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  • Un cadeau bien-être à noël : 5 bonnes raisons d’en offrir

    Un cadeau bien-être à noël : 5 bonnes raisons d’en offrir

    À la recherche du cadeau bien-être parfait pour Noël ? Offrir un soin bien-être, c’est choisir un cadeau bien-être transformateur, qui reconnecte, illumine et fait vibrer. Découvre pourquoi mes prestations de corps et d’esprit sont bien plus qu’un simple présent : elles sont une véritable expérience.

    Quand Noël approche, on cherche souvent des cadeaux qui marquent, qui ont du sens, qui ne finissent pas au fond d’un placard. Alors, pourquoi ne pas offrir bien plus qu’un simple objet cette année ? Avec mes soins, tu offres une véritable expérience, un moment de transformation et de bien-être profond. C’est offrir une intention qui dit à la personne : “Tu mérites le meilleur.” Ce n’est pas une boîte de chocolats ou un parfum standardisé. C’est une attention sur-mesure, pensée pour répondre à un besoin profond : celui de se sentir bien, à la fois dans son corps et dans son esprit. Voici pourquoi ces prestations sont le cadeau bien-être idéal pour Noël.

    1. Offrir un moment de reconnexion à soi-même

    Le stress, la fatigue, la course contre le temps… Beaucoup de femmes oublient de s’arrêter et de penser à elles. Offrir un soin comme le drainage lymphatique ou le remodelage émotionnel du visage, c’est offrir une pause. C’est permettre à la personne de respirer, de se retrouver, de libérer des tensions enfouies. Ce n’est pas juste un soin, c’est un moment où elle peut se recentrer sur elle-même.

    2. Un cadeau bien-être qui fait du bien, de l’intérieur et de l’extérieur

    Avec des prestations comme le remodelage hypnotique du visage, on ne parle pas juste de bien-être intérieur. On parle aussi d’une transformation visible. Ces soins agissent sur les émotions tout en redonnant éclat et vitalité au visage. À Noël, ce cadeau bien-être ne fait pas que ravir, il illumine, dans tous les sens du terme.

    3. Une expérience personnalisée et unique

    Mes différentes prestations ne sont pas des soins standardisés. Chaque séance est personnalisée, en fonction des besoins et des attentes de la personne. C’est un cadeau qui dit : “Je pense à toi, à tes besoins, à ton bien-être.” Rien de plus précieux que de se sentir réellement comprise et choyée.

    4. Une alternative aux cadeaux matériels

    Offrir un soin, c’est dire non à la surconsommation. C’est choisir un cadeau durable, qui laisse un impact émotionnel profond. Ce n’est pas un objet qu’on oublie, c’est un moment qu’on garde en mémoire. À une époque où on a souvent tout, offrir une expérience a une valeur inestimable.

    5. Le cadeau bien-être parfait pour démarrer l’année en beauté

    Les soins comme le drainage lymphatique ou l’hypnose aident à évacuer le stress, à retrouver de l’énergie et à commencer l’année du bon pied. Ce n’est pas juste un cadeau pour Noël, c’est un véritable coup de boost pour affronter la nouvelle année avec sérénité et confiance.

    Pour qui sont ces prestations ?

    Pour ta mère, ta sœur, ta meilleure amie, ou même pour toi ! Ces soins s’adressent à toutes celles qui veulent prendre soin d’elles, se libérer de leurs blocages et s’offrir un moment unique.

    Le cadeau qui fait la différence

    Tu offres bien plus qu’un cadeau bien-être. Si tu veux offrir un cadeau bien-être qui a un vrai impact, ne cherche pas plus loin. Mes soins ne sont pas juste des cadeaux, ce sont des expériences uniques, des moments qui transforment et qui touchent l’âme Tu offres une transformation, une libération, une reconnexion. Ce Noël, choisis un présent qui a du sens, un présent qui illumine. C’est bien plus. C’est une véritable déclaration d’intention :

    “Je te vois, je veux que tu prennes soin de toi, je veux que tu t’autorises à ralentir.”

     

    reseaux sociaux charlotte

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  • Coparentalité : une Révolution inspirante pour une parentalité libre et épanouie

    Coparentalité : une Révolution inspirante pour une parentalité libre et épanouie

    Et si la coparentalité était la clé pour vivre une parentalité libre ? Ce modèle libérateur casse les codes traditionnels et offre une alternative authentique, respectueuse et profondément épanouissante pour celles et ceux qui ne veulent pas se conformer aux normes sociales. Découvrez pourquoi cette parentalité réinventée pourrait changer votre vie.

    La coparentalité : pourquoi ce modèle de parentalité libre est ma révélation

    Si tu es comme moi, un peu marginale, en dehors des codes traditionnels, tu as sûrement ressenti que les modèles classiques de la famille ou du couple étaient un peu étouffants. Tu t’es parfois retrouvée dans des relations de couple, mais après un certain temps, tu t’es vite lassée. Aujourd’hui, je me tourne résolument vers la coparentalité, et cette décision n’est rien de moins qu’une libération totale pour moi.

