j’ai fait des études en marketing durant 5 ans, il fallait alors de façon linéaire que je travaille dans un grand groupe, car il y a une plus forte NOTORIÉTÉ quand vous travaillez chez L’Oréal , que dans une start-up à faible budget. Ma foi, ce ne sont que des étiquettes et des étiquettes, c’est tout ce que je déteste, mais j’ai été victime de ces étiquettes, extraites de l’élitisme à la française.

    Et puis de façon toute aussi robotisée, il fallait que je sois en CDI, car en France c’est le seul et unique graal… et pour finir il fallait que je passe plus de 2 ans dans une entreprise à chaque fois, car cas contraire, tu es considérée comme une personne « perdue », et qui semble être instable.

    Sauf que de mon côté, j’aurais pu m’attacher aux signes d’un besoin de changement, bien plus rapidement qu’après 7 ans de contrat.

    Je changeais de travail (tout en respectant mon idée de rester dans de grands groupes), tous les ans, et puis je n’étais pas tant que ça attachée au CDI, car je n’aimais pas me sentir enfermée dans un cadre. A l’heure actuelle où j’écris ces lignes, je n’aime toujours pas cela…Pour en finir avec mon passé professionnel, la hiérarchie plus qu’ancrée du grand groupe, et les lourdeurs administratives n’étaient pas faites pour moi.

    Bien que ces signes étaient bien présents je continuais à me dire que j’aimais le marketing, j’aimais les grands groupes, j’aimais les Open Space, j’aimais le conformisme car tout simplement il fallait aimer cela, sous peine d’être montrée du doigt comme une personne « marginale » et « différente ».

    Une vraie prise de conscience

    Les années ont passé, j’ai pris le temps de voyager, de voir autre chose, de partir loin de tout, de m’aérer, et puis je me suis officiellement découverte, en effet comme une personne « différente » clairement, « marginale » sûrement pas, mais qui comprenait que les mœurs et la notion du travail pour chacun d’entre nous évoluaient et qu’il fallait l’assumer et s’assumer.

    Le travail n’a plus la même valeur qu’il y a 30 ans et il faut le comprendre. A l’époque, dans la génération de nos parents, il fallait à tout prix être « stable » en évoluant dans une même entreprise et un même secteur toute sa vie. Il ne fallait pas déjouer son schéma de vie. Aujourd’hui vous pouvez être boulanger, puis restaurateur, puis comptable, puis entrepreneur dans l’It… et cela en une seule vie.

    Tout va très vite, voire trop vite,  notamment grâce à la montée en puissance d’internet, et du surplus d’informations reçuu à la minute. Ce qui n’existait pas à l’époque de nos parents… La vie est ainsi ! Ils ne faut pas rester fermé dans une case.

    « Charlotte, tu es faite pour conseiller les autres »

    De mon côté je commençais à prendre goût pour les métiers liés au social et à l’introspection; j’étais déjà « la psychologue » de beaucoup de mes amis et on me répétait sans cesse « Charlotte tu es faite pour conseiller les autres et les faire clairement évoluer. » Certes j’étais faite pour conseiller, mais je ne savais pas par où commencer et de quelle façon pour m’implanter dans ce domaine.

    Fallait-il que je refasse des études, ou juste une formation à distance ? Est-ce qu’il fallait lire des livres en particulier ? Est-ce qu’il fallait que je me tourne vers des personnes précises ?

    Toutes ces questions qui me trottaient dans la tête, me faisaient un mal fou car elles me confrontaient à la réalité de ma vie… mais à la fois m’ont permises de me connaître.

    SWITCH COLLECTIVE ? Qu’est-ce ?

    Un jour, une amie me parle de Switch Collective, nouvelle start-up d’accompagnement vers la reconversion professionnelle.  Elle me dit « Charlotte, c’est une formation qui dure un mois et demi, à hauteur d’un jour par semaine.  Nous sommes un groupe de 40 personnes de tout âge, et je suis d’ailleurs la plus jeune. 40 personnes qui veulent se reconvertir mais qui ne savent pas par où commencer.  Tu vas rencontrer des gens fabuleux, tu vas faire des exercices très profonds, qui vont changer ta vie ».

