Étiquette : estime de soi

  • Fragilité émotionnelle : une vérité profonde qui transforme nos relations amoureuses

    Fragilité émotionnelle : une vérité profonde qui transforme nos relations amoureuses

    Cela fait maintenant 8 ans que j’accompagne des femmes à travers un coaching transformationnel puissant, conçu pour permettre de se libérer de tout ce qui ne te convient plus. Ce programme de coaching de 3 mois est dédié à celles qui souhaitent se réinventer, faire une transition de vie et avancer avec confiance. L’objectif est de fermer les cycles anciens, d’évoluer vers des vibrations plus élevées, et de redonner un nouvel élan à ta vie en toute éveil spirituel.

    Une problématique que j’ai souvent rencontrée est la tendance des femmes à s’investir très rapidement dans des relations avec des hommes, validant ces relations trop vite sans vraiment prendre le temps de bien connaître la personne. Et cela provient d’une carence émotionnelle.

    L’amour trop rapide et la répression émotionnelle cachent des fragilités partagées qui minent nos relations amoureuses. Découvrez comment dépasser ces dynamiques toxiques pour bâtir des relations authentiques, libres et équilibrées.

    L’ego d’un homme est aussi fragile que le cœur d’une femme : pourquoi l’amour trop rapide et la répression émotionnelle créent des fragilités partagées

    Dans le monde des relations amoureuses, une idée préconçue persiste : l’homme est celui qui doit être fort et distant, tandis que la femme est souvent perçue comme la plus vulnérable, celle qui ressent plus intensément. Mais si l’on y regarde de plus près, l’ego d’un homme est tout aussi fragile que le cœur d’une femme. Derrière ces deux comportements opposés se cachent des mécanismes de défense profonds qui, loin de protéger, étouffent l’amour véritable.

    L’amour trop rapide d’un côté, la répression des émotions de l’autre : ces deux attitudes créent des fragilités invisibles, des blessures silencieuses, et parfois même des relations toxiques. Mais pourquoi cette dynamique existe-t-elle, et comment y remédier pour enfin vivre des relations saines et équilibrées ?

    L’amour trop rapide : quand la femme se perd dans la quête de validation

    Beaucoup de femmes, dans une quête inconsciente de validation, tombent dans le piège de l’amour trop rapide. Dès les premières étapes d’une relation, elles s’investissent pleinement, donnent tout sans poser de questions, souvent parce qu’elles cherchent à combler un vide intérieur. Mais ce n’est pas de l’amour, c’est une forme de dépendance affective déguisée en passion.

    Pourquoi ce besoin de se donner si vite ? Parce que, dans de nombreux cas, la femme ressent un vide qu’elle espère combler avec l’autre. Elle cherche à être vue, entendue, admirée. Cette quête de reconnaissance prend le pas sur l’amour véritable. Mais ce “don de soi” excessif ne fait que conduire à une frustration profonde quand l’autre ne répond pas avec la même intensité.

    L’amour, lorsqu’il est vécu trop rapidement, finit souvent par se transformer en une relation fusionnelle où l’on oublie d’abord de se connaître soi-même avant de se donner à l’autre. Ce phénomène peut alors créer des attentes irréalistes, une dépendance affective, et bien souvent, une souffrance immense. L’amour, ce n’est pas une quête de validation ; c’est un espace d’échange authentique, où chacun est entier dans sa propre identité, et où la fusion est un choix libre et non un besoin de survie émotionnelle.

    La répression émotionnelle de l’homme : une fragilité mal compris

    De l’autre côté de cette dynamique, l’homme, souvent perçu comme celui qui “ne doit pas montrer ses sentiments”, cache sa vulnérabilité derrière une façade d’indifférence ou de froideur. Cette répression émotionnelle n’est pas une forme de force, mais bien une fragilité mal maîtrisée. Beaucoup d’hommes sont pris dans le piège de “l’armure de l’ego”, un masque qui, plutôt que de les protéger, les empêche de se connecter véritablement à leurs propres émotions et à celles des autres.

    La peur de paraître “faible” ou “vulnérable” les pousse à éviter de montrer leurs sentiments, à garder leurs émotions pour eux. Pourtant, cette absence d’expression émotionnelle crée une distance inévitée, une inaccessibilité émotionnelle qui rend difficile toute véritable connexion avec l’autre. L’homme, malgré son extérieur souvent impassible, souffre lui aussi d’une fragilité, mais il l’ignore ou la cache derrière un silence qui le condamne à l’isolement émotionnel.

    Ces deux fragilités créent une tension invisible

    Ce qui se passe alors, c’est une véritable danse de maladresses émotionnelles : la femme, dans sa quête de validation, s’investit trop vite, trop profondément, et l’homme, de son côté, reste enfermé dans sa propre répression émotionnelle, incapable d’ouvrir son cœur. Les attentes mutuelles deviennent déconnectées, les blessures se forment et les relations perdent leur authenticité.

    Au final, ces deux comportements ne sont que des mécanismes de défense. La femme, pour ne pas se sentir rejetée, donne trop vite, tandis que l’homme, pour ne pas paraître faible, se ferme. Le problème ? Ces comportements sont le reflet d’un manque de connaissance de soi et d’un manque de confiance en soi.

    La solution : se connaître, s’aimer, et s’ouvrir à l’autre sans attentes injustifiées

    La solution à cette dynamique de fragilité mutuelle réside dans l’autonomie émotionnelle et la connaissance de soi. L’amour ne doit pas être une transaction où l’on cherche à combler des manques ou à se prouver quelque chose. L’amour véritable commence par soi-même. Il doit naître d’un espace intérieur de paix, d’une reconnaissance de ses propres besoins, avant de pouvoir être partagé avec l’autre.