    Pour moi, la coparentalité n’est pas simplement une alternative aux relations classiques. C’est une véritable réinvention de ce que signifie être parent, et c’est surtout un moyen de rester fidèle à ma liberté, tout en m’engageant profondément dans le rôle de parent. Plus je m’y intéresse, plus je me rends compte que c’est le modèle qui me correspond le mieux. Mais pourquoi ?

    Mon histoire : toujours libre, toujours autonome

    Je ne me suis jamais véritablement retrouvée dans les “codes” sociaux. Dès mon plus jeune âge, j’ai toujours eu un pied en dehors des attentes traditionnelles : les normes sociales, les attentes liées à la famille, au couple, à la parentalité, tout ça me paraissait étranger. J’ai été en couple par moments, sur de longues années d’ailleurs, et je me suis souvent lassée avec le temps. Je n’ai jamais été la personne qui voulait absolument “se conformer”.

    Aujourd’hui, j’évolue dans un couple libre, où je choisis de partager ma vie sans sacrifier ma liberté personnelle. Et cette vision de la liberté a fait écho à ma vision de la parentalité libre : pourquoi continuer à m’enfermer dans le modèle traditionnel du couple, quand je peux choisir une forme de famille qui me permet d’être moi-même tout en assumant mes responsabilités de parent ?

    La coparentalité : le choix de la liberté et de l’autonomie

    La coparentalité est la manière de redéfinir la parentalité libre pour nous qui ne sommes pas faits pour rentrer dans les cases traditionnelles. C’est un modèle qui respecte l’individualité de chaque parent, tout en leur permettant de s’investir pleinement dans l’éducation de leurs enfants.

    Pour moi, la coparentalité est une réponse directe à l’étouffement que je ressens souvent dans les relations de couple. Le modèle classique, où l’on fusionne avec l’autre dans un cadre bien délimité, me paraît presque absurde. Pourquoi sacrifier ma liberté au nom de l’amour ? Pourquoi ne pas imaginer un modèle où, tout en étant parent, je peux continuer à me réaliser en tant qu’individu ?

    La coparentalité permet de bâtir une relation équilibrée et saine entre les parents, tout en évitant les contraintes émotionnelles et sociales qui pèsent sur le couple traditionnel. En optant pour cette forme de parentalité libre, je peux choisir de m’entourer de personnes avec qui l’on partage des valeurs communes, sans les limitations imposées par des relations amoureuses classiques.

    Pourquoi la coparentalité est un modèle libérateur :

    1. La liberté : pas besoin de sacrifier qui on est

    Je suis une personne profondément libre, et la coparentalité me permet de concilier cette liberté avec mon rôle de parent. Dans un couple traditionnel, il y a souvent des attentes, des compromis qui me font sentir étouffée. Avec la coparentalité, il n’y a pas de fusion forcée. Il y a une coopération, une relation où chaque parent est autonome tout en restant engagé dans l’éducation de l’enfant.

    J’ai choisi cette voie car elle me permet de ne pas me perdre dans la relation. La liberté est essentielle, et dans ce modèle, je peux vivre pleinement ma vie sans avoir à m’adapter à des normes que je n’ai jamais choisies.

    2. L’épanouissement personnel : un parent plus présent, plus épanoui

    Dans les modèles traditionnels, être parent peut signifier renoncer à ses désirs et à ses rêves personnels pour le bien de la famille. Mais la coparentalité me permet de concilier maternité et épanouissement personnel. C’est un équilibre parfait entre la liberté d’être soi-même et la responsabilité de s’occuper d’un enfant. Quand je suis épanouie dans ma vie personnelle, je peux être une meilleure mère, plus disponible, plus présente et surtout plus alignée avec mes valeurs.

    3. Les relations plus saines : moins d’attentes, plus d’honnêteté

    L’un des grands défis des relations de couple, c’est la pression constante des attentes, des rôles à jouer, des compromis émotionnels. Dans le cadre de la coparentalité, ces pressions sont beaucoup moins présentes. On n’est pas dans une relation amoureuse fusionnelle, mais dans une collaboration respectueuse entre deux individus qui ont choisi de partager une partie de leur vie ensemble – leur enfant – tout en respectant leur espace personnel et leurs besoins.

    Les relations dans la coparentalité sont souvent plus sincères, plus respectueuses, et surtout, beaucoup moins envahissantes. Il n’y a pas de place pour les non-dits ou les compromis qui nous coûtent sur le plan émotionnel.

    4. La libération des normes sociales : ose réinventer ta famille

    La société nous a appris que pour être heureux, il fallait suivre un certain modèle de famille. Le couple, le mariage, les enfants. Mais qu’en est-il quand ce modèle ne te correspond plus ? Quand tu ne te retrouves pas dans ces attentes ? La coparentalité permet de réinventer ta propre famille, sans te soucier des normes sociales.