    Switch Collective me disait-elle ? Je cherche sur internet, je regarde le groupe Facebook, je regarde des vidéos You Tube et ma décision était prise : il faut que je le fasse !!

    Inscription archi facile, pas grand-chose à remplir (la corvée administrative que chacun évite), et puis des contacts forts réactifs. Dix jours avant le commencement, il y a eu une phase de travail en amont. Réception de mail chaque jour, ou nous devions répondre à des test de personnalités, de valeurs, d’habitudes… !  Il fallait arriver dans la Switch house avec un minimum (je dirais même un maximum de contenus) sur soi.

    « Moi différente ? Moi marginale ? »

    Arrivée la bas le premier jour, je me suis dit pour la première fois de ma vie : « Moi différente? Un peu marginale? « Qui file un mauvais coton » ? Absolument PAS. Je me retrouve avec 40 personnalités extrêmement fortes et affirmées, et en effet de tout âge.

    Des personnes qui ont évolué dans des domaines différents. Certains étaient dans la banque, dans la finance, dans le commercial, le marketing, d’autres comédiens, d’autres dans l’informatique… beaucoup avaient des postes à fortes responsabilités avant de décider de Switcher. Assez impressionnant d’ailleurs !!!  Quoi qu’il arrive nous étions tous là pour « switcher ».  Alors Switchons et faisons le bilan de façon progressive et ludique. C’est parti !!!

    Il fallait choisir un binôme qui serait une sorte de miroir à soi, durant toute la formation. Les consignes des exercices se donnaient  en groupe, mais nos réponses étaient analysées par notre binôme. Quelle puissance de devoir se livrer avec tant de liberté et de sincérité à un inconnu.

    Les exercices sont des exercices pour apprendre à se connaître et ressortir après 6 semaines de formation, avec une personnalité encore plus affirmée, assumée, et dans la direction d’un nouveau métier.

    Tu fais le bilan à travers des exercices de 30 minutes/ 1heures qui répondent à :  d’où tu viens ? Quelles sont tes qualités principales? Tes défauts principaux ? Tes soutiens dans la vie ? Tes inspirations au quotidien? Tes rêves réalisables ou plus difficilement atteignables? Ton rapport aux règles ? Ta capacité à juger? Ton rapport aux émotions… ? Les pensées qui traversent le plus souvent ton cerveau…? Tes plus grandes déceptions dans la vie? Tes moments les plus marquants? Ton rapport à ton corps? Ce qui aggrave tes peurs, ta nervosité …. ?

     

    L’objectif principal est d’apprendre à se connaître par cœur, à tel point de réussir à savoir ce que tu ne feras plus jamais, ce qui va à l’encontre de ce que tu es, de tes valeurs… Et surtout prendre confiance en soi pour se lancer dans une nouvelle vie professionnelle, malgré le fait que ce soit certes difficile.

    Quitter une zone de confort, tirer une croix sur l’aspect financier régulier, les horaires cadrées, les consignes… ! Faire preuve d’indépendance, en passant certes par des moments difficiles, mais pour la bonne cause : celle d’être enfin heureux.

    Comme le disait si bien Confucius «  Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour dans votre vie ».  

    Vous trouverez ci-dessus, trois vidéos de switcher, qui ont parlé de leur Switch avec aisance devant des sessions d’élèves Switch Collective.

    Cette formation a officiellement changé ma vie et ma perception envers le changement et le fait de se poser des questions. Notez bien qu’il existe de nombreuses formations de ce type, à prix variés, et que je ne fais aucunement une publicité pour cette entreprise en particulier, mais plutôt un article sur le concept.

    C’est finalement la meilleure chose qui puisse nous arriver. Creusez, et découvrez ce qu’il y a en vous !!! On ne se le demande malheureusement pas assez, par peur de souffrir, ou d’être mal vus !

    Aujourd’hui je suis officiellement sophrologue, et je vous en parle dans d’autres articles de ce blog, en espérant que cela vous intéresse.

    À très bientôt !

    Charlotte Vallet

    Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris et proche banlieue