    1. Apprends à t’aimer toi-même : L’amour de soi ne doit pas être conditionné par l’amour de l’autre. Apprends à te reconnaître, à te valider avant de chercher cette validation ailleurs. C’est seulement à partir de cette base solide que tu pourras offrir ton amour sans conditions.
    2. Exprime tes émotions librement : Que tu sois un homme ou une femme, exprimer tes sentiments n’est pas un signe de faiblesse, c’est une force intérieure. Ose être vulnérable, ouvre ton cœur sans crainte. La véritable force réside dans l’authenticité, pas dans la répression.
    3. Prends ton temps dans la relation : Ne précipite pas les choses. L’amour ne doit jamais être une course, mais une exploration. Chaque relation mérite d’être vécue dans le respect de soi et de l’autre, sans imposer d’attentes irréalistes.
    4. Crée une relation d’égalité émotionnelle : Ni l’un ni l’autre ne doit se perdre dans l’autre. Une relation saine est celle où chacun est libre d’être lui-même, sans chercher à se combler ou à se sauver. La fusion n’est pas une obligation, c’est un choix.

    Si tu es prêt à passer à l’action et à briser cette dynamique, je suis là pour t’accompagner

    Si tu reconnais ces comportements dans ta propre vie, ne reste pas figé dans cette dynamique destructrice. L’amour véritable, celui qui te permettra de t’épanouir en tant qu’individu tout en construisant une relation saine, commence par toi. C’est à toi de reprendre le pouvoir sur ta propre vie émotionnelle.

    Je t’invite à me rejoindre dans mes coachings pour t’accompagner à te libérer des mécanismes qui t’empêchent d’aimer pleinement, à comprendre tes besoins, à renforcer ton amour propre, et à créer des relations épanouissantes basées sur la liberté émotionnelle et la connexion véritable.

    J’ai également crée un ebook exceptionnel avec mes 100 thérapeutes d’exception sur Paris, et celui-ci est en promotion. Il est au tarif de 21 euros à la place de 29 euros. PROFITE-EN !


    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

     

    Viens me suivre sur instagram, pour plus de contenu à propos de l’émancipation !

  • Détermonisme social et quête de reconnaissance : briser ce cercle vicieux pour une liberté époustouflante

    Détermonisme social et quête de reconnaissance : briser ce cercle vicieux pour une liberté époustouflante

    Es-tu pris dans le piège du déterminisme social et quête de reconnaissance, les deux se mêlant étroitement ? Cette quête illusoire te laisse épuisé, loin de ton être véritable. Découvre comment te libérer des attentes extérieures pour enfin retrouver ton authenticité et ta paix intérieure.

    Le déterminisme social : une course sans fin vers l’illusion de la reconnaissance

    Le déterminisme social, cette idée que notre environnement social et nos origines façonnent notre destin, est une course sans fin. Une quête incessante pour se prouver, pour être vu et reconnu, pour enfin atteindre ce qui semble être la clé du bonheur : l’admiration des autres. Et pourtant, malgré cette quête constante, cette course nous laisse souvent dans un vide abyssal, épuisés, et perdus dans un égo mal placé.

    Je parle d’expérience. Je suis passée par là. Peut-être que toi aussi, tu t’es retrouvé dans cette spirale, celle du déterminisme social et quête de reconnaissance. Cette quête insatiable d’être admiré, aimé, reconnu par le monde extérieur. Peut-être que, comme moi, tu t’es épuisé dans cette poursuite sans fin, pensant que l’admiration des autres serait la clé de ta liberté intérieure. Et, tout comme Gatsby, tu te retrouves à courir après une illusion. Une illusion qui, à la fin, n’apporte que fatigue, désillusion et épuisement. C’est le prix du déterminisme social et quête de reconnaissance. 

    Quand l’ego prend le pas sur l’être

    Il m’a fallu du temps pour réaliser que le déterminisme social n’est rien d’autre qu’un cercle vicieux. Un système dans lequel l’individu se trouve pris, croyant que ses actions, ses réussites et même son apparence vont définir sa valeur. Dès l’enfance, on m’a appris à chercher la validation de l’extérieur, vu que personne ne m’a sincèrement validé. J’ai donc couru après le fait d’être la meilleure, à exceller, à chercher les félicitations, à remplir les attentes que la société avait de moi. Sachant que j’avais une famille dysfonctionnelle, j’ai cherché l’amour, la considération, les compliments à l’extérieur, encore une fois un doux mélange de déterminisme social et quête de reconnaissance. 

    Ce conditionnement m’a poussée à rechercher l’admiration comme un besoin fondamental. Et cette recherche est devenue ma boussole.

    Mais à force de courir après ce besoin insatiable d’être vue et admirée, j’ai perdu de vue ce qui était essentiel : mon être véritable. Ce besoin constant d’impressionner, de prouver que j’étais quelqu’un de spécial, que je méritais d’être respectée, m’a conduite à une forme de burn-out personnel en 2021. Mon corps et mon esprit se sont épuisés. Je suis tombée dans un vide émotionnel, incapable de comprendre pourquoi, malgré tous mes efforts, quelque chose me manquait encore. C’est là que j’ai compris : l’ego mal placé n’est jamais la solution.

    Le burn-out : le résultat d’une quête qui n’en finit pas

    Je me suis laissée emporter par la spirale du succès extérieur et de la validation des autres. J’ai cherché à compenser le manque d’admiration que j’avais ressenti dans mon enfance, en construisant une façade parfaite, de nana qui réussit tout ce qu’elle entreprend. Mais cette façade, aussi brillante qu’elle soit, ne faisait que masquer une profonde insécurité intérieure.