    Il est temps de casser les chaînes qui nous empêchent de vivre selon nos propres désirs. Pour moi, choisir la coparentalité, c’est avant tout choisir de me libérer des attentes imposées par une société qui m’a toujours semblé étrangère.

    5. Casser les liens toxiques : se respecter soi-même avant tout

    Au fond, choisir la coparentalité, c’est aussi une question de respect de soi. Je n’ai jamais voulu me sacrifier dans des relations qui ne me nourrissaient pas. La coparentalité m’a permis de me libérer des liens qui étaient devenus toxiques ou limitants. J’ai appris à couper les ponts avec ce qui ne m’épanouissait plus, pour ouvrir un espace qui est uniquement à moi.

    Mon choix : la coparentalité comme une révolution personnelle

    Je ne suis pas ici pour dire que le modèle du couple traditionnel est mauvais. Chacun vit sa vie comme il le souhaite. Mais pour moi, la coparentalité est le choix qui fait sens. C’est la liberté retrouvée, le respect de mon indépendance tout en étant une mère aimante et présente.

    Aujourd’hui, je suis en couple libre, et je me prépare à entrer dans une dynamique de coparentalité. Cette transition me permet de concilier mes aspirations personnelles et mes responsabilités parentales sans sacrifier mon identité. Je suis plus alignée que jamais et c’est grâce à cette réinvention de la famille que je peux aujourd’hui m’épanouir pleinement.



    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

     

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  • Domination parentale et impact psychologique : la vérité captivante qui change tout

    Domination parentale et impact psychologique : la vérité captivante qui change tout

    La domination parentale et impact psychologique est une dynamique toxique qui freine l’épanouissement de l’enfant, détruit sa confiance en soi, et marque son identité. Découvrez comment reconnaître ces schémas destructeurs et vous libérer de leur emprise pour reprendre le contrôle de votre vie.

    La domination parentale et impact psychologique : une honte qui freine l’évolution de l’enfant

    La domination parentale sur l’enfant est un fléau qui persiste encore trop souvent dans nos sociétés. Une forme de pouvoir abusif qui repose sur une relation de soumission, de contrôle, et d’oppression psychologique. Et pourtant, nous devrions comprendre une chose essentielle : un enfant n’est pas là pour être dominé, il est là pour grandir, s’épanouir et s’autonomiser.

    La domination des parents sur leurs enfants est une honte, un non-respect absolu de leur individualité. Une dynamique toxique où l’adulte impose ses croyances, ses peurs et ses désirs sur un être en formation, brisant ainsi toute chance pour cet enfant de se découvrir et de se développer dans sa propre vérité.

    J’ai personnellement connu cette domination. J’ai été sous l’emprise de cette forme de pouvoir, enfermée dans des schémas parentaux où l’individualité était étouffée sous un amas de règles et de contrôles injustes. Une oppression psychologique, émotionnelle, où la liberté de penser et d’agir était constamment muselée par l’autorité d’un parent qui croyait que son rôle était de tout diriger.

    C’est cette expérience qui m’a forgée, m’a poussée à comprendre qu’il n’y a rien de plus destructeur que de dominer un enfant. Et pourtant, tant de parents, par ignorance ou par tradition, croient que la domination est la seule manière d’éduquer. C’est un mensonge, et il est temps de l’abolir une bonne fois pour toutes.

     

    Pourquoi la domination parentale est une erreur fatale

    La domination parentale repose sur des bases erronées : l’idée qu’un enfant doit être “corrigé”, “discipliné”, ou “formaté” pour répondre aux attentes de la société. C’est une forme de violence psychologique, souvent insidieuse, où l’adulte impose une vision du monde figée et où l’enfant est contraint de se soumettre à des attentes qui ne sont pas les siennes.

    Au lieu de permettre à l’enfant de grandir librement, l’adulte impose sa propre vision du monde, ses croyances, ses peurs et ses limites, et ce, souvent sous forme de critiques constantes, de comparaisons, ou de dévalorisation. Chaque parole dominante est un coup porté à la confiance en soi de l’enfant.

    Dans ce type de relation, l’enfant ne peut qu’apprendre à se cacher, à réprimer ses désirs, à étouffer ses émotions pour éviter la réprimande, l’humiliation, ou le rejet. Il apprend que l’amour conditionnel est la seule forme d’amour qui existe : un amour basé sur la performance, la conformité, et non sur l’acceptation inconditionnelle.

    Et il ne s’agit pas uniquement de critiques verbales. Parfois, la domination prend d’autres formes : des manipulations émotionnelles, des menaces implicites, ou des culpabilisations. L’enfant, dans ce cadre, est privé de sa capacité à être lui-même, à prendre des décisions autonomes, à se rebeller sainement, à apprendre de ses erreurs.