    Comme Jay Gatsby dans “The Great Gatsby”, je me suis perdue dans la quête d’un idéal qui n’existait que dans mon esprit. Gatsby, dans sa poursuite d’un amour qui n’était qu’une illusion, a sacrifié tout ce qui était réellement important. Lui aussi a misé sur l’extérieur, cherchant à être aimé par Daisy à travers des apparences et une richesse qui n’étaient pas vraiment lui. Il a échoué. Et je comprends maintenant pourquoi.

    La quête de reconnaissance extérieure est un piège. Elle mène à l’épuisement, à une fatigue mentale et émotionnelle sans fin. Dans ma propre vie, je l’ai vécu : les félicitations, les réussites matérielles, les regards admiratifs des autres ne m’ont jamais permis d’être en paix avec moi-même. Ce qu’il me manquait, c’était de me connaître, de m’accepter pleinement pour ce que j’étais, et non pour ce que je croyais que les autres attendaient de moi.

    Briser la course du déterminisme social et quête de reconnaissance : reprendre le pouvoir

    Le plus grand piège du déterminisme social est de croire qu’il faut sans cesse se conformer à un modèle extérieur. Croire que l’on doit faire pour être vu, que l’on doit obtenir des résultats visibles pour exister dans cette société. Mais ce modèle n’est qu’une illusion.

    Reprendre son pouvoir, c’est décider de se libérer de ce fardeau. C’est comprendre que l’on n’a pas besoin de l’approbation des autres pour se valider. L’important n’est pas ce que les autres pensent de nous, mais ce que nous pensons de nous-mêmes. C’est un travail d’introspection et d’acceptation qui demande du temps, de la patience et, surtout, une volonté de s’affranchir des normes sociales.

    Les étapes pour se libérer de la quête de reconnaissance sociale

    1. Prendre conscience de son ego mal placé : Commence par reconnaître que tes actions ne doivent pas être guidées par la volonté de plaire ou d’être vu par les autres, mais par ce qui résonne en toi.
    2. Se déconnecter de la validation extérieure : Accepte que tu ne peux pas contrôler ce que les autres pensent de toi. La reconnaissance extérieure est fugace, tandis que la reconnaissance intérieure est durable.
    3. Écouter ton propre désir de paix intérieure : L’authenticité est une clé. Ce n’est qu’en étant toi-même que tu peux réellement atteindre un équilibre émotionnel et mental.
    4. Adopter une vision plus grande : Cesse de chercher la validation dans des objets ou des statuts sociaux. Cherche plutôt à évoluer personnellement et spirituellement, en nourrissant des relations authentiques et en développant tes propres valeurs.
    5. Laisser tomber les illusions du succès extérieur : Comme Gatsby, nous pouvons tous nous perdre dans la quête d’un idéal. Mais en nous recentrant sur ce qui est essentiel, nous pouvons véritablement trouver ce qui compte. L’amour, l’acceptation de soi et la paix intérieure sont des richesses que l’argent ou l’admiration extérieure ne peuvent acheter.

    Reprends le contrôle de ta vie et de ton bien-être

    Le burn-out, l’épuisement, déterminisme social et quête de reconnaissance infinie… tout cela peut être évité. Mais pour cela, il est essentiel de briser les chaînes du déterminisme social, de comprendre ce qui te guide vraiment, et d’apprendre à vivre pour toi-même.

    Si tu souhaites entamer ce travail de transformation, de reconquête de toi-même et de libération des attentes extérieures, je t’invite à découvrir mes coaching personnalisés. Ensemble, nous allons identifier tes blocages, travailler sur ton égo, et te permettre de te réapproprier ta vie de manière authentique.

    déterminisme social et quête de reconnaissance déterminisme social et quête de reconnaissance déterminisme social et quête de reconnaissance 

    Clique ici pour réserver ta séance de coaching et commencer ta transformation dès aujourd’hui.



    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

     

    Viens me suivre sur instagram, pour plus de contenu à propos de l’émancipation !

  • Important : arrête de donner sans retour !

    Important : arrête de donner sans retour !

    Vous donnez tout dans vos relations, mais ne recevez rien en retour ? Il est temps et même important d’arrêter de donner sans retour et de reprendre votre pouvoir émotionnel. Découvrez pourquoi ces dynamiques déséquilibrées épuisent votre énergie et comment fixer des limites pour cultiver des relations qui vous nourrissent vraiment.

    Arrêter de donner du temps à des gens qui n’en donnent pas : surtout aux hommes

    Nous avons toutes été là : investir du temps, de l’énergie, de la passion dans une relation qui, au final, ne nous nourrit pas, mais nous épuise. Plus jeune, j’ai moi-même succombé à ce piège. Donner sans retour. Perte d’énergie garantie. Pourquoi ? Parce qu’une grande majorité des femmes ont cette tendance à donner sans compter, souvent dans l’espoir de recevoir en retour ce qu’elles ont offert. Mais qu’en est-il quand l’autre ne répond pas à cette attente, ou pire, quand l’autre ne le fait même pas de façon équivalente ?

    Pourquoi les femmes ont tendance à donner sans retour du temps aux hommes qui ne le méritent pas

    Le problème, c’est que beaucoup de femmes ont été conditionnées à penser qu’elles doivent prouver leur amour ou leur valeur en donnant sans compter. Le manque d’équilibre dans la relation devient alors une norme, et au fil du temps, cela épuise la personne qui donne. On a toutes, ou presque, été cette femme qui attend un message, un appel, un geste… Mais qui se retrouve à chaque fois déçue, frustrée, parfois même blessée par le manque d’effort de l’autre.

    L’illusion est souvent la suivante : « Plus je donne, plus il me verra. » Mais ce raisonnement est faussé. On finit par donner sans retour. En réalité, ce n’est pas l’amour que l’on donne qui attire l’autre, mais l’amour que l’on se porte à soi-même. Donner sans retour, c’est sacrifier son énergie, sa valeur, et son estime de soi.

    Les conséquences : épuisement, perte de soi et manque d’authenticité

    Se retrouver dans une relation où les efforts ne sont pas réciproques mène à une perte de soi. Il y a des femmes qui donnent des mois, des années à des hommes qui ne sont pas prêts à investir de la même manière. Ce genre de relation grignote petit à petit notre énergie, nous rend dépendantes, et souvent, nous nous perdons dans le processus.

    Cela crée un déséquilibre qui, loin d’être une preuve d’amour, est une preuve de manque d’amour propre. Et cette perte d’énergie n’est pas juste physique. C’est une perte émotionnelle et mentale qui peut créer une insécurité profonde et une perte de confiance en soi.

    Reconnaître la différence entre donner et se sacrifier

    Quand on donne dans une relation, c’est parce qu’on a envie de le faire, parce qu’on est enrichi par cet échange. Mais le sacrifice ? Ce n’est jamais pour la bonne raison. Donner à l’autre sans retour ne fait pas qu’affaiblir la relation, cela nous enlève notre énergie vitale, et finit par nourrir un égoïsme déguisé, à savoir celui de l’homme qui profite de cet investissement sans rien offrir en retour.

    Le mythe de la “Relation Parfaite” : pourquoi ça ne marche pas

    On m’a souvent dit que l’amour parfait était celui où tu donnes tout sans compter, où l’autre te répond avec la même intensité. Mais ça, c’est une utopie. Ce modèle d’amour idéal est souvent imposé par des normes sociales ou des attentes irréalistes. La véritable relation équilibrée est celle dans laquelle chaque partenaire investit de manière réciproque, avec respect et authenticité.

    La vérité ? Un homme qui ne sait pas te donner du temps, de l’attention ou de l’effort n’est pas quelqu’un qui te mérite. Tu n’as pas à te sacrifier pour mériter son amour. Il n’y a rien de plus toxique que de rester dans une relation qui te pompe ton énergie sans retour.

    Comment s’en sortir ? La clé : savoir reprendre son pouvoir

    La première étape pour sortir de cette dynamique, c’est d’arrêter de se sacrifier. Prendre le temps de se reconnecter à soi-même et comprendre que l’amour n’est pas une course à l’approbation, mais un échange libre et authentique. Il n’y a pas de mérite à aimer quelqu’un qui ne nous aime pas de la même manière.

    Si tu te sens piégée par cette dynamique, voici quelques astuces pour reprendre ton pouvoir :

    1. Affronte ta propre peur de la solitude : Beaucoup de femmes restent dans des relations qui ne les nourrissent pas parce qu’elles ont peur de la solitude. Mais la solitude n’est pas une ennemie, c’est un espace de reconnexion à soi, un terrain fertile pour grandir.
    2. Fixe des limites claires : Ne donne pas ton temps à ceux qui ne l’apprécient pas. Si tu ne vois pas d’efforts réciproques, arrête de donner sans retour. Respecte-toi davantage.
    3. Apprends à t’aimer toi-même d’abord : L’amour propre, c’est se donner ce que l’on attend des autres. Quand tu apprends à te respecter et à t’aimer profondément, tu attires des relations saines et équilibrées, sans avoir à te sacrifier.
    4. Prends du recul et observe la relation avec objectivité : Est-ce que cet homme investit dans la relation comme toi ? Si la réponse est non, il est temps de faire des choix différents.

    Et si c’était le moment de reprendre le contrôle de ta vie ?

    Si tu te reconnais dans cette situation et que tu te sens prête à reprendre ton énergie et ton pouvoir personnel, je suis là pour t’aider à faire ce pas important. Ne laisse plus personne puiser dans ton énergie sans retour. Reconnecte-toi à ton pouvoir intérieur et apprends à établir des relations qui te nourrissent réellement.

    Tu as le droit de t’aimer profondément et de ne plus accepter d’être dans une relation où tu donnes sans recevoir. C’est précisément ce que nous allons travailler ensemble, dans mes coachings, pour t’aider à reprendre ta place, à respecter tes limites et à créer des relations saines et équilibrées.

    charlotte vallet, coach et experte en émancipation féminine

     

    Viens me suivre sur instagram, pour plus de contenu à propos de l’émancipation !

  • TOP 10 DES LIVRES DE DÉVELOPPEMENT PERSONNEL

    TOP 10 DES LIVRES DE DÉVELOPPEMENT PERSONNEL

    Cette période de confinement nous laisse un peu plus de temps que d’habitude pour nos passes-temps. Vous appréciez la lecture ? Alors pourquoi ne pas lire des livres qui vous feront du bien ? Voici mon Top 10 des livres de développement personnel !!

    1) “Le pouvoir du moment présent” – Eckhart Tolle

    Dans ce livre vous découvrirez le pouvoir du moment présent, et surtout comment le vivre pleinement vous permettra d’être enfin totalement et durablement heureux !!
    Vous apprendrez aussi à :

    • Utiliser votre mental et à vous en libérer
    • Trouver des clés pour vivre dans le présent
    • Ne plus souffrir inutilement
    • Améliorer vos relations avec les autres
    • Lâcher prise.

    À 29 ans, Eckhart Tolle fait une expérience si intense qu’elle change radicalement le cours de sa vie et lui permet de sortir d’une longue dépression : c’est le début d’un cheminement intérieur qui l’amène à devenir guide spirituel. Dans Le pouvoir du moment présent, il raconte son vécu et il tente d’aider ce dernier à se débarrasser des pensées encombrantes, à se libérer de son mental et à être heureux.