     

    Les conséquences dévastatrices de la domination parentale

    Les conséquences de cette domination parentale et impact psychologique sur l’enfant sont profondes et durables. Les enfants élevés dans ce type d’environnement peuvent développer plusieurs types de problématiques :

    • Manque de confiance en soi : L’enfant apprend à douter de lui-même, à croire que ses idées et ses émotions ne valent rien, que l’amour et l’acceptation sont réservés à ceux qui sont conformes aux attentes des parents.
    • Dépendance émotionnelle : L’enfant peut développer une dépendance excessive vis-à-vis de l’approbation de ses parents, incapable de faire des choix ou de prendre des décisions par lui-même.
    • Comportements de soumission : Un enfant qui a été dominé apprendra à se soumettre dans ses relations futures, à accepter des situations où il se sent opprimé, contrôlé ou manipulé.
    • Problèmes d’estime de soi : L’enfant peut développer une estime de soi très fragile, car il a grandi dans un environnement où son identité était rejetée ou niée.
    • Tendances à l’autosabotage : La peur de décevoir les autres, la crainte de prendre des risques, et l’incapacité à se libérer des schémas imposés par la domination peuvent mener à des comportements auto-destructeurs.

      Domination parentale et impact psychologique.   Domination parentale et impact psychologique

    Comment s’en sortir : se libérer de la domination parentale

    Heureusement, il est possible de se délivrer de cette domination et de reconstruire une vie plus saine et plus épanouie. Voici quelques étapes pratiques pour s’en sortir :

    1. Prendre conscience du schéma : La première étape consiste à reconnaître les schémas de domination dans votre histoire. Accepter que vous avez été soumis à un contrôle excessif permet de commencer à guérir.
    2. Distinguer les voix parentales de votre propre voix : Ce qui est essentiel, c’est de faire la distinction entre ce que vous avez appris sous la domination parentale et ce que vous êtes réellement. Réappropriez-vous votre voix intérieure. Ce sont vos désirs, vos besoins, vos choix qui doivent guider votre vie, pas ceux de l’adulte dominant.
    3. Pratiquer l’autocompassion : La guérison passe par l’acceptation de soi. Vous n’êtes pas responsable des abus que vous avez subis. Apprenez à vous aimer et à vous accepter sans condition. Vous méritez d’être heureux et d’évoluer librement.
    4. Établir des limites saines : Apprenez à poser des limites claires et saines avec vos parents ou toute autre figure d’autorité. Cela peut être difficile au début, mais c’est nécessaire pour reprendre votre pouvoir personnel et créer des relations respectueuses et équilibrées.
    5. Chercher un soutien professionnel : La guérison d’une domination parentale prend du temps, et il peut être extrêmement bénéfique de travailler avec un coach ou un thérapeute pour vous aider à sortir de ce schéma toxique.
    6. Me suivre sur Instagram : je partage souvent des solutions.

     

    Prenez le contrôle de votre vie : ne laissez pas le passé diriger votre futur

    Si vous vous reconnaissez dans ces mots et que vous sentez que vous êtes prisonnier d’un schéma de domination parentale, il est temps de passer à l’action. Ne laissez pas votre passé détruire votre futur. Vous avez le pouvoir de changer, de vous libérer, et de vivre selon votre propre vérité.

    Si vous avez besoin d’un soutien dans ce processus de libération, je suis là pour vous aider. Grâce à mon coaching personnalisé, nous pouvons travailler ensemble sur la déconstruction de ces schémas toxiques, vous apprendre à créer des limites saines, et vous aider à retrouver votre pouvoir personnel.

     

    Contactez-moi dès maintenant pour commencer votre transformation. Il n’est jamais trop tard pour reprendre votre vie en main.Domination parentale et impact psychologique
    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

    Domination parentale et impact psychologique. Domination parentale et impact psychologique. Domination parentale et impact psychologique

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  • Déconstruction de la famille : Sacrée Famille, Sacré Enfer

    Déconstruction de la famille : Sacrée Famille, Sacré Enfer

    La famille, ce pilier de nos vies, est-elle toujours une bénédiction ou parfois un fardeau ? Dans cet article, explorez la déconstruction de la famille, ce processus libérateur qui brise les chaînes des attentes et des normes imposées. Et si la véritable liberté consistait à x réinventer loin des carcans familiaux ?

    Depuis quelques années, la famille est devenue mon obsession. Une obsession douce-amère, fascinante, inextricable. Comme une mousse au chocolat bien fraîche, un plat de pizza quatre fromages dégoulinant de délices… ou plutôt de lourdeurs. Je me délecte des films, des livres, des podcasts qui explorent ce sujet. Je me plonge dans la dynamique familiale comme on plonge dans un labyrinthe, sans jamais chercher à en sortir. J’adore m’y perdre. Un peu comme un jeu, un défi lancé à moi-même : comment échapper à ce que la famille représente de plus sacré et de plus étouffant ?