    2) “La semaine de 4 heures” – Timothy Ferriss

    Écrivain et entrepreneur américain, Timothy Ferriss est né le 20 juillet 1977 à East Hampton, New York. En 2007, il publie son premier best-seller, “La Semaine de 4 heures”, qui prône le concept d’ignorance sélective comme méthode de développement personnel.
    Dans ce livre il démontre que le travail n’est pas un but en soi, mais un moyen de gagner de l’argent. Et s’il permet parfois de se réaliser, la plupart du temps, il est abrutissant et ennuyeux. Réduire drastiquement le temps passé au travail est donc essentiel : vous vous réapproprierez votre liberté et agirez selon votre désir.

    Vous apprendrez aussi comment :

    Échapper à la routine métro-boulot-dodo

    Recruter une armée d’assistants dévoués

    Avoir du temps libre à ne plus savoir qu’en faire

    Réaliser vos rêves sans attendre la retraite

    Vivre comme un nomade des temps modernes

    3) “L’art subtile de s’en foutre” – Mark Manson

    “L’art subtil de s’en foutre : Un guide à contre-courant pour être soi-même” : Mark Manson nous propose de sortir du discours cliché du développement personnel qui consiste à nous pousser à toujours être le “meilleur” ou le “plus”, en pratiquant l’art subtil de s’en foutre, autrement dit en arrêtant de focaliser sur des choses qui ne sont pas essentielles dans notre vie.

    Vous apprendrez comment :

    Être plus indulgent avec vous-même

    Se détacher du regard de l’autre

    Clarifier nos choix de vie et faire le tri entre ce à quoi nous choisissons d’accorder de l’importance ou pas.

    4) “L’Alchimiste” – Paolo Coelho

    « Santiago, un jeune berger andalou, part à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides.
    Lorsqu’il rencontre l’Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son cœur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve.
    Merveilleux conte philosophique destiné à l’enfant qui sommeille en chaque être, ce livre a déjà marqué une génération de lecteurs. »

    Ici l’auteur nous invite à retrouver l’enfant qui est en nous, et découvrir notre « légende personnelle » pour se recentrer avec qui nous sommes vraiment.

    5) “Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent”- Stéphane Covey

    Stephen R. Covey est vice-président de Franklin Covey Co. et enseigne les méthodes de Vie centrée sur les principes et le Leadership centré sur les principes. Il est également le fondateur et l’ancien directeur général du Covey Leadership Center. Il a écrit de nombreux ouvrages. Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent a été un best-seller durant de nombreuses
    Il nous présente dans ce livre les habitudes à prendre pour nous mener au succès :

    1- Ils prennent des initiatives. ‘Soyez proactifs.’
    2- Ils se concentrent sur des objectifs. ‘Sachez dès le départ où vous voulez aller.’
    3- Ils fixent des priorités. ‘Donnez la priorité aux priorités.’
    4- Ils ne gagnent que quand les autres gagnent. ‘Pensez gagnant/gagnant.’
    5- Ils communiquent. ‘Cherchez d’abord à comprendre, ensuite à être compris.’
    6- Ils coopèrent. ‘Profitez de la synergie.’

    6) “La huitième habitude” – Stéphane Covey

    Suite de “Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent”. Montre que le challenge crucial de tout individu, aujourd’hui, est de trouver sa place dans toute organisation et de permettre à ceux qui l’entourent (dans la sphère professionnelle, familiale ou amicale) de trouver la leur..
    Grâce au livre « la 8 habitude » Stephen Covey, vous allez découvrir les clés pour trouver votre « voix»
    La 8e habitude vous apportera les outils pour vous épanouir: comprendre votre vraie nature, l’exprimer au travail et dans votre vie personnelle, et inciter les autres à faire de même.

    7) “L’intelligence émotionnelle” – Daniel Goldman

    ” Les émotions sont indispensables à la pensée, tant pour prendre des décisions sages, que tout simplement pour réfléchir de façon plus claire.”
    Cet ouvrage de Daniel Goleman a sensibilisé des millions de lecteurs au concept d’intelligence émotionnelle, qu’il définit lui-même comme étant la somme des compétences mentales et des traits de personnalité qui contribueraient à 80 % de la réussite dans notre vie. Les aptitudes telles que la connaissance de soi et l’auto-motivation sont inculquées (ou détruites) durant l’enfance, mais Goleman soutient que ces compétences peuvent encore être acquises et mises en pratique à l’âge adulte.

    Pourquoi certaines personnes intelligentes échouent dans la vie, alors que d’autres, au QI plus modeste, réussissent mieux ? Les réponses résident dans un ensemble d’aptitudes désignées par le therme « intelligence émotionnelle »

    8) “Comme par magie, vivre sa créativité sans la craindre”, Elizabeth Gilbert

    Dans ce livre , l’auteure nous encourage à aller à la recherche de notre inspiration.
    Elle nous montre comment réaliser ce que nous aimons le plus et comment tenir tête à ce qui nous fait le plus peur. Que nous souhaitions écrire un livre, relever de nouveaux défis professionnels, poursuivre un rêve trop longtemps mis de côté ou simplement insuffler un peu plus de passion dans notre quotidien, Comme par magie nous ouvre les portes d’un monde de bonheur.

    9) “Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une”, Raphaëlle Giordano

    Ce livre me semble particulièrement intéressant au vue de la période.

    « Camille, trente-huit ans et quart, a tout, semble-t-il, pour être heureuse. Alors pourquoi a-t-elle l’impression que le bonheur lui a glissé entre les doigts ? Tout ce qu’elle veut, c’est retrouver le chemin de la joie et de l’épanouissement. Quand Claude, routinologue, lui propose un accompagnement original pour l’y aider, elle n’hésite pas longtemps : elle fonce. À travers des expériences étonnantes, créatives et riches de sens, elle va, pas à pas, transformer sa vie et repartir à la conquête de ses rêves…»

    Au travers de l’histoire de Camille, apprenez vous-même à reprendre contrôle de votre vie, et finalement réaliser vos rêves !!

    10) “La philosophie expliquée à ma fille” – Roger Pol

    Dans un registre un peu différent, pourquoi ne pas introduire la philo à vos ados ?
    Dans ce livre l’auteur au travers d’une conversation entre un père, et sa fille explique et pose les bases de la philosophie de manière simple et éducative.
    Philosophie ? Un mot qui fait souvent peur. On imagine des questions compliquées, des livres dont on ne comprend même pas le titre, un vocabulaire énigmatique. Ce ne serait pas une activité pour tout le monde. On se trompe, en croyant cela car tout le monde s’interroge sur le sens de la vie, sur la mort, la justice, la liberté…
    Ici, l’auteur nous prouve que la philosophie n’est donc pas un casse-tête, mais une activité qu’on peut pratiquer comme la musique ou le sport : en débutant, en amateur ou en professionnel. L’essentiel est de bien commencer… Et pour cela ce livre est juste parfait, et cela même si vous n’êtes plus un ado.

    De mon côté, je suis Charlotte Vallet, hypnothérapeute sur Paris. Je vous accueille les mardis, jeudis et vendredis dans mon cabinet du 2 bis villa Flore 75016 Paris.

    Pour toutes prises de rendez-vous : https://www.doctolib.fr/hypnotherapeute/paris/charlotte-vallet ou vous pouvez me trouver sur Instagram sous le nom @charlotte_vallet_

    Je vous offre un premier appel téléphonique pour échanger sur vos besoins. En cette période de confinement, je propose des échanges par Skype.

  • Et si pour la nouvelle année, on oubliait les résolutions ?

    Et si pour la nouvelle année, on oubliait les résolutions ?

    La fin d’année approche ! Et avec elle, son cortège de fêtes, de guirlandes et de cadeaux.  D’ailleurs, joyeuses fêtes à tous !

    Dans l’imminence du premier de l’an, c’est aussi, pour un grand nombre d’entre nous, l’heure des résolutions… Eh oui, c’est le moment où l’on entend presque systématiquement :

    • J’arrête de fumer
    • Je me mets au sport
    • Je sors moins
    • Je commence un régime
    • Je m’organise mieux
    • Etc., Etc., Etc.

    Et le pire, c’est que l’on y croit ! Que l’on est sincère lorsqu’on envisage de prendre une résolution en début d’année. L’intention est en effet bonne.

    Mais, qu’advient-il de notre bonne volonté, le 10 janvier ? Euh… le 3 ?  On le sait tous, les résolutions du 1er janvier, on ne les tient pas vraiment. Alors, si l’on brisait le mythe des résolutions de la nouvelle année ?

    D’ailleurs pourquoi a-t-on l’habitude de prendre des résolutions à cette date précise ? Et que faire pour tenir ses résolutions ?

    Pourquoi le 1er janvier ?

    C’est assez simple à expliquer. Le changement d’année nous donne à tous, le sentiment qu’une page se tourne. Les médias diffusent des rétrospectives de l’année écoulée nous laissant croire que « c’est désormais fini tout ça ». Le réveillon du 31 décembre monte en intensité au fur et à mesure que l’on approche de minuit. On est gagné par le sentiment que l’on va basculer dans une ère nouvelle, qu’une page blanche va s’ouvrir à nous, et que l’on sera une nouvelle personne…

    La mise en scène de ce changement d’année nous incite à ne pas rater l’événement. Même nos religions nous commandent de marquer le début de l’année par un acte fort, censé nous améliorer. Dans l’antiquité, on s’efforçait d’ailleurs de régler toutes ses dettes avant la fin de l’année. Ou de rendre tout objet emprunté à son propriétaire avant la date fatidique…

    Les résolutions du nouvel an sont donc bien inscrites dans l’histoire de l’humanité.

    Neuf résolutions sur dix en échec

    Certes, il s’agit d’une jolie tradition… mais bercée d’illusions.

    Une tradition qui n’est malheureusement pas souvent suivie d’effet. En effet, 90 % des résolutions du premier de l’an ne sont pas respectées. Ce sont des études très sérieuses qui le démontrent. Après les fêtes, la vie reprend son cours normal. On s’aperçoit que le basculement n’a effacé aucun problème. Les habitudes reprennent leur place, surtout les mauvaises…

    Ce retour au quotidien est en outre marqué par un décor assez grisâtre. Le premier de l’an, en effet, a la mauvaise manie de tomber au cœur de l’hiver. Le temps maussade nous décourage très vite. La liste des résolutions devient rapidement un bout de papier chiffonné perdu au fond du sac.

    Les résolutions, c’est toute l’année

    Et reconnaissons que c’est dommage, car comme dit en introduction, c’est plutôt bien de prendre une résolution. C’est une façon d’exprimer un besoin et surtout l’envie de s’améliorer ! Mais, franchement… on peut le faire toute l’année, non ?

    Si on y réfléchit… Pensez-vous, par exemple, que le milieu de l’hiver soit le plus indiqué pour se mettre au sport et suivre un régime ? Est-ce qu’il ne vaut pas mieux attendre les beaux jours pour enfiler ses baskets et se contenter d’une salade aux repas ?

    Choisir une date du calendrier permet certes de marquer un point de départ. On visualise l’objectif et on le rend palpable, accessible. Mais choisir le 1er janvier me semble être le plus mauvais choix. Car inconsciemment se tapit derrière ce choix, l’idée générale que les résolutions du premier de l’an ne tiennent pas longtemps. Et cette idée nous déculpabilise le jour où l’on passe outre notre belle résolution.