    Attention, je ne parle pas de l’amour que j’éprouve pour ma propre famille (ni pour la tienne d’ailleurs), mais plutôt de l’amour inconditionnel pour l’idée même de famille. Cette institution qui se perpétue comme un dogme, un modèle d’une époque révolue. À travers ma propre histoire, je tente de déconstruire tout ce que j’ai appris. Ma mère, schizophrène et aussi présente que le vent dans un champ désert, mon père aussi assidu qu’un prof de sport à 5 ans (1h par semaine, la cloche et c’est tout). Et mon frère ? Lui, il est resté figé en 1995. Une sorte de vestige de l’époque, qui a décidé de ne pas évoluer.

    Bref, pas de quoi chanter l’hymne à la joie. Un portrait de famille tout sauf idyllique.

    Mais là où ça devient intéressant, c’est quand je me pose cette question : est-ce que j’ai des défaillances, moi aussi ? Et la réponse est, bien sûr, un grand OUI. Je suis un cocktail de contradictions ambulant : à la fois Bouddha (sagesse, humilité, ouverture d’esprit) et Joker (anarchie, impulsivité, et un peu d’absurde pour pimenter le tout). Et je ne vais pas citer de figures féminines ici, même si, en tant que féministe, c’est un peu contre nature. Mais bon, passons.

    Malgré tout, je regarde mes failles, je les accepte et je m’en nourris pour grandir. Ce que je n’ai pas trouvé dans ma famille, c’est un vrai travail de prise de conscience, un effort constant de s’améliorer. Moi, je m’efforce d’être une meilleure version de moi-même chaque jour, alors que pour eux, c’était plus une question de faire « comme il se doit ».

    La famille : un labyrinthe à explorer

    Pourquoi cette obsession, me demanderas-tu ? Pourquoi cette fascination pour quelque chose qui, dans mon histoire personnelle, n’a pas été synonyme de bonheur familial ou de sérénité ?

    Parce que la famille, c’est un labyrinthe. Une entité complexe, mouvante, parfois toxique, mais toujours fascinante. La famille, c’est ce grand carrefour où se croisent notre identité, nos blessures, nos projections et nos rêves. C’est le terreau de nos croyances et, paradoxalement, l’endroit où la vérité crue peut émerger, si on prend le temps d’y regarder de près. Oui, c’est un terrain de jeu pour les psychanalystes, mais aussi pour les rebelles et les rêveurs.

    Dans un monde qui valorise de plus en plus l’individualisme, la famille reste cette institution lourde, imposante, qui tente de nous forcer à nous conformer, à coller à une image. Et paradoxalement, c’est cette même famille qui nous pousse à une rébellion intérieure, si nous avons l’audace de nous en affranchir.

    La déconstruction de la famille, c’est aussi déconstruire sa sacralisation

    La famille est omniprésente. Elle nous touche tous, chacun à sa manière, et forme une toile de fond pour nos vies. C’est un thème universel, un point de départ pour tout échange humain : l’identité, l’histoire, l’héritage, les relations… La famille est, dans une certaine mesure, notre premier modèle social, psychologique, culturel.

    Cependant, que se passe-t-il lorsque la famille devient un culte aveugle, un concept que l’on sacralise à tout prix, sans jamais remettre en question ce qu’elle nous apporte réellement ? Un culte de la loyauté, où la seule question qui vaille est : « Et la famille dans tout ça ? » Parce que, tu comprends, la famille, c’est sacré ! Mais sacré pourquoi ? Est-ce vraiment une sacralité légitime, ou simplement un produit de la société, des normes imposées par des générations qui n’ont pas osé briser le moule ?

    La famille ne devrait-elle pas être un espace de soutien, de liberté, de bienveillance, un endroit où l’on peut se réinventer et s’épanouir ? Si la famille est censée nous soutenir, pourquoi est-elle souvent synonyme de pression, de dépendance, de non-dit et de culpabilité ?

    La loi du silence et de la norme

    Il ne s’agit pas seulement des enfants issus de milieux difficiles, mais aussi de ceux qui, à première vue, bénéficient de familles “normales” : une maison, un couple, des enfants. Et pourtant… c’est l’angoisse.

    Tu vois, plus de 90 % des Français célèbrent Noël, un rassemblement familial par excellence, mais 50 % ressentent une forme d’anxiété quand il s’agit des retrouvailles. C’est le cas de beaucoup de personnes qui continuent à jouer le jeu, à suivre les traditions, parce que c’est ce qu’on attend d’eux. Un malaise qui, sans être nommé, est profondément ressenti.

    Alors que se passe-t-il dans ce genre de situation ? Pourquoi continuons-nous à nous rendre à ces réunions familiales où la gêne, la pression, les non-dits dominent ? Parce que, inlassablement, on nous dit que la famille, c’est sacré, et que nous devons honorer ce sacré, quoi qu’il en coûte.

    Le problème ne réside pas seulement dans la souffrance vécue pendant ces événements, mais dans cette loyauté passive envers des normes familiales qui ne correspondent plus à qui nous sommes, à ce que nous voulons être. À ce que nous avons appris à détruire.