    Pour autant, le problème est ailleurs… Car le plus difficile est surtout de tenir ses résolutions… Et ce quel que soit le jour de l’année… Alors comment faire ? Voici quelques conseils.

    Comment tenir ses résolutions ?

    Plus que la date ou la période, il y a de nombreux critères pour augmenter les chances de réussite d’une bonne résolution.

    Tenir compte du contexte de sa propre vie

    Pour optimiser les chances de réussite, il faut avant tout prendre en compte le contexte de sa propre vie plutôt que celui du calendrier.

    Pour mettre fin à de mauvaises habitudes, par exemple (fumer, grignoter, boire, vapoter…), mieux vaut choisir une période agréable et sans stress : une semaine où l’on s’est mis en congé, un week-end où l’on a brisé ses habitudes, un arrêt de travail. Ou bien sûr les grandes vacances, quoique pendant les vacances on n’a pas vraiment envie de se fixer des contraintes…

    Mais vous trouverez, j’en suis certaine !

    Éviter les objectifs trop vagues

    Se fixer un objectif trop vague est également voué à l’échec. Par exemple, ne pas se dire seulement “je vais faire des économies” mais être plus concret : “je mets dix euros de côté par semaine”. L’objectif est mesurable, quantifiable, voire ajustable. D’ailleurs, un jour, je vous écrirai un article sur la méthode SMART ! Une méthode pour atteindre plus facilement ses objectifs.

    Éviter les objectifs trop ambitieux

    Idem, il faut être raisonnable… Ne pas prendre une résolution qui modifierait radicalement votre quotidien au point de poser plus de contraintes que de bénéfices. Par exemple, il faut  éviter de se fixer le marathon de Paris dans les six mois, au moment où l’on chausse ses baskets pour la première fois (rires).

    Éviter la multitude de bonnes résolutions

    En général, les résolutions vont de pair… Certes, les longues listes sont la preuve d’une bonne volonté, mais courir après plusieurs lièvres à la fois est souvent aussi voué à l’échec. Plus vous avez de résolutions, plus vous en abandonnerez. C’est mathématique.

    Prendre le temps de réfléchir

    Laisser mûrir le projet, réfléchir à la bonne méthode pour atteindre l’objectif, évaluer les bénéfices avec lucidité, tenir compte des contraintes. En un mot, ne pas se précipiter.

    Partager sa résolution

    Parfois certains objectifs sont plus faciles à atteindre à plusieurs. Soit dans la stimulation d’un défi, à condition d’avoir l’esprit compétiteur, soit en recueillant les encouragements des proches. Alors, n’hésitez pas à solliciter des amis, des collègues qui ont les mêmes désirs que vous. Croyez-moi, ça marche !

    Enfin, choisir le bon moment !

    Il y a 365 jours dans l’année, et certains sont plus propices que d’autres pour procéder à des changements.

    Le 1er janvier en fait peut-être partie, mais ce n’est certainement pas le meilleur. En somme, la meilleure date pour tenir vos résolutions n’est pas celle qu’on vous impose, mais bien celle que vous aurez choisie.

    Alors, cette année, ne vous mettez pas martel en tête dès le 1er janvier, et profitez à fond de votre réveillon ! À très bientôt

    Charlotte Vallet – Sophrologue et Hypnothérapeute à Paris

     

     

  • S’aimer : c’est avant tout accepter ses défauts autant que ses qualités

    S’aimer : c’est avant tout accepter ses défauts autant que ses qualités

    Je suis nulle, je ne suis pas capable de…, je suis trop ceci, pas assez cela ! Avez-vous remarqué que l’on passe plus de temps à focuser sur nos défauts plutôt que sur nos qualités ? Qui se lève le matin, en se disant : waouh ! Que je suis quelqu’un de bien ! Mis à part quelques narcissiques, nous avons tous tendance à nous dévaloriser plutôt qu’à nous valoriser.

    Pourtant inverser cette tendance vaut le coup d’y réfléchir ! Car à force de ne se focaliser que sur ses défauts, on ne profite pas de grand-chose en fait. Voire pire, ça peut nous miner.

    S’aimer soi-même n’est pourtant pas vraiment différent que d’aimer quelqu’un d’autre. Quand on aime une personne, c’est bien sûr pour ses qualités, mais tant que l’amour est là, on accepte aussi ses défauts. Alors pourquoi n’est-ce pas la même chose pour soi-même ?

    Et sauf preuve du contraire, nul n’est parfait. Tout le monde a des défauts. Cela fait partie de la personnalité de chacun. Y compris de soi-même. Il faut faire avec.

    Alors comment faire pour que nos propres défauts ne nous rendent malheureux (ou malheureuse) ? Comment les accepter ?

    La première étape : identifier nos défauts et le type de défauts

    Accepter ses défauts, c’est avant tout bien les identifier. Ici, je parlerai plus de défauts liés à la personnalité. « Les défauts » dits physiques relèvent très souvent de nos critères sociétaux… Et là, on pourrait aussi en parler des heures. C’est pourquoi, ici, j’ai choisi d’aborder, dans un souci de clarté, les défauts en lien avec notre personnalité.

    Parmi les nombreux traits de caractère qui définissent une personne, il y a plusieurs catégories de défauts :

    • Ceux qui nous pourrissent la vie, ou celle de notre entourage, et qu’il faut donc corriger (radin, égoïste, jaloux…).
    • Et il y a ceux qui font partie intégrante de notre personnalité, et peut-être de notre charme (exubérant, timide…)

    Inutile de les masquer, acceptons-les, comme on les accepte chez autrui.