    Se libérer, c’est oser briser les chaînes

    J’ai compris une chose en coupant les ponts : se libérer de la famille, c’est la plus grande liberté qu’on puisse s’offrir. C’est comme sortir de la matrice. C’est puissant. C’est jouissif. C’est même terrifiant au début, parce qu’il y a une perte de repères évidente. Le vide. L’angoisse de l’inconnu. Mais tout commence dans ce vide. Dans ce rien. Dans cette absence de repères figés.

    Se libérer de sa famille, ce n’est pas une trahison. La déconstruction de la famille c’est une réinvention. Une réinvention de soi, une quête pour devenir enfin soi-même, sans les chaînes imposées par la lignée, sans la pression des attentes sociales ou familiales. C’est s’autoriser à créer sa propre famille, non pas celle du sang, mais celle du cœur. Une famille qui te nourrit, t’élève, qui te permet d’être pleinement toi, sans conditions.

    Vivre pour plaire à sa famille, c’est se sacrifier. La déconstruction de la famille, ça passe aussi par réduire son existence à un rôle qu’on ne choisit pas. Mais vivre pour soi, c’est briser les chaînes, c’est choisir son propre chemin, même si cela signifie renoncer à ce qui est considéré comme « normal ».

    Brise les normes, choisis ta famille de cœur

    La famille peut être un espace d’amour, de soutien et de bienveillance, mais elle peut aussi être un carcan, une prison déguisée. Ce que je te propose, c’est de briser ce mythe. Choisir la famille qui te correspond vraiment, celle qui te permet de grandir et de t’épanouir, sans avoir à te conformer à des règles héritées.

    Si tu sens que tu es pris dans une dynamique familiale étouffante, alors ose couper les ponts. Ose renoncer à cette image idéalisée de la famille. La liberté est là, dans cet acte de rébellion. La déconstruction de la famille est un acte puissant. Et si tu as besoin d’aide pour franchir ce pas, pour te libérer de ces chaînes, sache que je suis là pour t’accompagner à travers mes coachings.

    Alors, le moment de déconstruire la famille est venu pour toi ?

    La vraie question n’est pas de savoir si la famille est sacrée, mais si elle te permet d’exister pleinement. Si elle ne le fait pas, alors il est temps de t’en affranchir.

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  • Adaptez votre restaurant à Paris, à votre humeur !

    Adaptez votre restaurant à Paris, à votre humeur !

    Vous êtes gourmand ? Vous êtes curieux ? Vous ne savez pas vraiment où aller selon votre humeur? Cet article est fait pour vous.

    Alphonse Daudet disait ” La gourmandise commence quand on a plus faim “, mais il est encore plus plaisant d’aller au restaurant quand la faim nous prend. Pour ce qui est de la gourmandise, c’est à l’heure du goûter que l’on prendra plaisir à s’y attarder.

    Vous habitez Paris, vous adorez la gastronomie et parcourir les plus belles rues de la capitale pour y découvrir de nouveaux lieux ? Alors, réjouissez-vous ! Vous faites partie des hédonistes, ceux qui aiment profondément la vie et le plaisir.

    Cependant, force est de constater que nos envies varient selon la saison, selon notre humeur et surtout selon qui nous accompagne… Et ce n’est pas toujours facile de trouver le lieu qui correspond à nos états d’âme. De même, nous n’aurons pas les mêmes envies, si nous sommes seul(e), entre ami(e)s ou en amoureux !

    Alors, ayant parcouru la capitale avec les mêmes états d’ésprits que vous, j’ai eu envie de vous partager des idées de restaurants en fonction de votre mood du moment. Je sais, c’est l’hiver, et l’hiver c’est parfois compliqué d’avoir envie de sortir de chez soi, et pourtant, croyez-moi ou non, c’est important de vous aérer l’esprit, et surtout de vous faire plaisir.

    Nous avons une chance inouïe d’habiter la capitale avec un choix presque illimité en termes de cultures et de restaurants. Il est d’ailleurs souvent difficile de faire un choix parmi cette panoplie de lieux gourmands !

    Outre les restaurants que nous allons évoquer, et que j’ai pu tester et approuver, je vous conseille l’application @Dojo sur laquelle sont répertoriés une multitude de restaurants classés par thématique.

    De mon côté, tout comme beaucoup de jeunes de mon âge, j’ai une affection plus prononcée pour les 2e, 3e, 9e, 10e et 18e arrondissements. La majorité des restaurants que je vous conseille se situent dans ces quartiers magiques. C’est également l’occasion de les visiter seul(e) ou en amoureux en guise d’apéritif ou de digestif !

    Dimanche, c’est jour de brunch

    Que la journée soit pluvieuse ou plus lumineuse (ce qui n’est malheureusement pas souvent le cas à Paris), le dimanche, c’est jour de BRUNCH. On oublie la déprime dominicale, on ne se trouve pas d’excuses, on se remue, et on profite de cette journée pour se faire plaisir et découvrir quelques adresses incontournables.

          1. Les Bonnes soeurs, 8 Rue du Pas de la Mule, 75003 Paris
          2. Bénédicte, 19 Rue Sainte-Croix de la Bretonnerie, 75004 Paris
          3. Le China, 50 Rue de Charenton, 75012 Paris
          4. Holly Belly, 5 Rue Lucien Sampaix, 75010 Paris
          5. Klay Saint Sauveur, 4 Rue Saint-Sauveur, 75002 Paris
          6. Marlette, 63 rue du Faubourg Poissonnière, 75009 Paris

    Brunch Bruschetta Bar: The ultimate brunch spread, customizable to the seasons and the foods you love most with something for everyone @halfbakedharvest.com

    Avec sa “target”

    Un dîner ou un déjeuner pour faire connaissance ? Avouons-le, ces prémices font partie des moments les plus agréables dans le couple. Ces premiers rendez-vous où l’on se découvre peu à peu, où chaque minute est un délice de plaisir indéfinissable. Quoi de plus agréable que de partager dans l’intimité quelques petits plats succulents ? Voici mes recommandations :

          1. Chez nous,10 Rue Dauphine, 75006 Paris
          2. Le Chalet des Iles, Bois de Boulogne
          3. Favela Chic, 18 Rue du Faubourg du Temple, 75011 Paris
          4. Grazie, 91 Boulevard Beaumarchais, 75003 Paris
          5. Eperozzo, 49 rue Pierre Charron, 75008 Paris
          6. Septime, 80 Rue de Charonne, 75011 Paris

    C’est merveilleux quand on est amoureux

    L’amour, l’amour, l’amour … À tous les amoureux qui ont la chance d’habiter Paris, profitez autant que possible de la ville de l’Amour. Et même si vous n’habitez pas Paris, vous y viendrez peut-être en amoureux ! Quoi de plus romantique que de se programmer un tête à tête dans l’un de ces fabuleux lieux qui honorent la plus belle ville du monde ?
    Il existe dans cette merveilleuse capitale un nombre incroyable de lieux et de restaurants à découvrir en compagnie de votre âme soeur. Difficile de faire un choix, et impossible de tous vous les citer ! Voici ceux qui ont retenu mon attention lorsque j’étais très très amoureuse.

          1. Le Kong, 1 Rue du Pont Neuf, 75001 Paris
          2. Maison Maison, Face au, 16 Quai du Louvre, 75001 Paris
          3. Hôtel Amour, 8 rue de Navarin, 75009 Paris
          4. Les Ombres,27 Quai Branly, 75007 Paris
          5. Soma, 13 rue de Saintonge, 75002 Paris
          6. L’oiseau blanc, 19 Avenue Kléber, 75116 Paris

    Hotel Amour Such a lovely place to have breakfast - Next time we go I will try not to be so hung over !!

    Et si nous parlions des hommes, des vrais !

    Les hommes, tout comme les femmes, adorent se retrouver entre eux, et ils apprécient particulièrement la bonne cuisine. Ils ont, en plus, moins d’états d’âme que nous à se délecter : il est tout de même plus rare d’entendre de la bouche d’un homme qu’il fait attention à sa ligne (même si c’est parfois le cas). Et souvent, leurs choix de restaurants sont souvent plus gourmets que les nôtres. Alors, messieurs, voici quelques bonnes adresses !

          1. Chez Volver, 34 rue Keller, 75011 Paris
          2. Ober Mama, 107 Boulevard Richard Lenoir, 75011 Paris
          3. Le relais de l’entrecôte, 101 boulevard du Montparnasse, 75006 Paris (il en existe plusieurs)
          4. Le barbe à papa, 18 Rue Condorcet, 75009 Paris
          5. Pollop, 15 Rue d’Aboukir, 75002 Paris
          6. Candelma, 73 Rue de Seine, 75006 Paris

    Le relais de l'entrecote | Le relais de l'entrecote

    La bonne nourriture fait aussi la belle créature

    Manger sainement, c’est en effet à la mode, mais pas que ! Il est prouvé que lorsque nous mangeons sainement, les répercussions sur le corps et l’esprit sont incommensurables. Non seulement nous gardons la ligne, mais nous améliorons notre forme, notre digestion, notre capacité à cicatriser et bien d’autres choses encore ! Alors pourquoi hésiter quand on peut manger sain et bon ?

          1. Maison Sauvage, 5 Rue de Buci, 75006 Paris
          2. Season, 1 Rue Charles-François Dupuis, 75003 Paris
          3. Primeur, 4 Rue Lemon, 75020 Paris
          4. Le potager de Charlotte, 12 Rue de la Tour d’Auvergne, 75009 Paris
          5. Les bols de Jean, 2 Rue de Choiseul, 75002 Paris
          6. Wild & The Moon, 55 rue Charlotte, 75003 Paris (il en existe plusieurs)

    Les Bols de Jean | 75002 Paris

    La fièvre du samedi soir entre femmes

    Les femmes sont particulièrement bavardes… et c’est peu de le dire! Quand un homme explique quelque chose en 2 mots bien précis, les femmes racontent la même chose en 372 mots. Nous aimons les petits détails croustillants, et nous l’assumons pleinement !