    Ensuite, une fois identifié(s), il faut essayer de le(les) corriger

    Dans la première catégorie, celle des défauts qui empoisonnent la vie, on peut donc citer la jalousie, par exemple. Il s’agit d’un sentiment interne, violent, destructeur. Non seulement il faut savoir le reconnaître, mais il est nécessaire de travailler sur soi pour s’en défaire.

    Pourquoi est-on ainsi ? Pourquoi toujours comparer sa situation à celles des autres ? Est-ce leur vie que nous vivons ? Pourquoi pense-t-on que ce que possède l’autre le rend meilleur ou plus heureux ? Pourquoi ne pas se concentrer sur ce que l’on détient soi-même et que les autres n’ont pas ?

    Cela ne se règle bien sûr pas en une journée. Il s’agit d’un processus assez long qui demande patience et persévérance. Vous pouvez, pour ce faire, essayer d’en parler avec un professionnel, ou chercher les causes via l’hypnose. N’hésitez pas à me contacter si vous en souffrez ! C’est mon travail…

    Car, une fois le travail accompli, vous vous sentirez soulagé, libéré, mieux avec vous-même et donc mieux avec les autres.

    Ce type de défaut a toujours une cause. Et dès lors, qu’elle est identifiée, que l’on en parle, il existe des solutions pour la traiter.

    Faites de vos défauts un atout

    Dans la deuxième catégorie de défauts, celle des défauts qui font partie intégrante de nous, Il est également possible, bien sûr, de les « traiter », mais peut-être est-il plus intéressant de les maîtriser.

    Prenons l’exemple de la timidité. On conseille souvent aux gens timides de se mettre à faire du théâtre, de se glisser dans la peau d’un personnage, ce qui permet de s’oublier soi-même et donc de laisser libre court à son expression. On propose aussi aux timides de se « mettre en danger », de sortir de leur zone de confort en prenant la parole en public.

    À apprendre à surpasser ses hésitations, à ne pas paniquer au premier bafouillage.

    Et c’est là que les timides peuvent alors s’apercevoir combien leur auditoire porte sur leur prestation un regard beaucoup moins sévère que celui qu’ils portent eux-mêmes sur eux.

    Mais, ce n’est pas pour autant qu’il faut anéantir à jamais sa timidité. Celle-ci fait partie de vous, et votre entourage vous apprécie également pour cela. Pour votre réserve, votre pudeur, votre façon de ne jamais parler pour ne rien dire. Il ne s’agit pas de se défaire de votre timidité, mais de jouer avec elle, de la prendre à contre-pied, et surtout d’en faire un atout.

    Sachez par exemple que la quasi-totalité des grands chanteurs, musiciens et acteurs de théâtre sont tenaillés par le trac quand ils doivent monter sur scène. Mais c’est un défaut qui les stimule, car ils l’ont accepté. Ils ne peuvent d’ailleurs même plus s’en passer.

    Mes défauts sont aussi des qualités

    Accepter ses défauts, c’est aussi reconnaître qu’ils vous donnent des qualités. Essayez  de visualiser et de formaliser autrement vos défauts ! Exemples :

    • Vous êtes têtu(e) ? Non : vous être opiniâtre, déterminé(e).
    • Vous êtes prétentieux ? Non : Vous faites preuve d’assurance.
    • Vous êtes trouillard(e) ? Non : vous êtes prudent(e).
    • Vous êtes radin(e) ? Non : vous dépensez l’argent à bon escient.
    • Vous êtes exigeant(e), perfectionniste ? Non : Vous aimez surtout le travail bien fait.

    C’est comme pour un entretien d’embauche où les candidats qui se sont préparés à la question-piège classique : « Quels sont vos trois principaux défauts ? », transforment systématiquement leurs défauts comme une force pour le poste convoité.

    Alors, listez vos défauts et transformez-les en des mots positifs. Vous serez surpris !

    Accepter les critiques et les compliments

    Mais il est vrai que ce n’est pas si simple. Surtout lorsque des critiques nous parviennent des autres. Ah… Le regard des autres…

    Eh bien, sachez que reconnaître ses défauts, puis les accepter permet aussi d’anticiper le fait de se vexer suite à une critique. En effet, il peut arriver que de manière inattendue, un proche, un collègue, un employeur nous reproche un trait de caractère.

    S’il s’agit d’un défaut que nous avons déjà identifié, sur lequel nous avons travaillé, en l’acceptant ou en le corrigeant, on accepte plus facilement la critique.

    S’il s’agit d’un reproche que l’on ne nous a jamais fait jusqu’alors, alors il convient de prendre note de l’information, de l’analyser calmement et ensuite d’y travailler.

    Vous vous apercevrez qu’accepter la critique vous rend beaucoup plus zen.

    C’est d’ailleurs tout aussi vrai pour un compliment. Il faut savoir l’accepter avec lucidité. Ne pas le rejeter, si on le juge excessif au premier abord. L’analyser et l’accepter comme tel, c’est-à-dire le considérer légitime, ne pas ressentir le fameux syndrome de l’imposteur.

     

    Alors… Et si vous tentiez de relever le défi ?

    Vous n’êtes pas parfaite et alors ? Êtes-vous pour autant moins bien qu’un(e) autre ?

    Non.

    Y a-t-il parmi les huit milliards d’humains dans le monde ne serait-ce qu’une seule personne qui soit parfaite ?

    Aucune.

    Avoir un défaut n’est pas une faiblesse. L’accepter vous rend plus fort. Et surtout plus zen. Alors, posez-vous quelques minutes. Faites le point sur « vos défauts », faites le tri aussi, et prenez-les en main. Vous verrez que vous y gagnerez énormément surtout sur l’amour que vous vous portez, amour qui est essentiel pour avancer.

    Charlotte Vallet – Sophrologue et hypnothérapeute à Paris