    C’est pourquoi nos soirées durent aussi plus longtemps, nous avons tant de choses à nous raconter. Alors voici 6 lieux incontournables dédiés aux femmes. À la fois confinés et chaleureux, vous vous y sentirez tellement bien que vous y passerez de longues heures à papoter de tout et surtout de rien (rires).

            1. Yoom, 20 rue des Martyrs, 75009 Paris
            2. Les Chouettes, 32 Rue de Picardie, 75003 Paris
            3. La Bocca della Verità,  2 Rue du Sabot, 75006 Paris
            4. Pink Mama, 20bis Rue de Douai, 75009 Paris
            5. La Mangerie, 7 Rue de Jarente, 75004 Paris
            6. Clamato, 80 Rue de Charonne, 75011 Paris

    Pink Mamma à Pigalle | MilK decoration

    L’heure du goûter, c’est précieux

    Il n’y a pas d’âge pour apprécier les bonnes choses et notamment le goûter. Tout comme il n’y a pas d’âge pour aimer Noël, et surtout pour croire au Père Noël. Quoi de plus attirant qu’une pâtisserie ? Quel plaisir de les contempler. Elles nous narguent… On a souvent l’impression qu’elles n’attendent que nous ! Encore faut-il qu’elles soient bonnes. Les grands pâtissiers se font la part belle de nos jours, et à juste titre. Mais sachez que l’on trouve également d’excellentes pâtisseries dans certains coffee-shop, qui ne payent pas forcément de mine, vus de l’extérieur. Et voici mes endroits à pâtisseries préférés.

            1. Le Loire dans la théière, 3 Rue des Rosiers, 75004 Paris
            2. Ibrik, 43 Rue Laffitte, 75009 Paris
            3. Pâtisserie salon de thé Yann Couvreur, 23 bis rue des Rosiers, 75004 Paris (il en existe plusieurs)
            4. La patisserie Cyril Lignac, 55 boulevard Pasteur, 75015 Paris (il en existe plusieurs)
            5. Le 86 champs de Pierre Hermé, 86 Av. des Champs-Élysées, 75008 Paris
            6. Angelina, 226 rue de Rivoli, 75001 Paris (il en existe plusieurs)
            7. Alma the Chimney Cake Factory, 59 Boulevard Beaumarchais, 75003 Paris

    Tarte aux citrons

    Plus c’est tamisé, mieux ce sera !!

    Et si vous recherchez un restaurant, comment dire…, plus discret, moins lumineux, dans lequel vous vous sentirez plus à l’aise pour éventuellement cacher quelques petites (ou grosses) imperfections, sachez qu’il en existe aussi ! Ce serait dommage de rester enfermé(e), et de vous priver d’un bon petit repas, alors que vous pouvez très bien éviter que tous les regards se portent sur vous. Lumière tamisée garantie, on déstresse ! Personne ne remarquera vos petits boutons ou ne verra que votre jean est un peu (beaucoup) trop serré…

            1. Kadawari Ramen, 29 Rue Mazarine, 75006 Paris
            2. Mama Shelter, 109 Rue de Bagnolet, 75020 Paris
            3. Miss Ko, 49-51 Avenue George V, 75008 Paris
            4. Brasserie Barbès, 2 Boulevard Barbès, 75018 Paris
            5. L’Alcazar, 62 Rue Mazarine, 75006 Paris
            6. Les petites écuries, 40 Rue des Petites Écuries, 75010 Paris
            7. Derrière, 69 Rue des Gravilliers, 75003 Paris

    On aime: utiliser le plafond pour créer un environnement qui englobe le client

    Et pour sortir … !

    Et bien sûr, on ne rentre pas directement après le restaurant ! Allez boire une verre s’impose. Là encore, les bonnes adresses sont nombreuses, et si vous êtes en mode “festif”, je vous conseille quelques adresse méconnues et qui valent le détour. Ce sont des bars dits “clandestins”… Vous ne serez pas au bout de vos surprises… Vous entrez dans un lavomatic, un garage…, et derrière une autre porte, se cache… un bar. Franchement, allez-y, vous ne serez pas déçu(e).

            1. Le Gravity, 44 Rue des Vinaigriers, 75010 Paris
            2. Le très particulier, 23 Avenue Junot, 75018 Paris
            3. La Candelaria, 52 Rue de Saintonge, 75003 Paris
            4. Pavillon du lac, Place Armand Carrel, 75019 Paris
            5. La Mezcaleria, 13 Boulevard du Temple, 75003 Paris
            6. Fine mousse, 4 bis Avenue Jean Aicard, 75011 Paris

    soixante-quinze des ronces